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Chapitre-5
Dimanche matin, nous sommes la veille de la rentrée universitaire.
L’été n’en finit pas et la chaleur non plus.
Je me réveille dans mon lit et met quelques secondes à reprendre mes esprits.
Hier, j’ai appliqué seul, pour la 1ère fois, la gelée « magique » commandée par Raymond. Cette gelée est sensée faire grandir et grossir mon pénis et mes couilles qui se trouvent être ridiculement petits.
Je m’entends très bien avec Raymond. Je le vois comme un grand frère protecteur. C’est un géant africain au corps imposant et au service trois pièces énorme. Nous nous entendons tellement bien qu’il m’a appliqué lui-même la gelée à la base de mes couilles et par erreur sur mon anus. Le caractère huileux et chauffant de la gelée a même fait déraper le début de l’index de Raymond dans mon petit trou.
Je me lève. Nu au milieu de ma chambre, je remarque le ciel dégagé à travers la fenêtre. Je décide d’aller courir quelques km.
D’abord, la gelée magique ! Je m’en applique sur mon petit gland, puis sur mon sexe en lui-même. Je m’accroupis et passe mes doigts huileux derrière mes couilles. Je masse quelques secondes… mes doigts glisse vers mon anus. Il est lisse en sans poil.
A : Bizarre, c’est là que la gelée chauffe le plus…
Mes doigts caressent mon trou quelques secondes. Ce n’est pas désagréable…
Je me remets debout et contemple mon petit zizi. Rien n’a changé… il est resté minuscule.
A : J’espère que ça aura fonctionné au bout d’une semaine !
J’enfile un slip, un short et un t shirt. Je mets mes chaussettes et basket.
Je sors de ma chambre et me dirige vers celle de Raymond. Sa porte est entre ouverte. Je frappe doucement et entre. Raymond est dans son lit. Les couvertures remontées jusqu’au nombril. Il regarde son téléphone.
A : Raymond, je vais courir. Tu as tout ton temps pour prendre une douche. Je reviens dans une heure.
R : Hey Alex ! Tu prends les instructions de mon ami aux sérieux ! C’est bien !
A : les instructions ?
R : Faire plus de sport ! Ca fait partie de ses recommandations.
A : Ah oui, c’est vrai… J’avais tellement eu l’attention focalisée sur la gelée magique que j’avais oublié que je devais faire plus de sport également.
R : Je vais t’accompagner ! Voir de quoi tu es capable !
Raymond sort de son lit en poussant les couvertes. Le titan est toujours aussi incroyable : un corps musclé-costaud, poilu sur son large torse à son bas ventre, des bras énormes, des touffes de poils sortant de ses aisselles, des cuisses de rugbyman. Un cliché de virilité. Le tout sur un peau sombre et épaisse. Raymond porte son éternelle short de football en synthétique qui cache mal son énorme pénis. Il enfile ses baskets.
R : Pas besoin de débardeur ! Il fait déjà trop chaud !
A : Tu vas courir torse nu ?
R : Oui, les filles adorent ça ! Tu devrais faire la même chose. Il me fit un clin d’œil.
A : Non, je… je garde le t shirt…
R : Comme tu veux… mais d’abord, tu as bien mis la gelée ?
A : Oui oui ! Directement en me levant.
R : Montre voir
Raymond s’approcha de moi. Je fis tomber mon short et mon slip à mes pieds.
A : Regarde !
R : C’est bien petit Alex…
A : Mais je n’ai pas l’impression que ça fonctionne… mon zizi reste petit…
R : Attends 1 semaine, on verra le weekend prochain. Pas de panique. Tourne toi maintenant.
A : Pourquoi ?
R : Je vais vérifier si tu n’as pas oublié d’en appliquer à la base de tes couilles comme la 1ère fois. Allé ! tourne toi !
Je me tourne et luis présente mes fesses.
R : penche toi dit-il me mettant sa main sur mon épaule pour me faire pencher.
Sa force est incroyable.
R : ouvre les fesses et fais voir.
Je suis dès lors penché en avant, nu, tendant mes fesses que j’écarte de chaque main. Raymond pose alors son index de la base de mes couilles et le fait glisser jusqu’à mon trou. Il le laisse posé dessus quelques secondes puis le retire.
R : C’est bien Alex, tu peux te rhabiller. Tu as vraiment bien fait ça. Je suis fière de toi.
Je me rhabille en vitesse et me retourne vers Raymond. Là Raymond me fait son traditionnel « serrage » entre ses bras. Moi petit format, écrasé contre son torse complètement nu. Je reste ainsi quelques secondes puis j’arrive à me soustraire à sa force. Raymond me regarde fermement dans les yeux.
R : Tu ne t’es pas masturbé au moins ?!
A : Non ! Je n’en ai même pas eu l’envie !
R : C’est bien !
C’est là que je me rends compte que je n’avais eu aucune érection de toute la nuit ni au matin. Etrange me dis-je.
R : Allé en avant !
Pendant tout le running (10 km) Raymond était devant moi à quelques mètres. C’est lui qui imprimait le tempo. J’avais une vue imprenable sur son large dos musclé. Chaque muscle se contractait à un moment donné. Une vraie machine de sang et de chaire. Derrière, moi, je faisais tout pour le suivre. Souvent essoufflé mais jamais distancié.
Au bout d’une petite heure nous sommes revenus à notre point de départ, notre résidence universitaire. Nous sommes montés à notre étage, dégoulinant de sueur mais content de l’effort. Instinctivement nous sommes allés directement dans sa chambre.
R : Tu peux prendre ta douche en 1er Alex.
A : Comme tu veux Raymond. Je retire mes chaussures, me met torse nu et enlève mon short et slip d’un seul coup. Me revoilà totalement nu, dans la chambre de Raymond et face à lui.
Je n’avais plus aucune pudeur vis-à-vis de Raymond. Me retrouver à poil face à son regard ne me gênait pas. J’ouvris le robinet de la douche et patienta le temps que l’eau chaude arrive.
Raymond se posa sur son lit. Il retira ses chaussures. Ensuite, il passa une main sur son front trempé de sueur puis la passa en dessous d’un de ses bras. Sa touffe de poils qui était plaqué par la transpiration se redressa. Il porta ses doigts à ses narines.
R : ça c’est de l’odeur de mec ! Sens-ça Alex !
Je m’approche, nu, le sexe minuscule. Raymond se remit debout, gigantesque face à moi. Il me pris par la nuque. Ainsi, il était sûr que je ne m’échappe pas une fois ses doigts à quelque cm de mes narines.
R : Renifle !
A : Pwaaaa Raymond !
J’eu un mouvement de recule mais Raymond me tenait fermement.
R : C’est ça l’odeur d’un mec Alex !
L’odeur des aisselles de Raymond était forte, musquée et probablement remplie de phéromones masculine. Mon cerveau s’en imprégnait via mes narines.
R : Montre les tiennes pour voir.
Je levai les bras. Là non plus j’avais très peu de poils. Raymond passa le pouce sur chacune de mes aisselles.
R : Rien du tout non plus…. Incroyable… j’en parlerai à mon ami du bled…
A : Je peux prendre ma douche maintenant ?
R : Ah oui vas-y ! Raymond éclata de rire et alla s’allonger sur son lit.
J’entra dans la douche et me lava. J’avais encore beaucoup de chose à faire ce dimanche donc je ne m’attardai pas. Je sorti de la douche et pris directement ma serviette pour me sécher. Je tournais le dos à Raymond. Soudain, j’entendis Raymond parler mais sans s’adresser à moi.
R : Ouai… t’es bonne toi…
Je me retourna vers Raymond. Il était toujours allongé sur son lit mais avait son PC sur les genoux. Il avait le regard fixer sur l’écran. Son avant-bras droit bougeait à un rythme soutenu.
Je fis un pas en avant, vit son short à terre et là je compris ! Raymond se masturbait devant un porno ! Son regard était bestial, sa bouche légèrement entre ouverte.
Je n’en revenais pas ! L’écran se son PC cachait son sexe mais il était évident que Raymond tenait sa queue à plaine main !
A : Je vais te laisser tranquille Raymond…
Raymond tourna son regard vers moi comme s’il revenait à lui-même et se rappelait que j’étais dans la même pièce que lui. Il rigola.
R : AHAHA, mais non petit Alex ! Il ne faut pas avoir peur ! Viens à coté de moi !
Il me fit une place à coté de lui sur son lit.
A : Mais euh… je suis gêné … et puis de toute façon tu as dit que je ne pouvais pas me branler pendant le traitement de la gelée magique !
R : c’est pas parce que tu fais régimes que tu ne peux pas regarder le menu ! Raymond me fit un clin d’œil.
A : ….
R : Viens je te dit ! Sa voix fut tout d’un coup plus autoritaire.
J’approcha du lit et me glissa entre le corps imposant de Raymond et le mur. Raymond et moi étions nus, sur le dos, avec chacun un oreiller derrière la tête. C’est à cet instant que je vis pour la 1ère fois l’énorme bite de Raymond dans un érection total ! Sa queue était digne d’un acteur porno ! A vue de nez, elle devait faire 26 cm de long sur 7 cm d’épaisseur ! Son pubis était couvert de poils drus et sombre. Ses couilles reposaient entre ses cuisses puissantes.
Sur l’écran du PC, tournait un film porno. Deux blacks africains baisaient une fille blanche. Malgré ça, mon regard était bloqué sur la bite de Raymond.
R : Qu’est ce que t’en dit ? Pas mal hein ?
A : C’est juste dingue Raymond… je n’ai jamais vu ça…
Raymond tenait fermement sa bite et faisait ainsi ressortir son gland déjà bien gros à la base. Il passa son bras derrière ma tête. J’avais de nouveau son aisselle à quelques cm de mon visage. L’odeur de transpiration de Raymond se plaque directement dans mes narines.
R : Je n’ai pas giclé depuis des jours…. Il faut que ça sorte…
Je baissai le regard vers mon propre sexe et je fus surpris. Bien qu’une excitation naissait dans mon entre jambe, je n’avais d’érection… mon sexe restait rabougri, posé sur mes deux petites couilles. Etrange… peut être cela était dû à l’effort physique de la course à pied.
R : Tiens prends la… ce ne sera pas la 1ère fois de toute façon ! AHAHAHA
Ma main pris l’énorme sexe de Raymond. Sa bite était chaude et dur comme de l’acier.
R : Vas-y branle moi stp…
Ma main commença à faire des allers-retours sur les 26 cm de Raymond.
R : oui… c’est bon putain …
En fond sonore, le porno continuait de tourner. La fille passait de gémissements à des cris de plaisir. Je ne regardais que la bite de Raymond. Raymond bascula la tête en arrière et il ferma les yeux.
R : Ouaaaaai…. Salope…. Vas-y…
Salope ? Il devait parler de la fille du porno sûrement…
Son gland laissait échapper des perles de mouilles par instant. J’en récupérait dans la main pour l’étaler sur l’ensemble de sa bite. Son gland était luisant. D’initiative je passais d’un rythme lent qui partait de la base de sa queue (ma main était enfuie dans sa touffe de poils) pour remonter jusque son gland. Ensuite, j’allais plus vite et le couvrait que ses 15 cm en démarrant du haut.
R : Tu fais ça bien Alex… mmmmmh. Il se mordait les lèvres.
Soudain, le porno se coupa. Il était terminé. Le silence revient dans la chambre. Raymond redressa la tête et me fixa du regard.
R : Il faut terminer Alex…
A : euh oui ok… vas-y… tu vas venir ?
R : Embrasse ma bite stp Alex
A : Quoi ?! non Raymond pas ça !
R : Fais moi plaisir… Il me fit un large sourire charmeur.
De sa large main, il prit l’arrière de ma tête et me dirigea vers sa bite.
Sa propre main pris la relève et Raymond se branla lui-même avec beaucoup de force. Il voulait que ça se termine vite. Ma bouche s’approche de son gland rempli de mouille. Je déposa un baisé dessus. Mes lèvres restèrent maximum 5 secondes mais Raymond en profita pour encore accélérer sa masturbation et là, soudain, 5 énormes giclées de sperme sortirent de sa queue. Mes lèvres ne s’étaient décollées que de quelques mm. Je n’avais pas eu le temps d’esquiver et d’ailleurs Raymond me tenait fermement la tête. Les giclées de sperme s’écrasèrent d’abord sur ma bouche, puis sur le reste de mon visage. Je pense en avoir même eu dans les cheveux. Raymond rugissait tel un lion.
R : Ouaaaaaai, c’est bien Alex…. Wahouuuuu c’était dingue ça !
Raymond me relâcha. Je me mis assis sur le lit. C’est là que Raymond repris ses esprits et se rendit compte qu’il venait de gicler sur mon visage.
R : Oh mais tu as tout reçu sur ton visage !
Je n’osais pas parler car si j’ouvrais la bouche, du sperme de Raymond allait entrer.
R : Attends, prends mon short pour t’essuyer.
Il me tendit son short de running plein de transpiration. J’entrepris de retirer le sperme de mon visage. Cela pris un peu de temps car le sperme de Raymond était collant. Quand je rouvris les yeux ce fut le choc ! Raymond était en train de me filmer avec son téléphone !
Raymond était debout nu, face à moi, la bite poisseuse pendouillant. Il avait son téléphone en main et portait un sourire de satisfaction. Comme s’il venait de me faire une bonne blague.
A : Qu’est ce que tu fais ?! Arrête Raymond !
Raymond n’arrêta pas. Au contraire, son sourire s’agrandissait.
R : Allé Alex ne soit pas fâché. C’est rigolo ! Et puis ça reste entre nous.
A : Pourquoi faire une vidéo alors ? j’ai failli en avoir dans la bouche !
R : Ne t’inquiète pas voyons. On est entre mecs !
Raymond coupa son téléphone.
R : Je vais devoir aller en ville Alex. Si tu reprends une douche n’oublie pas de remettre de la gelée magique ! Tu en as besoin !
Raymond pointa mon sexe.
Ma bite était restée toute petite. Aucune érection.
A : Oui je…. Je ferai ça oui.
En quelques secondes, Raymond se rhabilla.
R : Ciao Alex ! Et encore merci AHAHA !
Raymond quitta sa chambre comme une tornade. Il me laissa nu sur son lit, le visage couvert de sa transpiration et de son sperme séché.
Alexandre
recitspourcyrillo@gmail.com
