Premier épisode
Chapitre 2
Salut à tous et merci pour les nombreux retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que le premier chapitre de mon histoire avec mon beau-frère vous a plu.
Comme je l’ai raconté dans le premier chapitre, j’héberge mon beau-frère Thomas, le fiancé de ma sœur, depuis une semaine. Il a 30 ans. Sa carrure est normale. Sa chemise laisse entrevoir un torse poilu, tout comme ses bras. Il ne porte pas de barbe. Il n’est ni beau ni moche. Il a un beau corps poilu, avec un petit ventre. Son pubis et ses couilles sont très velues. Il a une très grosse queue de 30 cm.
Après l’avoir surpris en train de me juter dans la bouche la nuit pendant que je dormais et après qu’il m’a baisé les deux trous avec son énorme bite de 30 cm, il s’est faufilé dans ma chambre me disant : « Jamais personne ne m’a laissé le baiser comme ça. Jamais personne n’a pu encaisser ma teub comme tu le veux, autant dans la bouche que dans le cul. Je ne sais pas de qui tu tiens ça mais malheureusement ta sœur n’en a pas hérité... ». Il a voulu dormir avec moi, blotti dans ses bras et le gland enfoncé dans le trou. « Reste comme ça, s’il-te-plaît. Je veux qu’on s’endorme comme ceci. »
Et on s’est endormi ainsi.
Au beau milieu de la nuit, je suis réveillé par une étrange sensation. Je me sens rempli... Thomas a toujours son gland introduit en moi mais il pratique maintenant des petits va-et-vient... Il frôle mon bras avec son visage. Sa barbe de 3 jours se frotte contre mon biceps. Ses lèvres embrassent ma peau, ses mains caressent mon ventre et ses jambes s'entremêlent aux miennes. Il remarque que je me suis réveillé et il me chuchote à l’oreille :
- Laisse-toi faire.
Son gland est dans mon anus mais le reste met plusieurs minutes à me pénétrer. Vu le traitement de la veille, il n’a plus trop de mal à m’enfoncer son chibre au fond de moi. Quand son sexe est profondément ancré en moi, j’en ai le souffle coupé. Je sens ses grosses couilles se frotter à mon cul et sa teub au fin fond de mon ventre en train de bouger. Il commence de petits va-et-vient et à ma grande surprise, il me baise tendrement et je me surprends à tendre de plus en plus mon cul vers cette bite qui me prend. Très doux il me lèche l'oreille. De ses mains, il m’ouvre le cul pour m’enfoncer sa teub au plus profond de mon corps... Au bout de 15 minutes, il pousse un soupir et il décharge dans mon cul. Il ressort, je sens son sperme couler le long de ma chatte. Je touche mon trou, il est super ouvert, ruiné, béant. Il rentre de nouveau en moi en me disant de ne pas bouger. Au bout de quelques secondes, je ressens un effet de chaleur dans mes entrailles. Je sursaute mais je ne dis rien. Il émet des couinements. C’est vraiment trop bon de sentir cette chaleur m’envahir. Il est en train de me pisser dedans, la bite bien au fond de moi. Il semble libérer des litres dans mon cul ! Et rien n’en ressort. Tout reste en moi. Sa queue fait vraiment effet de bouchon. C’est comme s’il ne pouvait pas s’arrêter. Sa queue dans mo trou trempant dans sa pisse, il me dit de m’endormir comme ça... et c’est ce que nous faisons.
Je me réveille vers 6h car une sensation bizarre m’envahit. Je me retourne et je vois Thomas sur le dos en train de dormir. Il a dû se tourner et sa bite ne fermant plus mon trou béant, sa pisse mélangée à son jus coulent tranquillement le long de mon cul sur les draps propres ! je me précipite vers la salle de bain pour me vidanger... une énorme quantité de foutre et de pisse sortent dans les toilettes. Je reviens dans la chambre et je le vois en train de dormir, son python posé le long de sa jambe, encore plein de sperme. Je me couche à ses côtés et lui caresse la teub... qui se met immédiatement au garde à vous ! Sa queue énorme est désormais en érection, collée à son ventre et à son torse, au milieu d’une forêt de poils. Il a un souffle puissant régulier, il dort profondément. C’est plus fort que moi, je m’approche de lui et lèche le sperme qui est resté coller sa queue. Ça le fait réagir. Il ouvre la bouche, il doit sentir mes coups de langue en dormant. Je lèche sa teub de la base des couilles jusqu’au méat. Je lape le vieux sperme. Sa queue décolle de son ventre et offre un angle qui me permet maintenant de gober son gland énorme. Il gémit. Je le suce pendant 15 minutes sans qu’il ne se réveille... et alors sa queue durcit... et envoie des jets de sperme épais dans ma bouche. J’avale son divin nectar qui n’en finit pas de jaillir de sa queue.
Je me pose doucement à ses côtés sans le réveiller, je me retourne... mais je vois sa tige en fermant les yeux, elle m’obsède. Je me retourne pour la regarder et je vois qu’il bande encore. Comme hypnotisé, je la prends en main et la branle un peu. Puis je me doigte le trou, il est encore bien ouvert... je me mets alors à califourchon sur son ventre, sa teub dressée le long de mon dos... et j’entreprends de m’assoir dessus. Je grimace mais je m’enfonce petit à petit sur la très grosse queue. Je mets plusieurs minutes à m’embrocher dessus mais j’y arrive. Je sens son gland monter le long de mon sphincter, puis dans mon ventre pour arriver en dessous de mon estomac. Je suis satisfait quand je sens ses grosses couilles frotter mon cul. Je dirige alors un peu la cadence et je ressens à quel point ce gourdin est volumineux. Tout d’un coup, deux mains m’attrapent les hanches... Thomas est réveillé et me regarde en souriant. Il me lève un peu le cul et commence à coulisser dans mon trou. D’abord lentement puis avec plus de panache. A un moment, il me saisit par la nuque et rabat mon visage pour me rouler une pelle baveuse et énergique. Surpris, moi qui pensais qu’il me prenait pour son vide-couilles, je lui roule une grosse pelle bien baveuse pendant que mon cul glisse avec envie le long de son énorme chibre. Nous nous embrassons toujours lorsqu'il reprend les choses en main et commence à me casser littéralement le fondement. Ses coups de bite sont très rapides et brutaux et ses grosses couilles brunes frappent bruyamment mon cul. Il me dit de me retourner, donc de de chevaucher mais mon dos vers son visage. Il me saisit par les hanches, me fait tourner sur sa queue toujours en moi et il me baise tandis que je suis bien assis au fond de sa bite. Puis, il m’attrape les jambes, je me retrouve coucher sur lui et il me baise sans concession. Ses grosses burnes frappent mes propres couilles. Il est très rapide et très brutal. Avec ses mains, il écarte bien mes cuisses pour pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en moi. Il me baise avec énergie. Je suis tellement en extase, mon jus monte le long de ma teub sans que je me touche, résultat du traitement qu’il fait à ma prostate. J’adore son anaconda... je ne sais pas comment je vais faire pour apprécier les autres bites quand il sera parti !
Je gueule comme un malade, tant pis pour les voisins. Thomas gémit encore plus fort. Ses coups de bite se font encore plus rapides et puissants. Dans un dernier mouvement de bassin, il se plante à fond en moi. Et je sens en moi sa bite gonfler encore plus. Et soudain son membre viril est pris de spasmes. Et je sens de nombreux jets de sperme chaud jaillir. Une vraie fontaine de semence virile ! Avec des couilles grosses comme des mangues, c’est sûr qu’il doit avoir des réserves. Après une bonne dizaine de jets, sa bite se calme. Moi, j’ai juté en même temps que lui mais sans me toucher. Je descends de mon manège... et le jus qui était dans mon trou coule le long de sa teub. On s’embrasse, il me prend dans ses bras et nous continuons notre nuit ainsi, moi dégoulinant de sperme.
La semaine suivante, on a dormi ensemble toutes les nuits. Il me baisait au moins deux fois dans la nuit... ou c’est moi qui m’empalais sur sa teub. Je lui taillais une pipe chaque matin avant de partir à la fac. A notre retour, il me prenait sur le canapé. Chaque fois c'était une baise intense, il sortait sa bite, toujours aussi grosse et raide, je le pompais, je n’avais plus besoin d’entrainement pour avaler sa teub, elle s’enfonçait toute seule au fond de ma gorge. Puis il me retournait, me dessapait, me crachait dans le cul, me plantait sa teub... pareil, je n’avais plus besoin de longues minutes pour m’y habituer. Non, elle entrait toute seule et elle glissait au fond de mes entrailles. Il me baisait à fond jusqu'à ce qu'il jute... J'étais son vide-couille et c'était trop bon, j'étais accroc à sa teub...
A suivre...
J’espère que cette suite vous a plu. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des mails pour me donner un retour. Précisez le titre de l’histoire.
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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