Romain, 28 ans (marié à Béatrice, père d'un petit Enzo) Damien, 21 ans (beau-frère de Romain) et Ali (19 ans, petit ami de Damien). Tous les trois ont baisé ensemble dans la maison familiale, un matin, alors que Béa et Enzo étaient absents. [ VOIR : Beau-Frère en Chaleur]
Je sonne au portail de leur villa. Il est 14H30 et la chaleur est écrasante pour un mois de juin. C'est Romain qui vent m'ouvrir. Il est en maillot de bain, une longue serviette de bain posée sur les épaules.
Il semble surpris de me voir. C'est vrai que je n'ai pas prévenu mais ils sont coutumiers du fait. Il m'invite à entrer et nous empruntons la longue allée avant de nous retrouver près de la piscine.
Mon beau-frère est discret. Je sais qu'il ne s'aventurera pas à me demander le motif de ma présence, ici. Je l'informe que je viens passer quelques jours en leur compagnie afin de profiter du cadre et de mon petit neveu. C'est bientôt les vacances scolaires.
En homme courtois, il me propose des rafraîchissements et même quelques longueurs dans le grand bassin. Si le cœur m'en dit, bien sûr.
Je n'ai pas de maillot de bain. Il me propose de m'en prêter un des siens. J'accepte volontiers.
Ce n'est pas le fait de me retrouver à poil devant lui, nos ébats il y a six mois ont fait tomber toutes les barrières de pudeur qui pouvaient exister entre nous, mais j'ai peur d'avoir l'air con si ma sœur se pointe.
Je me retrouve avec un slip de bain rouge vif qui me moule un maximum. Ça n'a pas l'air de perturber mon beauf.
Sans plus attendre, il plonge tête la première et entreprend quelques longueurs. Je ne peux m'empêcher de le mater. Il a sept ans de plus que moi, mais il est super craquant. Une peau bronzée à souhait, une musculature fine, et un corps de nageur taillé en V.
Je lui souris. Sa petite gueule d'ange commence à me chauffer grave. Je sens ma queue se redresser. Faudrait pas affoler la bête et qu'elle attrape un coup de chaud...
Aussi sec, je me jette à l'eau. Je l'éclabousse, il manque boire la tasse. On chahute joyeusement. Il me chatouille, j'essaie de lui mordiller l'arrière du cou. Puis, il entreprend de me faire couler. Il appuie de tout son poids sur mes épaules. Ça devient plus intense. Je me débats, la lutte semble indécise. Tantôt je me retrouve sous lui, en immersion totale, tantôt c'est l'inverse.
Je finis par capituler. Je lui laisse la position dominante. Il m'empoigne, me retourne, me fait boire le bouillon...
Et je le laisse faire. J'adore sentir son ventre musclé tout contre mes reins, pendant que mes jambes se referment sur ses fesses.
Il rigole, mais gémit, aussi. Nos jeux virils lui en rappelleraient-ils d'autres? Le contact de sa peau m'excite de plus en plus. Je me surprends à penser que ça risque de ne pas en rester là. J'ai la gaule maintenant, et je fais tout pour qu'il s'en rende compte.
Je m'applique à l'emprisonner avec mes mains. Lui se colle encore d'avantage à moi. Bon sang, ça devient chaud.
Tout en faisant mine de perdre pied, je plonge une main dans l'échancrure de son maillot. La raie de ses fesses est bien ouverte et je tente un doigt. Il coulisse bien avec l'aide de l'eau chlorée. Il se raidit, marque un temps d'arrêt puis me retourne sans ménagement contre l'échelle. Il plaque son torse velu contre mon dos. Je me tortille tout en geignant, les yeux fermés. Je suis cramponné aux barreaux et pousse mes fesses en arrière contre son manche durci.
Sans plus réfléchir, je lui empoigne ses lourds testicules prisonniers du maillot de bain que j'étire vers le bas. Puis, libérant mon autre main, je lui masse le bas-ventre en mouvements circulaires.
Je l'entends respirer fort, derrière mon cou. Mes doigts heurtent l'extrémité de sa verge avant de glisser dans le maillot.
- Non, Damien, non,... il ne faut pas...
Et avant que je n'ai pu réagir, il sort de l'eau et s'assoit sur le transat. Quand je le rejoins, son trouble est perceptible. Sans prononcer un seul mot, il s'allonge sur le dos et fait mine de dormir. Je finis par bredouiller des excuses maladroites.
- Pardonne-moi, c'était pas intentionnel.
Je ne sais s'il me croit. Il m'adresse un sourire puis tourne la tête. Je suis étendu sur la chaise-longue, près de lui. J'en profite pour jeter un dernier regard sur la bosse de son maillot de bain avant de fermer les yeux.
Un bon quart d'heure s'écoule avant que Romain me demande.
- Il fait un cagnard, aujourd'hui. Tu ne voudrais pas me crémer le corps avant que je ne ressemble à une écrevisse?
Sa demande me surprend autant qu'elle m'enchante. Je me saisis de la crème anti UV et commence à lui enduire les pieds puis les mollets. De là où je me situe, j'ai une vue plongeante sur ses boules volumineuses. Lui, me fait la conversation. Il me prévient qu'on a tout juste une heure avant qu'il n'aille récupérer Enzo à l'école maternelle.
Je ne sais comment interpréter cette remarque. Est-ce pour se prélasser au soleil ou pour un plan cul?!
Il continue à me questionner sur mes activités, mes loisirs, toujours confortablement allongé sur son transat. Mes mains semblent faire leur effet car je le sens plus détendu.
- Et Ali, il n'est pas avec toi?
- Il passe ses examens de fin d'année à la fac.
Tout en discutant, je masse ses genoux avant de remonter jusqu'à l'entre-cuisses. Il les écarte en grand, m'invitant à poursuivre plus avant. Bonté divine, mon beau-frère commencerait-il à se lâcher?...
Décidément, je ne comprendrai jamais les hétéros.
Je reste sur mes gardes. Je ne voudrais pas me prendre un second râteau. À aucun moment il n'a fait allusion à notre partie de jambes en l'air. Tout juste a-t-il mentionné le nom d'Ali. Peut-être, n'est-ce pour lui qu'une expérience sans lendemain?
Je continue à enduire mon bel adonis d'huile solaire. Il a cessé de parler et vient de fermer les yeux. Il semble s'abandonner à mes caresses.
J'en profite pour m'aventurer plus loin. Je frôle les testicules à plusieurs reprises. Je m'applique à lui procurer un maximum de détente avec mes mains. Je me concentre sur le massage au dessus des cuisses et des hanches. J'applique des mouvements circulaires sous ses couilles et remonte en direction de sa hampe. À chaque fois, ma main heurte l'extrémité de la verge puis se glisse le plus loin possible sous le tissus du maillot de bain.
Romain, les yeux mi-clos, doit savourer le plaisir que mes attouchements lui procurent car je l'entends respirer fort et ses doigts se crispent sur la serviette. Je devine un plaisir des plus intenses l'envahir. Il doit lutter pour ne pas succomber, mais je n'abandonnerai pas, si proche du but.
Je redouble d'efforts. Du bout des doigts, j'éprouve la dureté de sa verge gorgée de sang que chaque passage contribue à faire durcir encore un peu plus. De temps à autre, au lieu de remonter sur le dessus des cuisses, je tente un doigt inquisiteur en direction de sa raie. Mon beau-frère s'ouvre de lui même. Serait-ce une invitation à aller plus loin?!...
Quoi qu'il en soit, c'est pour moi le signal de départ. Je l'ai cuisiné tout en douceur depuis vingt minutes, j'estime qu'il est maintenant à point pour être consommé.
Je me lance...
Je glisse une main dans le maillot. BINGO !!! il bande comme un âne.
J'abaisse son slip de bain. Il m'aide dans ma manœuvre en soulevant son bassin. J'ai sous les yeux une verge bien droite avec un gland humide d'excitation. J'en ai rêvé de cette queue. Ça fait six mois qu'elle vampirise mes pensées, que je mets en place toutes sortes de stratagèmes pour me l'accaparer une nouvelle fois.
Prenant une noisette de crème solaire, je badigeonne sa queue avant de la prendre en main. Elle coulisse bien. Je la saisis entre mes doigts et commence une réelle masturbation qui ne tarde pas à porter ses fruits. Romain se raidit sur sa chaise longue, ses mains se crispent sur le matelas. Je vois ses doigts de pied qui s'agitent en mouvements incontrôlables. Il ne va pas tarder à jouir.
Je reporte mon attention sur son visage. Son expression a changé. De larges rides zèbrent son front et un rictus déforme ses lèvres. Sous ses paupières closes, je devine une excitation extrême, mêlée à un reste de culpabilité.
Sait-il seulement à quel point il est beau, en cet instant...
Quand je le prends en bouche, il appuie ses mains derrière ma nuque. Il me bloque, prêt à décharger. Mais ce n'est pas ce que je veux. Enfin,... pas tout de suite.
Je mets fin à ce début de fellation pour venir me positionner derrière sa tête. Romain a ouvert les yeux et me gratifie d'un sourire bienveillant. Je me penche en avant pour lui enduire les épaules de crème. Je m'étire davantage pour masser son torse puissant et stimuler ses tétons. Je les pince, les étire, les câline... Ses plaintes m'indiquent qu'il apprécie.
À chaque fois que je frôle ses pectoraux solides, je vois sa queue tressauter sur son ventre plat.
Je n'y tiens plus. La plastique de cet homme m'affole. Je me penche encore un peu plus. Selon mes mouvements, mon propre sexe appuie contre son front puis glisse jusque sous le menton. Au passage, mon gland qui est sorti de l'élastique, parcourt ses lèvres entre ouvertes. Je suis à peine surpris lorsqu'il sort la langue et me léchouille le gland.
- Retourne-toi.
Il s'exécute sans protester. Je me redresse et reviens à hauteur de ses pieds. Je remonte mes mains depuis ses mollets jusqu'à sa raie. J'écarte les deux globes et y enfouis ma langue. Elle lèche son œillet encore vierge. Il couine de contentement.
Il savoure vraiment l'instant présent. C'est lui qui bombe ses belles fesse musclée, qui les projette en arrière pour une meilleure pénétration. Sait-il vraiment ce qui l'attend???
J'ai bien humecté son petit trou de ma salive. Il ne peut imaginer qu'elle va bientôt servir de lubrifiant.
Je positionne mes genoux sur le rebord du transat, les jambes de mon futur amant bien écartées de chaque côté de moi et me couche sur son dos athlétique. Ma queue entre en contact avec ses deux demi-lunes. Il a un mouvement de recul et cherche à se relever.
- Putain, Damien, qu'est-ce-que tu fais???
- Chut ! Laisse-toi faire, tu vas adorer.
- Non, non,... pas ça!
Mais déjà je positionne ma bite tendue dans le rail naturel de ses fesses. Il gémit à ce simple contact. J'en profite pour l'embrasser dans le cou. Il tourne la tête sur le côté, me permettant de lécher son cou, sa joue. Je remonte jusqu'à l'oreille que je mordille ave douceur...
Mes caresses le détendent un peu. Je ne l'ai pas encore pénétré, ma queue bien calée dans sa raie engageante.
- Je sais que c'est la première fois. Je serai doux, tu verras.
Il gémit encore mais ne se rebiffe plus. L'instant est magique. Je m'apprête à prendre la virginité d'un cul hétéro. Et pas n'importe lequel. Celui du mari de ma sœur.
Je me tortille sur lui. J'entreprends de positionner mon sexe à l'entrée de son trou. Il est tout humide. Je commence à masser son sphincter avec mon gland. Quand je le sens prêt, je pousse délicatement et écarte le passage jusqu'à m'introduire à moitié.
Ça y est, le plus dur est fait. Je ne peux revenir en arrière. Je stoppe ma progression et contemple mon bel hétéro. Il a toujours la tête calée sur le côté et ses grimaces témoignent de l'âpreté du forçage. Mais il ne me repousse pas. Au contraire, il pousse ses reins vers l'arrière.
Je crois savoir ce qu'il attend...
D'un coup de queue dantesque, je m'introduis jusqu'à la garde. Il en a le souffle coupé. Ses joues rougissent de confusion et du plaisir nouveau qu'il découvre.
J'entreprends quelques aller-retour, juste pour l'habituer à la grosseur de mon chibre. Je suis en lui, calé confortablement. Ça fait un bien fou de fourrager le cul d'un homme marié. Je le couvre de baisers. Son dos, son cou, ses lèvres, tout y passe... Nos langues se mêlent, malgré l'inconfort de la position. Il soupire et bouge ses fesses musclées pour accompagner le mouvement.
J'ai une envie folle de lui saisir sa bite et de la branler. Je suis sûr qu'il bande. Mes mains agrippent ses puissantes fesses velues et ma queue commence à le pilonner sans retenue. Ses grognements roques m'encouragent à poursuivre.
Alors, je me transforme en bête de sexe. Je le culbute, le pénètre jusqu'aux couilles. Je varie mes angles de baise. Mes coups de reins deviennent plus profonds, plus intenses. Mon gland racle son étroit conduit, masse au passage sa prostate. Ça fait gueuler mon jeune papa. Je suis obligé de le bâillonner pour ne pas alarmer les voisins. Il me mord le pouce en poussant un cri étouffé. Je décule de plusieurs centimètres avant de le saisir par les épaules et le forcer de nouveau à s'empaler sur toute la longueur de ma queue.
Tout en pilonnant sauvagement le cul de mon beauf, mes cuisses se contractent, faisant avancer et reculer mon bassin pour enfoncer sans résistance la totalité de ma teub dans son trou réceptif. Je sens son anneau palpiter autour de ma queue, il l'enserre pour l'empêcher de ressortir. Mon beau-frère prend soudain conscience de la puissance d'une queue. Son cerveau encore hétéro est en train d'apprendre inconsciemment son rôle de passif. Il finira par n'avoir qu'une obsession: plaire aux hommes et se faire enculer.
Même si je suis rodé à ce fait, cela m'impressionne toujours de contempler ces culs de mâles dominants se faire bourrer aussi aisément par mes 21cm. Surtout quand mon nouvel enculé se remet à brailler de plaisir. Je devine sa jouissance proche.
En effet, sa rondelle contracte mon manche, puis son corps est parcouru de spasmes. Il tremble à n'en plus finir. Je sais à cet instant qu'il est en train de décharger tout plein de petits Enzo, la queue comprimée entre ses abdos et le transat.
Après quelques secondes, il semble se calmer. Mais je n'en ai pas fini avec lui.
Je reprends mes coups de boutoir, je le besogne avec vigueur. Je veux le faire crier une deuxième fois. Ma bite crache le feu dans ce fourreau étroit. Je redouble mes va-et-vient dans sa chatte chaude qui m'accueille sur toute la longueur. Le plaisir se propage autour de mon gland, se diffuse le long de ma verge pour atteindre mon bassin.
Je le ramone comme un malade en pensant à la quantité de sperme que je vais déverser dans ses entrailles. Lui, s'est remis à couiner. C'est bon signe. Ma sodomie devient de plus en plus bestiale. Mes couilles heurtent bruyamment ses fesses soumises. Je l'empale avec ma bite qui lui déchire le cul.
Mon bof pousse des jappements d'animal blessé. Il ondule du bassin, pousse encore et encore, s'enfonce de lui-même toute la longueur de ma pine. Son corps se remets à trembler, il salive contre la toile du transat...
Bordel! Il va pas jouir une nouvelle fois!
Cette vision décuple ma hargne. Je me cale tout au fond, mes boules bien nichées dans son entrejambes, je serre les dents pour me retenir. Par plaisir égoïste, je prolonge l'accouplement. Ma queue coulisse sans encombre. Je l'ai bien ouvert, il va pouvoir désormais s'en prendre des kilomètres sans moufter, le beau-frère!
Je me déchaîne. Mes cuisses claquent de plus en plus fort contre ses fesses rougies. Putain, c'est si bon de saillir un hétéro. Plus l'orgasme approche, plus je m'enfonce profondément dans son boyau. Il est chaud et graisseux, juste comme je les aime.
Un dernier coup de rein ravageur et je largue ma purée bien épaisse. Une flopée de semence crémeuse qui signe sa reddition d'homme à femmes. Désormais, il ne regardera plus jamais les mecs de la même façon. Ses yeux se porteront malgré lui sur le renflement des braguettes, évaluant la grosseur de ce qu'il pourrait se prendre dans le cul.
Cette pensée me rend dingue. J'expurge les dernière gouttes en beuglant comme un damné, et tant pis pour les voisins.
Je reste un moment emboîté en lui car je ne débande pas. Je n'y arrive pas. Il ne cherche nullement à me repousser. Il souffle fort, comme épuisé, mais je remarque un sourire sur le coin des lèvres. Il est heureux, ça se voit. Le côté droit de mon visage repose sur son épaule. Je l'embrasse dans les cheveux, derrière l'oreille. Je suis bien, moi aussi. Nous sommes en sueur, le soleil n'a pas faibli. Mes couilles reposent toujours sur son fessier. Il doit les sentir plus légères. Cette simple évocation me fait rire. Il me demande ce qui se passe. Je l'embrasse tendrement.
- Tu m'avais promis d'être tendre, dit-il d'un ton boudeur.
Je le regarde en feignant d'être désolé.
- Je sais, mais tu m'as tellement excité... Tu m'en veux pas trop?
Il dépose un bisou sur mon front en guise de réponse. Nous restons encore l'un sur l'autre, jusqu'à ce qu'il consulte sa montre.
- Merde, Enzo! Je vais être en retard pour l'école.
Une fois parti, je regarde en direction de la chaise-longue qui a accueilli nos ébats. Le matelas est imprégné d'une large auréole blanche. J'avance un doigt, l'humecte, puis le porte à la bouche. Je me délecte de son jus. Je m'allonge ensuite sur le dos, les fesses collées à cette tâche visqueuse.
Je ferme les yeux...
Je suis bien.
Je plane à dix-mille au dessus du sol.
Je crois bien que je suis amoureux de mon beau-frère.
FIN
Ceven X
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