1 | Un matin chez les Belleverge
Frédérique est réveillé par la sensation d’un objet humide sur ses lèvres. Quand il ouvre les yeux, il découvre Denis, son grand frère, debout au dessus de lui entrain de frotter sa bite contre ses lèvres.
Denis Belleverge, 22 ans. A l’université depuis 3 ans à peu pret. Personne ne sait ce qu’il y étudie. On sait juste qu’il a intégré une fraternité sur le campus et que ses potes et lui se soualent régulierement la gueule. Habitant tout près du campus, Denis se retrouve souvent chez lui, comme ce matin.
« Denis, mais t’es con! s’exclame Fred
Ce dernier entreprend un mouvement de recul. Mais Denis se met en califourchon sur le torse de son petit frère, il lui retenait les mains tandis que sa queue demie molle pendait au dessus de son visage.
- Fais pas ton timide. Regarde bien ma queue, une vraie bite d’homme comme pour tous les hommes de notre famille. Sauf pour toi ...
Helas, contrairement à tous les hommes de la longue lignée des Belleverge, Frederique, 19 ans, n’avait pas hérité de la grosse et longue bite que ses ancêtres se transmettaient de générations en générations. Sa bite à lui atteignait à peine la moyenne. En erection, elle faisait 13 cm de long contrairement à son frère qui avoisinait les 20cm.
Frederic se debattait en vain, la poigne de Denis était puissante. Denis avait réussi à rapprocher son bassin encore plus du visage de son jeune frère. Frederic avait le pubis poilu de son frère sous le nez et une odeur musquée remplissait ses narines. La bite totalement dure de Denis lui biffait le visage à chaque mouvement qu’il faisait. Frederique avait à présent de la mouille sur les joues.
- Denis, arrête ça ou je cries!
- Et qui va venir? Les jumeaux, ils se fichent de toi. Tu leur es insignifiant. Ils sont plus petit que toi et leur bite est plus grosse que la tienne. Papa? Tu sais que s’il vient il te donnera une fessée. Ne joue pas ta difficile, je sais que tu bandes dans ton caleçon.
Et pour allier le geste à la parole, Denis lâcha une des mains de son frère pour s’emparer du paquet. La bite de Fred était effectivement bien raide et mouillait le caleçon.
Fred devint tout rouge sous son frère. Denis avait raison, Fred voulait cette queue. Les Belleverge n’ont pas la réputation d’être pudique. Fred a grandit en voyant les longs pénis de ses frères se balancer entre leurs jambes tandis qu’ils déambulaient nus dans la maison.
Avec sa bite tout juste dans la normale, Fred avait grandi avec un complex vis a vis de la verge de ses frères et de son père. Il s’est fait une fixation sur ces belles bites de belle dimension tellement qu’il fantasmait dessus.
- Je sais que tu aimes la bite, continua Denis, tu penses que je ne vois pas comment tu nous reluque l’entre jambes aux jumeaux et à moi. Tu as tellement eu envie d’avoir nos queues, que maintenant tu as envie de nos queues. Allez ... fais toi plaisir ...
Denis a peut-être la réputation de passer pour un con, mais sur ce coup il avait vu clair en Fréderique. Timidement, ce dernier avait fermé les yeux et ouvert la bouche. Frederique suçote le gland mouillé de Denis et se délecte du nectar salé. Denis en profite pour se glisser un peu plus dans la bouche de son frère.
Au bout de quelques minutes, Denis faisait des va-et-vient assez amples dans la bouche se son frère. Fred n’était pas in expert, mais il faisait de son mieux pour satisfaire son aîné. Il jouait bien avec sa langue sur le gland, il faisait de son mieux pour avaler tous les 20 cm. Denis prenait son pied, mais il ne voulait pas finir comme ça. Il réservait un autre sort à son frère.
- Tourne toi sur le ventre, je vais te la mettre dans le cul.
- Tu penses que ça va entrer. Ta bite est assez grosses et ... je n’ai jamais été pénétré.
- Oh! Mon frère est vierge du cul! T’inquiète pas, tu n’est pas le premier ptit cul que je vais déflorer.
En effet, Denis avait la réputation de baiser tout ce qui bouge sur le campus. Il se tapait des meufs aussi bien que des mecs. Il avait même remarqué que la gente masculine réclamait beaucoup plus sa queue, et ils étaient de plus en plus nombreux ceux qui voulaient la bite de Denis Belleverge en plein dans le cul.
Denis écarta les fesses de Fred pour y découvrir un anus bien propre et imberbe. Il hésita avant de fourrer son visage entre les fesses de son frère et de lui lécher la rondelle. Quoiqu’il baisait homme et femme, Denis ne se considérait pas comme BI. “Un cul reste un cul” se disait-il souvent. Et celui de son petit frère lui plaisait assez bien.
Sa langue se fit inquisitrice et dardait bien la rose de son frangin. Il darde, lèche, fouille, salive et le doigte en même temps. Fred avait enfoui son visage dans l’oreiller et étouffa ses gémissements. C’était la première fois qu’on prenait soin de lui de la sorte. Et à chaque fois que la langue de Denis le faisait frissonner, il tendait encore plus son cul pour se faire dévorer.
L’ayant jugé prêt, Denis déposa son gland sur l’anus lubrifié de salive de son frère. D’un léger coup de rein, il fit entrer son gland dans les fondements de Fred. Son cul était serré et tout chaud.
Fred, lui, sentait son cul se déchirer en deux. La bite de son frère semblait monstrueuse et il se demandait s’il pouvait tout prendre. Denis s’immobilisa dans son fion et Fred sentit lentement la douleur s’amender. Il se décontracta un peu relâchant les muscles de son anus. Denis en profita pour sortir sa queue et la réinsérer dans le cul de Fred. Cette deuxième pénétration se dévoila moins douloureuse que la première, et la suivante encore moins que les précédentes.
Denis limait désormais lentement son frangin. Fred ne ressentait plus aucune douleur. Au contraire, un soupçon de plaisir naissait entre ses reins. Il se cambrait quand il en voulait plus, déposait les mains sur la hanche de son frère quant il voulait ralentir le rythme.
- Tourne-toi! ordonna Denis
Couché sur le dos, les jambes écartées, Fred était rouge de honte de d’envie. Denis déposa les jambes de son frère sur son épaule et le pénétra d’un coup. Fred étouffa un cri de surprise. Denis pris Fred par la hanche et le laboura sur un rythme de plus en plus rapide. La chambre fut rapidement rempli par le grincement du lit et les couinements de Fred.
Sans s’en rendre compte, les couilles de Denis buttaient contre le cul de Fred. Les 20 cm coulissaient tout seul dans le fion de Fred.
Fred et Denis prenait leur plaisir. Pour Fred, il commençait à prendre goût à la sodomie. Sa prostate était bien frottée par la queue de son frère qui était aussi longue qu’épaisse. Denis lui aimait bien baisé le petit cul serré de son frère, surtout que ce dernier contractait de temps en temps son anus.
Sur le point de juter, Denis s’empara de la queue de son frère et commença à le masturber tandis que ces coups de reins se faisaient de plus en plus violents et profond. Dans un dernier coup de rein, Denis se planta bien profondément dans les entrailles de son frère l’inondant d’une quantité abondante de sperme. C’est à ce moment précis Fred éjacula lui aussi en envoyant de grosses giclées s’écraser contre les abdos de son frère.
Fatigués, ils reprenaient leur souffle tout en gardant la même position.
- Qu’est-ce que vous foutez?
Une voix surgit de l’encadrement de la porte faisant sursauter les frères Belleverge. Dans l’excitation, Denis avait oublié de fermer la porte et ce n’était autre que leur père Francis Belleverge que venait de les surprendre.
Rouges de honte, ils ne savaient pas trop quoi dire.
- Je suis venu réveillé Fred pour qu’il vienne déjeuner, avait maladroitement laché Denis.
Francis regarda ses fils, un rictus sur le visage.
- Dans ce cas faites vite, ça va se refroidir.
Et sans dire un mot de plus, le père Belleverge tourna les talons sans pousser la porte après lui.
(NDLA: Ceci est une histoire fictive. Les choses ne se passent pas ainsi dans la “vraie vie”. Protégez-vous en tout temps et en tout lieu.)
Dej407
dej407@yahoo.com
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