Bonjour, c'est Hugo. J'ai 29 ans, je mesure 1m77 et pèse 70 kg, je suis blond aux yeux gris. L'autre jour, je prends le tram et à cette heure là, il est plein à craquer. Par miracle, je trouve une place assise au bord de l'allée. Une première station, beaucoup de monde monte, la suivante aussi. Le tram est vraiment plein. Moi je suis perdu dans mes pensées quand d'un coup je sens un contact sur le côté de mon épaule droite. Je regarde et la je ne vois que la bosse d'un jean qui est collé à moi. Je ne fais pas trop attention lorsque je sens cette braguette de plus en plus présente. La pression est plus forte sur mon bras et je trouve que le frottement est plus important que ne le voudrait les mouvements du tram. Je lève la tête et regarde celle de mon frotteur... Il est est jeune, une vingtaine d'année, grand, brun avec les yeux assez sombres et une barbe de trois jours. Plutôt mignon. Je sens toujours le frottement régulier et j'ai l'impression que la bosse a grossit. A cette idée, je commence à bander. Voilà maintenant deux stations que cela dur, d'un coup pas mal de personnes descendent, mais mon beau brun maintient la pression. A la station suivante, une vieille dame monte. Je me lève pour lui laisser ma place, je me retrouve debout à côté de mon inconnu. Il continu de se frotter sur mon côté droit. A la station suivante, par le jeu des montées et des descentes, je pousse discrètement mon frotteur vers un strapontin qui forme un angle. Il est maintenant dans l'angle et je suis devant lui. Je le sens qui se frotte contre mon cul. Bien que actif, il m'excite grave, je bande bien, je mets mon sac devant moi pour cacher mon érection. D'un coup, je passe ma main droite derrière moi et commence à caresser cette belle bosse. Je sens sa bite en érection, elle doit faire dans les 16-17 cm. Il bande à mort. Je lui malaxe les couilles au travers de son jean. Je l'entends soupirer derrière moi. Je retourne m'occuper de sa bite. Je le branle dans son jean, j'essaye d'être discret, mais avec le monde qu'il y a, pas de problème. Maintenant je sens son souffle près de mon oreille droite. Cela dure deux stations. J'accélère le mouvement et le branle bien, il commence à grogner a mon oreille. D'un coup j'entends un petit cri étouffé, sa main qui se plaque sur la mienne... Je ne bouge plus et soudain je sens de l'humidité au travers du tissus du jeans. Il a jouit dans son pantalon. Je bande à mort et je mouille. Mon arrêt arrive, je vais pour descendre lorsque j'entends dans un souffle à mon oreille, un "merci, c'était tres bon". Je descends et pense que mon frotteur est derrière moi et qu'il va s'occuper de moi dans un coin discret, je me retourne et le voit partir au travers de la vitre du Tram. Je suis frustré à mort et c'est la révolution dans mon pantalon, je bande à mort. Reste plus qu'à rentrer chez moi pour me branler.
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Sotender
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