Depuis un an ou deux, j'ai quelques sex friends et je cherche moins souvent de nouveaux partenaires pourtant quelques fois, il arrive que je fasse des plans cul inattendus. Je vous ai déjà parlé de Marc que je vois régulièrement, et, il y a quelques jours, il m'a réservé une surprise.
Je le vois à intervalles à peu près réguliers environs une à deux fois par mois aussi j'ai été très surpris qu'il m'appelle alors que nous nous étions vus la veille. Je me suis dit qu'il avait une nouvelle fois envie de baiser. Je décrochai :
" Salut. Tu fais quoi en fin d'après-midi ? "
" Je finis à 17 heures et je n'ai rien de prévu. "
" Ça te dit un plan avec deux mecs à l'hôtel ? J'ai des copains qui se videraient bien les couilles. Je ne suis pas libre, mais je leur ai parlé de toi. "
Je suis un peu étonné. Nous avons déjà fait des plans à trois, mais ensemble. Ceci dit, sa proposition me tente. Ce sont deux inconnus, mais il doit les connaitre et il n'est pas du genre à m'envoyer dans une galère. J'accepte qu'il transmette mon numéro à ses potes. Après tout, un plan cul inédit, ça ne se refuse pas.
La matinée se déroule sans que je reçoive aucun SMS. Je me dis que les gars ont changé d'avis, mais ça ne me perturbe pas plus que ça. Sur le coup de midi, je reçois un message :
" Salut, je m'appelle Pascal. C'est Marc qui m'a donné ton numéro. Ça te dit un plan à trois à l'hôtel S... Vers 18 H ? "
Je connais cet endroit assez luxueux de la Presqu'ile et je réponds dans la foulée que j'accepte. Le rendez-vous est pris dans le hall de l'hôtel à l'heure dite et je m'arrange pour finir plus tôt afin d'avoir le temps de rentrer me doucher et me changer.
À 18h, j'arrive donc et je pénètre dans l'hôtel. Je peux me voir dans le miroir du couloir et, sans être vraiment narcissique, je me dis que, habillé comme ça (je porte une doudoune légère, un pull en cachemire, un jean et des baskets blanches) je devrais leur plaire. Nous avons échangé des photos et je les aperçois en train de boire un verre au bar. Ils sont parfaitement conformes à ce que je pensais. Tous les deux en costard, ils me font tout à fait penser à des hommes d'affaires en goguette et loin de chez eux.
Pascal est très grand, carré, les cheveux courts, un peu grisonnants, mais encore très bruns. Il doit avoir la cinquantaine et c'est vrai qu'il est tout à fait mon genre. En plus, je le devine très poilu, ce qui n'est pas pour me déplaire. Loïc est plus jeune, il doit être à peine plus vieux que moi, il est également assez grand, les cheveux rasés, à la fois blond et la peau mate et il a un regard qui pue le sexe. J'accepte un gin-tonic et nous échangeons quelques banalités durant une dizaine de minutes avant de nous engouffrer dans l'ascenseur. Pascal essaye d'en savoir un peu plus :
" Tu fais ça souvent ? "
" Non, mais ça m'excite bien. "
Je remarque une alliance à son annulaire. Je ne pose aucune question et je rentre avec eux dans une chambre spacieuse et assez luxueuse. J'ai bien remarqué qu'ils portent des costumes bien coupés, des cravates en soie et des chaussures de prix. Ça me change un peu de mes mecs en survêts.
Une fois dans la chambre, Loïc prend les choses en main. Il desserre sa cravate et me coince contre le mur. Il commence à me rouler des pelles en guidant ma main jusqu'à son entrejambe. Il bande déjà comme un malade et ça m'excite. Je peux apercevoir Pascal qui se déshabille derrière nous. Loïc m'enlève mon blouson et mon pull puis me baisse mon jean. Je ne porte pas de sous-vêtement et je suis à poil en quelques secondes. Je m'accroupis pour défaire la braguette de son costume et sortir sa queue. Il est très bien monté. Son pantalon s'affaisse légèrement le long de ses cuisses. J'adore son boxer d'une marque française très à la mode. Je commence à le lécher. Il retire sa veste et sa chemise maladroitement.
De son côté, Pascal est totalement nu. Il a posé des capotes et du gel sur le lit et vient nous rejoindre. Je commence à lui lécher les boules tandis que Loïc se débarrasse de ses dernières fringues. Ils me font relever et me mettent à quatre pattes sur le lit. Je me cambre. Loïc s'assoit devant moi les jambes écartées tandis que Pascal m'enlève mes chaussettes et commence à me bouffer le cul. Je gémis tandis que Loïc me dit d'un ton un peu autoritaire :
" Bouffe-moi les couilles ! ".
Je n'hésite pas et obéis. Il gémit. J'aime beaucoup son odeur de jeune mâle sûr de lui. Il bande comme un débile. Derrière moi, Pascal sait se servir de sa langue. Je m'ouvre et elle rentre assez profondément dans mon cul. C'est excellent. Il me claque les fesses en même temps. Je me sens complètement offert à ces deux inconnus. C'est excellent.
Brusquement, ils échangent leurs places. Pascal se place un peu maladroitement en face de moi. Il a une grande carcasse et tient pas mal de place. Je vois Loïc la bite raide, passer à côté et je me dis que je vais " passer à la casserole ". Ça tombe bien, j'ai très envie qu'il me prenne. Il déchire une capote tandis que je m'occupe de la queue très raide et épaisse de Pascal.
" Suce-moi ".
Je ne me fais pas prier. Il me tient la tête avec ses grosses paluches. C'est vrai que j'aime ce genre de daddy très masculin. Je suis persuadé qu'il est marié avec une femme et qu'il se lâche loin de chez lui. Loïc me met un peu de gel sur le trou et je le sens s'enfoncer en moi. C'est excellent. Il a mis une capote qui présente de petites nervures et dont la texture très fine fait que je sens sa queue particulièrement bien.
" Je vais te défoncer ! "
Il m'empoigne par les hanches tandis que je suce de mon mieux son pote.
Je le sens en moi. Son pubis poilu tape contre mes fesses. C'est très excitant. Il me pilonne bien pendant quelques minutes puis Pascal intervient.
" On le prend à deux ? "
" Ouais ".
Il se retire et j'enfile une capote sur la queue de Pascal. J'ai rarement fait de doubles pénétrations, mais j'aime bien ça quand je suis très excité. Bien sûr ce serait plus facile avec un peu de poppers, mais je n'en n'ai pas alors je fais avec. Je m'empale sur sa queue et me penche sur lui. Il me maintient tandis que Loïc entre très doucement également. J'étouffe un cri. J'ai un peu mal, mais je sais qu'une fois parfaitement dilaté je vais adorer donc je supporte. Je sens le corps en sueur de Loïc contre le mien, ces deux queues en moi. Je l'ai déjà fait une ou deux fois, mais la position n'était pas facile alors que là, c'est parfait. Je les sens bouger en moi. La sensation est intense. Je commence à embrasser Pascal pour limiter mes gémissements. Je me rends compte qu'il n'a jamais trop du faire ça avec un mec, mais ça semble lui plaire. Au bout de quelques fractions de seconde, il enroule sa langue autour de la mienne. Les coups de reins de Loïc se font de plus en plus fort. C'est comme s'il branlait la queue de son pote à l'intérieur de mon cul. Je trouve que c'est excellent. Je sens Pascal se contracter.
" Je vais jouir ! "
Il râle et je sens qu'il remplit la capote.
Loïc se retire et Pascal me fait rouler doucement sur le dos à côté de lui. Il enlève la capote pleine de sperme. J'ai pas mal mouillé et son ventre est humide. Loïc a enlevé son préservatif et il se branle au-dessus de mon visage. Je me touche également. Au bout de quelques secondes, je reçois son sperme en pleine gueule et j'éjacule aussi sur moi.
Nous sommes trempés et nous échangeons un petit rire complice.
" C'était top. " Dit Loïc.
" Je n'avais jamais fait ça, c'est excellent. " Rigole Pascal. " Ça t'a plu ? "
" Ouais, si vous repassez sur Lyon j'espère que vous aurez envie de me faire signe. "
" Carrément. Une douche ? "
J'étais trempé de leur sueur et de la mienne, couvert de sperme donc je ne me fis pas prier. La salle de bain est attenante et la douche immense. Je commence à sentir l'eau chaude glisser sur moi tandis que je les entends parler de manière un peu salace. Ça m'exciterait presque à nouveau.
Au bout de quelques secondes, ils me rejoignent. J'adore le corps de pascal. Il a la peau très mate, il est musclé, mais pas sec et ultra poilu. Loïc l'est un peu moins, mais il est foutu comme un rugbyman, très massif, bien monté et ses cheveux rasés, ses yeux bleus, ne manquent pas de charme. Je leur roule des pelles à l'un comme à l'autre et m'accroupis pour les sucer à tour de rôle tandis que l'eau coule sur nous. Je les fais jouir une seconde fois, certes un peu moins abondamment, mais j'aime bien quand même.
Nous sortons de la douche et nous nous séchons. Je me rhabille en les regardant encore à poil assis sur le lit. La chambre sent une odeur de sueur toute masculine mêlée à celle du savon. J'aime bien ce moment après le sexe. Ils me proposent de m'emmener boire un apéro dans un bar très chic tout près. J'accepte. En revanche, j'ai refusé le diner et je suis rentré après deux coupes de champagne. Je devais travailler le lendemain. Pour être honnête, je me suis branlé plusieurs fois depuis en repensant à eux. Il faut que je n'oublie pas de remercier Marc pour m'avoir mis sur ce plan.
Chopassif
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