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Chapitre 5
Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent.
Noël arrive... pour les vacances, je suis rentré dans ma famille à Tours. Pour ma plus grande surprise, j’ai revu mon beau-frère pour la première fois depuis que je l’ai hébergé pendant 3 semaines où il m’avait joui pendant quelques nuits dans la bouche jusqu’à je le surprenne... et c’est là qu’avait commencé des jours de baise de folie. J’étais sa pute et il me baisait matin, midi et soir avec sa grosse queue de 30 cm.
Il est arrivé hier, seul, sans ma sœur, quelques jours avant Noël... et bien sûr, il m’a charmé puis il m’a baisé plusieurs fois pendant la première nuit de son arrivée. Je suis aux anges... mais j’espère une chose... c’est que les fêtes ne vont pas déraper...
Après la nuit de folie passés ensemble, vers 6h, avant que mes parents ne se lèvent, Thomas va rejoindre sa chambre. Je me rendors. Je suis réveillé vers 9h par ma mère qui est en train de cuisiner. Elle prépare déjà des sucreries de Noël. Je descends, je dis bonjour à mes parents. Ils ne font pas la moindre allusion quant à des bruits louches perçus durant la nuit. Je suis soulagé. Je leur dis que je vais prendre ma douche avant le petit-déjeuner.
Je vais dans la salle de bains, je me déshabille et j’entre dans la cabine de douche. J’allume le jet d’eau. Le gel douche commence à bien mousser. Ce que je n’entends pas, c’est Thomas qui ouvre discrètement la porte et qui se faufile dans la salle de bains. Mon attention se retrouve attirée lorsque la porte se referme. Je me retourne et je le découvre en train de se déshabiller. Il se retrouve nu devant moi.
J’admire ce mâle qui pose devant mes yeux. Il a 30 ans. Il est de carrure est normale. Il ne porte pas de barbe. Il n’est ni beau ni moche. Il a un beau corps poilu, avec un petit ventre. Son pubis et ses couilles sont très velues. Sa très grosse queue est au repos. Elle pend entre ses jambes... J’ai l’impression qu’il en a une 3ème ! Elle fait bien la moitié de la longueur de son avant-bras. Elle pend bien. Il a une bite et des couilles très foncées.
Il m’observe en train de me doucher puis il dit :
- Douche-toi sensuellement.
Je prends alors plus de gel douche et j’en mets partout. Je me frotte lentement le corps, la bite et je ne cesse de le regarder. Je me mets de côté et mes mains frottent mon dos et mes fesses. J’y vais doucement, tout en le regardant et en me pinçant les lèvres. Je fais bien mousser le gel douche dans les poils de mon pubis puis j’enveloppe lentement, langoureusement ma bite et mes couilles de cette mousse. Je nettoie aussi ma teub, passant dans les moindres recoins, la secouant bien de temps en temps. Je me mets à avoir une demi-molle. Je me branle de mes deux mains. Puis je me retourne, lui faisant dos et je savonne mes fesses, passant d’abord doucement sur mes deux lobes, me rapprochant toujours plus de ma raie. Puis ma main passe dans ma raie, faisant des allers-retours langoureux. De temps en temps, elles passent en dessous pour caresser mon périnée et mes couilles.
Je l’entends alors s’approcher de moi, je vois sa grosse queue commencer à gonfler. Puis tout d’un coup, je sens quelque chose de chaud sur ma jambe. Je me retourne et regarde. Thomas est en train de se soulager la vessie dans la douche. Il a pris sa queue et la fait aller vers le haut. Sa pisse fait comme une fontaine, elle s’élève dans les airs jusqu’au niveau de son torse puis elle retombe sur le sol de la douche en m’éclaboussant involontairement... ce qui m’excite au plus haut point. J’approche alors ma jambe et il remarque alors mon petit jeu. Il me lance un regard complice. Il oriente alors sa queue dans ma direction. Son liquide chaud touche ma jambe et coule tout le long. Il se tourne vers moi et le jet atterrit sur mes pieds. Puis il remonte le long de mes cuisses et arrose ma queue qui sous la chaleur de ce liquide se met à gonfler. Sa source se tarit et il me sourit. Ses mains le long du corps, il fait balancer sa queue. Son morceau, toujours au repos, bouge lourdement et oscille de droite à gauche. Ses boules, grosses comme des mangues, suivent aussi le mouvement. Puis il prend son gros anaconda dans une main et il se met à le secouer comme une grosse saucisse de haut en bas. Petit à petit, je vois son monstre s’éveiller, grossir et s’allonger. Sa queue se dresse dans toute sa splendeur et fait un angle droit avec son corps. Il la lâche et il la fait bouger de haut en bas sans remuer ses fesses. Ce mec et sa queue sont vraiment incroyables ! il la prend en main et commence à la branler. Il me regarde en se mordant les lèvres. Et très vite, sa bite est complètement dressée. Ses 30 cm sont déployés devant son ventre et se dresse jusqu’au niveau de son torse. Je ne me lasserai jamais de voir ce membre énorme bander devant moi. J’en ai l’eau à la bouche. Je ne peux m’en empêcher, je prends sa queue en main et je la branle doucement. J’adore vraiment son morceau. Je le caresse doucement... ce qui le rend encore plus dur. Sa queue est longue, épaisse, lisse, douce. Un rêve !
- Vas-y, bouffe ma grosse queue !
Je ne me fais pas prier. Je m’accroupie devant lui et j’admire sa queue, totalement en érection. Puis, je m’avance et je joue avec ma langue sur son gland avant de le prendre en bouche. Ma main droite agrippe sa bite que j’enfonce dans ma bouche ... qui se retrouve ouverte en grand. J’ai avalé la moitié de son membre et je me mets à le sucer.
- Oui, c’est ça, pompe-moi !
Ma mâchoire est ouverte en grand. Il me laisse faire. Pour reprendre mon souffle, je ressors sa queue, je lui bouffe les couilles et je lui lèche les cuisses. Pendant ce temps, il secoue sa teub et me bifle avec. Je le regarde droit dans les yeux, dociles. Je suis soumis à sa trompe d’éléphant qu’il me remet en bouche. Il est appuyé contre le lavabo et il me laisse le sucer, il se laisse faire, tout simplement. J’essaie de l’avaler aussi loin que possible. Je réussis à avaler les deux tiers. Je le branle tout en le suçant. Il se met à me caresser la tête.
Puis ses deux mains passent derrière ma nuque et elles exercent une forte pression. Sa tige s’enfonce toujours plus en moi, elle passe du fond de mon larynx à ma gorge. Je l’y sens glisser, descendre pour aller titiller mon œsophage. Je ressens à peine le réflexe vomitif : je me suis bien rhabitué à sa queue. Mon nez se retrouve dans les poils de son pubis. Et il commence alors à donner des coups de reins. Sa bite rentre et sort le long de ma gorge qui s’est tellement habituée à ce morceau qu’elle l’avale sans le moindre problème. Il me fait de bonnes gorges profondes. J’ai la mâchoire, la bouche et l’œsophage ouverts à fond par cet anaconda. 30 cm de chair enfoncés au travers de ma bouche.
Il apprécie mon traitement mais voyant que le temps avance et que mes parents commencent à bouger en bas, il me fait relever et il me place devant le lavabo. Je me penche en avant et il se met à me lécher le trou. Tout en me malaxant les fesses, il fait passer sa langue le long de ma raie. Puis il l’enfonce lentement dans mon trou, il le titille, il fait entrer et ressortir sa langue lentement. Moi, je retiens de pousser des gémissements qui se voudraient très forts.
Puis il se relève, crache sur mon trou, enfonce son doigt dans ma chatte... et je sens très vite son gland me pénétrer et passer mon premier sphincter. Je me concentre, j’essaie de me détendre pour que ses 30 cm passent en moi. Et ils glissent dans mon antre comme dans du beurre. Très vite, je sens les poils de son pubis plaqué contre mon cul et ses couilles frotter contre mes cuisses. Il se met lentement à faire des aller-retours en moi, sortant la moitié de sa queue et la renfonçant jusqu’à la garde. Je sens mon cul ouvert et rempli par ce monstre, je suis aux anges. Après quelques minutes, il me saisit les hanches il se met vraiment à me défoncer. Ses couilles, grosses comme des mangues, me fouettent le cul et les cuisses. Puis il ralentit, ressort, laissant mon trou béant. Il tapote son gland contre ma rosette puis renfonce son anaconda violement en moi pour mieux me défoncer. J’entends alors mes parents qui montent l’escalier et qui passent devant la salle de bains. Thomas me met la main sur la bouche et redouble la violence de ses assauts. Sa queue fait des flops en moi et ses couilles me frappent bruyamment les cuisses. La situation semble l’exciter. Moi je subis ses assauts mais j’ai peur que mes parents entendent quelque chose.
Je tourne la tête et dans l’armoire à glace, je peux voir Thomas en train de me baiser. J’ai une vue imprenable sur son cul poilu qui donne des mouvements de baise et sur sa queue se déchaine en moi. C’est incroyable de voir cet énorme monstre ouvrir en grand mon trou, il est si large qu’il me détend la chatte au maximum, l’ouvre et la déforme, comme si j’avais un tronc d’arbre qui me pénétrait. Mon cul a l’air ridicule en comparaison de ce monstre de chair. Et à chaque fois qu’il ressort, je peux voir ma chatte ouverte comme un énorme O.
Il sort de mon cul qui se sent comme vide et complètement ouvert. Il pose une serviette sur le carrelage et je comprends que je dois m’y coucher. Je me pose sur le dos, je lève les jambes pour lui présenter mon cul. Il se met à genoux et entre en moi au plus profond de mon bide et en fouille l'intérieur. Il me baise. Il adopte un rythme régulier qui fait bien balancer ses couilles qui rebondissent contre mes fesses. Je me sens mouiller du cul. Ce jus tapisse sa teub... ce qui semble l’exciter car il accélère au fil des minutes son rythme. Il coulisse de plus en plus vite en moi, sur toute sa longueur de sa queue et son bassin claque bruyamment contre mes fesses. Tout en faisant ça, il se penche sur mon corps et m’embrasse fougueusement.
Il sort sa queue de temps en temps de mon antre pour apprécier mon trou qui se contracte, comme s’il était à la recherche du membre dont il raffole. Mon anus béant se trouve de nouveau rempli et défoncé. Je caresse mon ventre qui se soulève un peu sur le passage du gland dans mon intestin. J’adore le voir et le sentir remonter le long de mon pubis, le long de mon ventre pour s’arrêter sous mes poumons.
Sa respiration commence à s’accélérer, sa teub commence à vraiment bien durcir. Je sens chacune de ses veines saillantes m’ouvrir le trou. Il sort alors sa queue, se met à la branler et au bout d’une minute, il pousse un gémissement et un jet de sperme fuse de sa queue pour m’atterrir dans la gueule. Il replace sa queue devant mon trou et un deuxième jet explose alors que son gland est à peine dans mon trou. Sa sauce gicle partout. Il enfonce sa queue entièrement en moi et je la sens me pomper le jus dans le cul. Je ressens la violence des jets au fond de moi. Il ressort de mon cul et me donne sa teub à bouffer. Je récupère le sperme qui y est, tandis que mon cul dégouline de sa semence. Il ressort vite fait de la salle de bains. Je trempe ma queue dans son sperme, je me branle et j’éjacule vite. Je retourne me doucher pour vite redescendre.
La journée se passe bien, sans accroc. Je sors avec mes parents faire les courses pour le réveillon. Le soir, je propose de faire la cuisine. Thomas semble ravi par cette idée et il s’exclame :
- Super ! Je vais t’aider ! J’ai une idée de recette. Mais d’abord j’ai besoin de quelques ingrédients. Je pars les acheter.
Mes parents sont ravis que Thomas s’investisse (il serait temps...). Au bout de 30 minutes, il est de retour. Il ferme la porte de la cuisine, interdisant à mes parents de rentrer car il veut leur faire une surprise. Une fois enfermés, seuls, il déballe ses achats : ce sont des plats tout prêts de notre traiteur !
- Mais qu’est-ce que c’est que ça ?
Il ne dit rien, il ouvre juste sa braguette, laissant échapper son monstre :
- J’ai envie de te baiser ! Allez, viens t’occuper de ma grosse queue !
Ravi par son plan, je m’approche de lui et je soupèse son morceau. Même au repos, ma main ne peut pas en faire le tour. Il est mou et lourd. Thomas se déshabille et sa queue se dresse sous mes caresses. Je la prends lentement en bouche. Il pose sa main derrière ma tête et accompagne mes mouvements, faisant progresser l’avancée de sa queue dans mon gosier. Je contrôle mon réflexe vomitif et sa queue descend titiller mon œsophage. Il pose ses mains derrière ma tête et il se met alors à me défoncer la gueule. Ses couilles claquent contre mon cou avec force et bruit.
Il me fait me relever, il me pousse contre le four, il se penche et il m’écarte les fesses
- Oh, putain, quel cul !, s’exclame-t-il.
Il me passe sa langue dans la raie puis il lèche ma rondelle et il me bouffe le trou. Il donne des coups de langue qui rentrent aussi loin que possible dans mon antre. Comme un affamé, il me bouffe le cul et moi, j’essaie de ne pas gémir trop fort. J’ai la queue bien dure.
Enfin, il se relève et place son gland et il me pénètre lentement. Mon anus s’ouvre sur son passage puis le reste continue. Quel bonheur de sentir de nouveau sa bite m’investir et m’écarter les chairs. Je me sens écartelé de nouveau et sa queue entre en moi sans problème. Il m’empale sur toute la longueur de sa bite. Je me dis que mon anus doit être bien béant depuis qu’il me rebaise. Il fait de longs allers et retours en moi, me faisant profiter pleinement de toute la longueur de son anaconda. Il est debout, moi penché sur la gazinière. Je sens sa grosse queue m’ouvrir en grand, j’en sens les moindres veines qui pressent contre mes sphincters. Puis il accélère le mouvement et me met la main devant la bouche pour que personne n’entende mes cris de plaisirs. Il martèle mon trou à grands coups de bite, je savoure la taille et la puissance de son bon gros chibre. Il se déchaîne dans mon antre, la pilonnant à grands coups de bassin.
Ensuite, il me fait coucher par terre, il se place à ma gauche et me fait tourner sur le côté. Il fait glisser sa bite bien raide dans ma raie. Il commence à m’embrasser dans le cou, tandis que son gland s’enfonce en moi. Il s'avance vers moi jusqu'à être complétement entré en moi. Je savoure cette sensation, sa queue m’ouvrant au max (je la sens encore mieux dans cette position) et ses grosses couilles plaquées contre mon cul. Il commence à coulisser lentement. Puis il accélère. Sa queue va très profond en moi. Il prend ma main et la pose sur mon nombril. Je sens sa grosse queue me soulever les entrailles et le ventre sur son passage. Quelle sensation de dingue !
Il sort de mon trou et il se couche par terre. Ses 30 cm bien durs trônent droits sur son ventre. Je prends la queue en main, je la branle, je suce le gros gland. Puis je me lève et je dresse sa queue. Je m’accroupis sur son gland qui rentre comme dans du beurre et je descends le long de cette énorme massue. La descente semble interminable. Je sens la queue tendue écarter mes sphincters puis mes entrailles. Quelle sensation ! Mon cul atteint son but et je me retrouve complètement embrocher sur sa bite ! Je me mets alors à coulisser. Ou plutôt à monter et descendre dessus. Je suis accroupi sur lui et je m’applique à le chevaucher. Puis j’ai une idée : je me retourne (sans sortir sa queue de mes entrailles !) et je lui fais maintenant dos puis je reprends la baise. Dans la porte du four, je me vois en train de le chevaucher. Quel spectacle de voir sa queue énorme entrer et disparaitre en moi. Et surtout de voir cette grosse matraque bien large... si large qu’on a l’impression que mon anus est déformé par cette massue que mon cul a avalée. J’ai vraiment l’impression que sa bite aussi énorme qu’un tronc d’arbre occupant presque tout mon cul, dilatant mon anus au max.
Il prend mon cul entre ses mains et il se met à me baiser. Je sens chaque centimètre me dévaster les intestins. Ses coups de reins sont amples et puissants. Ses couilles se balancent de haut en bas et me tapent le cul. Son gland me défonce la prostate. Je sens alors le jus monter et ma queue expulse mon sperme sans que je me sois touché dans de grands jets.
Il continue de me baiser et au bout de quelques minutes, il crache tout son foutre en moi. Il éjacule longuement, en de longs traits. Une dizaine de jets me remplissent les intestins. Quelle sensation incroyable de sentir bouillonner ce jus chaud au fond de moi. Il ressort de mon cul et un geyser de sperme accompagne sa bite. J’ai l’impression que mon trou est béant, qu’il ne se ferme pas et que le sperme s’en écoule par vagues interminables.
J’ai les jambes complétement en vrac. Je suis épuisé, je suis en sueur, je dégouline de jus, je mets du temps avant de me relever. Je nettoie ses flaques de jus et mes jets de sperme puis on se met à bien présenter les plats acheter chez le traiteur. Mais je sens mon anus dilaté, distendu, laisser échapper le jus de Thomas, mouillant bien mon caleçon. Mais j’adore ça ! Je kiffe sentir son sperme dégouliner de mon cul.
Le repas fait sensation et mes parents nous remercient. Thomas et moi partageons un regard complice. Puis ma mère annonce :
- Alors, Thomas, tu es content de revoir ta fiancée demain ?
Je n’écoute pas la réponse, je suis comme paralysé. Je n’aurais pas pu bien longtemps profiter de la grosse queue de Thomas. Mais comme s’il lisait dans mes pensées, Thomas passe son pied (sous la table) dans mon entre-jambe et il me caresse la queue avec. Il sourit et me fait un clin d’œil. Ça promet des moments torrides... Mais j’espère avec force que ça ne nous pourrira pas Noël...
A suivre ...
J’espère que cette histoire vous a bien plus. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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