- Tu débloques complètement, crié-je au téléphone. Il en est hors de question, je vais pas me coltiner ton rejeton mal élève ! Envoie-le dans une auberge de jeunesse, dans un AirBnb ou je ne sais quoi ! Il a 21 ans ! Il devrait être capable de se débrouiller pendant 4 semaines sans sa mère-hélicoptère ! C’est pas mon boulot ! Je veux pas ! Basta !
Je raccroche alors, fou de rage ! Ma sœur a organisé un stage pour son fils, Hugo, dans ma ville. Elle m’a bien sûr demandé s’il pourrait habiter chez moi. Elle a juste dit : « Tu as assez de place chez toi ! Et ça sera moins cher que tout ce que je peux trouver. Comme ça, tu pourras garder un œil sur lui. » Et lui aussi pourra me surveiller, me suis-je dit ! Ma famille ne sait pas que je suis homo. C’est pour ça que je suis parti après mon bac faire des études dans une grande ville. J’étais content de quitter mon village où tout le monde connaissait tout le monde, et où les ragots allaient bon train. J’ai pu me créer ici mon petit cocon et ma vie comme il me plaisait
Je me présente : je m’appelle Nicolas. J’ai 42 ans, je suis de taille moyenne, les cheveux blonds et les yeux bleus. Je ne fais pas de sport mais je suis de corpulence normale. Je suis célibataire depuis 3 ans après une relation qui a duré 10 ans. Je me suis toujours bien entendu avec mon ex mais on vivait l’un à côté de l’autre, on ne faisait plus rien. J’ai mis fin à tout ça et je me contente depuis de rencontres charnelles sans lendemain. Je tiens une galerie de peinture dans lequel j’ai fait une formation après avoir fini mes études d’arts. Lorsque le patron est parti à la retraite, il m’a vendu son affaire que j’ai donc reprise.
J’ai aussi refusé la demande de ma sœur car mon neveu est insupportable. « C’est pas de sa faute, il est TDAH », ne cesse de répéter ma sœur. Traduction : hyperactif. Moi, je sais que c’est un morveux à cause de ma sœur qui lui passe tout et qui ne lui a jamais fixé de limites… ce qui transforme depuis longtemps chaque rendez-vous familial en un enfer sans nom. Et depuis plusieurs semaines, ma sœur me bombarde de mails, de messages, de SMS dans lesquels elle exige ou elle me supplie de le loger.
2 minutes après que j’ai raccroché, ma sœur me rappelle.
- Pourquoi t’es comme ça, Nico ? Hugo se faisait une joie de passer du temps avec son oncle préféré !
- Il n’a jamais dit ça, répondis-je.
- Mais si je te jure !
Oh non, je suis en train de flancher. Elle me prend par les sentiments…
- Il ne parle que de ça depuis des semaines et je n’ai pas le cœur de lui annoncer que tu ne veux pas le recevoir.
- C’est pas que je veux pas…
- Si, Nico !
Résigné, je finis par répondre :
- C’est bon, t’as gagné !
- Oh merci ! Nico !
- A une condition : il est une semaine à l’essai. Si ça ne se passe pas bien, tu débrouilles pour le loger ailleurs !
- D’accord !, répond ma sœur. Mais ça n’arrivera pas ! Hugo est un jeune homme adorable, vous allez bien vous entendre.
- J’en suis pas si sûr… mais on verra bien !
Je vais préparer la chambre d’amis quand je me rends compte que mes murs sont remplis de tableaux d’amis artistes qui ont dessiné de jeunes mecs nus avec des poses érotiques. « Il va falloir que je les décroche… » Puis, je me ravise : « Jamais ! C’est chez moi ici ! ». Je me fous de ce que Hugo va penser…
Le vendredi suivant, en fin d’après-midi. La sonnette retentit. J’ouvre et quelques secondes plus tard, Hugo sort de l’ascenseur, avec une valise et un sac de voyage. Je dois dire que je l’aurais à peine reconnu. Il faut dire que je ne l’ai pas vu depuis 3 ans. Il a grandi, ses traits sont plus fins. Il est devenu un magnifique jeune homme, dois-je avouer.
- Bienvenue, Hugo. Entre.
Il me tape la bise. Je lui montre ensuite sa chambre qu’il regarde avec surprise. Elle lui paraît très grande.
- Voilà ta chambre… du moins, pour une semaine. J’espère que ta mère t’a mise au courant.
- Oui. Mais je suis content d’être pendant 4 semaines ailleurs que chez moi. Maman est tout le temps sur mon dos, je la supporte plus. Mais tu verras, on va bien s’entendre !
Je tourne le dos pour sortir quand il me demande :
- Je peux prendre une douche ?
- Je te montre la salle de bains.
Il prend sa trousse de toilettes et il disparait dans la salle de bains. Après de longues minutes, il réapparait, une serviette autour des hanches. Je pose quelques secondes mon regard sur lui et je remarque qu’il est bien foutu : il a des bras et des jambes musclées, des épaules larges, de beaux pecs et un ventre plat. Il me fait tout de suite penser à un des jeunes dieux sculptés par Michelangelo. Soudain, sa serviette glisse de ses hanches et il se retrouve complètement nu devant mes yeux. Son corps est presque imberbe et il a un imposant morceau entre les jambes, long et épais ainsi que des testicules lourdes. Je vois Hugo se pencher en avant, ramasser sa serviette et aller dans sa chambre. Je reste comme ça, interdit, sans bouger sur le canapé, jusqu’à ce qu’il revienne. Il me touche l’épaule en me demandant :
- Ça va, tonton ?
- Oui, ça va. Désolé, j’étais plongé dans mes pensées. Mais m’appelle pas tonton par contre. Ça me donne l’impression d’être vieux… Appelle moi Nico, comme ta mère.
- Ok, Nico.
- Bon, on fait quoi ?
- Je sais pas… mais j’ai faim…
- Allez, je t’invite dans mon resto italien préféré !
- D’accord !
La soirée se déroule très bien. Je me rends compte qu’Hugo a bien changé. Il est drôle et intelligent. Il est très bavard. On mange bien, on vide une bouteille de vin à nous deux. On rentre ensuite chez moi. Il marche en titubant :
- Il y en a un qui ne tient pas bien l’alcool, dis-je en riolant.
Je le soutiens jusque dans sa chambre. Il se couche et il prend alors ma main en disant :
- Merci, tonton !
- Bonne nuit, Hugo.
Il se retourne et il s’endort presque directement.
Le lendemain, j’ai le vernissage dans ma galerie d’un artiste jusqu’ici inconnu mais très prometteur originaire de Tunisie. Je suis content de l’avoir dégoter. L’artiste s’appelle Kamal. Il est jeune, mince avec de longs cheveux noirs et frisés. Il a le sang chaud des gens du Sud. Mon assistante a préparé toute l’exposition mais je tiens à être là pour les derniers préparatifs. Je me rends donc vers 10h à la galerie avec Hugo qui a voulu m’accompagner.
Quand on entre dans la galerie, Kamal est déjà là.
- Nicolas, c’est magnifique. Vous avez fait un travail remarquable !
Il s’approche de moi, il m’embrasse chaleureusement… puis il embrasse Hugo, après que j’ai fait les présentations. Mon neveu rougit immédiatement.
Le vernissage est un franc succès. Nous avons beaucoup de visiteurs et en une journée, on vend la moitié des tableaux de Kamal, qui est ravi. En partant, il me serre pendant un long moment dans ses bras. A 21h, à la fin de l’expo, j’invite Kamal, mes assistants et Hugo à manger au resto. On passe une très bonne soirée. Cette fois aussi, Hugo boit beaucoup. Kamal me dit qu’il voudrait rester ce soir en ville avant de prendre son avion car il aimerait visiter la ville le lendemain mais il m’annonce qu’il n’a pas trouvé d’hôtel libre. Je lui propose de dormir chez moi, sur le canapé.
Vers miniut, on rentre tous les trois à mon appart. Une fois arrivés chez moi, Hugo disparait dans sa chambre. Je me dis que je dois quand même faire attention. Il a encore bien bu ! Pas qu’il se transforme en alcolo ! Kamal me sort de mes pensées : il aimerait boire un dernier verre. Je lui sers un digestif et je m’assois à côté de lui.
- Et donc, c’est mon lit ?, dit-il en désignant le canapé.
- Oui.
- Pas très confortable. Vous n’avez rien d’autre pour moi ?
Tout en me posant la question, il passe sa main sur mon épaule d’une façon très insistante. Je lui souris, je me penche à son oreille :
- Si... il y a mon lit ... mais il faudra le partager avec moi.
- Ça me ferait très plaisir, dit-il en passant sa main sur mon entre-jambe.
On finit notre boisson et je l’amène dans ma chambre. J’allume les lampes de chevet tandis que Kamal se déshabille : il est mince, il a une peau foncée. Il a quelques poils au milieu du torse ainsi que du ventre. Son pubis est par contre très velu. Il a une queue presque noire qui pend bien entre ses jambes, tout comme ses couilles noires et poilues qui ont l’air lourdes et longues. Quand il se met à bander, je peux admirer une teub de 23 cm, épaisse, veinée, avec un gros gland.
Il s’approche de moi, il me défait ma chemise. Puis, il se baisse, m’enlève mon pantalon et me chaussettes. Ma bite se dresse droite devant lui. Il se relève, il me prend dans ses bras et il m’embrasse fougueusement. On se roule une grosse pelle. Ses lèvres ont épaisses et douces.
- Tu veux pas qu’on se douche avant ?
-
- Si.
On va dans la salle de bains et je lave le magnifique corps de Kamal. Je savoure sa peau douce entre mes doigts. Il me lave ensuite. On se frotte, on s’embrasse, on se caresse. J’arrête l’eau et je me mets à genoux devant la queue de Kamal. Je lèche son gland puis j’enfonce sa bite dans ma bouche, jusqu’à ce que mon nez se retrouve dans ses poils de pubis et mon menton contre ses boules. Je me mets à le sucer sur toute la longueur de son membre. Puis, je me redresse, on s’embrasse et je le conduis de nouveau dans ma chambre.
Kamal me pousse et je tombe sur le dos sur le lit. Il se jette sur moi ... et il enfonce ma queue dans sa bouche. Je savoure ses caresses buccales tandis qu’il me masse les boules. Puis, il se met à me sucer et me branler en même temps. Je gémis sans arrêt. Il est vraiment doué. Au bout de 2 minutes, je murmure :
- Arrête sinon je vais jouir.
Il ne s’arrête pas et je sens l’orgasme s’emparer de moi. Dans un cri, je sens ma bite pomper mon jus hors de mon gland pour lui envoyer une dizaine de jets au fond de la gorge. Je reprends mon souffle tandis que Kamal me nettoie la bite qui ramollit.
- Ça t’a plu ?
- Oh oui !
On se câline un moment. Je suis sur le dos et Kamal à moitié sur moi dans mes bras. Il me caresse mon visage et mon torse. Au bout d’un moment, ses mains descendent et elles me malaxent les fesses. Puis, un doigt entre dans mon trou.
- Attends, dis-je
Je sors du lubrifiant de ma table de chevet. Je lui tends le tube. Il me fait mettre sur le ventre, le cul en l’air. Il se met à embrasser mes fesses, puis il passe sa langue dans ma raie, avant de passer dans mon anus. Il commence à le baiser avec sa langue. Puis, il utilise un doigt avec lequel il me masse la prostate. Je gémis fort.
Après quelques minutes, je sens qu’il met pas mal de gel et il en met aussi sur sa queue qu’il enfonce lentement dans mon trou. Elle se retrouve vite entièrement en moi. Ma teub se remet à bander. Puis, après une pause, il entame de lents va-et-vient. Il augmente la cadence rapidement jusqu’à ce qu’il me pilonne bien. Je sens bien sa grosse queue aller et venir dans mes entrailles. Au bout de 5 minutes, il enfonce sa bite en moi que je sens pulser et me pomper sa semence en moi. Je sens 8 jets qui me remplissent le trou. Je jouis à ce moment une deuxième fois, sur les draps. Il se retire, son sperme gicle hors de mon anus et il souille aussi les draps. On se pose sur le lit, dans les bras l’un de l’autre et on s’endort ainsi, dans notre sperme.
Le lendemain, je me réveille vers 9h et je dis à Kamal qu’il faut se lever :
- Il faut qu’on aille à la galerie.
Il me présente sa queue bandée.
- Pas le temps, désolé. Va te doucher, je prépare le petit-déjeuner.
Obéissant, il se précipite dans la salle de bains. Je me lève. Après le petit-déjeuner, je me rends à la galerie. Mon assistent a déjà tout préparé, il a fait entrer le traiteur et les invités applaudissent Kamal quand il se présente dans une tenue orientale blanche qui contraste magnifiquement avec sa peau sombre. Il fait un petit discours et il va parler ensuite aux invités. J’admire son entre-jambe. Dans le contrejour, on voit très bien son morceau pendre entre ses jambes et se balancer de gauche à droite. Et tout ceci n’échappe pas aux dames qui se mettent à faire des messes basses. Mais le charme de Kamal fait que presque toutes ses toiles sont vendues en l’espace de 3 heures.
Ensuite, il me dit qu’il va un peu trainer en ville. Moi, je rentre chez moi. Je trouve Hugo devant la télé en train de regarder une course de F1. Quand il me voit, il éteint la télé.
- Ça va, Hugo ? Tu t’en es sorti sans moi ?
- Oui, tout va bien.
- Tu as fait quoi ?
- Dormi et regardé la télé. Kamal est parti ?
- Il revient plus tard. Je l’emmènerai demain à l’aéroport. Il va à Berlin continuer la vente de ses tableaux.
- Ah oui ? Pourquoi tu as enlevé les draps du canapé, demande Hugo en souriant mystérieusement.
- Parce qu’il n’a pas dormi dans le canapé.
- Ah oui ? Et où ?
J’hésite, puis je réponds :
- Je vais pas te mentir... Pas la peine de te raconter des salades...Kamal a dormi dans mon lit... et si tu veux savoir, on a couché ensemble !
- Oh !
Hugo me regarde, surpris.
- Je ne m’attendais pas à ce que tu sois aussi honnête. Donc, les rumeurs du village sont vraies.
- Quelles rumeurs ?
- Que t’es gay.
- C’est ce qu’on dit alors ?
- Oui ! Ta chère famille ne parle que de ça. Mais personne ne sait vraiment quoi que ce soit.
- Maintenant, toi, tu le sais et tu pourras leur dire. Tu as ma bénédiction !
- Certainement pas ! C’est pas leurs affaires, et c’est pas à moi de leur révéler. Par contre, je te remercie que tu aies été franc. A mon tour de l’être : je dois t’avouer que je savais où Kamal a dormi ... et ce que vous avez fait. Je me suis levé cette nuit pour boire un verre d’eau et en passant devant ta chambre, je vous ai entendus. D’ailleurs, vous n’étiez pas très discret... et pour être encore plus franc, vu que la porte était entrouverte, je vous ai un peu observé en train de « le » faire... jusqu’à ce qu’il te remplisse... Son sperme a bien giclé hors de ton trou ! Je suis revenu dans ma chambre et je me suis branlé en pensant à ce que je venais de voir. Ça m’a bien aidé à me rendormir !
Je regarde Hugo, les yeux ronds, surpris par ce qu’il vient de m’avouer...
A suivre...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :