1 | L’arrivée de Mehdi, le désastre
Comme prévu Mehdi arrive mi septembre et comme prévu je vais le chercher à l’aéroport et comme prévu je le serre dans mes bras et devant tout le monde je l’embrasse bien tendrement sur la bouche…
La première journée se passe à aller à sa chambre universitaire, prendre possession des lieux. acheter ce qu’il manque, et faire un tour dans Paris.
Mehdi est émerveillé de tout, on sent qu’il est heureux… alors je l’emmène chez moi dans mon grand studio.. il en a vite fait le tour, touché à tout et rire de différents bibelots… puis il se jette dans mes bras :
- fais moi l’amour, baise moi fort, tu m’as tellement manqué mon amour, je ne sais combien de fois je me suis branlé en pensant à ton corps à tes coups de queue et à nos jouissances
- tout ça en plus de nos séances whatsapp ? eh bien tu ne dois plus avoir de jus…
Il rigole et ajoute
- je crois que j’en ai gardé un peu pour nos retrouvailles…
Et c’est un déchaînement, il me déshabille, se met nu également et m’entraîne sur le lit (il n’a pas besoin de me forcer beaucoup…) se met à quatre pattes, le cul en l’air, s’écarte les fesses laissant apparaître son petit trou brun foncé où il met un doigt :
- prends moi tout de suite, baise moi fort
Ma queue est déjà bien raide devant ce magnifique spectacle, je m’approche, mettant de la salive sur mes doigts pour mouiller le petit trou
- n’en mets pas trop je veux bien te sentir, et il enfoui sa tête dans le coussin, relevant bien son cul.
Ma bite s’approche, se colle à son anus, je force doucement et son trou commence à s’élargir.. c’est lui qui recule ses fesses d’un seul coup et ma bite est avalée par son trou… il pousse un cri… mais s’enfonce encore plus, les poils de mon pubis frotte contre ses fesses imberbes bien bronzées… alors je le prends par les hanches, recule pour mieux m’enfoncer et le pilonne pendant plusieurs minutes, il pousse des petits cris, gémit et ne cesse de dire..
- oui, continue, encore, vas y plus profond, oui je te sens bien…
Ce spectacle et ses mots m’excitent vraiment et dans une dernière poussée je jouis dans son intérieur une quantité magistrale de sperme chaud et je m’écroule sur lui.
On reste allongé comme ça , encore l’un dans l’autre, puis ma queue glisse de son intérieur, il se retourne, on est face à face, queue contre queue, il m’embrasse tendrement en me caressant.
- maintenant on peux faire l’amour, je veux être tendre avec toi, que tu sois tendre avec moi maintenant que tu m’as donné le meilleur de ta queue…
Ce fut un déferlement de caresses, baisers, léchages, suçages, tripotages, branles, tous les endroits de nos corps furent redécouverts et appréciés à leur juste valeur… je bus son jus avec avidité, il dégusta le mien en souriant… le soir nous étions KO ..lol
Nous sommes allés dîner et la nuit fut de nouveau torride.
Puis la routine, le train-train de chacun s’établit… lui avait ses cours, ses révisions et moi mon travail qui me prenait beaucoup de temps. Au début on avait dit de se voir 1 fois en milieu de semaine et de passer le weekend ensemble. Mais il me manquait trop en semaine et je devais lui manquer aussi, car nous sommes passés à 2 puis 3 jours par semaines…. Lorsqu’il avait des révisions il venait chez moi pour les faire… donc il arrivait que je retrouvais ma “petite femme” à la maison lorsque je rentrais du travail…
Jusqu’au mois de juin l’année suivante, ce ne fut que baises, promenades, visites de musées et de boites de nuit…
Je l’ai emmené en boite gay, il ne connaissait pas ça bien sûr.. et fut étonné de retrouver bon nombre de ses compatriotes…de les voir se trémousser devant les mecs il disait
- au pays tu les habilles en femme et elles sont baisées par tout le quartier! Elles n’aiment pas! elles font la pute!
Il était très remonté contre les arabes présents… mais j’ai réussi plusieurs fois à faire des plans à plusieurs… là il devenait actif, très actif et tous ceux qui voulaient sa queue devaient se la prendre en bouche et dans le cul.. je ne le reconnaissais pas.. jamais de tendresse avec un mec autre que moi.. si un mec lui touchait le cul, il se faisait remettre en place illico… jamais il n’a embrassé un autre mec devant moi…
Et lorsqu’on rentrait à la maison, j’avais toujours droit à une partie de baise très hard où son cul était le roi de la fête…
On ne s’ennuie pas avec Mehdi, avec moi, toujours gentil, si je refusais quelque chose, il ne se fâchait pas mais… revenait à la charge quelques temps plus tard sous une autre forme.. en prenant un air angélique qui me faisait rire et… accepter..
J’aurai mille anecdotes à raconter… il est reparti chez lui pour les vacances d’été, travailler dans l’hôtel où l’on s’était connu… puis il est revenu en septembre 2018 .
Il était égal à lui-même, mais je lui trouvais de temps en temps un air taciturne, triste, au début je mettais ça sur le compte de l’éloignement de son pays, de sa famille.
Mais plus l’année s’écoule, plus il devient irascible, fais des réflexions sur tout et rien, chose qu’il n’avait jamais fait auparavant…
Un soir que nous étions couchés, je décidais de prendre les choses en mains
- Mehdi que se passe-t-il ?
- comment ça ?
- tu n’es plus comme avant.. tu ne m’aimes plus ? tu connais quelqu’un d’autre ?
- non je t’aime toujours autant, c’est pas ça..
- c’est quoi alors ?
- si je te le dis tu vas être déçu et à tous les coups fâché contre moi..
Je le serre bien fort dans mes bras
- je serais peut être déçu mais en aucun cas fâché contre toi..
- j’ai eu mon père au téléphone, il veut que je finisse l’année scolaire et que je rentre au pays sans revenir l’année prochaine
J’ai cru que mon coeur allait s’arrêter
- et tu as dit quoi ?
- que veux tu que je dise, je dois obéir à mon père!
- il sait pour nous deux ?
- non car sinon il m’aurait dit de rentrer de suite…
- donc nous sommes en mars, tu repars en juin et je ne te revois plus en France, c’est moi qui viendra te voir au Maroc alors..
- non tu ne pourras plus me voir
et il se jette dans mes bras et pleure toutes les larmes de son corps, il a pleuré, pleuré en se frottant contre moi, ne répondant ou plutôt ne pouvant répondre à cette simple question
- pourquoi je ne pourrais plus te voir ?
Je lui caressais lentement le dos, la tête pour le calmer, le rassurer et au bout d’un très long moment, il a relevé la tête, m’a regardé dans les yeux :
- mon père veut que je me marie en juillet, il m’a trouvé un bon parti selon lui.
J’ai cru que tout s’écroulait autour de moi, j’étais abasourdi et je ne pouvais rien dire.
Mehdi reposa sa tête sur ma poitrine sans un mot, je sentais son doigt me caresser le téton… on est resté comme ça silencieux, longtemps, très longtemps…puis on s’est endormi dans les bras l’un de l’autre.
C’était bien la première nuit que l’on passait ensemble sans faire l’amour.
Je me souviendrais pour longtemps de ce matin d’avril. Mehdi était déjà debout, nu le sexe dressé, faisant du café, il avait fait griller quelques tartines, qu’il avait beurré et mis de la confiture…
- le petit déjeuner est prêt pour mon homme dit-il en me souriant
- viens te coucher près de moi, je veux te dire quelque chose
Il vient s’allonger près de moi
- pas de reproches ?
- non Mehdi, aucun reproche, je suis triste, mais je comprends très bien que tu dois obéir à ton père, ce n’est pas ton choix.. mais c’est comme ça.. alors je te propose que jusqu’à ton départ on n’en parle pas .. trop et que l’on vive comme avant… avec insouciance
- tu es vraiment un amour
Il m’embrasse, se redresse me pose sa queue sur les lèvres.
- La crème de monsieur est avancée…
Ces deux mois ont passé très vite.. à mon goût, et la dernière semaine fatidique arriva. Il avait reculé d’une semaine son départ et voulait la passer uniquement avec moi.
Je l’ai baisé jusqu’à épuisement.. il subissait, sans rien dire à part des gémissements déchirants de mes coups de reins…
une ou deux nuits avant son départ, nous venions de faire l’amour tendrement, en revenant des toilettes, il se pose derrière moi, colle son corps contre le mien, sa queue sur mes fesses, sa bouche dans mon cou, qui s’approche de mon oreille
- mon amour je voudrais te faire l’amour pour la première et la dernière fois, tu veux bien ?
Je passe ma main entre nos corps, sans rien dire, lui saisi la queue bien raide la trouvant bien humide et grasse, et la pose à l’entrée de mon cul…
- oh merci mon amour, je me suis préparé pour toi, pour que tu n’aies pas mal, car je vais te baiser maintenant..
En disant cela je sens sa queue qui force mon entrée, il s’ajuste pour être juste devant, force, je tends mes fesses à l’arrière et le gland entre, j’ai le souffle coupé, il arrête, me serre dans ses bras et continue sa pénétration, je sens sa queue pénétrer lentement, m’élargissant doucement, j’aime sentir cette bite longue et grosse, chaude me réchauffer… puis il commence des vas et viens lents, pour aller de plus en plus vite.. je suis maintenant à plat ventre, il me chevauche au galop… sa queue entre et sort pratiquement complètement de mon cul… je gémis longuement, je sens ma queue masturbée par le frottement sur les draps… puis mon cul est submergé, noyé de jus chaud de mon amour Mehdi… son corps s’appesantit sur le mien, sa queue toujours raide à l’intérieur, il maintient sa raideur par de petits mouvement de bassins… je sens son souffle sur ma nuque… il me mordille la nuque, l’oreille, le cou, l’épaule…
- monsieur veut un deuxième service ?
- avec plaisir… dis-je dans un souffle
Alors il repart à la besogne, lentement, j’ai l’impression plus profondément, accélère, décélère, m’écarte les jambes d’un coup de genou pour avoir mon cul encore plus profond… je mords les draps… puis après de puissants coups de reins mon cul est de nouveau inondé par la semence de Mehdi… Il débande, se retire, me retourne, se jette sur ma queue bien raide, la prend en mains, la branle doucement et l’avale toute entière, je sens sa langue envelopper mon gland et ses lèvres sur ma hampe.. il n’a pas le temps de faire plusieurs aller-retour que lui donne mon jus en plusieurs giclées abondantes… il avale tout… et me nettoie la queue à petits coups de langue… et vient se mettre dans mes bras..
- si on dormait un peu ?
La nuit fut encore torride.
La dernière nuit, il voulut.. et obtint que se soit uniquement moi qui le baise, comme une pute dit-il à plusieurs reprises.. mais on a fait l’amour.. pour la dernière fois .. puis le matin nous sommes partis à l’aéroport…
On ne parlait pas beaucoup. On était triste.
- j’espère quand même qu’on aura l’occasion de se revoir, surtout si tu viens en France fais le savoir. De toute façon tu as mes coordonnées, pour ne pas te déranger dans ta nouvelle vie, je ne t’appellerais jamais sauf si c’est toi qui me le demande… je te souhaite tout le bonheur avec ta nouvelle femme, j’espère que tu feras beaucoup de petits Mehdi aussi beaux que leur papa… sois heureux mon amour
- moi aussi j’espère que l’on se reverra un jour, je dois te dire que tu m’a fais vivre les deux meilleures années de ma petite vie, je t’aime et je crois que je t’aimerais toujours, tu auras toujours une place, une très bonne, dans mon coeur et dans mes souvenirs.. on en a tant …
- je ne t’ai pas remercié pour la nuit que tu m’as fait passer… j’ai attendu deux ans quand même pour connaître ça avec toi!! tu es un voyou!! mais je t’aime
On s’est embrassé tendrement, sans un mot et il est parti.
Je n’ai pas eu de nouvelles jusqu’au 16 juillet 2019, il m‘a envoyé deux photos de son mariage en disant “ça c’est fait” Sa femme est jeune et très belle. Au moins son père a su bien choisir… j’espère qu’il sera heureux.. je l’ai félicité naturellement…
et depuis… je suis une âme en peine… il faut que je le sorte de ma tête… en écrivant cette histoire, j’espère que cela m’aidera..
Vive la vie, vive les mecs, les beaux, les laids, les grands, les petits, les gros , les maigres, les blancs, les noirs, les jaunes et tous ceux que je n’ai pas rencontré….
P.S.: J'ai reçu des photos de son premier fils début mai 2020.. et de son second en début avril 2021.. il a juste ajouté qu'il était heureux..
Moi également, car j'ai retrouvé un pote d'école en retournant vivre dans ma campagne.. et devinez ? il s'appelle Mehdi.. mais c'est une autre histoire que je vous partagerais bientôt, c'est en cours d'écriture!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
Histoires de l'auteur :