Il est midi, je baisse les stores de tissus et ferme le magasin qui était vide depuis déjà un moment. Notre service d’analyse vidéo de la course et la sélection de chaussures adaptées à chacun connais un certain succès. Mais reste que c’est l’heure du repas et, dans cette ville moyenne de province, le repas c’est sacré.
J’attends cependant la venue de Moussa Mamkedié.
Moussa est une célébrité locale de la course d’endurance. Suffisamment célèbre pour que le patron le laisse venir pendant les heures de fermeture. Pas assez sans doute pour s’en charger lui-même mais je ne me plains pas : accueillir seul dans le magasin un apollon ne me déplait pas.
Je ne l’ai vu qu’une fois « en vrai » et beaucoup en photo dans le journal. La réalité n’avait fait que confirmer les photos : un corps de rêve et une beauté qui m’avait immédiatement subjugué.
Imaginez : grand, voire très grand, évidemment athlétique mais plus charpenté que l’on pourrait imaginer pour un coureur de fond. Les bras aux muscles puissants et dessinés, des épaules rondes sur lesquelles on devine les trois muscles qui la composent, des jambes immenses, les mollets galbés, les cuisses fortes où chaque muscle est identifiable. Pour ce que laissaient voir son débardeur et son short, peu de poils. Juste une petite touffe sous les bras, juste de quoi donner envie d’aller respirer l’odeur du mâle. Une peau noir mat vraiment très foncée, comme on en voit hélas trop peu.
Et enfin son visage ! Quel visage ! Une mâchoire carrée, de belle lèvres pulpeuses, carmin foncé, presque noires et limitée par un bel ourlet, des pommettes saillantes, un nez un peu écrasé et deux yeux en amande, absolument noir, surmontés de long cils. Cela lui donne un regard pénétrant dont il est difficile de se détacher. Il porte une petite barbe de trois jours et ses cheveux sont coiffés en fines tresses, chacune terminée d’une petite perle de couleurs.
Mais tout ça ne serait rien sans ce sourire radieux, immense, communicatif qu’il arbore pour un rien. Quand il sourit, le monde s’illumine.
Bref, ça ne me dérange pas de sauter la pause de midi pour le rencontrer.
Exactement à l’heure dite Moussa toque discrètement à la porte. Je le fais entrer et referme derrière lui. Nous avons 1 heure en tête à tête mais il s’agit de lui vendre une paire de runners, pas d’autre chose.
Il connait déjà notre protocole mais, en bon professionnel, je le lui rappelle brièvement et lui indique le vestiaire pour se mettre en short afin que l’on puisse filmer sa course sur le tapis pour l’analyse des appuis.
En sortant du vestiaire, il rigole un peu en me disant qu’il a bêtement mis un caleçon au lieu d’un slip mais que, s’il se souvient bien, la caméra sera derrière lui et ne verra pas ses cerises -sic- se balancer.
Je ne réponds rien : avec ce sourire il pourrait m’annoncer que nous allons être englouti par la mer que je rigolerais avec lui. En revanche je note bien que les cerises ont plutôt l’air d’être des abricots et la banane de type plantain. Du moins c’est l’impression que j’ai eu en lançant un regard furtif où je ne devrais pas.
Je démarre la caméra, invite Moussa à monter sur le tapis de course et lui demande d’abord de marcher quelques secondes, puis de courir à petite foulée une minute puis de petit à petit se mettre à sa cadence et sa foulée normales. Je suis derrière l’écran, donc derrière lui.
L’ordinateur analyse ses appuis, moi j’analyse ses jambes et ses fesses. Bon sang, je ne l’ai avais jamais réellement vues : fermes, rondes, galbée avec le petit creux qui se forme sur les fesses musclées et qui là passe de droite à gauche au grès de ses mouvements. Elles oscillent selon la course, chacune monte et descend alternativement. J’ai devant moi un Miquel-Ange noir qui court sur un tapis. Et un début d’érection.
L’analyse faite, il me rejoint pour que je lui montre les résultats. Il s’assoit à côté de moi et je remarque au passage à peine un voile de sueur qui rend sa peau légèrement brillante. Au moment où il s’assoit, je perçois une vague odeur de transpiration : odeur musquée et aussi d’épice qui me monte au cerveau immédiatement et descend aussi vite dans mon sexe qui durci encore. Assis et en jean, ça devrait rester discret.
Pendant que je lui explique l’analyse, j’ai l’impression que Moussa s’est installé bien près de moi et qu’il est très tactile. Je dois me faire des idées.
Quoi qu’il en soit, nous passons à l’essayage. J’amène deux ou trois paires de chaussures. Alors qu’il s’assoit pour chausser la première, j’essaye de me concentrer sur autre chose et de ne pas regarder l’ouverture de la jambe du short et du caleçon en haut de ses cuisses dû à la position assise. J’essaye… Je ne suis pas sûr d’y arriver.
Finalement la deuxième paire semble le convaincre. Il la repasse, se relève pour faire quelque pas. Je m’accroupi à ses pieds pour vérifier leur position dans la chaussure, notamment si la taille correspond. Je ne sais pas comment j’ai fait mon compte mais en voulant me relever, la moitié inférieure de mon visage se cogne contre son sexe. Surpris, embarrassé, confus même je veux m’écarter vivement et je me retrouve le cul par terre. Rouge de honte vous imaginez bien.
Moussa éclate d’un énorme rire magnifique. Il me tend une main secourable et m’aide à me relever. Je commence à me répandre en excuses que je bafouille lamentablement et soudain il me dit : « mais tu l’as fait exprès non ? »
Si je pouvais rougir encore plus de honte je l’aurais fait ! Je bredouille que non pas du tout je ne me serais pas permis. Mais il me coupe et me dit en souriant l’air un peu aguicheur « oh pardon. Je crois que j’avais espéré que c’était volontaire. Je prends mes désirs pour des réalités ».
Je suis sidéré. Il me faut quelques secondes pour réellement être sûr d’avoir entendu ce que j’ai entendu et pour réaliser que peut-être ce fantasme vivant pourrait devenir réel. J’approche de lui, passe ma main derrière lui à presque le toucher et je lui murmure presque « J’aurais dû ? »
Il approche alors son visage encore plus près du mien, nos joues se touchent presque et me glisse à l’oreille « J’aurais tellement aimé. Et plus encore ».
Alors de ma main qui, derrière lui n’attendais que ça, je le plaque contre moi, presse ses reins contre les miens et dit « comme ça ? » et pour toute réponse il pose sa main derrière ma tête et ses lèvres sur les miennes, m’embrasse avec talent et répond dans un souffle juste « oui ».
Alors nous nous abandonnons. Nous nous embrassons avec fougue, nos langues se cherchent et font connaissance. Nos mains parcourent le corps de l’autre pour le connaitre entièrement. Je sens ses muscles fermes sous les vêtements : je parcours ses épaules, ses bras, caresse ses biceps saillants puis ses avant-bras larges et puissants, je reviens sur ses larges pectoraux puis descend sur son ventre où je pourrais compter les abdos avec mes doigts.
Nous n’avons pas cessé de nous embrasser : nos langues s’enroulent avec envie, nos lèvres se découvrent l’une l’autre. Je sens ses mains dans mon dos, sur mes fesses qu’il caresse avec ferveur.
Je glisse une main sous son t-shirt et reprends mon parcours en sens inverse. Cette fois c’est sa peau que je découvre : douce et chaude. Puis ce sont ses tétons qui pointent légèrement et font comme une toute petite bosse dure contre ma paume.
Lui aussi a glissé une main sous mes vêtements : il caresse mes fesses directement sur la peau approchant le bout de ses doigts de ma raie mais sans y rentrer vraiment. Ce gars sait vous chauffer et vous exciter !
Je sens bien son sexe qui a gonflé contre le mien. Je sens bien nos deux bosses qui se touchent et se frottent. Je vois bien nos deux bites qui voudraient se rencontrer enfin !
Je caresse son paquet à travers le short : cela me parait magnifique, énorme. J’ai une envie monumentale de le voir, de le sentir, de le prendre dans ma main et approcher mon visage pour sentir ce sexe, le lécher, le sucer et l’engloutir pendant que je lui caresserai les couilles. Je bande à m’en faire mal ! D’autant plus que ses doigts se rapprochent toujours un peu plus de mon petit trou.
Soudain son téléphone se mets à bipper et vibrer. Moussa lève mes yeux et voit l’heure sur l’horloge murale : « merde, j’ai pas vu l’heure. J’ai un rendez-vous avec la presse je vais être en retard. Je dois partir en courant »
Je le libère un peu décontenancé. Je note bien à la bosse dans son short que je ne l’ai pas laissé indifférent. Il s’assoit pour défaire ses chaussures et me demande si je ne pourrais pas les lui porter chez lui ce soir vers 20h ? Ajoutant que si j’étais libre je pourrais rester un peu.
Bien évidemment je peux. Pensez ! Et si je n’avais pas pu, j’aurais fait ce qu’il fallait pour pouvoir.
Il se sauve presque en courant et me laisse dans le magasin avec ma trique qui commence à redescendre et mes boules se faire sentir. L’après-midi sera longue !
A la réouverture, je mens un peu au patron en lui disant que je dois porter les chaussures à 18h30 chez notre sportif. Du coup je pars du magasin à 18h.
Je vais chez moi pour me doucher, me pomponner et surtout me préparer parce que je ne veux pas laisser passer la moindre chance d’aller plus loin que ce midi et dans n’importe quelle position.
A 20h juste je sonne à l’interphone. Moussa m’ouvre et m’indique l’étage et la porte. Je monte et je recommence à bander rien qu’au souvenir de ce que j’ai vu ce matin et de ce qui s’est passé.
Moussa m’attend sur le seuil de sa porte ouverte, en caleçon et débardeur. Je crois qu’il est encore plus beau qu’il y a à peine 4h.
Je lui tend la boite de chaussures qu’il prend et pose dans l’entrée puis m’invite à le suivre dans la cuisine. « Tu prendras bien une bière » me dit-il.
Appuyé sur le plan de travail il me tend une bière, nous trinquons et buvons une gorgée mais je ne peux pas résister plus longtemps. Je m’avance contre lui, pose ma bouteille sur le plan de travail derrière lui et approche mes lèvres des siennes.
Non seulement il ne résiste pas mais plutôt devance mon mouvement et commence à m’embrasser fougueusement. Je suis aux anges. Nous reprenons ce que nous avions commencé ce matin.
Sans cesser de l’embrasser, je lève son t-shirt. Arrivé à hauteur de ses épaules il lève les bras et je continue mon mouvement. Alors que je suis à mi-bras, qu’il est bloqué les bras en l’air je fourre mon nez dans ses aisselles qu’il a peu poilues ou alors bien taillées. Je m’enivre d’un parfum de savon et de sueur musquée et poivrée. Je risque un coup de langue. Il n’a pas l’air choqué et sourit. Je fini d’enlever son vêtement.
Je m’écarte un peu pour détailler son corp… qui est pour moi sublime. Moussa est parfaitement imberbe hormis sous ses bras comme je viens de le voir et un petit chemin du plaisir qui part de son nombril vers son pubis qui est pour l’instant encore caché par son caleçon, qui est bien tendu d’ailleurs. Sa magnifique peau noire met en valeur une belle musculature : ni trop ni trop peu. Les pectoraux sont généreux, les bras musclés, les épaules arrondies et fermes. On pourra aussi compter ses abdominaux qui se dessinent sans exagération.
Je caresse son dos -que je compte bien admirer plus tard- tandis que mes lèvres entreprennent de parcourir tout son torse et embrasser chaque parcelle de cette peau si belle. Je m’attarde sur ses tétons qui pointent légèrement. Ma langue les titille et parcoure les aréoles plus foncées. Il gémit de satisfaction mais me redresse, sa bouche cherche la mienne et ses mains attrapent mon t-shirt. C’est à mon tour de lever les bras et de me retrouver bientôt torse nu.
Sans cesser de nous embrasser, ses mains cherchent et défont ma ceinture puis les boutons de mon pantalon qu’il fait tomber sur mes chevilles.
Les miennes ont moins de travail : il est en caleçon. Je caresse ses fesses sous son sous-vêtement en même temps que j’enlève mes chaussures avec mes pieds puis me débrouille pour enlever mon pantalon toujours sans me baisser.
Une fois fait, je m’agenouille en même temps que j’écarte son caleçon et le fait tomber à ses pieds. Je libère son sexe qui est déjà bien gonflé. Je prends quelques instants pour l’admirer : au-dessus de sa verge, une toison de poils bien noir et frisés mais taillés courts. Au-dessous pendent deux belles grosses couilles ovales dans une bourse foncée et mais sans poils aucun. Ce midi il mentionnait en riant des cerises : ce sont réellement des prunes voir des petits abricots. Les deux descendent encore assez bas et sont bien libres. Du genre qui vous tapent bien le périnée quand vous vous faites enculer. Du genre aussi qu’on arrive à gober entièrement. Enfin sa verge. Quelle beauté : longue et épaisse, noire foncé et lisse, pas encore tendue à fond mais déjà bien gonflée et presque droite. Une grosse veine saillante démarre de la base et descend toute sa bite jusqu’au prépuce en se ramifiant à l’horizontale. Une autre, démarre à droite et passe sur le côté puis dessous. Le prépuce n’est pas coupé et cache encore la moitié du gland.
Je suis subjugué et je sens mon dard se durcir.
Je caresse ce chibre avec ma main : la peau est sublimement douce. Et je note que cette bite est plus longue que deux fois ma main. Et bien qu’elle ne soit pas à son maximum, j’ai déjà presque du mal à en faire le tour.
Mais je la tiens suffisamment en main pour finir de libérer son gland aussi attirant que le reste : bien ogivé, fendu d’un large méat où perle déjà une goutte de mouille, très foncé aussi mais avec des nuances de rouge et de violet et un ourlet très marqué à sa base.
De la pointe de ma langue je recueille la goute de mouille : j’adore le pré-sperme. Plus doux et plus sucré que le sperme. Puis je fais le tour de son gland, titille le frein, remonte ma langue le long de son ouverture, puis sur le gland puis tout le long de cette longue tige, jusqu’au pubis. Je reprends de la salive et repart dans l’autre sens. Arrivé au bout j’ouvre grand la bouche et gobe son gland. Il occupe toute ma bouche mais laisse juste assez de place pour que ma langue puisse s’enrouler autours et le caresser entièrement. Et je le ressors et commence à faire des va et vient dessus ou à le lécher entièrement.
En même temps je caresse, malaxe ses boules. Et pour qu’elles ne soient pas reste, je soulève son braquemard contre son ventre, le parcours de ma langue et vient lui lécher les bourses. Je soulève chaque testicule avec ma langue. Je m’approche encore et en gobe une première que je cagole de ma langue. Je la libère pour faire de même avec l’autre.
Puis je reprends le chemin de son gland avec ma langue et l’avale de nouveau. Je descends plus bas sur sa bite. Toujours un peu plus bas à chaque mouvement. Jusqu’à ce que son poteau tape au fond de ma bouche. Je force un peu pour l’avancer dans ma gorge. Je ne suis pas mauvais pour faire des gorges profondes mais c’est un morceau très gros.
Moussa soudain me saisit sous les épaules et me relève. Il me roule une pelle magnifique tout en faisant tomber mon jock-strap. Sans crier gare il me soulève par la taille et m’assoit sur la table de la cuisine. Sa bouche parcourt mon cou puis mes épaules, descend vers mes tétons. Il me pousse doucement en arrière et me couche sur la table. Sa bouche finit de couvrir de baiser mon corps, mon nombril et enfin mon pubis. Il se saisi de ma bite raide comme la justice, la décalotte et me gobe le gland sans frémir. Certes je n’ai pas un membre aussi impressionnant que le sien mais il n’est pas non plus de petite taille. Je crois que tous les mecs qui s’en sont servi l’ont bien senti passé.
Moussa commence à me sucer avec beaucoup de talent. Sa langue entoure mon gland à chaque fois qu’il entre dans la bouche. Il descend si bas que je me sens entrer dans gorge chaude et étroite ce qui me comprime la bite et me fait gémir de plaisir.
Sans cesser sa pipe, il remonte mes jambes et pose mes pieds sur le bord de la table. Mécaniquement mon bassin remonte et j’expose ma rondelle. Il se mouille l’index de la main gauche, et sans cesser de me sucer, me caresse le trou qu’il commence à travailler. Son doigt tourne autours et fait pression. Il s’arrête au milieu du trou et joue avec comme s’il voulait entrer son doigt mais me fait patienter.
Alors il retire sa tête, libère ma bite qui vient taper sur mon ventre. De ses deux mains il écarte mes genoux et viens déposer un baiser sur mon œillet. Baiser aussitôt suivi de léchouille. Sa langue caresse mon anus, titille l’entrée et peu à peu se force un passage. D’abord la pointe, dont je sens la chaleur et l’humidité. Puis un peu plus. Jusqu’à ce que tout ce qu’il peut enfoncer de sa langue est dans mon cul. C’est chaud, c’est doux, c’est humide. Il fait des va et vient avec et je gémis à chaque mouvement.
En même temps que sa langue, il force un doigt dans mon cul. Puis deux qu’il écarte pour me dilater. Il glisse sa langue entre les deux doigts et me lèche les parois de mon conduit. Il m’ouvre encore en faisant des va et vient de plus en plus profond avec ses doigts. Et quand cela glisse tout seul il pousse un troisième dans mon intérieur. Il force pour écarter ces doigts ce qui tend mon trou et me procure une sensation jusque-là inconnue. Je sens mon cul qu’il est écartelé et ouvert à l’air extérieur. Mais il faut bien ça s’il veut y faire rentrer cette bite énorme qui lui pend entre les jambes. Enfin, là elle ne pend plus.
Il bande comme un taureau : sa queue est parfaitement droite et je n’attends plus que la pénétration qui arrive.
Justement, il se redresse, se saisi de son chibre et qu’il vient poser sur mon trou qui n’attendait que lui. Il fait pression et mon cul s’ouvre. Son gland se fraie un chemin vers ma cave à plaisir. Je sens mon anus s’ouvrir, se dilater pour laisser passer ce monstre et c’est presque douloureux mais en même temps tellement bon. Je regarde Moussa dans les yeux avec un râle de plaisir. Encouragé, il continue sa poussée. Son gland est entièrement en moi et alors il se retire presque entièrement, patiente quelque seconde puis repart à l’assaut. Son gland fait maintenant pression sur mon sphincter intérieur qui ne prétend pas résister trop longtemps. Presque la moitié du gland l’a passé que Moussa repart en arrière. Une fois presque sorti entièrement il se penche à mon oreille et me demande si ça va. Je lui réponds dans un souffle que je suis aux anges. Que j’adore ce qu’il me fait. Que je veux sa bite entière en moi. Il me murmure « alors agrippe toi, je vais maintenant te la rentrer sans m’arrêter ».
Et effectivement, il reprend sa poussée très lentement. Je sens son gland entrer entièrement et maintenant pousser sur le deuxième verrou qui s’ouvre lentement. Le gland passe et le plus dur est fait. Moussa continue d’avancer. Je sens mon cul qu’il s’élargi au fur et à mesure que son sexe entre et que sa base avance en moi. Je sens son pénis glisser dans mon conduit, je le sens me pénétrer et me remplir. Bientôt je sens les poils de son pubis sur mon cul et ses deux grosses couilles contre mon périnée. J’ai ses 25 centimètres de teub dans mon corps et j’adore ça. Je gémis en le regardant et je me dis que c’est merveilleux de se faire enculer.
Il reste sans bouger peut-être une minute. Se couche sur moi sans se retirer et m’embrasse. Sa langue se noue avec la mienne. Il commence à onduler du bassin et je sens sa bite bouger dans mon cul. D’abord de petits mouvements lents et tendre pendant qu’il me roule une pelle ou m’embrasse les seins.
Mais il se redresse, se plante au fond de moi, attrape mes chevilles qu’il pose sur ses épaules. Commence alors la baise proprement dite. Je vais me faire sauter comme jamais. D’abord ses mouvements prennent de l’amplitude jusqu’à que sa tige coulisse entièrement dans mon conduit. Elle ressort presque entièrement et je sens ma chatte presque se refermer sur la pointe de son gland. Je dis presque parce que vu la taille de son braquemard je suis dilaté, ouvert en entier. Puis la pression reprend, mon cul s’ouvre et je sens coulisser d’abord son gland qui élargie au passage mes deux sphincters qui se resserrent sur sa tige. Ensuite je sens son bâton progresser dans mes entrailles, mon cul s’élargir à nouveau alors que s’avance la base de sa hampe, plus large que la pointe. Et puis je sens qu’il arrive bien au fond : d’abord la pression sur ma prostate et le frisson de plaisir qui va avec et enfin il toque au fond de mon anus et fais pression sur le dernier chakra. Je ne je gémis plus, je râle de plaisir. Je frissonne, j’exulte. Je l’encourage du regard en même temps que je me délecte de voir ce visage et ce corps de rêve qui s’agite sur moi. Dans moi.
Maintenant, sans perdre de la longueur, il augment la cadence. Il me baise de plus en fort. Il prend soin de bien taper quand il arrive au fond de mon trou. Je sens ses couilles qui viennent frapper le haut de mon cul. Je sens qu’il me laboure le fond du ventre. Et je vais vous dire, je ne râle plus je gueule se plaisir. Je me sens dilaté, ouvert et même le cul détruit mais qu’est-ce que c’est bon !
J’attrape ma bite pour me branler tandis que Moussa me baise avec force mais il retient ma main et me dit « non pas encore. Après tu jouiras ». Alors je me laisse faire et je sens qu’il s’approche de la jouissance. Ses coups de boutoirs se font plus fort et plus rapide – et je pourrais jouir sans me toucher- son visage se crispe légèrement.
Enfin il enfonce une dernière fois son chibre bien au fond, se plante là, son visage se crispe et je sens qu’il se vide bien au fond de mon cul. Un cri sourd lui échappe : il joui avec la même force qu’il vient de me sauter.
Sans sortir encore de mon cul, il se couche sur moi et nous nous embrassons avec fougue. Son ventre écrase mes couilles et mon sexe contre le mien. Je me retiens de ne pas jouir de ce seul contact. Sans cesser de nous galocher, il retire doucement sa bite de mon cul qui reste ouvert alors que je sens un peu de son sperme couler hors de mon trou.
Il pose enfin me jambes, nous redresse et me sourit en reprenant nos bières et nous trinquons à nouveau.
- Reprend tes esprits, dit-il. Quand tu es prêt tu vas pouvoir jouir dans mon cul ou où tu voudras.
J’ai cru en l’entendant que ma bite allait exploser ! Mais je lui dis avec un clin d’œil :
- Finissons cette bière pour que tu recharges et je vais me venger
On reste assis, nus, sur la table de la cuisine et on papote en finissant nos bières. On se raconte un peu nos vies, nos rêves. On parle des garçons qu’on a connu ou qu’on aurait aimé connaitre. Bref on se découvre.
Nos bouteilles sont vides depuis déjà un moment quand Moussa se lève et ouvre le frigo pour en attraper deux nouvelles. Alors qu’il est devant le frigo ouvert, je m’agenouille devant ses fesses sublimes, je les caresse et surtout je les ouvre. Elles me révèlent son œillet : totalement imberbe, rond, lisse ou avec à peine quelques stries qui convergent vers le petit trou, point sombre en son centre.
Je pose ma bouche dessus et l’embrasse. Il est doux et chaud à la fois. Moussa tressaille.
Je ne m’écarte pas, au contraire. J’ouvre un peu les lèvres et pose ma langue sur sa rondelle. Je la fais courir en rond autours de son centre puis la rentre pour lui donner un coup avec la pointe pile dans l’axe de son trou. Je recommence ce petit jeu plusieurs fois en essayant de rentrer chaque fois un peu plus loin. Son petit trou est serré mais je force un peu le passage, puis reprends mon léchage de sa rondelle.
Il repose les bières dans le frigo qu’il ferme et dit : « J’ai l’impression qu’elles vont devoir attendre un peu ».
Il s’écarte, se tourne, me prend par la main pour me redresser et m’emmener vers sa chambre. Là, il s’allonge sur le ventre, les jambes légèrement écartées, les couilles et le sexe en évidence entre ses cuisses. J’admire la vue mais je ne résiste pas plus que 15 secondes à reprendre mon jeu de langue. Je m’allonge entre ses jambes, pose ma langue sur la pointe de son gland et je remonte son pénis, puis ses bourses, le périnée pour enfin atteindre le graal : son anus qui commençait à s’ouvrir avant que nous nous déplacions.
Je reprends mon jeu de langue, mais j’y joins les doigts. Je mouille mon majeur de salive puis l’enfonce dans son trou qui n’attendait que ça. Je lèche sa rondelle tout autours de mon doigt que j’agite dans son cul. Je le bouge pour écarter son trou tout en jouant de la langue.
Quand les gémissements de Moussa se font plus fort, j’introduis un deuxième doigt dans sa chatte. Je les remus à l’intérieur : c’est humide, chaud et doux. Mais pour mieux l’ouvrir j’écarte mes deux doigts. Dans le petit espace ainsi créé, je fourre ma langue et je caresse avec les parois de son anus. Il gémit de plus en plus fort et me lâche : « je suis prêt, baise-moi ».
C’est le feu vert ! je mets du gel sur son trou et le masse encore un peu. J’en mets sur ma bite tendue au maximum et m’avance. Mes deux jambes allongées entre les siennes, je pose mon gland contre son œillet et pousse lentement. Quelques millimètres et je ressort puis recommence. En allant un peu plus loin cette fois. Bientôt mon gland entier vient de passer le sphincter et goute la douceur de sa caverne. Alors je continue d’entrer. Sans m’arrêter je pousse mon chibre dans son ventre jusqu’à ce que mon bassin s’appuie sur ses deux fesses. Sensation merveilleuse : elles sont souples et accueillantes, douces et tièdes. Je pourrais y poser ma tête et passer une nuit entière là mais pour l’instant ce sont mes anches. Et mes couilles sont contre les siennes.
Il pousse un soupir de contentement et me caresse les fesses comme il peut.
J’entreprends alors le va et vient correspondant à la situation. D’abord lentement et en limitant ma course. Mais peu à peu je prends et de la vitesse et de la force pour taper au fond de son cul et de la longueur pour que mon gland parcourt le plus possible de son conduit depuis l’entrée jusqu’à taper sa prostate. Après 5 minutes je me fige au fond de lui, me penche sur son oreille et murmure « tu m’as tellement excité en me baisant tout à l’heure je ne vais pas tenir longtemps si je ne fais pas un petite pause ». Aussi je reste là une minute, sans bouger si ce n’est pour l’embrasser dans le cou.
Il me demande alors de me retirer, m’allonge sur le dos, m’embrasse et me dit qu’il veut s’empaler sur moi. Aussitôt dit, aussitôt fait : il s’accroupi au-dessus de mon entrejambe, saisi mon braquemard et le positionne face à son trou et je vois ma bite disparaitre dans le corps de Moussa.
Il monte et descend en se baisant tout seul sur ma bite. La sienne gigotte en rythme et vient taper mon nombril. Quand il arrive en bas, ses couilles s’écrasent sur mon pubis. La vision que j’ai est fantastique : un dieu d’ébène qui se donne -et me donne- du plaisir sur ma bite déjà prête à exploser. A tel point que je bloque sur mes boules pour faire une dernière pause. Sinon je vais jouir mais je veux que le plaisir dure.
Je redresse mon corps vers lui. J’en profite pour l’embrasser à pleine bouche quelque seconde, ma bite toujours bien plantée au fond de son cul. Je ramasse mes jambes sous mes cuisses, dispose ses bras dans mon dos, mets les miens sous ses épaules, et dans une manœuvre dont j’ai le secret le retourne et le pose sur le dos pour finir de le prendre en levrette. Tout ça sans sortir ma tige de sa chatte.
Avant de me remettre à le limer, j’attrape sa bite et commence à le branler. Puis je recommence mes aller-retours dans son cul. J’y mets toute la longueur de mon sexe, sortant presque mon gland puis le plantant à nouveau tout au fond et plus si je pouvais. Moussa gueule de plaisir. Je le pilonne comme ça 5 minutes encore mais je ne tiens plus et dans un cri je me vide dans ses entrailles. Je lui tapisse le conduit de sperme, j’ai l’impression de ne plus pouvoir m’arrêter de juter.
Sans sortir encore, je recommence à le branler d’une main en luis caressant les couilles de l’autre. Il ne tarde pas non plus à jouir dans un râle. Je sens son anus se serrer et tressauter à chaque jet de foutre qui atterrissent sur son ventre et son torse. Magnifiques tâches blanches sur sa peau noire.
Je me retire doucement. Un peu de sperme coule de son trou quand mon gland sort. Je le nettoie de ma main et lui tend : il nettoie mes doigts avec avidité.
Je me penche et nettoie avec ma langue son ventre et son torse jusqu’à avaler la dernière goutte de foutre qui si trouvait.
Enfin je me laisse tomber de tout mon long à son coté.
Nous sommes en sueur mais heureux.
Plus tard nous irons boire cette deuxième bière. Nous mangerons une pizza aussi mais nous ne remettrons pas de vêtement !
Lui me baisera encore une fois avant de dormir. Je le baiserai encore une fois au réveil.
Et il y aura encore bien d’autre fois mais c’est une autre histoire.
Hagdahuk
hagdahuk@proton.me