Chapitre-1
Célibataire, j’aime les voyages et profiter de mes week-ends pour m’inscrire dans les petits voyages organisés et dont on reçoit les pubs dans la boîte aux lettres. Mais, plutôt sociable et attiré par le contact, surtout des hommes je dois dire, j’accepte toujours de partager ma chambre avec d’autres voyageurs seuls eux aussi. Beaucoup de jeunes se moquent de ce genre de voyages, souvent fréquentés par des gens âgés. Qu’importe, et je dois dire que cette classe d’âges me convient.
Et cela s’est toujours bien déroulé. Je me présente, si jamais on a l’occasion un jour de se croiser lors d’un voyage organisé : je suis Damien, petit gabarit, musculature fine, corps épilé partout pour accentuer, volontairement ou pas, mon côté efféminé avec mes petites fesses rondes et mon pubis excitant dit-on avec cette peau lisse et ma verge posée sur mes bourses douces.
Après une première journée bien chargée en visites, le car s’arrête devant un hôtel comme il en existe beaucoup en province, un deux étoiles sans luxe. L’organisateur m’appelle et me désigne un autre célibataire pour partager la chambre. « Damien, voici Armand avec qui tu partageras la chambre ce soir » me dit-il. L’homme, bcbg d’allure, a la septantaine environ. Bien mis, visage souriant, les cheveux blancs, l’air sûr de lui. « Enchanté Damien » me dit-il en me serrant la main. Dans sa suite, je rentre dans l’hôtel, fatigué comme lui sans doute, avec l’envie d’un bon lit et d’une bonne douche.
Quelle n’est pas notre surprise dès l’entrée dans la chambre. Plutôt petite, avec un seul grand lit et juste un lavabo. « Je pense que nous allons devoir partager ce lit, je te rassure, je ne ronfle pas » déclare un Armand qui semble ravi de la situation en me regardant avec un air bizarre. « Moi non plus, mais j’espère que cela ne vous dérange pas, j’ai l’habitude de dormir tout nu. » Ma réponse le fait sourire. Crevé, je me déshabille. Armand ne perd pas une miette de ce spectacle qui s’offre à lui. « Me laisserais-tu te retirer ton string ? » demande-t-il alors qu’il ne me reste que ce bout de tissu. « Bien sûr, j’en serais ravi. » Doucement, ses mains se glissent dans l’élastique et font glisser mon string jusqu’aux pieds. Me voilà nu devant lui, sans aucune pudeur. Face au lavabo, je fais couler l’eau pour une toilette avant de me coucher. Lui s’est déshabillé aussi et son corps me donne faim aussi. Un torse tout aussi poilu que son pubis, du gris mélangé au blanc. Un gros sexe avec un gland en forme de champignon bien épais. En me regardant, il se caresse, en se masturbant doucement. Taquin, je lui présente ma petite croupe bien ouverte. Il a une vue sur ma raie lisse et cet œillet pénétré depuis mes années d’internat. Je me savonne partout, en insistant sur mon intimité, une jambe relevée, lui laissant voir ma verge pendante. Il doit se régaler, sans nul doute. Propre, je lui laisse la place. A moi de profiter du spectacle de cet homme mûr tout nu devant moi.
Avant la suite que tu dois deviner ami lecteur, je me glisse sous le drap. Sa toilette finie, Armand reste nu et vient me rejoindre. « Moi aussi je dors nu, tu vois. Et j’adore sentir une peau douce sur la mienne » me dit-il en me serrant contre lui. Nos corps sont collés l’un à l’autre. Il me caresse les cheveux, le visage et sa bouche vient se coller sur la mienne. Je sens sa langue forcer le passage pour s’enrouler autour de la mienne. Ses mains me caressent les seins, serrant mes tétons. De plus en plus fortement. Armand est dominant, je le sens. Sa bouche dévore la mienne, avec appétit. D’un geste, il rejette le drap à nos pieds. Nous voilà nus sur ce lit. « Je te veux Damien, ton petit corps de salope a dû satisfaire bien des hommes je pense. » Les mots d’Armand m’excitent. Et il a raison, beaucoup d’hommes sont entrés en moi par la bouche comme par mon anus, étoilé, un peu boursouflé. D’un geste, je me mets en position de soumission, sur le dos, mes jambes repliées sur le ventre, mon intimité bien ouverte. D’un sourire satisfait Armand se couche sur moi. Son gland se pose entre mes fesses, trouve mon orifice et d’un coup le pénètre. Je sens tout le phallus entrer dans la foulée. Epais, il dilate mon orifice au maximum. Armand me pénètre tandis que ses couilles frappent mes fesses dans un bruit d’eau. Il respire bruyamment, prend son pied à me transformer en femelle. D’un coup il se retire, me retourne facilement pour que je me mette en levrette. Plus soumis encore. Du foutre coule de mon cul, mais Armand remet le couvert et m’encule à nouveau. « Tu vas m’obéir compris ? » Armand devient autoritaire en me fessant les fesses. « Non, tu vas nous obéir. » A peine a-t-il dit cela qu’un coup est donné sur la porte. Armand décule et va ouvrir, nu, la queue dressée et juteuse. La porte s’ouvre et je vois entrer deux autres passagers du car. Aussi âgés qu’Armand. Déçus au départ par le choix de l’organisateur de me lier à Armand. Ce dernier est partageur. Et sans que je le sache il avait prévu durant la journée ce plan coquin, cette partouze avec d’autres amateurs de corps dociles comme le mien.
Mon corps nu et luisant de sueur et de foutre est fixé par nos deux hôtes, comme fascinés par le foutre qui coule de ma chatte. Mais ils ne tardent pas à se dénuder eux aussi pour me rejoindre au lit, devant Armand, installé dans le fauteuil présent dans la pièce. L’un d’eux se place devant moi et m’oblige à le sucer tandis que je sens son compagnon de chambre me sodomiser à sec. J’adore, je bande, offrant à une main l’occasion de me branler jusqu’au jus. Toute la soirée, dans toutes les positions, ce duo de vieillards en chaleur va me posséder par l’anus et la bouche. Leur foutre va couler au fond de mon cul et de ma gorge. Chaud, gluant. Armand n’en reste pas moins actif. Il dirige, incite les deux hommes à me faire des choses qui feraient rougir n’importe qui. J’accepte tout, en mémoire de mon passé de soumis à un maître quand j’étais plus jeune. La bougie de la chambre n’est pas restée longtemps sur son bougeoir.
Une soirée bien chaude, dans tous les sens du terme et qui laissera des souvenirs. Y compris pour l’hôtelier qui a tout vu, nu dans sa chambre, grâce aux caméras qu’il a disposé secrètement dans les chambres de l’hôtel. Cette partouze avec moi restera dans ses archives. Et qui sait, devrons-nous nous revoir bientôt au vu de cette carte glissée dans ma poche au moment de quitter l’hôtel : « j’ai tout vu et enregistré Damien. Contacte-moi rapidement, j’ai des projets pour toi. Sinon, je diffuserai le film de ta soumission. »
Colinot
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