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Le salon était une vaste pièce dont un mur entier était recouvert de glaces sur lesquelles restaient des traces de spermes. Trois grands canapés en cuir, une grande table ovale derrière un des canapés sur laquelle était posés le saladier en verre qui avait déjà du sperme, les nôtres, qui commençait à se liquéfier, des godes de toutes tailles, des cockrings en acier et en cuir, des bananes, verres et bouteilles en verre vides et des lacets de cuir. Au milieu de la pièce trônait un cheval d'arçon passablement usé.
Je me branlais donc un doigt dans le cul et en me suçant un gros orteil, face aux glaces, par terre sur le parquet verni, me regardant et voyant derrière moi Maurice qui me regardait en se branlant et s'enfonçant trois doigts dans son cul. Je le vis sortir ses doigts de son cul, les lécher et les remettre d'un coup dans le cul en me demandant de faire pareil. J'avais envie de pisser et je lui demandai ce que je devais faire.
" Tu pisses dans une des bouteilles et sur toi. Je te préviens, on n'aura rien d'autre à boire toute la semaine que de la pisse ; alors tu as intérêt à en mettre de côté, mais t'inquiètes j'ai prévu le coup et j'ai déjà pas mal de litres en réserve. "
Je me levai pour aller prendre une bouteille, commençai à pisser dedans puis me rassis par terre et pissai à nouveau sur moi en m'arrosant le visage. Le parquet fut mouillé, mais Maurice me dit merci ! il vint prendre la bouteille et à son tour il pissa dedans puis arrosa le parquet autour de moi en me demandant de lécher. Comment résister deux jours sans se toucher ???
Il alla chercher un lacet de cuir et m'ordonna de faire comme lui ; il prit un autre lacet et commença à le serrer autour des couilles, du sexe, puis remonter vers le gland qu'il entoura à la base en serrant très fort et en faisant un noeud. Je fis pareil, mon sexe gonfla et devint cramoisi ; puis quand je serrai la base de mon gland, j'eus une coulée abondante de liquide séminal et me retins pour ne pas jouir comme un dingue. Il se précipita vers moi pour recueillir ma mouille et la lécher sur ses doigts. " Excuse je n'ai pas pu résister " Et moi alors, quel salop quand même... Les veines de mon sexe et les siennes étaient hyper gonflées et je n'avais qu'une hâte, jouir jouir jouir...
Il avait repris son doigtage de cul et me regardait dans les yeux avec une envie que je partageais. Il se leva d'un bond et brusquement m'écrasa au sol de tout son corps en me roulant une pelle monstrueuse et puissante après avoir crié :" et puis merde tu m'excites trop ". Il absorbait ma langue au fond de sa bouche, brûlait mes lèvres et m'envoyait des jets de salive continus. Nos corps glissaient dans la pisse au sol et nos sexes gonflés à bloc, emprisonnés dans les lacets de cuir, vibraient à en devenir des marteaux piqueurs en pleine action. Sentant qu'on ne pourrait pas tenir longtemps, il se mit en 69 et à peine avais je eu le temps de recevoir sa queue dans ma bouche qu'on se mit à jouir exactement au même moment. Le mélange du cuir des lacets et du sperme m'excitait et on est restés comme çà quelques minutes, ahuris et comblés, nos sexes bien ancrés au fond de nos gorges. Puis sans que je m'y attende, il commença à pisser d'abord par petites doses pour me laisser boire et enfin se lâcher complètement jusqu'à la dernière goutte. Je gardais son sexe bien à fond de gorge et il fit de même pour moi attendant qu'à mon tour je lâche de la pisse. Puis il enleva avec ses dents le lacet, je fis de même, et reprenant nos queues à fond de gorge, on se suça longuement en aspirant jusqu'aux couilles pour jouir à nouveau presqu'ensemble sans perdre une goutte. Toujours en 69, nos sexes dans nos bouches, il commença à me doigter le cul, doucement puis plus fort puis se levant d'un bond : " on va manger "
Feetspermes
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