Chapitre-1
Salut, me revoilà pour partager d’autres souvenirs de sexe avec vous. Je suis Damien, la trentaine au corps mince et épilé, quelque peu efféminé il est vrai avec ma musculature fine. Curieux de tout, j’ai entendu de la présence dans ma région d’un ancien home abandonné et aux rumeurs étranges. D’après la presse des rencontres étranges ont eu lieu et racontées par des jeunes qui ont exploré les lieux. Amateur d’urbex, ce loisir qui consiste à explorer des lieux abandonnés, j’ai eu envie de me faire peur. Et de tenter quelque chose d’excitant avec mon corps comme offrande. J’ai décidé d’y aller le soir, pour ajouter un peu de piment. Le soir venu, le corps parfaitement épilé recto verso et revêtu d’une tenue moulante noire, me voici dans les parages de ce home, isolé et entouré de végétation sauvage. Personne dans les environs, un silence pesant et aucun éclairage. Je trouve une ouverture et je pénètre dans les lieux, muni de ma lampe de poche. Les lieux sont glauques, avec le mobilier laissé en l’état, recouvert de poussière et de toiles d’araignée. Le silence m’entoure. Un bruit me fait soudain sursauter, comme le son de pas dans un couloir. Je commence à flipper, avec l’envie de fuir. Mais l’excitation se fait forte, je ne sais pas pourquoi mais je commence à bander. Je poursuis l’exploration. Et le bruit recommence, comme des pas entendus derrière moi. Plus proches je pense. Je me trouve dans un couloir entouré de chambres. J’en visite une, des lits semblent attendre les patients. Si j’ai bien lu l’article de presse, il s’agissait d’un home pour le 3e âge. Je rentre dans la chambre plongée dans le noir.
Une idée me traverse soudain l’esprit. Je trouve un lit pas trop sale. En quelques secondes je me dénude complètement. Mon corps nu, je me promène dans le couloir et je vois mon reflet dans un miroir. Celui de ce corps qui plaît tant aux hommes matures pour ma minceur et ma jolie croupe. Pas le temps de me regarder longtemps, les bruits de pas se font entendre au fond du couloir. J’ai beau essayer de voir s’il y a quelqu’un mais ma lampe de poche ne laisse voir personne. Les lieux m’angoissent sans doute et jouent sur mes nerfs. Et si ? Je choisis une chambre et un lit face à la porte d’entrée. Nu comme un ver, ma verge dressée, je me couche sur le ventre sur le lit, jambes écartées. Si une entité est présente, je lui réserve une surprise. Les pas se rapprochent. Je n’ose pas me retourner. Un vent froid entre dans la pièce et me caresse le corps. Comme une caresse qui passe de mon cou à ma croupe. Comme une main glacée. Le visage dans l’oreiller je ne vois rien. J’entends une respiration puis une voix d’outre-tombe dire « merci pour m’offrir ton joli corps, une offrande que j’apprécie. » Je suis mort de peur mais chaud. Soudain, un poids m’étouffe, comme un corps couché sur mon dos. Je sens deux doigts glacés m’ouvrir les fesses puis quelque chose me pénétrer l’anus. Avec l’impression d’avoir un gros bâton glacé qui entre en moi. L’entité sur moi me ramone sans douceur. Les rumeurs n’étaient donc pas fausses quant à ce lieu. Quelque chose hante ce home et me sodomise. Qui me croira quand je vais rentrer ? Des mains froides me pincent les tétons puis glissent sur mon pubis lisse de jeune passif. J’adore et je me laisse faire. « Qui êtes-vous ? » j’ose demander. « Un ancien résident mort à 85 ans » me répond l’entité couchée sur moi. « Quand j’étais vivant j’adorais les jeunes hommes comme toi, ta croupe m’excite beaucoup. Laisse-moi te baiser comme tu le mérites » poursuit la voix. « Avec plaisir, j’adore m’offrir et mon cul est à vous sans réserve. Je suis passif soumis. » Soudain, le poids se retire, des pas se font entendre dans le couloir, s’éloignant. Je me relève rapidement et nu, je me précipite dans le couloir pour crier : « monsieur, je reviendrai demain si vous voulez. » « D’accord » me dit une voix lointaine. Nu, mon petit trou un peu douloureux par le froid de ce phallus, je reprends mes esprits. Oui, je vais revenir, mais pas seul. J’ai un ami très cher que je souhaite amener comme témoin. Bon, il est temps de me rhabiller et de rentrer prendre une bonne douche. Vivement demain soir.
Colinot
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