Bonjour. Je m'appelle Franck, je suis pompier professionnel dans le sud de la France. J'ai 28 ans, blond, belle gueule. Les yeux noisettes. J'ai les cheveux coupés en brosse, une barbe soigneusement entretenue. Et un sourire coquin qui fait craquer les filles. Mais je suis marié et fidèle.
Depuis deux ans, je suis l'heureux papa d'une petite Estelle.
Cet été, on m'a a affecté aux feux de forêts. Aujourd'hui, je me retrouve seul dans mon véhicule jaune de la patrouille forestière.
Je suis garé à l'ombre, un peu à l'écart du sentier principal. Mon rôle consiste à surveiller les alentours à la jumelle et à refouler les personnes qui s'aventureraient dans le massif.
Justement, j'aperçois un vététiste qui s'engage sur le chemin. Je klaxonne. Il s'arrête net, un peu surpris de me voir.
Je sors de ma voiture et me dirige vers lui. A mesure que je me rapproche, je peux mieux le détailler. Je lui donne la quarantaine. Crâne rasé, gueule de militaire, et barbe de trois jours. Avec ses lunettes de cycliste, il a un look d'enfer.
Il est vêtu d'une combinaison en lycra bleue azur super moulante qui ne cache rien de ses formes. Surtout la bosse qui orne son entre-jambe...
Je suis troublé. Il le voit. Pourtant je ne suis pas homo.
Je lui explique que l'endroit est interdit au public. Il ne dit rien. Se contentant de hocher de tête.
Je retourne à mon véhicule. Depuis mon rétro, je le vois. Il reste immobile. Putain, qu'est-ce qu'il fabrique...
Il décide enfin de bouger. Il se rapproche, fais deux fois le tour de la voiture avant d'immobiliser son VTT à trois mètres de ma portière.
Je n'ose pas le regarder. Je devrais pourtant lui dire de dégager. De foutre le camp...
Je me force enfin à tourner la tête. Il est assis sur sa bécane. Les bras croisés. Sa queue fièrement tendue sous le lycra. Je jurerais qu'elle a doublé de volume depuis tout à l'heure.
J'ai sorti ma main gauche sur le rebord de la portière, pendant que la droite caresse ma queue à travers la toile bleue marine de mon uniforme.
Il a remarqué mon alliance. Un rictus se forme sur sa lèvre supérieure. Ce ne doit pas être le premier hétéro qu'il se lève.
Il refait un tour complet du véhicule, puis s'immobilise à quelques centimètres de ma portière. Il a une vue plongeante sur le renflement de ma braguette, prête à exploser.
Mes yeux sont à hauteur de sa tige. Une longue colonne de chair qu'il prend plaisir à faire palpiter sous le lycra. On dirait qu'elle respire. Elle se soulève, reste en suspens quelques secondes, puis retombe... Avant de recommencer.
Elle m'affole. Elle pointe jusqu'au nombril. Et puis, au bout, je devine son gland,... Une grosse prune qui déforme le cuissard de manière obscène.
Il descend de son vélo, ouvre la portière, m'oblige à sortir, puis me traîne vers un buisson. Il me fout son manche sous le nez. Bloquant ma nuque avec autorité. Il devient violent, empêchant toute révolte.
Il m'impose des va et vient. Il n'a rien à faire de mon statut de pompier, de l'autorité que je représente. C'est lui le Maître. Et il me le fait savoir.
J'entrouvre mes lèvres. Je rentre en contact avec le fin tissus de nylon. J'humecte son membre. Il est énorme. Il me faut ouvrir la bouche en grand. Ma langue titille le gland à travers le lycra. Il mouille. Je m'enivre de son liquide. Il m'a lâché la nuque. Je m'active sur sa prune. Inconsciemment, j'attends plus. A cet instant précis, je ne suis plus le macho qui affole les filles, mais un simple objet de plaisir destiné à satisfaire son nouveau Maître.
Il me gifle le visage. Je reviens à la réalité. Je suis à genou, en train de m'exciter sur la queue d'un mec. J'ai du mal à réaliser.
Lui n'a rien à faire de mes états d'âme. Il baisse son cycliste et libère ses 22 cm.
La vue de ce monstre me fait reculer.
- Non,... S'il vous plaît...
Il tape plusieurs fois sa queue sur ma joue. Je proteste faiblement.
- Non,... Non... Je suis en service.
- T'inquiète, tu vas servir.
Ce seront les seuls mots qu'il prononcera.
Je reste à genoux, face à ce membre bien plus gros que le mien. Je le regarde, indécis. Il sait que c'est ma première queue. Il ne me forcera pas. Du moins, pas pour l'instant.
Il me laisse la détailler. Elle est à quelques centimètres de ma bouche. C'est une bite épaisse et lourde, parcourue d'une grosse veine bleue.
Je sors timidement le bout de ma langue et lèche la fente de son gland. Il a un goût salé qui me surprend. Je me décide à le prendre en bouche. Il investit mon palais. C'est une sensation nouvelle pour moi. Une intrusion inconnue. Je rebande à nouveau. Ma main se porte sur mon manche, prisonnier de la toile du pantalon.
Il s'en est aperçu. Il ne dit toujours rien. Mais il sait qu'à cet instant, il a gagné.
Sa main presse ma nuque pour que j'en prenne plus. Ma tête commence à descendre le long de sa hampe. Je bloque à la moitié. Je ne pourrai jamais prendre la totalité de son membre. Une de mes mains caresse le bas de sa pine, pendant que l'autre soupèse ses bourses bien pleines.
Je ne me reconnais plus. Je fais ces gestes naturellement, comme s'ils avaient toujours fait partie de mon ADN. Ce mec a le don de réveiller l'homo qui sommeillait en moi.
Il retire sa queue, puis revient à la charge. A chaque mouvements, j'engloutis quelques centimètres supplémentaires. Mais je n'arrive pas à la prendre complètement. Pourtant, je la sens au fond de ma gorge.
Il décide que la récréation est terminée. Alors que je m'attends à sucer sa bite normalement, il me saisit fermement la tête avec ses deux mains, et commence à me l'enfoncer dans le fond de ma gorge.
- MMMURG !!! J'étouffe, je manque d'air. Il me bâillonne avec sa bite qui violente ma trachée. S'enfonce dans mon œsophage. Il me maintient de force pendant 2 secondes, avant de me relâcher.
J'ai les yeux qui pleurent, je tousse. Ma gorge me brûle...
J'ai à peine le temps de récupérer, qu'il violente à nouveau ma bouche, me forçant à une gorge profonde. Il tire mon visage jusqu'à ses abdos massifs.
Je suis bâillonné. Je suffoque. J'essaie de le repousser. Il me maintient de force. Il est bien plus costaud que moi. Je tiens 5 secondes avant qu'il ne me relâche. Je tombe en arrière. J'ai du mal à reprendre mon souffle. Je n'arrête pas de tousser, de me racler la gorge...
Il me laisse récupérer. Je sait qu'il n'ira pas plus loin, si je le veux. Il a eu son trophée.
Je me repositionne à genou. Je reprend sa bite en bouche. C'est moi qui en redemande. Moi l'hétéro marié, viril, respecté dans son uniforme de pompier. Moi, après qui toutes les filles tournent... C'est moi, qui n'aspire qu'à une chose: se faire loper par un vrai homme.
Je le regarde une nouvelle fois. Il a ce sourire du vainqueur. Cette supériorité qui appelle à la soumission.
Il attrape à nouveau ma nuque et percute ma gorge avec sa grosse queue. Son gland explore l'intérieur de ma gorge. J'ai les yeux qui coulent. J'ai envie de vomir. Je manque de m'évanouir. Il se retire à temps, pour replonger aussitôt. Il fait ça plusieurs fois, me laissant son dard plus longtemps à chaque fois.
Je finis par m'habituer à la douleur. C'est moi qui y retourne. Qui me l'enfonce d'autorité. Je sais que c'est ce qu'il veut. Que c'est son plaisir.
Il se retire soudain de ma bouche. Se branle devant mon visage. Il me fait signe de faire de même. Je m'exécute. Je n'ai jamais autant bandé de ma vie.
Il s'astique devant ma bouche. Accélère...
Les premiers jets atterrissent dans mes cheveux, sur mon front, mes yeux... J'inonde à mon tour mon uniforme. Ma semence se répand, mouille la toile et mes doigts.
J'ai à peine le temps de reprendre mes esprits que son gland force le passage de mes lèvres. Je recueille les dernières gouttes de son précieux nectar.
Il m'oblige à le regarder pendant que je lui nettoie la queue. Il est fier de lui. Il vient de briser un hétéro. Un de plus...
Il sait que, désormais, ma vie ne sera plus comme avant. Que je regarderai les hommes autrement. Que mes yeux traqueront les braguettes bien remplies. Que ma bouche sera éternellement en manque...
Il sait tout ça!
Je reste hagard, couvert de sperme. Le pantalon poisseux. A quelques mètres de là, grésille ma radio. Il faut que je réponde, sinon, ils vont s'inquiéter.
Quant à lui... il y a bien longtemps qu'il est reparti.
Ceven X
hellocevenx@gmail.com
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