Dernièrement, nous avons hébergé Damien, le petit frère de ma femme. C'est un beau jeune-homme de 21 ans qui a toujours eu beaucoup de succès auprès de la gente féminine, jusqu'à ce qu'il nous annonce son homosexualité. Sa sœur a tiqué un peu, mais avec le temps, tout est rentré dans l'ordre. J'avoue que la nouvelle ne m'a pas perturbé plus que ça. À 28 ans, je suis assez ouvert d'esprit et j'estime que chacun est libre de vivre sa sexualité comme bon lui semble.
Par contre, nous n'avions pas prévu qu'il débarque avec sa nouvelle conquête. Ali, un jeune beur de 19 ans très filiforme et assez efféminé.
Nous les logeons dans la chambre d'amis, contiguë à la notre. Le premier jour tout se passe bien. Le repas préparé par Béa remporte un franc succès et l'ambiance est plutôt bonne enfant. Après le film, nous décidons de regagner nos chambres respectives.
La cloison n'est pas épaisse et nous pouvons entendre des bribes de conversation échangées dans la pièce d'à côté. Ça a l'air d'exciter Béa qui veut absolument que je lui fasse l'amour. J'avoue que la situation m'émoustille aussi et c'est tout en retenu que je la fais jouir en un temps record. Je dois même la bâillonner pour l'empêcher de gueuler son plaisir.
Au cours de la nuit, je suis réveillé par des gémissements. Je regarde l'heure: 3 heures. Béa dort profondément. Je pense tout d'abord à Enzo, notre fils de 5 ans. Ferait-il un cauchemar?!
Mais, en tendant l'oreille, je constate que les bruits proviennent de la chambre d'à côté. Les bruits se transforment en plaintes et en couinements qui ne laissent aucune place au doute. Ils sont en train de baiser.
Je ressens une forme de malaise mêlée à une pointe d'excitation. J'essaie de penser à autre chose, mais rien n'y fait. Les bruissements se transforment en halètements. Je n'y tiens plus. Je décide d'aller voir de plus près. Une curiosité malsaine me pousse à me rapprocher de la porte de leur chambre pour profiter du spectacle auditif et pourquoi pas visuel.
Je colle une oreille à la porte. Les plaintes deviennent de plus en plus audibles. J'entends quelques gémissements, des bruits de succions...
Je n'y tiens plus. Je plonge ma main dans mon boxer et me caresse le manche qui prend du volume. Je tourne la poignée, sans faire de bruit. J'entrouvre la porte. La pièce est plongée dans une semi obscurité. Seule la lampe de chevet est allumée. Je les découvre nus sur le lit, en position de 69. Damien est en dessous et subit les assauts répétés d'Ali qui lui défonce la bouche en enfonçant son pieu jusqu'à la glotte.
Contrairement à Damien, il a une peau sombre parsemée de poils noirs. La base de son sexe est très poilue, une touffe épaisse qu'il presse contre le menton de son amant. Sa queue n'est pas très longue, 16, 17cm. Il branle Damien en y ajoutant de temps à autre quelques coups de langues.
Cela fait déjà un moment que j'observe le jeune couple. Ma queue est dure comme du bois. Je décide de m'éclipser avant de décharger dans mon sous-vêtement.
À 6 heures, le réveil sonne. Béa se lève pour aller au travail. Elle sera de garde toute la journée. Du coup, je vais me retrouver seul avec mon beau-frère et son petit copain. Je cogite dans le lit conjugal. Les images de cette nuit me reviennent à l'esprit. Je tente de me rendormir, mais je suis trop excité.
Après le départ de ma femme, je décide de me lever et de prendre une douche. Je me masturbe comme un fou. Une fois lavé, je vais réveiller Enzo et à 8 heures, je l'amène à l'école. Sur le chemin du retour, j'en profite pour acheter quelques viennoiseries.
Je décide de leur apporter le petit déjeuner au lit. Je prépare un plateau que j'apporte jusqu'à leur chambre. Je tape trois coups discrets. Damien me dit d'enter.
Je pénètre dans leur nid douillé, plongé dans la pénombre. Damien se lève et écarte les rideaux. La chambre se retrouve alors baignée d'une douce lumière.
Le plateau à la main, je découvre le lit en champ de bataille, une forte odeur de sexe me prend aux narines. Ali est allongé sur le ventre, les fesses à l'air.
- Oh, Romain, tu nous gâtes. (Prenant un croissant) Ça c'est pour moi. (Tapotant les fesses d'Ali) Lui, il est plutôt pain au chocolat.
L'allusion me fait rougir. Je vais pour sortir lorsque Damien me fait signe d'approcher.
- Tu sais qu'on t'a vu, cette nuit. Tu nous matais à mort. (Fixant ma braguette) Et t'avais l'air d'aimer ça.
J'effectue un pas de recul mais Ali me saisit le poignet.
- Faut pas être timide. Vous êtes beau, monsieur Delgas, vous avez de jolis yeux verts et votre...
À ce stade, je n'écoute plus. Tout s'embrouille dans ma tête. Moi qui pensais avoir fait preuve de discrétion cette nuit, me voilà grillé. Il ne faudrait pas que Béa l'apprennent. Je réagis faiblement lorsqu' Ali plaque sa main sur ma braguette.
- Non, non... Il ne faut pas...
Mais déjà il dégrafe ma ceinture, enlève le bouton et descend la fermeture éclair. Je me retrouve le pantalon sur les chevilles. Le slip suit le même chemin et avant que je n'ai pu réagir, une bouche chaude me bouffe la bite pendant qu'une main habile me caresse les couilles.
Cette pipe me tétanise et me fait bander à mort. Je meurs d'envie de me rhabiller et de me sauver, mais aussi de me jeter sur eux et de baiser. Baiser toute la journée comme un porc. Je me découvre une libido bestiale, originelle, celle d'un fauve qui ressent ses pulsions animales les plus primaires: baiser avec un être de même sexe.
Damien s'est rapproché de moi. Il me susurre à l'oreille.
- Chuuuttt, Romain, on en a tous envie.
Il pose un doigt, doucement, sur mes lèvres. Malgré moi, j'ouvre la bouche et lui suce la première phalange. Ce geste instinctif signe ma reddition. Il ressort de ma bouche pour poser ses lèvres sur les miennes. Quand sa langue tente de pénétrer en force, je me jette en arrière. Mon cerveau me crie: « t'es pas gay, Romain, repousse-le, fou le camp! » mais mon corps brûle de désir, d'envie de branler cette queue qui frotte contre ma cuisse...
Mon corps sort vainqueur. Mon cerveau capitule. Je me laisse embrasser et quand sa langue force le passage de mes dents, je ne repousse plus mon bel adonis. J'ai deux beaux spécimens qui s'occupent de moi. Deux experts du sexe qui prennent possession de mon être avec un mélange de douceur et de sensibilité animale.
Ma bite est en feu alors que le sang bouillonne dans mes tempes. Mon cœur bat la chamade et je sens un désir charnel monter du fond de mes entrailles.
Ali le sent, et abandonne ma queue pour mieux laisser retomber mon excitation, devenue soudain incontrôlable. Après m'avoir bien chauffé, il refuse tout d'un coup de me reprendre en bouche. Je pousse mon sexe loin devant, pendant que Damien m'embrasse, mais mon gland ne rencontre que le vide. Je grogne de frustration à travers la bouche de mon jeune beau-frère.
Mais c'est pour mieux faire monter mon envie et laisser aussi le champ libre à Damien, dont les bras m'enserrent, me faisant pivoter vers lui, pour m'administrer une magistrale pelle de mec. Il fouille mon palais, me crache sa salive dans les amygdales, m'impose sa langue râpeuse...
Je resserre mon étreinte, comme électrisé.
Bordel, je me fais galocher par un homme et j'aime ça!!! Ma queue trahit mon excitation tant elle mouille. Ali reprend son travail de sape, il donne de petits coups de langue pour récupérer le précieux nectar.
La main de Damien entreprend de partir à la découverte de mon anatomie. Il frôle un téton par l'échancrure de ma chemise ouverte, caresse mes fesses, puis s'attaque à ma queue qu'il masturbe lentement. Ce mec sait y faire. Il tétanise tout mon corps. Je le laisse faire, enfiévré, éperdu, sans volonté. Le seul mot qui résonne sans fin dans mon cerveau est: baiser, baiser, baiser,...
Je me sens soudain important, au centre du jeu. Je n'ai rien à démontrer à mes partenaires. Ça change de mes rapports avec les femmes où je dois sans cesse faire mes preuves. Avec eux, je peux me laisser aller. Je deviens le héros de ce triptyque. Mon unique but est de plaire, jouir et faire jouir.
Ali s'est redressé et se penche sur un de mes tétons. Ils pointent comme ceux d'une femme. Il le prend doucement en bouche, ce qui m'arrache un gémissement de volupté. Ma main se pose sur la cuisse de Damien et, sans m'en rendre compte, remonte sous le slip. Je malaxe ses fesses et m'aventure dans la raie. Une forêt de poils humides me font reculer. La main de Damien agrippe la mienne. Il me force à y retourner. C'est chaud, moite, pas si différent du conduit de Béa.
Les dents d'Ali mordillent mon téton de façon divine. Ça me rends fou. Je couine de plus en plus fort. Une vague d'excitation menace de m'emporter.
Et encore une fois, les deux amants relâchent leur pression. J'ai le sentiment qu'ils ne veulent pas me faire jouir tout de suite.
- Occupe-toi d'Ali. Regarde comme son corps est fin. On dirait celui d'une femme... chuchote Damien à mon oreille, tout en continuant à me branler.
Fébrile et tremblant, mais dévoré d'envie, je pose les mains sur le torse du jeune maghrébin. Ses tétons palpitent sous mes doigts. Je descends jusqu'aux hanches qu'il a étroites, m'attarde sur ses cuisses finement ciselées, frôle son sexe dressé...
Je l'entends gémir. Son corps se tord sous mes caresses. Damien, de son côté, accélère sa branlette. Ma queue est réceptive à ses va-et-vient, elle pointe fièrement vers le ciel.
- Humm!!! Joli morceau. Ma sœur doit pas s'ennuyer avec toi. Et tu mouilles comme une meuf...
Puis, mon beau-frère se redresse et vire son boxer. Il vient se placer en face de moi. Sa bite se déploie sous mes yeux, elle me semble énorme. Un bon 20cm! Le gland déjà décalotté luit de mouille translucide. J'ai presque envie d'y porter la langue. Mais un dernier réflexe hétéro m'en empêche. Je me contente de regarder ses lourds testicules qui pendent sous la verge dressée et ces poils pubiens, d'un brun sombre, qui ornent son pubis.
Les couilles et la bite d'un mec... Ça paraît bizarre que je bande pour ça.
- Alors, elle te plaît? demande Damien tout en se branlant un peu. Tu peux me toucher les couilles, si tu veux.
Je fais non de la tête. Il n'insiste pas. Je reprends mes caresses sur le corps d'Ali. C'est vrai qu'on dirait une petite femme avec un pénis en plus. Il commence à m'exciter sérieusement.
- Tu veux le sauter? Il attends que ça.
Je fais signe que oui. J'ai l'air con de m'exprimer uniquement par des hochements de tête, mais ils ne s'en formalisent pas. Ils ne veulent pas me forcer, juste me mettre à l'aise.
J'hésite un peu, quand même, à fourrer un homme pour la première fois. Mais Ali me donne une petite tape dans le dos pour m'encourager. Il s'allonge un peu plus, présentant sa croupe au bord du lit. Il a un petit cul d'enfer.
- Baise-moi, me supplie-t-il en ondulant du bassin.
Mon gland frotte déjà l'entrée de ses fesses. Je sens la main de Damien se poser sur mon cul nu et pousser plus avant. Il commence à peloter lentement mes globes. Je comprends qu'il apprécie mon délicieux cul vierge. Je me positionne contre l'œillet d'Ali et, d'un coup sec, le pénètre durement. C'est ma première enculade masculine. C'est un peu moins serré qu'une nana, mais tout aussi bon.
Ali m'accueille avec un coup de rein pour mieux me faire entrer en lui. Je n'ai qu'une poussée à faire pour m'enfoncer complètement. Pour sûr, il n'en est pas à son premier coup d'essai. Il gémit d'une voix aiguë et ses ongles s'enfoncent dans mes bras. J'entre dans ce conduit humide, chaud, accueillant. Les jambes de mon partenaire se nouent dans mon dos, son bassin accompagne le rythme de ma pénétration. J'essaie d'y aller d'abord doucement, histoire de ne pas passer pour un bourrin, mais je suis tellement excité que ma queue se transforme en marteau-piqueur et ma défonce devient incontrôlable.
Ma queue est dure comme de l'acier. Mon enculé râle des kyrielles de plaisir, ce qui décuple ma hargne.
Dans mon dos, Damien redresse les jambes de mon jeune amant, qu'il pose sur mes épaules. Je dois alors me pencher plus avant pour ne pas lâcher prise. Ce salaud en profite pour accéder à mon fondement. Ses doigts caressent mes fesses une nouvelle fois puis, les écartant, il introduit une langue baveuse dans ma raie. Ce simple contact m'électrise. Il me lèche les parois, aspire mon œillet, tout en pétrissant mes globes musclés.
- T'as un cul super. Bien rond, bien poilu. Un vrai cul de mec.
Et il replonge dans l'objet de ses désirs. Sa langue fait délicatement le tour de mon anus. Elle le lèche, entre, ressort, titille ma rondelle. Il m'écarte les fesses au maximum et me lape à grands coups de langue râpeuse. C'est divin. Il me bouffe le trou comme si c'était une chatte. Jamais je n'avais ressenti une telle sensation à cet endroit. Une chaleur diffuse se propage en moi et communie avec le plaisir qui bouillonne dans mon bas-ventre.
Mais Damien arrête tout et se redresse. Il vient se coller à moi. Il a le sourire aux lèvres. Il me mordille le lob de l'oreille pendant que je pilonne son jeune amant. Il profite de ma baise pour venir coller sa bouche sur la mienne. J'ai à peine le temps de réagir que déjà sa langue d'homme fouille mon palais et s'enroule à la mienne. Elle a un peu le goût de mon cul. Cette sensation décuple mon côté sauvage, lubrique,... salope.
Je sens que je vais jouir!
Damien rompt son baiser. Il se repositionne dans mon dos, m'enlace, puis me force à déculer. Je me déboîte du cul d'Ali à regret. J'étais si bien. Si proche d'exploser...
Ali ne semble pas surpris. Il profite de ce répit pour récupérer. Il faut dire que je ne l'ai pas ménagé.
Mais très vite, il revient à l'attaque. Il s'accroupit et me lèche les couilles, évitant soigneusement de me prendre en bouche pour ne pas déclencher mon orgasme. Mon beau-frère, toujours collé à moi, m'embrasse dans le cou. Il me murmure.
- Tu veux bien me sucer avant que je prenne Ali? Je suis sûr que tu vas aimer.
Sa demande me déroute. Je n'ai jamais pompé un mec, je ne suis pas certain d'aimer ça.
Il fait pression sur mes épaules. Ce simple geste aurait pu me faire paniquer si je n'étais plongé dans cette atmosphère d'orgie. Je me vois tomber à genoux, saisir sa queue et la présenter à mes lèvres. J'entrouvre la bouche pour la gober. Pour la première fois, j'ai le gland d'un homme sur le bout de ma langue. Un gros champignon d'adulte, puissant, viril, capable de cracher sa semence...
Cette vision me fait reculer. Mon beau-frère s'accroupit, me prend la tête dans ses mains et me roule un patin tendre et viril . Il me fixe, m'encourage du regard.
- Tu peux le faire, Romain Tu verras, tu vas aimer. Je serai doux pour ta première pipe...
Il se redresse et me présente fièrement ses 20cm. Comme un automate, j'ouvre la bouche. Il fait glisser sa bite à l'intérieur. Mes lèvres se referment sur sa tige et ma langue part à la découverte de ce gland violacé qui ne tarde pas à couler dans le fond de ma gorge. Prenant ma main, Damien la porte à ses couilles pour me forcer à les palper. Une grande première pour moi. Il relâche sa prise et je m'active comme un pro sur ses burnes bien lourdes. Ça m'excite un max de sucer et caresser un mec. Je n'aurais jamais cru ça de moi. Je revois ma femme me prodiguer les mêmes gâteries et je me sens soudain devenir femelle... Qu'est-ce que ça m'excite de pomper ce dard, de le sentir gonfler dans ma bouche. De tâter ces grosses couilles que je devine bien pleines. Et de caresser ce manche chaud qui coulisse entre mes lèvres.
- Hummm!!! Ne me fais pas jouir tout de suite. Ali attend mon jus.
Je suis fier de faire bander un petit jeune de 21 ans. De l'exciter au point de lui faire demander grâce. J'empoigne mon manche et m'astique franchement. Mes doigts deviennent gluants de ma mouille qui suite en abondance.
Damien se retire de ma bouche, me roule une nouvelle pelle puis s'occupe enfin de son mec. Il retourne Ali et le pénètre d'un coup sec, lui arrachant un cri bestial. Il s'active à grands coups de reins, collant sa bouche sur celle de son amant. Ils se soudent en un baiser passionné pendant qu'il le besogne comme un dominant. Captivé, je mate cette baise mémorable. Je prends un plaisir insoupçonné à ce rôle de voyeur.
- Bouffe-moi le cul, Romain.
Quoi?! Il veut que je lui fasse une feuille de rose? Ma raison me dit non mais ma libido me dit de foncer. Cette dernière semble vouloir prendre le dessus. Je finis par m'accroupir derrière les fesses de mon beau-frère qui coulisse toujours dans Ali. J'ai tant de fois bouffé le cul de Béa que je devrais assurer, mais là, il s'agit d'un cul d'homme, musclé, poilu, et qui dégage une forte odeur musquée.
J'hésite encore mais l'excitation, l'envie, le climat de luxure finissent par l'emporter. Je plonge la tête entre les belle fesses de Damien. Ma langue pénètre à l'intérieur, lèche la raie, humecte l'anus... C'est étonnamment doux.
Ce cul mouille dans ma bouche. Il semble habité d'une vie propre, réagit au moindre lapement, s'ouvre comme une corolle de fleur. Mon bof ronronne tel un chaton. Il se tortille un peu quand l'extrémité de ma langue force le passage de sa rondelle. Il n'oppose aucune résistance lorsque je viens l'embrasser, lui faisant goûter son propre musc.
C'est moi qui prend l'initiative. Je n'oublie pas Ali que j'embrasse aussi. Il se fait ramoner grave, mais ses yeux en redemandent. Il est proche de l'explosion. Je le branle fermement. Il apprécie en bonne salope qu'il est. Je le vois passer la langue sur ses lèvres après mon baiser et lorsque, debout devant lui, je lui présente mon sexe bandé, il l'avale pour se le caler bien profond dans la gorge. Notre nouveau soumis se retrouve embroché des deux côtés.
Damien me fait un clin d'œil complice. Je lui souris en retour. Je suis bien, je plane à mille lieues. Tout se passe comme si c'était scénarisé, nos gestes, nos positions, nos regards,...
Ali bave sur ma queue. Il s'applique à me faire un fond de gorge alors qu'il se retrouve ballotté par les coups de bélier de la grosse bite de Damien. Celui-ci me félicite, appréciant que je m'affirme enfin dans cette orgie de baise.
- Ouai, vas-y, baise bien sa bouche. Il adore ça, cette petite pute.
L'intéressé ne s'offusque pas de s'entendre traité ainsi. Ça ajoute encore à mon excitation. Il redouble d'ardeur sur ma queue et sa fellation profonde me mène au bord de la jouissance. Je n'en peu plus, d'autant que mon bof a repris mon cul en main et martyrise ma rosette du bout de ses doigts. Il tourne, vrille, force,... Cela déclenche comme une onde de choc en moi. L'orgasme n'est plus très loin. Je me suis trop longtemps contenu, il faut que j'explose!
Mais Ali recrache ma queue, à mon grand désarroi.
- Je vous veux tous les deux en moi.
Je le regarde, interloqué. Il veut se faire prendre par deux queues en même temps, c'est ça? Damien remarque mon trouble.
- T'inquiète, c'est un pro. Ça va rentrer comme dans du beurre.
Il s'allonge sur le dos, Ali le chevauchant, et m'invite à prendre place derrière. Je regarde l'orifice de notre enculé. La grosse queue de Damien occupe tout l'espace, je ne suis pas sûr que mes 19cm trouveront leur place. Mais je ne veux pas passer pour un type coincé. Et puis, j'ai trop envie de jouir.
Je m'accroupis, bite en main, et pointe mon gland sur ce trou du cul déjà occupé. Je force contre sa pastille déjà mouillée. Ma queue épouse le membre de Damien et d'un coup sec, je m'enfonce jusqu'à la garde. Bordel, ça tire mais l'effet est génial. J'ai l'impression de me branler contre une autre queue, emprisonnée dans un fourreau étroit.
Le râle roque d'Ali quand nos bites s'enfoncent dans son boyau jusqu'aux couilles sonne le signal. On pilonne son trou sans délicatesse, ayant bien compris qu'il n'a pas peur de se faire bourrer. Mes boules écrasent quasiment celles de Damien et nos grosses colonnes de chair chauffent la mince paroi distendue au maximum. Putain, quel pied!!! Nous finissons par être synchrone, si bien que j'arrive à sentir la grosse veine de la queue de Damien pulser contre mon manche.
Notre petit soumis grogne, gémis, râle, se branle furieusement... Bientôt, un cri plus puissant annonce sa jouissance. De longs jets crémeux viennent tâcher les draps du lit. Je me surprends à penser qu'il me faudra lancer une lessive avant que Béa rentre du travail.
Damien se retire. Je m'apprête à décharger lorsqu'Ali me repousse de la main. Je bascule presque en arrière, sous l'effet de la surprise. Il me sourit et dit d'une voix autoritaire.
- Tu vas jouir dans le cul de Damien. Mais avant, tu vas lui nettoyer la queue.
Damien vient m'embrasser, sans doute pour m'encourager. Il me force à rester accroupi, comme quand nous enculions Ali. Sa bite pointe devant ma bouche et je la lèche sans réfléchir. Je déguste des sécrétions inconnues de moi qui m'excitent par leur goût et leur odeur. À cet instant précis, je me sens devenir obscène, toutes les barrières tombent les unes après les autres et j'aime ça. Ils ont réussi à transformer un hétéro banal en animal lubrique capable de toutes les audaces sexuelles.
Quand enfin sa queue est redevenue propre, Damien se tourne, appuyé contre le dosseret du lit, et cambre son cul vers moi. Il a des fesses bien rondes avec un petit duvet de poils noirs. J'introduis un doigt inquisiteur. C'est ouvert, encore humide du léchage que je viens de lui faire. Je me positionne et m'y enfonce très facilement. C'est un dominant qui aime se faire enculer, à ce que je vois. Mon gland écarte les bords de son anus et part en éclaireur dans ce tunnel accueillant. Il gronde de plaisir et accompagne mon pieu qui maintenant lui défonce le cul sans délicatesse.
- Oh ! Ouiii!!! Ta queue est trop bonne. Continue.
Ali se lève du lit et fouille dans ses affaires pour en ressortir un téléphone portable.
- C'est trop ouf! Faut que j'immortalise l'instant.
Je devrais lui dire d'arrêter, que ma vie sexuelle ne regarde que moi et que je ne veux surtout pas que ça fuite sur les réseaux sociaux, mais je suis trop obnubilé par mon plaisir pour m'y opposer.
Je n'en peux plus de me retenir. Il faut que ça sorte. Sans prendre de gants, je baise ce cul comme un animal en rut. Je le ramone à la hussarde. Ses muscles enserrent ma queue, lui prodiguant un massage salace. Je le vois se branler. Il respire fort, la bouche ouverte d'où s'échappent quelques cris étouffés. Il semble au bout de sa vie, la déflagration n'est plus très loin.
Soudain, incapable de me contenir plus longtemps, je décharge en beuglant comme un taureau. Je balance ma purée au fond de ce cul de mec. Je lui tire les cheveux en arrière. Je veux voir son visage déformé par le plaisir et la douleur. Il crie en sentant mon sperme gicler en lui et se redresse pour jouir contre le liseré du lit. Mince, comment je vais expliquer ces tâches à Béa!
Mon beau-frère n'a rien à faire de mes préoccupations, il est exténué. Heureux...
Je me retire lentement de ses fesses. J'ai la queue toute gluante de mon sperme. Je m'essuie avec une serviette en papier posée sur le plateau du petit déjeuner.
- Ça va? Me demande Ali.
Je lui souris en guise de réponse.
- C'est vrai qu'on t'a forcé un peu, mais on avait trop envie.
Je me relève et commence à me rhabiller.
- C'est bon, les gars, j'ai pris un pied d'enfer. Mais pas un mot à Béa.
Damien me fait un clin d'œil, sa sœur n'en saura rien. C'est notre petit secret entre lui et moi.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :