Chapitre-1
Salut,
Moi, c’est Nico. Pour mes potes, je suis « l’ensemenceur ». Je gagne ma vie depuis plus de 20 ans comme inséminateur équin et bovin : certains de mes clients m’appellent « l’étalon » aussi quand ils me voient arriver pour aller inséminer leurs juments… et pour les ensemencer aussi… car j’adore pénétrer des mecs afin de déposer dans leur cul ou dans leur bouche ma semence. Je suis toujours chaud, j’ai toujours les couilles bien remplies… et j’adore ensemencer les mecs, célibataires ou mariés, hétéro ou homo.
J’ai grandi en Dordogne. Je suis le fils cadet d’une famille de paysans. Depuis tout petit, on élève dans notre ferme des vaches et des chevaux. Je fais aussi pousser du maïs et du blé sur quelques hectares de terres. Mon frère habite dans la maison familiale, voisine de ma petite dépendance, et il s’occupe des bêtes. Moi, ça ne m’a jamais intéressé, ce sont trop de contraintes. J’en ai trop bouffé quand j’étais gosse. Après le lycée agricole, j’ai préféré exercer mon boulot actuel. J’ai commencé comme apprenti dans une ferme puis je me suis mis à mon compte et depuis, je « livre » toutes les fermes des alentours. Je m’entends bien avec les paysans… et avec certains, je suis allé plus loin que ce que le veut le code du travail… et avec eux, pas besoin de longs gants ni de chère semence de taureau … mais ceci est une autre histoire.
Je vais vous raconter comment tout a commencé. C’était dans les années 90. A l’époque, mon frère David était déjà embauché par mon père pour s’occuper des bêtes. Mais, il avait aussi un employé qui s’occupait des basses besognes comme récurer le fumier, nourrir les animaux, donner du foin, etc. Il s’appelait Jean-Pierre et j’ai toujours vu en lui l’image du vrai mâle. Depuis toujours, je le considérais comme un modèle et je voulais devenir comme lui. C’est vers mes 20 ans que je me suis rendu compte de mon admiration pour ce mec. Lui avait 40 ans. On s’entendait bien. Il était tranquille, assez réservé. Il ne parlait pas beaucoup de lui. Je savais juste qu’il s’était marié très jeune puis il avait divorcé avant de travailler et de s’installer dans notre ferme. Je ne cessais de le contempler en secret. J’ai toujours admiré sa force et sa façon de s’occuper des animaux. Il leur donnait à manger, il trayait les vaches, il s’occupait aussi du taureau de la ferme. Je l’aidais souvent. J’admirais surtout sa façon de s’occuper de Bruno, notre taureau reproducteur. Il savait y faire avec lui. Il savait le calmer mais aussi le mater quand il le fallait. J’adorais surtout le voir aller chercher le taureau pour qu’il « monte » une vache. Son savoir-faire et sa manière rude m’ont, lors de ma puberté qui a été tardive, toujours fasciné… et ils m’ont aussi bien fait bander. Mais j’avais honte de cette réaction. Même si Jean-Pierre ne faisait pas partie de la famille, je l’ai toujours considéré comme un oncle car on a passé beaucoup de temps ensemble. Il habitait aussi dans la ferme, dans la petite maisonnette au fond de la propriété où j’habite à présent.
Vers mes 18 ans, je me suis aussi surpris à mater son entre-jambe. Il avait un paquet bien volumineux. Parfois, quand il attrapait des choses en hauteur, sa combinaison tirait sur son entre-jambe et il me semblait entrevoir une saucisse épaisse que le tissu moulait. Parfois aussi, quand il se penchait en avant, il me semblait distinguer un énorme paquet que formaient ses boules… Il semblait être vraiment monté comme un taureau. Et très vite, j’ai cherché à voir ce qu’il cachait dans son pantalon. Je l’ai découvert un jour d’été alors que j’étais en train de l’aider à rentrer le foin. A un moment, il a dit qu’il devait pisser et il est allé derrière la grange. Curieux, je l’ai suivi et je me suis placé à côté de lui. Il a alors défait les boutons de sa combinaison de son bleu de travail et j’ai fixé, sans essayer de tourner trop la tête, sa main qui a pris sa queue et qui l’a sortie hors de son vêtement. Il en a sorti un énorme morceau, massif, épais, marron, long avec un long prépuce. Il a alors déroulé son prépuce, libérant un gros gland rose. Un long et puissant jet de pisse est sorti de son urètre. J’ai pissé aussi à côté et je ne cessais de jeter des coups d’œil sur son morceau. Il a ensuite secoué sa queue qu’il a remballé dans sa tenue.
Un autre jour d’été, alors qu’il faisait hyper chaud, il a quitté sa tenue pour enfiler un short ainsi qu’un t-shirt qui laissait bien deviner sa musculature et sa corpulence. A un moment, il a pris l’échelle pour aller chercher des choses dans les combles de la grange qui n’avaient pas d’escaliers. Il m’a demandé de tenir l’échelle et il est monté. Quand j’ai levé les yeux au-dessus de moi, j’ai cru que mon cœur allait s’arrêtait. J’avais vue dans son short… et Jean-Pierre ne portait pas de caleçon. Je pouvais mater de grosses couilles vraiment énormes et poilues qui ballottaient au rythme de sa montée. J’ai eu alors directement une érection incontrôlée. Je ne pouvais détacher mes yeux de ses couilles de taureau qui se mouvaient entre ses jambes poilues. Il a saisi un seau rempli de pommes et il me les a tendus. Au moment où il s’est penché vers moi, j’ai alors aperçu sa grosse queue. Il m’a alors regardé et il m’a dit :
- Ça fait du bien ce petit air frais entre les jambes. Ça m’aère le matos, t’as vu ?
J’ai immédiatement rougi… Putain ! Il m’avait pris en flag ! Je n’ai plus su où me mettre. Il est redescendu et il m’a pris le seau des mains en souriant :
- C’est pas grave, petit ! Pas la peine de rougir comme une tomate !
Je l’ai regardé, surpris. Ça ne semblait pas le déranger que j’ai maté son entre-jambe !
Après cet épisode, je me suis souvent branlé en m’imaginant que je m’occupais de son énorme paquet. Je pensais beaucoup à Jean-Pierre. Je me suis vite rendu compte qu’il me faisait vraiment de l’effet et que j’avais envie de lui…
Un soir, je suis parti en mobylette à une fête de village et je suis rentré vers 2h du matin, un peu éméché. Quand je suis arrivé à la porte de la maison, je l’ai trouvée fermée à clé. Et je me suis alors rendu compte que j’avais perdu la mienne. Je me suis alors mis à pleurer, sous l’effet de l’alcool et de la peur de me prendre une raclée par mon père quand il saurait qu’il devait remplacer toutes les serrures de la maison. Je suis resté pendant une demi-heure ainsi. Je pense que je me suis assoupi. Je suis réveillé par des phares de voiture. C’était Jean-Pierre qui rentrait d’une soirée arrosée au bar du village.
- Ben, alors, Nicolas, que fais-tu là ?
Devant mon air attristé et devant mes larmes, il m’a alors attiré vers lui et il m’a dit :
- Je vois. Ne t’inquiète pas, je changerais les serrures et les clés sans que ton père s’en aperçoive, si jamais tu as vraiment perdu les tiennes.
Il avait lu dans mes pensées, ma parole ?! Il m’a alors entrainé dans sa maisonnette. Mais il titubait et c’était moi en fait qui devais le soutenir. Mais c’était dur ! Il était super lourd ! Il a ouvert la porte et on est entré ! Il est tombé comme une masse sur le lit. Puis, il s’est poussé vers la gauche.
- Tiens, le lit est grand, je te fais de la place.
J’ai enlevé mes habits et je me suis retrouvé en caleçon. Jean-Pierre a aussi enlevé ses vêtements, tant bien que mal. Il portait simplement caleçon ample qui laissait quand même entrevoir une belle bosse. Quel bel homme ! Il avait des cheveux épais et noirs. Il avait de larges épaules, il était grand (1,85m) et très balaise. Il avait un torse puissant avec des seins et d’énormes tétons, un gros ventre couvert de poils noirs et épais. Il avait aussi des cuisses énormes ainsi qu’un large dos velu.
Il s’est posé du côté gauche. Moi, je me suis mis du côté droit. Il me tournait le dos. Je lui ai alors tourné le mien aussi.
Je me suis senti tomber de sommeil quand quelque chose m’a réveillé : c’est Jean-Pierre qui a bougé et qui m’a donné un coup de coude. Je me suis alors retourné lentement. J’ai senti ma jambe contre sa large cuisse poilue. Mon ventre s’est retrouvé derrière ses fesses et j’ai délicatement posé mon visage contre son dos poilu. J’ai humé son odeur et j’ai senti ma queue prendre du volume. J’ai rapproché mon paquet de sa cuisse… je voulais qu’il sente ma bite en érection. Mais Jean-Pierre s’est mis à ronfler. J’étais un peu déçu… Mais je ne pouvais pas résister… Ma main droite s’est glissé le long de sa cuisse qu’elle s’est mise à jouer avec ses poils tandis que ma main droite a commencé à caresser son dos et son cou. Puis, elle est descendue vers son ventre qu’elle a frôlé en cercles concentriques. Puis, mes deux mains ont fini par se retrouver au niveau de son caleçon. Je sentais sous mes doigts son membre épais sur lequel je fantasmais depuis un moment.
Soudain, Jean-Pierre a murmuré :
- Tu fais quoi, Nico ?
J’ai sursauté mais j’ai laissé ma main sur son paquet. Il s’est alors retourné et il m’a regardé dans les yeux.
- Si tu continues comme ça, ça pourrait nous amener vers quelque chose de bizarre, tu ne crois pas ?
- Non, je ne crois pas. Je pense que ça pourrait être merveilleux…, ai-je murmuré.
Pour lui prouver mes dires, j’ai enfoncé ma main dans son caleçon. Mes doigts ont alors commencé à caresser son gros gland après en avoir retroussé le prépuce. Je sentais sa queue prendre du volume entre mes doigts. Je les ai retirés pour les lécher car ils étaient mouillés grâce à son precum. Il m’a regardé du coin de l’œil. J’ai repris sa bite dans mes doigts et j’ai continué de la masser. Jean-Pierre s’est alors retourné sur le côté mais il me laissait faire. Je savais que tout ça ne lui déplaisait pas car j’ai senti sa bite durcir. Entre temps, ma queue est aussi devenue dure comme de la pierre, elle déformait bien mon sous-vêtement. Puis, elle s’est glissée contre sa raie. Elle mouillait bien aussi. Rempli de désir pour Jean-Pierre, je me suis collé contre lui et je le câlinais. Je sentais son dos puissant contre mon ventre. Ses poils me chatouillaient la peau. J’ai doucement enlevé mon caleçon et ma teub s’est retrouvée dans sa raie, au milieu d’une forêt vierge de poils. Je me suis encore plus collé à Jean-Pierre et j’ai fait doucement coulisser ma queue contre sa raie, comme si je le baisais. Il a alors poussé des gémissements… qui m’ont donné envie d’aller plus loin. J’ai doucement poussé mon gland contre son anus qui s’est ouvert sur son passage et qui a avalé ma queue rapidement. Je me suis enfoncé dans ce trou bien chaud et j’ai poussé un cri de soulagement… car je savais que j’allais perdre ma virginité. Arrivé au fond de son anus, j’ai entamé de lents va-et-vient tout en plaquant son corps contre le mien. Ma main gauche caressait son gros ventre et ma main droite avait pris sa grosse queue pour la branler.
J’ai très vite perdu toute contenance et je me suis mis à accélérer mes mouvements de bite. Au bout de 5 minutes, j’ai senti mon jus monter dans mes couilles et dans un ultime coup de reins, je lui ai planté ma queue au fond de son anus et j’ai senti une grosse quantité de sperme pulser hors de ma bite pour le remplir. C’était de grosses giclées hyper puissantes qui sont allées mitrailler ses entrailles. Quand j’ai retiré ma teub, une rivière de jus a dégouliné hors de son anus pour former une flaque sous ses fesses.
Je l’ai pris dans mes bras et je l’ai câliné et caressé dans le dos ou sur son ventre velu tout en continuant de le branler. Puis, je me suis mis à triturer ses gros tétons. Mon autre main s’est arrêtée de le branler pour soupeser et masser ses couilles de taureau… avant de reprendre la branle, lentement. Puis pris d’une envie soudaine, je l’ai fait positionner sur le dos et j’ai enfin pu admirer son énorme morceau qui se trouvait enfin devant mes yeux : son pubis était très velu de poils noirs, frisés, formant un tapis velu. Il avait une grosse queue bien épaisse. Elle faisait bien 20 cm. J’admirais aussi de grosses couilles de taureau poilues.
J’ai commencé à frotter sa grosse queue contre la peau de mon visage… avant de l’enfoncer entièrement dans ma bouche tout en continuant de masser ses grosses boules. Je me suis mis à le sucer lentement, sensuellement. Et au bout d’un certain temps, j’ai senti son gland enfler, sa queue se durcir. J’ai sorti sa bite de ma bouche juste avant que son jus bien chaud sorte en saccades. Le premier jet m’est atterri sur le visage. Le second est entré dans ma bouche. La saveur de ce jus âpre et salé m’a alors décidé à renfoncer sa bite sur ma langue afin de récupérer les 5 jets suivants qui sont allés tapisser le fond de ma gorge.
Je me suis relevé et alors, il m’a attiré vers lui. J’ai posé ma tête sur son torse imposant, au milieu de ses poils. D’un geste timide, j’ai caressé son ventre et ses tétons. Jean-Pierre n’a rien dit, il s’est laissé faire en poussant des genres de ronronnements. Et sans me rendre compte de ce que je faisais, je me suis mis à téter ses seins tels un porcelet tète sa mère. Je le regardais pendant ce temps et lui fermait les yeux en respirant fort. Et il a fini par se rendormir. Je me suis blotti contre lui et j’ai vite trouvé le sommeil.
On s’est réveillé le lendemain vers 7h et on s’est levé sans souffler un mot sur ce qui s’était produit durant la nuit.
Et voilà le début de mes aventures avec les nombreux mecs qui ont défilé dans mon lit.
A suivre…
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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