Trentenaire et soucieux de ne pas m’ennuyer au travail, j’aime changer de job. Et quand j’ai vu cette annonce parue en ligne je n’ai pas hésité. Comme un retour à mes belles années passées en internat durant mes études supérieures. J’habitais en province et loger dans mon établissement d’études me convenait bien. Que de souvenirs, érotiques surtout. Et ravivés par cette annonce pour un job de surveillant dans un internat pour étudiants entre 18 et 24 ans. Non mixte donc. Cool. Un premier message de motivation m’a permis d’obtenir un rendez-vous rapide avec le directeur.
Mais je n’imaginais pas la phase de sélection. Laissez-moi vous raconter cela. Bien habillé mais pas trop, avec un pantalon de lin beige et une jolie chemise ouverte, me voilà introduit (sans jeu de mot) dans le bureau du directeur par un jeune secrétaire qui m’a déshabillé des yeux. Je ne suis pas un top modèle mais mignon et suffisamment sexy pour donner faim à ma catégorie d’hommes préférée : les hommes matures ou seniors.
A peine entré, je suis accueilli par le directeur de l’internat qui me serre longuement la main en me fixant dans les yeux. Je rougis et il doit prendre cela pour une révélation de mes goûts sexuels, car il me passe la main dans le dos jusqu’à effleurer mes fesses, nues sous mon pantalon, pour m’inciter à prendre place face à lui. « Bonjour Damien, j’ai reçu votre cv et d’emblée il a rejoint mon top trois. Pour votre photo, très sexy, mais aussi votre parcours. Vous avez été interne durant vos études. Vous devez donc connaître l’ambiance, disons, érotique qui domine les relations ici. Nos étudiants masculins passent la semaine ensemble, donc… » explique-t-il en me souriant. « Oui j’ai vécu et aimé cela aussi. Ces amours masculines vécues pour se déstresser le soir après les cours. » Ma réponse semble lui plaire car il me fixe d’un regard plutôt pervers. « Cette ambiance, vous devrez la gérer pour que tout se passe bien, avec des cours donnés quant aux risques liés aux IST. Vous devrez leur montrer comment mettre un préservatif. D’ailleurs, je vous vous montrer ma méthode recommandée ici. Baissez votre pantalon, ce sera plus simple ». Surpris, je m’exécute bien volontiers. D’un geste je déboutonne mon pantalon, je baisse mon string noir jusqu’aux chevilles. Et je sens son regard sur moi, mon sexe épilé. Il le soupèse ainsi que mes bourses. « Joli service trois pièces, humm » me complimente-t-il tout en déroulant d’un geste un préservatif sur ma verge. « Et voilà, vous avez vu comment faire ? » « Oui, je vais adopter votre méthode ». Pour lui plaire, je tarde à me rhabiller, lui offrant la vue de mon sexe. « Dans les douches, vous devrez surveiller que les relations restent protégées. Et la nuit, vous aurez à débarquer à l’improviste pour surprendre les étudiants qui ne respectent pas le port du préservatif. Il arrivera que vous deviez donner de votre personne mais j’imagine que vous n’êtes plus surpris. Certains étudiants sont encore puceaux et cherchent à apprendre ». Décidément, ce directeur a un langage cash. Mais j’aime cela. Ce vieux pervers aux cheveux blancs a sûrement beaucoup de souvenirs coquins.
« Bien, il me semble bien d’avoir le meilleur candidat dans ma sélection. Que dites-vous du poste ? » « Monsieur le directeur, je suis ravi de pouvoir commencer dès que possible. » « Parfait, le secrétariat vous contactera demain pour les détails. Mais il reste une phase de sélection à remplir avant de vous laisser partir : la visite médicale. Comme vous allez côtoyer nos internes, je veux m’assurer que vous êtes en bonne santé. Vous me suivez à l’infirmerie ? » Comment résister à une telle demande ? Je le suis dans une série de couloirs et d’escaliers descendus vers le sous-sol. Un dernier couloir sombre nous mène devant une porte sur laquelle frappe le directeur. Un vieil homme, enfin de 60 à 70 ans selon moi, en blouse blanche nous fait entrer dans une pièce équipée comme un cabinet médical. « Entrez Damien, le directeur m’a donné votre dossier pour un examen complet. » En disant cela, le docteur, vrai ou pas je l’ignore, m’invite à rejoindre une table d’examen. « Déshabillez-vous, complètement, je vous prie. » Ces mots résonnent comme un ordre froid. Je m’exécute devant lui et le directeur resté près de la porte, et qui ne perd rien du spectacle quand je me retrouve nu. « J’aime beaucoup ce corps épilé partout, cela donne un air très juvénile. Il va séduire nos internes, qui n’ont pas trop envie d’avoir un surveillant qui ne leur ressemble pas » explique le doc. Tout en me parlant il place une serviette sur la table d’examen et installe des écarteurs. « Allez-y, installez-vous. » C’est peu dire que je ne me fais pas prier. Les plans médicaux sont parmi mes préférés. Couché sur le dos, mes jambes relevées et écartées par les écarteurs, j’offre une vue imprenable sur mon intimité. Le directeur s’est rapproché et mate sans complexe. Le doc enfile des gants et me palpe les seins en me pressant sans douceur mes tétons. Puis me décalotte la verge d’un coup sec, mon gland apparent est rouge, humide. Le doc le presse et introduit une sonde dans l’urètre. Il prend plaisir à la faire coulisser avant de la relier à un tableau de contrôle. Je sens du courant passer, mais pas longtemps avant que le doc ne retire la sonde. Ses doigts sur ma verge cherchent toute anomalie. Satisfait, le doc rempalce ses gants pour explorer mon petit trou. « Monsieur le directeur, venez-voir cela. » Le directeur fasciné par mon gros sexe ne réagit pas de suite, comme sorti d’un rêve. « Qu’est-ce qu’il y a ? » « Rien de dramatique mais venez-voir ce petit trou élastique. On voit qu’il a bien servi. Damien, tu aimes la sodo ? » D’un geste de tête je réponds positivement. Le directeur le touche, examine son élasticité avant d’y introduire un et deux doigts. Je gémis, en bonne soumise. « Regardez-le monsieur le directeur, il aime cela et il sera donc disposé à satisfaire nos internes en chaleur. » Le doc bande mais ne s’attendait pas à ma proposition. « Si vous voulez, n’hésitez pas à me tester, je suis à vous. A vous deux. » Le doc et le directeur se regardent, comme deux hommes en chaleur qui savent qu’ils vont avoir de l’amour. D’un geste, ils se dénudent le bas du corps. Premier à passer, le directeur se présente son sexe épais dressé. Un gros gland en forme de champignon, rapidement introduit en moi. Il me domine, prend son temps pour montrer qu’il est mon supérieur. En sueur, il jouit en moi en criant et me traitant de petite lope. En voyant mon sexe gonflé, il se penche et me suce à me faire jouir dans sa bouche avant de m’embrasser pour partager mon foutre. Le doc, tout nu et sexy avec ce corps sec et couvert de poils gris attend son tour. Mais souhaite me prendre en levrette. Un cheval d’arçon est présent dans la pièce. « Couche toi dessus et écarte tes jambes. » Je lui obéis en sentant son regard sur ma croupe. Je sens son gland se frotter contre mon trou puis entrer d’un coup. Humm, j’adore ce bruit des couilles qui tapent contre mes petites fesses. Excité lui aussi, le directeur a envie d’essayer lui aussi tandis que le foutre du doc humidifie mon trou. Un plan à trois qui me fait crier de plaisir. J’imagine déjà le sort que les internes vont me réserver le soir dans les chambres. Mais ceci est une autre histoire que je raconterai ici. D’un coup, l’ambiance retombe. Les deux hommes se rhabillent, me laissant nu, impudique. « Attendez ici que le secrétaire vous apporte votre dossier médical. Laissez-le vous voir nu, il est célibataire sans expérience » glisse le directeur d’un rire vulgaire en quittant la pièce. A suivre.
Colinot
philoebeddoe@tutanota.com
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