Premier épisode
Chapitre 2
Salut, moi c’est Dylan, j’ai 24 ans. Je suis de taille moyenne (1,78m), j’ai les cheveux châtains et les yeux verts. Je suis musclé assez fin. Dans le premier chapitre, je vous ai raconté l’histoire (réelle) de ma rencontre avec Mehdi, un stagiaire de mon magasin. Mehdi est un rebeu de 27 ans, bien musclé, monté 19 cm.
Après lui avoir fait connaitre les plaisirs de la sodomie entre mecs, il a commencé à me baiser tout le temps et partout. Entre temps, il a été embauché dans mon magasin par mon chef et il a gagné plus d’argent pour se payer un appart plus grand.
Un samedi, je l’ai aidé à déménager, avec deux de ses potes, Ahmed et Faress. On a bien bossé et le soir, Mehdi nous a payé des pizzas et des bières, on a passé une soirée sympa. Les deux rebeus sont partis assez tôt, ne voulant pas rater le dernier bus. Une fois seuls, Mehdi s’écrie :
- Il est temps d’inaugurer l’appart, qu’en penses-tu ?
Il dit cela en sortant sa bite, déjà bien raide. Il place alors ses deux mains derrière ma tête, et il se met à me baiser la bouche. Sa bite rentre bien profondément dans ma gorge. Il me secoue comme un cocotier. Puis il me laisse le sucer tandis qu’il me doigte pour faire entrer sa salive dans mon trou. Ensuite je sens son gland se frotter à mon cul. Je cambre mes fesses, prêt à recevoir son chibre et à me faire baiser. Il pose son gland sur ma rosette, il pousse et entre d’un coup. Je sens ses couilles buter contre mon cul. Il commence les va-et-vient brutaux, entrant à chaque fois bien jusqu’au bout.
- Oh putain, ton cul est trop bon ! Vas-y, couine bien !
Il me fait couiner pendant 20 minutes, il me baise en alternant les coups rapides et violents et les coups de rein lents et profonds. Il m’a défoncé dans plusieurs positions : en levrette, sur le dos, sur le côté, etc.
- Je vais jouir dans ta chatte de salope !
J’entends alors son souffle s’accélérer et bien vite il m’engrosse. Il m’enfonce sa queue bien au fond et dans un hurlement, il explose dans mon cul. Je sens des litres de jus chaud me remplir le trou, de nombreux jets puissants me submergent et sous la pression, sa semence coule sous sa teub pour se déverser le long de mon périnée.
Il s’allonge à côté de moi, à bout de souffle et il me dit de rester, voulant baiser dans la nuit. Puis avant de se coucher, il me demande :
- Tu penses quoi de mes potes ?
- Ils sont sympas. Pourquoi ?
- Ouais mais, tu baiserais avec eux ?
- Je sais pas ... ils sont pas mal... mais je n’ai pas pensé à ça en les voyant.
- Ils te plaisent ?
Je me mets à bafouiller, ne voulant pas le blesser.
- Oui, ils sont bogoss, mais bon, je sais pas... c’est pas que...
- Tu sais, je leur ai parlé de toi...
Je relève la tête, surpris.
- Ah ?
- J’ai toujours voulu faire un plan à plusieurs...
- J’ai déjà fait... ça peut être sympa.
- Ils te kiffent en tout cas !
Je dévisage Mehdi d’un regard interrogateur. Il me tend alors son portable et je peux lire les messages que Faress a envoyé depuis son départ : « Beau cul, ta femelle ! Je la fourrerais bien ! ». Et Ahmed a écrit : « Putain Mehdi, je prends sa bouche et son petit cul non stop !!! »
Je regarde Mehdi, ne pouvant réprimer un sourire. Je me sens flatté, même si ça me choque que des mecs parlent de moi comme une pute, qu’ils me féminisent et que je sois relégué au rang de sex-toys. Je suis certes un peu excité... mais je ne suis pas trop chaud pour me faire démonter par 3 mecs comme ça !
La semaine suivante, je revois Mehdi tous les jours au boulot, on baise plusieurs fois ensemble dans la remise. Il ne perd pas une occasion pour me parler de ses potes qui sont vraiment chauds pour ce plan à quatre. Je lui dis que je ne suis pas vraiment intéressé. Mais mon beau rebeu insiste.
Le week-end suivant, Mehdi m’invité à sa pendaison de crémaillère. J’arrive chez lui vers 20h. Je sonne et j’entends que les invités rigolent. Il m’ouvre la porte, me fait rentrer et là, je suis très surpris. Il n’y a que Ahmed et Faress. Je me demande si je ne me suis pas trompé d’heure quand je comprends qu’ils m’ont tendu un piège et que je vais passer à la casserole. J’avoue que je ne fais pas le fier à ce moment-là, j’ai même un peu peur. Je regarde alors Mehdi qui me prend par les épaules et me pousse doucement vers ses potes en disant :
- T'inquiète, on va bien s'amuser !
Mehdi remarque alors que je suis tendu, mal à l'aise...
- T’inquiète, mon petit Dylan. Si tu n’as pas envie, tu n’es pas obligé. Allez, on va bouffer et on verra après.
On s’assois tous sur le canapé. Mehdi nous sert des pizzas, des chips et chacun prend une bière. Puis deux... puis on passe à des trucs avec un plus haut pourcentage. On finit de manger vers 22h. Je suis pompette. Je pense que les mecs le remarque et c'est Faress qui lance les offensives en me disant :
- Mehdi nous a dit que tu t'occupes bien de sa queue, il en a de la chance, t'es un beau petit lot et t'as un cul, putain !!
Je monte rouge mais, l'alcool aidant, je me lève et je me retourne vers lui en lui disant :
- Tu trouves qu'il est beau ?
Ils se mettent alors à siffler. Ils échangent alors quelques mots en arabe puis à leur tour, ils se lèvent et ils m’entourent. Faress posent une main sur mon cul, Ahmed l’imite. Ce-dernier sort :
- Hummm, t'as l'air d'être une bonne salope ! On va te baiser à mort toi !
C'est là que tout commence à déraper. Mehdi me fait descendre mon pantalon sur mes chevilles, Faress m’enlève illico mon t-shirt. Je me retrouve à poil. Mehdi prend les devants et il sort sa queue. Ses bons 19 cm se dressent devant moi. Oubliant tous mes appréhensions, je me baisse et j’enfourne sa queue dans ma bouche. Faress sort :
- Putain, quelle salope !
Tout en disant ça, il sort lui aussi sa queue bien raide de son pantalon de jogging. Je me précipite dessus et je fous sa teub bien au fond de ma bouche. Il se met à gémir. Ahmed l’imite et je me retrouve vite avec son pieu au fond de la gorge. Ils enlèvent vite leur t-shirt et je peux les admirer à moitié nus : les deux rebeus ont une peau plus foncée que celle de Mehdi. Ils sont tous à peu près de la même taille (environ 1m80), brun, frisés, ils portent une barbe de trois jours, ils sont musclés mais secs, vu qu'ils font des travaux physiques (Ahmed est magasinier, Faress est maçon). Ils sont tous circoncis. Mehdi est celui qui a la queue la plus longue, les deux autres sont bien montés aussi, un peu moins longue (17-18 cm) mais un peu plus large. Ahmed a 31 ans, il est assez poilu. Sa toison sur le torse me fait kiffer. Ses jambes sont recouvertes d’un duvet noir et abondant. Son pubis est bien velu et les poils de ses couilles montent le long de sa queue et en recouvrent bien un tiers. Son ventre et son torse sont aussi bien poilus. Faress a 33 ans, il est très peu poilu, il a seulement une petite touffe frisée au pubis et un filet de poils qui remonte jusqu’au nombril. Il a une paire de couilles énormes et pendantes. Sa queue est très foncée, tandis que son gland est rosâtre.
Je prends la queue de Mehdi de nouveau dans ma cavité buccale. Il met alors ses mains sur ma tête et il commence à me baiser la bouche, m’envoyant son pieu bien au fond de la gorge. Puis je passe à la queue de Faress. Sa large queue s’impose dans ma bouche, elle m’ouvre bien la mâchoire. Je m’active sur sa queue, je la suce bien, je m’occupe du gland, je fais quelques gorges profondes. Puis il m’arrête, il prend le menton avec sa main droite et s’écrie :
- Putain, t'as une belle gueule de pute !
Il met alors ses mains derrière ma tête, enfonce son gland dans ma bouche et il commence à me la limer. Il me carre sa bonne teub au fond de la gorge, ses couilles me tapent le menton. J’étouffe mais il me retient. Au bout de quelques secondes, il me libère. Sa queue est couverte de bave, j’en ai partout qui sort de la bouche et coule par terre. Il replonge dans ma bouche et là, il ne se contrôle plus, il me démonte carrément pendant bien 10 minutes.
- Putain, tu es une bonne chienne avide de queue ! Tiens, Ahmed, essaie-la !
Le gros gland d’Ahmed se met devant ma bouche il s'engouffre directement au fond de ma gorge !
- Ah ouais ! Une bonne gorge à pomper des queues !
Il y va doucement puis il accélère la cadence. Il me baise la bouche comme si c'était une chatte. Ses couilles odorantes me tapent le menton et j’ai le nez dans sa toison. De temps en temps, il sort sa queue et la fait claquer sur ma langue tendue, puis la replonge dans ma bouche. Il va taper le fond de ma gorge ou au contraire laisse bien à ma langue le temps de caresser son morceau.
- Enculé comme c'est bon !
Il me lime la gueule. Puis de ses deux mains, il me fait passer à la teub de Mehdi. Lui me défonce la bouche, restant quelques fois au fond de ma gorge.
Je prends les trois bites en bouche à tour de rôle. Ils me la baisent sans ménagement pendant que des doigts me fouillent le cul. Ils se parlent en arabe, rient et me parlent comme à une meuf : « Allez, suce ma belle ! », « Ta chatte de femelle va bien prendre ! », « T'es une bonne suceuse ! »
Je les suce pendant bien une heure. Puis Mehdi me dit :
- Ouvre bien ta bouche en grand ! Mais tu avales que quand je te l’ordonne !
J’acquiesce. Il place sa queue au-dessus de ma bouche, il se branle, il hurle qu’il va cracher et je vois alors ses couilles de taureau se contracter et expulser le précieux jus qui me tapit la langue et la bouche. J’ai l’impression que sa bite jute des litres ! Ce sont 9 gros jets qui se précipitent sur ma langue.
Faress se met devant moi, il se branle et très vite il jute de longs jets épais et chaud. Le premier jet vient s'écraser sur mon visage. Puis ses grosses couilles juteuses vident 7 longs jets chauds.
- Ah oui, c’est trop bon ! Tu es une bonne salope !
J'ai la bouche bien pleine mais il reste Ahmed qui prend la place de Faress et se branle. Il pose son gland sur ma langue qui se met à en titiller le frein. Il souffle très fort puis il rugit. Il éjacule une bonne quantité de sperme onctueux qui coule dans ma bouche, allant s’ajouter au jus des autres. Il n’en finit pas d’éjaculer. Ma bouche est tellement pleine que le sperme coule le long de mon menton et sur mon torse ! Une fois terminé, Mehdi me dit :
- C’est bien, tu es une bonne salope ! Avale maintenant.
J’avale alors leur jus. Je sens le sperme coulé dans ma gorge... du sperme tiède et gluant mais onctueux, légèrement acide. Faress ramasse le sperme tombé sur mon torse et me le donne aussi à boire.
Mehdi m’ordonne de me branler. Je me branle alors devant eux, je dois rester debout tandis qu’eux s’assoient et font des commentaires en arabe. Dans un tsunami qui me ravage le corps, je finis par jouir dans ma main un flot incessant de sperme. Ahmed s’exclame :
- Matez comme ça lui a plu ! Ça lui plait à la salope d’être un garage à bites !
- Maintenant, bois tout ! , m’ordonne Mehdi
Je m’exécute et je fais couler mon propre jus dans ma bouche que j’avale. Il coule le long de mon œsophage pour aller s’ajouter au leur. Faress dit :
- Tu as une bonne bouche à pipes ! Mais t’inquiète, une petite pause et ton cul de femelle va prendre cher aussi !
Je comprends alors que la nuit n’est pas terminée...
A suivre...
Merci à Dylan de m’avoir fait parvenir les détails de ce qu’il a vécu avec Mehdi et d’avoir eu le droit de raconter et de publier l’histoire.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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