Arthur et Maxime

Chapitre-7

Ma relation « dad / son » avec Arthur continue a évoluer et a grandir. On ne se cache plus. A l’exception de ses parents, Arthur ne cache pas notre relation. Cela lui permet de faire le tri parmi ses amis. Les plus superficiels le laissent tomber, les vrais restent à ses côtés. Il se rend progressivement compte qu’avec son attitude d’enfant gâté, une cours s’était formée autour de lui, pleine d’hypocrisie, et uniquement intéressée par l’argent. Cela le fait réfléchir et accélère son changement d’attitude et sa maturation.

Il murit aussi de ses gouts. Sa passion pour la photographie grandit. Et je l’accompagne souvent dans des balades dans Paris où il capture les monuments, mais aussi des scènes de rue, toujours en noir et blanc.

Je suis fier de lui. Tellement fier de lui.

Progressivement, Arthur passe aussi de plus en plus de toi chez moi. Presque toutes les nuits. Il me rejoint après les cours a la fac. C’est toujours un moment magique, car il vient m’arracher à ma table d’écriture et me raconte sa journée. Comme un vrai couple. Mais un couple différent.

Cela nous permet d’ailleurs d’exprimer pleinement nos fantasmes et jeux de rôle. Un soir de semaine, alors qu’Arthur rentre des cours, comme souvent, il vient enrouler ses bras autour de mon cou et se met sur la pointe des pieds pour m’embrasser sur les lèvres

- Bonsoir daddy

- Bonsoir mon chéri, tu as passé une bonne journée ?

- Oui très bien…

- Je vais te donner ton bain maintenant mon amour

D’abord je le déshabille très lentement. Il se laisse complètement faire. Chaque vêtement est retiré délicatement. Un effeuillage patient destiné à découvrir son corps progressivement, à le posséder. Il est magnifique, nu de la tête aux pieds, sexe au repos.

Je le prends par la main et le conduit vers la salle de bains. Il est nu, je suis habille. Je commence à faire couler l’eau dans l’énorme baignoire jacuzzi. Il attend debout, timide, les mains le long du corps, ou parfois devant son sexe, qu’il masque avec pudeur. La baignoire se remplit et je m’assure que l’eau est bien chaude, mais pas trop. Arthur rentre doucement pour s’habituer à la température. Je commence à faire glisser l’éponge sur ses épaules.

- Tu veux que daddy vient dans le bain avec toi ?

- Oui !

Je me déshabille et le rejoins.

- Lève toi mon chéri

Il se redresse. Son corps nu est à moi. Je le lave tout doucement avec l’éponge. Une façon de caresser sa peau, de toucher son corps. Pas de sexe. Juste de la sensualité. Je m’attarde sur son sexe et ses couilles. Je le décalotte. Il sourit. Puis je le retourne doucement et lui lave les épaules, le dos, les fesses, la raie et les cuisses. Je le rince ensuite, avec un faible jet, tout en douceur. Je lui lave ensuite les cheveux ensuite. Je lui offre un massage, lent et souple de son cuir chevelu. J’écarte le savon avec les doigts pour protéger ses yeux, afin qu’il me regarde. Je le rince.

On s’assied dans la baignoire face à face, puis on se sert dans les bras. Il vient enrouler ses jambes autour de son bassin pour qu’on se prenne encore plus dans les bras l’un de l’autre.

- Tu es tout propre mon chéri maintenant

Arthur m’embrasse sur la bouche. On ne bande pas. Comme si on ne voulait pas interrompre la pureté de ce moment.

- Tu veux faire un câlin avec daddy maintenant ?

- Oh oui

On sort du bain. Je le sèche avec de grandes serviettes. Il se laisse faire. Je me sèche et le conduit vers la chambre.

- Mets toi sur le lit, mon amour et ferme les yeux

Je l’allonge sur le ventre. Je me place à genoux à ses côtés. Je laisse passer quelques secondes sans le toucher. Je regarde ce corps parfait, nu, jeune, devant moi. Puis d’une main je caresse doucement. La douceur infinie de la peau. Jeune, souple. Je sens les muscles sous la peau. Du bout des doigts, je glisse le long de la colonne vertébrale. Il ressent un léger frisson, bien que la peau soit encore chaude après le bain. Ma main passe la courbe magique du bas du dos vers les fesses. Je ressens la forme et la rondeur superbe des fesses. Toujours du bout des doigts. J’attends les cuisses, et les poils légers et tout doux. Je me place à califourchon et lui masse les épaules, tandis que mon sexe est venu se loger contre la raie. En durcissant un peu, mais à peine. Une très lente montée en excitation.

Je le retourne et le mets sur le dos. Ses yeux sont toujours fermés. Ma main continue ses caresses. Elle effleure le téton et je perçois un frémissement. Mais je ne m’attarde pas. La peau de son ventre est douce. Mon doigt effleure doucement son sexe avant de trouver sa cuisse. Je me décide à utiliser mes lèvres. Je relève sa jambe pour embrasser et lécher son pied, puis son mollet. Mes lèvres glissent ensuite le long du torse. Puis je pose mes lèvres sur les siennes comme pour réveiller la belle au bois dormant. Il sourit et me rend mon baiser. Il se redresse sur ses coudes

- Lèche mon zizi daddy

Je caresse le membre encore mou du bout de la langue. Il se gonfle doucement. Il n’est pas encore raide quand je le prends en bouche et j’aime le sentir grandir dans ma bouche. Il se laisse faire. Il sait que c’est à moi de lui donner du plaisir. Je le suce doucement. Je m’applique. Je suis délibéré dans les caresses avec mes lèvres, et avec ma langue. Je suce, je lèche, je caresse. Je le prends dans ma gorge jusqu’à sentir ses poils contre mon nez. Je caresse la peau nue tout en suçant. Je prends tout mon temps, puis vient m’allonger sur le flanc, de sorte que le 69 se forme naturellement. Arthur se couche sur son flanc lui aussi et me suce. Par-dessus son corps je nous observe dans le grand miroir que j’ai fait installer le long du lit. On peut ainsi se regarder en entier en train de faire l’amour. J’observe les fesses et le dos d’Arthur alors qu’il me suce. Ma main vient caresser son dos et ses fesses. Douceur, toujours énormément de douceur au toucher…

On bascule naturellement, et Arthur se retrouve au-dessus de moi, sans que les bites aient quitté les bouches. J’aime quand il descend sa queue dans ma bouche à la verticale. J’aime la vue imprenable sur son entrejambes parfaitement épilé, les couilles et son anus. Je pétris déjà les fesses et les écarte. Après avoir mouillé son sexe, il me reste quand même assez de salive pour m’attaquer à sa rosette. Dès qu’il sent le premier coup de langue, Arthur recule ses fesses instinctivement et s’assoit sur mon visage. Je peux ainsi lui dévorer les fesses. La pièce se remplit de bruits de sucions et de gémissements de plaisir.

Mais très vite cette position nous lasse car on ne peut pas se voir dans les yeux. Aujourd’hui, plus que jamais, on veut être proche, et connectés l’un à l’autre. On roule sur le lit dans les bras l’un de l’autre en s’embrassant. On se serre dans les bras, comme pour maximiser le contact entre nos deux corps. Sentir la peau de l’autre contre la sienne le plus possible. On se regarde dans les yeux le plus possible et s’embrasse quasiment en permanence. Nos mains ont saisi nos bites et on se branle. Puis ma main lui masse les couilles avant de continuer à descendre. Mon doigt commence à jouer avec lui. Ses baisers redoublent. J’interromps très brièvement la passion du moment pour me lubrifier les doigts. Et je reprends le câlin passionné. J’embrasse passionnément et je commence à le doigter. Son corps se tord de plaisir alors que ma langue le baise et mes doigts rentrent en lui et viennent stimuler sa prostate. Je le sers contre moi. C’est comme si son plaisir irradiait sur moi. J’ai trois doigts en lui, ma langue dans sa bouche, mon bras enroule autour de lui. Il finit par se détacher, alors que je mets confortablement sur le dos.

Il me suce en faisant dégouliner un maximum de salive, et ajoute un peu de gel. J’aime le regarder me préparer comme ça. Il se place sur moi et insère doucement ma bite entre ses fesses. Je rentre en lui tout doucement. Je savoure la sensation de chaleur qui envahit progressivement l’extrémité de mon corps. Jusqu’à le sentir complètement assis sur moi, ma queue au plus profond de lui. Nos corps soudés, attachés le plus possible. Il sourit, satisfait

- Je t’aime mon amour

- Moi aussi mon chéri

Nos doigts s’enlacent et il commence à faire des mouvements de bassin souples et en rythme. La sodomie s’accompagne de caresses. Il vient glisser ses doigts dans ma bouche pour que je les suce. Son corps jeune et nu s’agite maintenant sur moi. Il contrôle mon sexe et me donne du plaisir. Il se cambre aussi vers l’arrière. Il est magnifique. Il descend vers moi pour m’embrasser. Je me redresse et il vient enrouler ses jambes autour de moi.

- Tu es tellement beau, son

- Toi aussi daddy

Je lui donne des coups de bassin. Il pousse un cri très léger de plaisir, un petit gémissement à chaque coup. Je souris à chaque fois. Puis il enroule ses bras autour de mon cou, et on s’embrasse alors que je continue à le baiser doucement. J’aime cette position, serrée, intime. Le sentir collé à moi.

Sans que ma bite ne quitte son cul, je le fais doucement tourner pour le baiser en missionnaire. Je continue à lui faire l’amour en le regardant dans les yeux, en l’embrassant, front contre front. Une main caresse ses cheveux. Nous sommes connectés, fusionnels. Je le lèche dans le cou. Ses mains me caressent. On fait l’amour. On s’aime. Complètement. Je ne pense à rien d’autre qu’à mon attirance, mon désir pour lui. Lui donner du plaisir, et en recevoir.

On change de position. Parce qu’on veut se regarder. Arthur se met sur le flanc. Je me glisse dans la même position derrière lui, pour le baiser en ciseaux. Il relève la jambe et je re-glisse facilement ma bite en lui. On peut ainsi s’observer dans le miroir tous les deux. Nos deux visages tournés dans la même direction. Je l’embrasse dans le cou, et lui caresse le torse

- Je suis tellement fier de toi, son

Il m’embrasse. J’accélère. J’observe son sexe bande bouger. J’accélère

- Jouis avec moi mon chéri

Je le fais jouir du cul. J’observe les éclairs blancs jaillir. Mon sperme coule à l’intérieur d’Arthur en même temps. Cela se dessine sur son visage. On se regarde toujours dans le miroir. Je ramasse le sperme répandu sur les draps avec les doigts et les mets dans la bouche d’Arthur. Il s’observe lécher devant le miroir.

Je n’avais jamais ressenti autant de plaisir et de passion. Pareil pour Arthur. La réalisation de nos fantasmes les plus tabous continue.