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Chapitre 4
Salut à tous,
Je m’appelle Benjamin, j’ai 23 ans. Je suis étudiant en littérature moderne et je viens de terminer mes études. Moi, je ne suis pas très grand, je suis mince, blond avec une paire de fesses très rebondie qui attire les regards tant elles sont bombées... ce qui n’a pas déplu à John, le propriétaire de la ferme où je viens d’arriver pour faire du bénévolat. Il est venu me chercher et lors du voyage de retour, me voyant fasciné par son énorme queue, il s’est arrêté dans la campagne pour me dépuceler. Arrivés à la ferme, John m’a fait visiter les lieux et il m’a présenté son équipe, composée de 6 hommes, tous musclés, la peau bronzée par le soleil, avec une virilité à fleur de peau et des paquets bien gonflés. Juste avant de m’endormir, j’entends John dire : « je crois avoir trouver notre vide-couilles » ... Et en effet, dès le lendemain, Icham et Draven ont bien profité de mon cul. Le jour suivant, John m’a pris à part pour me dire qu’il aimerait me donner moins de travail et qu’en compensation, je devrais être le vide-couilles du groupe d’hommes. J’ai accepté immédiatement et durant la journée, je me suis fait baiser par John et son fils. Lpors du déjeuner, j’ai sucé tous les mecs et j’ai avalé leur semence. Le soir-même, je me suis fait défoncé par Igor et Jeremy, les deux travailleurs polonais. Tous sont ravis que je remplisse ma fonction aussi bien !
Le jour suivant, je me réveille tard. Les Polonais m’ont baisé toute la nuit. Ils m’ont rempli au moins une dizaine de fois. Ce sont des amants formidables et hyper endurants. Je remarque qu’après la dernière baise, ils m’ont laissé tranquille vers 5h, sûrement peu avant de se lever. Ils m’ont laissé dormir.
Je regarde l’heure : il est 11h ! Je me lève. J’ai le cul endolori. Je tâte mon trou. Il est béant et il dégouline encore de sperme. Je vais aux toilettes et quand je me mets en position, je lâche les vannes : des litres de jus de mâle coulent hors de mon anus et partent dans les toilettes. Putain ! Ils m’ont bien rempli ! J’ai l’impression que la source ne se tarit pas. Ça coule et ça coule... Puis, je me relève et je vais prendre une bonne douche.
Quand je descends dans la cuisine, je trouve un mot de John sur la table : ils sont partis pour la journée travailler dans les champs. Mes instructions : nourrir les vaches en fin d’après-midi et préparer le dîner. J’exécute ses ordres et les mecs reviennent tard dans la soirée. Il est 21h. Ils ont l’air éreinté. Le repas est plutôt silencieux et beaucoup se lèvent pour aller fumer dehors ou d’autres vont directement se coucher. Je suis par contre super content quand Sam me prend par la main et qu’il m’attire avec lui. On se rend dans sa chambre. Il ne dit pas grand-chose. Il se pose sur son lit et il ordonne :
- Allez ! Elle est à toi !
Tout en articulant ces mots, il ouvre son pantalon. Je prends sa massue en main tandis qu’il enlève sa chemise.
Sam est un black américain de 40 ans. Il est grand (2m) et il a une peau café au lait. Son crâne est rasé et il porte le bouc. Il a des bras et un torse hyper musclé. Ses bras sont énormes, aussi gros que mes deux cuisses réunies. Ses pectoraux sont ronds et monstrueux. Il a un ventre plutôt gros et dur. Il a des tatouages sur le haut de ses bras. Il est imberbe. Il a une bite fine de 20 cm et des couilles de taille moyenne.
Il m’attire vers lui et il me plaque contre son corps massif. Je commence à lécher ses pecs et ses tétons, puis ses gros bras. Je passe ensuite à son ventre gros et dur que je lèche et que je caresse. Pendant ce temps, je masturbe légèrement sa grosse queue. Ensuite, je l’enfonce dans ma bouche et je commence à pompe bien pomper Sam qui s’écrie :
- Fuck ! Tu es une bonne suceuse toi ! T’aimes ma grosse bite de black ?
Je fais oui de la tête tout en continuant de m’occuper de sa queue. Durant de longues minutes, je le suce, faisant souvent des gorges profondes qui le font bien gémir. La teub de Sam mouille bien... Je sens son precum descendre dans ma gorge. Parfois, je ressors pour lui léchouiller le gland et là, je reçois encore plus de precum sur ma langue. Bien sûr, j’avale tout. J’adore aussi m’occuper de ses couilles pendant que mes mains caressent son corps massif.
Au moment où je sens sa bite se raidir, il m’attire vers lui et il me fait non de la tête. Il me colle contre son corps puissant et ses mains me malaxent le cul. Tout doucement, il fait passer un doigt dans ma raie puis dans mon anus. Il y met ensuite 2, puis 3 doigts. Mon trou est bien ouvert. Il l’humidifie avec de la bave tout en m’embrassant dans le cou.
Moi, je saisis sa bite et je la branle. Au bout de quelques minutes, il me prend dans ses bras, mes pieds quittent le sol et je me retrouve assis sur lui qui est couché sur le lit. Il m’empale sur sa bite et il m’y fait descendre lentement. Je sens son pieu qui m’ouvre le cul en grand. Je gueule de plaisir.
- Tu aimes ma queue ?
- Oui ! Elle est trop bonne !
- C’est vrai ? Tu la sens bien dans ton petit trou ?
- Oui !
- J’adore ton gros cul de salope !
Il saisit mes fesses et il me fait monter et descendre sur sa queue. D’abord, les allers-retours sont lents, puis le rythme s'accélère. Je me retrouve le corps collé contre le sien, ma bite entre nous deux. Sam m’embrasse sauvagement tandis qu’il me défonce le cul.
Il finit par me reposer sur le lit et quand je vois sa bite, je me précipite dessus. Ma langue se met à faire des allers-retours le long de sa hampe et de ses couilles. Mais très vite, il me saisit et je me retrouve sur le ventre et il m’enfonce sa grosse bite entièrement dans mon anus. Il commence à alterner entre baise sauvage et baise plus lente mais plus profonde. Cependant, il accélère très vite la cadence : il me pilonne à fond. Il se défoule en moi. Je me sens telle une poupée gonflable entre ses mains puissantes. Il me baise ainsi pendant une dizaine de minutes. Il me déglingue le cul tel un marteau-piqueur. Et dans un cri bestial, il lâche sa purée dans mon anus. Mon cul s’en retrouve inondé par sa bite qui explose en plusieurs longs jets puissants qui me fouettent les intestins. Sam tasse son jus et il ressort de mon cul, la queue toute blanche.
Il m’attire vers lui, il me dépose un baiser sur les lèvres puis il me plaque sur sa bite que je nettoie correctement. Il se pose ensuite dans le lit et il m’emprisonne dans ses bras puissants, contre son corps massif. Je me sens vraiment comme protégé. On s’endort ainsi. Pendant la nuit, il se réveille deux fois, la queue tendue qu’il me donne à sucer. Il me jute deux fois de grosses doses de sperme dans l’estomac.
Sam me réveille quand il se lève vers 6h mais il me dit de me rendormir. Je n’y arrive pas et je me lève une heure plus tard. Les ouvriers sont déjà au travail dehors. Je prends un café et je sors dehors après une petite toilette. John me dit alors :
- Good morning ! Bien dormi ?
- Yes !
- Tout va bien ?
- Yes, sir !
- Well... Tu peux aller aider dans l’étable ? Sam a dû aller faire une course et Igor est seul.
- Ça marche !
Je vais aider Igor qui me donne une fourche pour m’occuper du fumier. On récure l’étable. Tous les excréments sont mis dans un endroit avant d’être transporté plus ailleurs à l’aide d’un tracteur.
Mais au milieu du travail, je sens soudain une main qui me met une fessée ! C’est Igor qui me regarde avec un regard de braise. Sa grande main se met à caresser mon cul puis il défait le bouton de mon pantacourt en disant :
- Ton short est bien serré. Il moule bien ton petit cul... Il me fait trop envie !
Il introduit sa main dans mon short et il me malaxe les fesses. Il approche son visage de mon cou et je ressens son souffle chaud. D’un geste habile, il fait descendre mon short sur mes chevilles et il se met à genoux devant mon cul qu’il écarte. Il enfourne sa langue entre mes fesses et il se met à me bouffer le cul. Je gémis doucement. Puis, il se relève et enlève son t-shirt. Son pantalon descend sur ses chevilles.
Igor, le Polonais de 20 ans, est de taille moyenne. Il a des cheveux noirs, très courts et une moustache. Il est très mignon. Il est assez baraqué, il a de larges épaules. Il est musclé, il a de gros pectoraux. Il a des tatouages sur les bras et le torse. Son ventre et son pubis sont très poilus avec des poils longs, frisés et drus. Ses avant-bras et ses jambes sont poilues aussi. Il a une bite de 24 cm, épaisse (ma main en fait à peine le tour) avec de grosses couilles ballottantes.
Il embroche sa queue dans mon cul. Je regarde autour de nous. Les vaches mangent tranquillement leur foin. Certaines nous observent. Je crie quand il enfonce d’un trait sa queue dans mon anus. Je ne proteste pas, je cambre bien mon cul et j’attends les assauts d’Igor avec impatience. Sa bite monstrueuse commence à faire des va-et-vient lents dans mon anus... ce qui ne dure pas longtemps. Il se met à me baiser de plus en plus vite et de plus en plus fort, sur toute la longueur de sa queue. Il me pilonne sauvagement, ressortant entièrement sa bite de mon cul avant de me pénétrer d'un coup sec de toute la longueur de sa queue. Je gémis très fort.
Soudain, j’entends des bruits de pas. Je vois alors deux mecs en costume... Putain ! Des flics ! Ils s’approchent de nous et ils matent le spectacle. J’en vois même un porter sa main à son entre-jambe.
Les coups de bite d’Igor semblent devenir toujours plus rapides et toujours plus violents. Il maintient mes hanches à l’aide de ses mains puissantes et il se défoule dans mon cul. Il ne met pas longtemps à jouir. Il bloque ses 24 cm au fond de moi et un torrent envahit mon anus. 10 jets giclent en moi, fouettent le fond de mon cul que je sens se remplir. Quand il en sort, un tsunami de sa semence jaillit hors de mon trou.
Il se rhabille, laissant mon cul en l’air qui dégouline de son sperme et quand il se retourne, il est surpris de voir les deux flics. Puis, il leur sourit et leur marmonne quelque chose en anglais que je ne comprends pas. Mais, je capte vite qu’il leur dit que le terrain est libre.
Je veux me redresser mais le premier policier me met une main sur l’épaule et il me fait mettre à genoux. Il prend la parole tout en se déshabillant :
- Hey. My name is David. This Ted!
- Hey. I am Chris.
- Hey Chris. On peut te baiser ?
- Yes !
Mais je suis déjà à genoux devant ces deux beaux mâles.
David a 35 ans, il fait 1,85m. Il est blond avec des yeux verts. Il a un corps musclé avec des abdos saillants et des pecs bien marqués. Ses biceps sont durs comme de l’acier. Son corps est complètement rasé, tout comme son pubis et ses couilles. Il a une bite de 20 cm, assez fine, marron avec un gland rose, et il a aussi d’énormes couilles rasées.
Ted est de taille moyenne, mince. Il a des cheveux bruns, un visage lisse. Il a 35 ou 40 ans. Il est très bronzé, sportif. Son corps est bien musclé avec de magnifiques abdos. Il est aussi assez poilu, il est recouvert de poils noirs, courts et drus. Il a une bite de 17 cm, poilue à la base et de bonnes couilles aussi poilues. Sa bite est bien noire, longue, au moins 22 cm, et épaisse, au moins 7 cm. Il a de petites couilles rondes, pendantes et un gland presque rose.
David m’ouvre la bouche d’une main et il y enfonce sa queue déjà bien dure en bouche. Elle est énorme ! Il agrippe mes cheveux et il se met à donner des coups de reins. J’ai la bouche ouverte en grande. Son gland me titille l’intérieur de la gorge. Il la retire puis il l’enfonce d’un coup sec. Il se met à me limer la gueule. Je me ressens tel un sex-toy qui est là pour assouvir les pulsions des ouvriers... ainsi que d’autres visiteurs de la ferme ! Il me retire parfois sa queue pour que je reprenne mon souffle. Je bave de partout. Docilement, je la reprends sans broncher.
Puis, il me fait passer à la bite de son partenaire. David me fait sucer la queue de Ted. Il me maintient la tête et il me fait faire des allers-retours sur cette bonne teub. Je bande à m’en faire péter le rouleau. Un sentiment m’envahit : je suis un bon vide-couilles et je veux me faire utiliser par ces deux mecs. Mon visage rebondit contre le ventre poilu de Ted. J’ai mon nez dans ses poils de pubis.
Au bout de 5 minutes, ils me font me relever. Ils m’admirent et ils me caressent le corps, le cul dégoulinant. Ils me triturent les tétons. Ils s’attardent sur mon gros cul qui semble bien leur plaire. Ted est le premier à jouer avec son gland contre ma rosette. Il ramasse le jus qui dégouline toujours et il s’enfonce dans mon anus en poussant un cri bestial. Il reste au fond de mon cul et David lui dit alors :
- Fuck him ! Come on !
Il commence par de petits coups de bite, puis ses va-et-vient deviennent de plus en plus amples et plus rapides. Ses grosses couilles cognent contre mon périnée. Il colle son corps contre le mien et il me prend dans ses bras. Ses coups de teub deviennent plus profonds et plus sauvages.
Puis, c’est au tour de David d’entrer dans mes entrailles. Sa queue me pénètre sans difficulté grâce au jus d’Igor. Il me baise sans concession, telle une pute. Il me donne des bons coups de teub, j’adore sentir ses cuisses claquer contre mon cul. Il éjacule malheureusement très rapidement. Mais, il me met une bonne dose dans le fion. Son jus coule de mon trou sur mes cuisses. Ted prend la suite et lui est plus endurant. Il me pilonne tel un marteau-piqueur. Il ne cesse de répéter :
- Fuck ! It’s so good !
Sa bite coulisse en moi sur toute sa longueur et son pubis frappe bruyamment mes fesses. Ses couilles me fouettent le périnée. Il laboure avec sa grosse bite sans ménagement. Le policier qui semblait tout à l’heure plutôt réservé se déchaine maintenant en moi. Sa queue va et vient dans mon trou bien graissé par le sperme de son partenaire et par le Polonais. Il entoure mon ventre de ses bras. Son corps musclé est collé contre le mien. Le sperme de ses prédécesseurs gicle partout, sur ses couilles, sur nos cuisses, sur notre ventre. C’est une orgie de sperme !
Ted prend la suite et il se déchaîne en moi pendant bien 15 minutes, sans faiblir. Et sans prévenir, tout en me caressant le cul, il se vide dans mes entrailles. Je sens de puissantes rasades me fouetter le fond du cul. La source semble intarissable. Il calme ses mouvements de reins et il ressort de mon anus qui explose de sperme telle une fontaine qui atterrit dans le foin. Les deux policiers se rhabillent vite et ils se dirigent vers le bureau de John.
Moi, épuisé, je décide d’aller faire une petite sieste. Je m’endors vite, épuisé par toutes ces bites ! Je prépare le repas le midi et le soir, sans malheureusement me prendre de bite. Le soir, c’est John qui me baise. C’est vraiment un coup rapide. Il se défoule en moi et il m’ensemence. Il me jette ensuite hors de sa chambre. Je me dirige vers la mienne, quand Jeremy sort la tête de sa chambre :
- Salut Ben, on arrive pas à dormir ! Tes cris nous ont tenus éveillés. Tu dois avoir la chatte bien pleine après cette journée, non ?
- Oui !
- Nous avons besoin de toi ! Rentre dans la chambre, s’il te plait !
Devant ses deux hommes qui ont besoin de moi, j’ai deux câbles qui claquent au niveau de mon cerveau. Je ressens alors mon trou béant suinter. Le sperme de John coule entre mes cuisses. Tel un automate, je passe la porte et je vois que les deux Polonais ont leur bite qui prend directement une ampleur phénoménale... Je me fais alors très vite défoncer telle une salope en criant bien fort. Ils se vident tous les deux en moi et ils m’attirent vers eux. Ils me prennent dans leurs bras et ils s’endorment après cette rude journée qui se termine aussi pour moi. Je dois me rendre à l’évidence que je suis, en l’espace de quelques jours, devenu accroc à deux choses : aux grosses queues et au sperme ! Je suis en train de me transformer. Je le sens au plus profond de moi. Un besoin d'être soumis est né en moi. Je deviens le sac à foutre insatiable des ouvriers de cette ferme…
A suivre...
Merci à Thierry pour ses idées.
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Meetmemz
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