1 | Devient réalité!
J'avais toujours eu envie d'être à la merci d'un rebeu de cité. D'être sa chose, sa salope, sa pute, mais je n'ai jamais passé le pas! La trouille peut-être, mais surtout quand j'en croisais un je n'osais pas le regarder, le mater directement! Je m'arrangeais pour faire ça dans le reflet d'une vitre, une glace ou quand il me tournait le dos! Donc vous pensez bien que je n'arrivais à rien!
Je m'appelle Jonas, j'ai 30 ans, blond intégral, yeux verts émeraudes qui brillent quand ils voient un beau gosse qui me plait, un corps bien entretenu car je fais du sport, un petit cul bombé qui appelle le regard et aimerait bien plus souvent attirer des queues, mais je suis timide devant un beau mec blanc, alors vous pensez devant un rebeu de cité, je tremble!
Je travaille dans une banque comme commercial, et, ce jour là j'avais rendez vous avec un client dans sa société pour parler prêt et placement!
La société se situe en plein XVIIIème arrondissement, c'est à dire qu'il faut que je prenne le métro pour aller à mon rendez vous, et, naturellement sur cette ligne assez bondée, les trois quarts si ce n'est plus des usagers sont maghrébins ou blacks… J'avais chaud en descendant du métro, tous ces regards qui m'avaient dévisagé, des sourires narquois, des yeux qui me détaillaient des pieds à la tête, s'attardant sur mon cul sans chercher à le cacher, tout ça m'avait donné des idées qui n'étaient pas bonnes pour mon rendez vous! Je sentais mon cul qui mouillait et ma queue qui prenait de l'ampleur!
Je suis reçu par la secrétaire qui me dit que son patron monsieur Patrick C. avait dû s'absenter pour l'après midi, mais que son adjoint allait me recevoir, qu'il avait reçu toutes les instructions nécessaires pour avancer sur le dossier.
Je me suis assis sur une chaise devant cette charmante secrétaire qui devait me trouver à son goût vu les sourires qu'elle me lançait!
Je n'avais jamais entendu parlé de l'adjoint de monsieur Patrick C., vieux monsieur d'une soixantaine d'années, mais j'allais faire sa connaissance bientôt.
Et je n'ai pas été déçu, je suis même resté scotché sur ma chaise quand la porte s'est ouverte sur un jeune rebeu dans mes âges, costume cravate, regard perçant, yeux noirs brillants, lèvres pulpeuses, visage fin avec des lèvres … à tomber par terre! Il souriait en venant vers moi la main tendue :
-monsieur Jonas bonjour, mon patron a dû s'absenter et m'a demandé de commencer à dégrossir le dossier avec vous! Si vous en êtes d'accord bien sûr! dit-il en me faisant un grand sourire.
J'ai serré sa main, j'avais envie de la garder tellement elle était chaude, douce. Ses doigts ont enserré les miens, son sourire s'est accentué et son regard s'est plongé dans le mien.
-je m'appelle Sofiane, dit-il en accentuant son sourire. Veuillez me suivre..
Tu parles que j'ai envie de te suivre Sofiane!
Quelle allure il a! Son costume le colle et on voit bien que c'est pas un gringalet, sa veste se soulève quand il marche, dévoilant une paire de fesses dures… me semble t-il!
On rentre dans son bureau, il me présente une chaise et s'assoit en face de moi à son bureau.
On se met à parler du projet de son patron et je constate qu'il connait très bien le sujet! Malin, subtil, il me pose des questions pièges, en fait on s'évalue tous les deux!
Cela fait bien une heure qu'on est en tête à tête, qu'il propose de s'installer à la table d'à côté pour continuer, vu que son bureau est rempli de papiers. Il me propose une bière, que l'on déguste comme les ouvriers de chantiers, au goulot! On se regarde en souriant, je trouve que l'on devient complice et je sens ma timidité disparaître avec ce mec!
Il se relève, prend la bouteille de bière de ma main et va les déposer dans la poubelle derrière son bureau. Quand il revient mes yeux se perdent sur son entrejambe et je manque de tomber à la renverse! Putain de renflement!
En bon blond j'ai dû rougir, il me fixe et là je trouve qu'il a un regard coquin qui devient vicieux. J'ai chaud d'un seul coup, je défais un peu ma cravate.
-vous avez raison Jonas, faut se mettre à l'aise, il fait chaud dans le bureau!
Il retire carrément sa cravate, la jette sur le dossier d'une chaise, enlève sa veste et reste en chemise, ouvrant deux boutons, laissant voir le début de son torse imberbe! Mais ce que je remarque, c'est la chemise collée sur son corps, dessinant ses tétons qui pointent, deux beaux tétons semblent vouloir percer la chemise…
Je détourne les yeux, il vient s'installer sur la chaise à côté de moi!
-si on reprenait maintenant! mais vous pouvez enlever votre veste!
C'est ce que j'ai fait, mais j'ai gardé ma cravate!
On s'est replongé dans le boulot, mais sa jambe s'est collée à la mienne me transmettant sa chaleur! J'ai senti ma queue chercher la sortie, chercher à se détendre, s'allonger, voilà que je ne savais plus trop où j'en étais, et lui n'arrêtait pas de parler!
Et en parlant, pour me montrer sur un papier, il me touche la main, l'effleure, la touche, la saisit… là j'ai chaud!
Sa jambe bouge le long de la mienne, comme si elle la caressait lentement, doucement, répandant encore plus sa chaleur! Sa main est passée sur le dossier de mon siège, son visage s'est avancé près du mien, je peux le respirer, le sentir, sentir ce beau mâle et comme il continue de parler en me fixant, je sens son souffle se répandre sur mon visage!
Je ne sais plus où j'en suis, et je ferme les yeux, sûrement de bonheur!
Il continue de parler et je sens sa main me prendre le menton, j'ouvre rapidement les yeux pour le voir à deux centimètres, sourire aux lèvres!
L'autre main passe sur ma jambe, fonce sur mon entrejambe et me pince mon sexe bandé coincé dans mon pantalon!
-c'est moi qui te mets dans cet état monsieur le banquier ?
J'ai perdu la parole, je dois être rouge comme une pivoine en pleine éclosion vu la chaleur qui m'envahit, je sens la sueur qui coule de mon front, je vois qu'il la remarque, son sourire s'accentue.
-mon banquier est pédé ?
Je le fixe inquiet quand même!
-mon banquier aime les rebeux ?
Là je cligne des yeux rapidement.
-mon banquier veut se faire niquer dans le bureau de l'adjoint ?
Mes yeux s'agrandissent comme de la peur, et je regarde la porte qui donne sur le bureau de la secrétaire.
-mon banquier n'a pas à avoir peur, la secrétaire part dans 10 minutes.
Mes yeux se ferment comme si j'étais soulagé.
-mon banquier est une salope alors ! il se fait niquer comme ça! sans connaitre vraiment l'adjoint!
Je le regarde sans répondre, quoi dire ? Que oui je suis une salope en manque, qu'il me plait, qu'il peut faire de moi ce qu'il veut, j'obéirais!
-enlève ta cravate Jonas la salope! me dit-il tout bas, yeux dans les yeux, me jetant son souffle sur le visage, et ouvre bien ta chemise, montre moi tes tétons!
J'obéis sans le quitter des yeux.
-tripote toi les tétons pour qu'ils durcissent bien, oui c'est ça ma belle salope, juste entre deux doigts, tu les serres doucement, tu les tournes, tu serres plus fort!! Tu sens comme ils durcissent… t'aimes ça ma salope, je suis sûr que ça te fait bander!
Je cligne des yeux tellement j'ai mal à la queue prisonnière qui aimerait bien montrer sa beauté!
On entend du bruit dans le bureau d'à côté, chaise, tiroirs puis la voix de la secrétaire qui dit fort,
-monsieur Sofiane, c'est l'heure je vous laisse, vous penserez bien à fermer les portes!
-pas de problème crie Sofiane, bonne soirée Mlle Sonia.
Sa main s'affermit sur mon menton qu'il tient toujours :
-à nous deux ma salope! Enlève ta chemise!
Je me mets torse nu, toujours tenu par le menton!
Je le vois m'observer, à son sourire je pense qu'il apprécie la blancheur de ma peau de blond.
Il se lève me tirant à lui pour que je me relève également!
-t'enlèves tes groles mecs! dit-il d'un ton plus dur.
J'obéis et me retrouve en chaussettes.
-Pantalon! le ton est encore plus sec!
Je me retrouve dans mon boxer serré, ma queue mouille comme jamais je n'ai mouillé!
-enlève moi ce boxer ma belle salope!
Je libère ma queue qui tombe juste en face de la sienne toujours emprisonnée. Ses yeux la regardent, sa main vient dans sa direction, la frôle du dos de la main et passe ses doigts dans ma toison blonde, mes longs cheveux du pubis que les mecs adorent!
Sa main s'est enlevée de mon menton, il regarde ses doigts dans ma toison, son autre main caresse mon flanc, descend vers mes fesses qu'il caresse vite fait, et me fait retourner!
-pose les mains sur la table et présente moi ton cul de salope monsieur le banquier!
Je m'appuie sur la table, écarte un peu plus les jambes, offrant l'accès à mon beau petit cul, je sais que les poils blonds de ma raie se voient et que cela excite les mecs! Il ne fait pas exception, je l'entends siffler quand sa main passe dans la raie, prend les poils entre les doigts et tire dessus, me faisant crier!
-eh bien ma pute! Si tu cries quand on tire deux poils! T'as pas fini de gueuler!
C'est ce que je veux mec, crier, gueuler! j'ai pensé.
Ses deux mains enveloppent mon cul, le caressent, l'ouvrent, un doigt passe dans la raie, il s'est accroupi derrière moi et doit me mâter l'anus, mon petit anus qui doit s'ouvrir, je sens son doigt passer dessus, revenir, appuyer, forcer puis se retirer, les mains ouvrir plus mes fesses et il crache juste sur mon anus, son doigt revient et s'enfonce en moi… Je tends bien mes fesses, mon cul s'ouvre bien, son doigt s'enfonce, caresse la paroi, se retire et deux doigts reviennent en forçant, mais entrent facilement! Il tourne, vrille et mon cul reste ouvert! C'est utile de se goder quand on veut se faire niquer!
Il ne dit plus rien, je sens sa respiration sur mes fesses, il est vraiment aux premières loges Sofiane, mon beau rebeu!
Il force encore plus en mettant trois doigts, m'ouvrant comme jamais! Là je commence à gémir, je colle mon torse sur la table, cabrant bien mon cul aux pénétrations de ses doigts!
De l'autre main il se met à me claquer les fesses, si les premières sont presque douces, il s'excite tout seul le rebeu à martyriser mon petit cul! Les claques pleuvent, il change de main et de doigts dans mon cul mais fore toujours aussi profond, comme s'il cherchait à faire entrer sa main!! Là j'ai un peu peur quand même!
Combien de temps il m'a foré, j'en sais rien mais j'avais envie d'autre chose, d'autant qu'il était toujours habillé le lascar! Il n'avait pas l'air d'être pressé!
Quand ses mains se sont emparées de mes hanches, collant son bassin juste sur mon cul, j'ai senti la grosseur, la chaleur de transmis, ses mains sont remontées sur mes flancs, remontant à mes tétons durs, qu'il prend entre ses doigts, il est couché sur mon dos, je sens son souffle sur ma nuque! Il me martyrise les tétons assez durement me faisant gémir, pousser des petits cris, je sens ses lèvres passer dans ma nuque, remonter jusqu'à une oreille :
-maintenant ça va être à toi de montrer que tu aimes vraiment ça t'occuper d'un mâle rebeu! Tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta bouche d'abord… et si je suis satisfait, tu auras droit à avoir mon gros zob marocain dans ton petit cul profond de pute! Car t'es une pute monsieur le banquier! T'as pas une fois dit non! t'es prêt à tout alors ?
Il se redresse, me redresse, me fait retourner :
-occupe toi de ton maître salope!
Ses mains retombent le long de son corps, il me regarde de son air narquois de mec supérieur!
Là je reviens sur Terre, s'il savait vraiment le plaisir qu'il me fait de pouvoir m'occuper de son corps!
Je défais les boutons de sa chemise, l'enlève, regardant émerveillé ce torse brun, bronzé naturellement, deux beaux tétons me regardent, pointent vers moi au milieu de leur aréole plus brune! Un torse imberbe complètement, j'avance mes mains et les pose sur ce corps sublime, juste effleuré pour sentir la chaleur, la douceur, appuyant pour sentir la dureté des muscles, remontant vers les tétons et je repense qu'il a dit "avec ta bouche!".
Je laisse mes mains sous ses seins, le tenant mais pas fermement et j'approche mes lèvres, collant ma chevelure blonde sous son nez, et d'un coup de langue je fais connaissance avec les deux tétons, j'aime ses petites bites raides qui pointent, je lèche, j'aspire, je mouille, je lèche encore, je les prends entre deux dents, fais mine de les mordre, il ne dit rien, ne bronche pas, ne me touche pas!
J'ai dégusté ses tétons avant de descendre sur son torse, suivant les abdos bien marqués, les léchant, respirant sa peau, son odeur pour m'en souvenir! Je l'ai léché partout! J'ai adoré son goût de soleil et je me suis retrouvé à genoux devant lui, devant l'entrejambe fermé, mais la bosse qui se trouvait là devait être quelque chose de magnifique et j'avais hâte de faire sa connaissance!
J'ai délacé ses chaussures en posant mon front sur sa queue! C'était gros, c'était dur!
J'ai enlevé ses chaussures et mes doigts ont défait le ceinturon, le pantalon qui est tombé à terre, je l'ai aidé à sortir ses jambes, et j'en ai profité pour enlever ses chaussettes, et prendre, l'un après l'autre, ses pieds entre mes mains, les caresser, les frotter, les porter à mes lèvres en relevant la tête pour le regarder et voir qu'il avait l'air étonné! Mais il s'est laissé faire, alors j'ai fait des bisous à ses beaux pieds, léché chaque orteil, les noyant de salive avant de lécher les dessous, le dessus, le talon! Quand les deux pieds ont eu leur dû, ma langue est remontée à l'intérieur des cuisses, passant de l'une à l'autre, l'embrassant, léchant les poils, pour arriver au boxer que je regardais en détails!
Le dessin des couilles était bien apparent, comme celui du gros zob, énorme ce devait être ce mandrin, qui partait sur ma droite, remontant presque dans son aine avec au bout le dessin du gland circoncis, plus gros que la queue et une grosse tâche mouillée récemment!
J'étais content de moi…
Sans attendre j'ai libéré le monstre, prenant le boxer entre mes mains et le tirant vers le bas, le sgeg de monsieur Sofiane me tombe sur la tête pendant que je lui fais enlever le boxer des pieds! Quand je relève la tête, c'est pour avoir les lèvres sur les couilles de monsieur et la grosse teub remonte sur mon visage!
Je hume, je sens, je respire à pleins poumons cette bonne odeur de mâle rebeu en rut! Car il est bien en rut le rebeu, ça se sent! La teub, la transpiration, les testostérones sont bien là!
Je l'aperçois qu'il me regarde en se penchant en avant!
Je m'occupe de ses belles couilles chaudes et poilues, les léchant, les suçant, les gobant une par une , j'essaie de les prendre ensemble, mais ça roule, alors j'ose mettre ma main pour les faire entrer et le regarder comme un hamster heureux!
Son sourire me rend fier!
Je joue avec pendant un petit moment et j'attaque le morceau de roi! Y'a à bouffer les mecs! On pourrait être deux à s'en occuper! Mon petit cul va chanter quand ça va entrer!
Mais pour l'instant c'est ma bouche, ma langue qui s'en occupent!
Je passe mes lèvres tout le long du zob, arrivant au gland qui coule abondamment, je regarde la mouille sortir du méat et donne de petits coups de langue pour la récupérer et faire un filet de ma bouche au gland!
Le gland est bien plus gros que la hampe! Quel morceau bien dessiné!
Quand mes lèvres l'enveloppent, je sens la mouille couler encore plus, je lèche, j'aspire et… enfin il pousse un long soupir! J'active juste sur le gland, l'enveloppant, ma main vient serrer le zob, l'envelopper, le serrer encore plus fort, le tenir fermement et ma bouche s'active encore plus sur le gland, ce qui le fait gémir maintenant!
D'un seul coup j'enlève ma main et ma bouche cherche à tout avaler!
Mais je m'étouffe rapidement, je tousse, je crache je pleure, je sens ses mains venir me tenir aux joues, me faire reculer pour que je respire et il me laisse continuer!
Je la veux cette queue! je le veux ce sgeg de marocain chaud!
Je crache, la salive sort de tous les côtés, je pleure, mais j'arrive à faire entrer le gland dans ma gorge et mes lèvres touchent enfin ses poils pubiens, je peine à respirer avec mon nez dans ces poils!
C'est lui qui me retire, me tient la tête et me fait faire des va-et-vient dessus, mais très lents, ma bouche bien serrée dessus, l'épousant parfaitement! Je vois qu'il a fermé les yeux, sa langue passe sur ses lèvres!
Ses mains me saisissent aux oreilles et il me fait relever, m'approchant de lui!
Comme on est de la même grandeur, nos têtes sont juste face à face! Il approche la mienne jusqu'à ce que nos nez se touchent! Ses yeux noirs brillent.
-tu suces tout le temps comme ça à fond ? ou tu as fais ça pour être sûr d'avoir mon zob dans ton petit cul de salope ?
J'ai le sourire en lui disant :
-je crois que les deux raisons sont bonnes maître Sofiane!
-maître ? mais alors tu veux vraiment être ma pute ?
Je n'ai pas répondu en le fixant, puis j'ai baissé les yeux regardant son nez!
-Alors voyons comment ce cul de salope prend mon zob! Je te préviens la pute, je te l'ai préparé tout à l'heure, j'ai pas l'intention de recommencer!
Pour toute réponse, je me suis retourné pour m'appuyer le torse sur la table et de mes mains j'ai ouvert mes fesses, écartant bien mes jambes, me stabilisant, et j'ai commencé à pousser!
J'ai senti ses doigts passer dans la raie, trouver l'entrée, et me forer quand même rapidement!
Puis le vide, avant de sentir le gros gland partir de mes couilles et remonter lentement dans ma raie, déposant la mouille qui coulait encore, je l'avais en goût dans la bouche!, il n'a pas fait plusieurs allers retours, quand il est passé sur l'anus, il s'est bloqué devant, j'ai senti mon anus s'ouvrir un peu! J'ai senti du liquide tomber sur le trou.. il venait de cracher quand même!
Ses mains m'ont saisi aux hanches et le gland a commencé à avancer en moi, le sentir m'ouvrir, m'écarteler doucement! Tout allait bien, mon cul s'ouvrait bien, la salive faisait son office avant de sécher! Les mains se sont affermies et j'ai senti qu'il donnait de petits coups de reins, comme pour être sûr qu'il se trouvait bien au bon endroit!
Et le dernier coup de reins a fait franchir l'entrée à son gland! Là j'ai gueulé, hurlé! Putain de douleur, j'ai bien cru que j'étais déchiré complètement, j'étais envahi de sueur, la chaleur me prenait partout, je tremblais des jambes!
Il me tenait bien, il n'a plus bougé le temps que je m'habitue… si je pouvais!
La douleur s'éloignant! Merci mon gros gode!!! j'ai pensé!
Ses mains sont devenues affectueuses me caressant le dos, les reins, les fesses! Les claques sont arrivées, faisant bouger mes fesses, il s'amusait ce voyou!!
Mais c'était pour amadouer mon cul! Car ses mains sont revenues se saisir de mes hanches , j'ai senti son gland bouger en moi, comme s'il se reculait, mais c'était pour mieux revenir!
D'un coup de reins tout le reste est entré, nos couilles se télescopant en même temps que je reprenais mes gueulantes, mes hurlements! Mais je n'aurais changé de place avec personne!
Putain d'endurance mon rebeu, mon Maître! J'étais comme une poupée gonflable entre ses mains et sous son sgeg! Il m'a secoué comme un prunier en pleine récolte, doucement, durement, son zob a voyagé en moi longuement et longtemps! Mon cul était ouvert comme l'entrée d'un métro! Je n'avais même plus la force de serrer mon cul sur son zob!
Mais là où j'ai été surpris, c'est qu'il ne jouissait pas rapidement! Il aimait niquer un cul ça c'est sûr!
Et, quand il m'a fait relever contre lui, collant mon dos humide à son torse, ses mains passent sur mon torse, triture fermement mes tétons raides, ses lèvres sur ma nuque, il me mord, me lèche, me mord encore plus fort, sa queue bouge en moi, j'ai l'impression que, collé à lui, elle va encore plus loin! Une main me prend la gorge pour me reculer la tête, me serre doucement, j'ai ma joue contre la sienne et je sens son autre main descendre sur mon torse et venir ma prendre la queue, prête à jouir!
-t'as une belle queue la pute! ah t'aimes ça le zob! t'as gueulé mais t'as tout pris ma salope! t'es un bon quand même, alors si tu veux jouir de ma main dis le!
J'ai tourné lentement ma tête, caressant ma joue avec la sienne, nos lèvres se touchaient presque, j'avais envie de les embrasser :
-oui je veux bien maître Sofiane!
Mon souffle se mélange au sien, et, quand il commence à me branler, ce qui fait serrer mon cul sur son gros mandrin qui palpite en moi, ses lèvres se posent sur les miennes et les bouffent! Je ne sais plus où j'ai vraiment le plus plaisir, ma bouche, ma bite ou mon cul? Et quand sa langue s'enroule à la mienne, me donnant sa salive, je sens ma queue malmenée dans sa main chaude, se raidir, mes fesses écraser sa queue et un son rauque étouffé par sa langue tente de sortir au moment où les giclées sortent de ma belle queue et giclent au travers de la table remplie de nos papiers!!
J'ai à peine fini de jouir qu'il me repousse sur la table, je tombe dans mon jus, ses mains me bloquent les hanches et en deux va-et-vient, il se bloque bien au fond de moi et là, c'est lui qui hurle! Un karcher vivant le mec! Des giclées chaudes , abondantes et puissantes remplissent mon petit cul! Il finit en gémissant et je gémis aussi pour l'accompagner!
Il tombe sur mon dos, il est haletant, sa queue ne bouge plus en moi!
Délicatement il sort de mon cul, je me retourne vite fait pour me pencher sur le beau zob et le nettoyer comme il se doit!
C'est lui qui me redresse pour me prendre dans ses bras, je m'y réfugie, heureux, lui fait un bisou sur la joue, il me regarde étonné :
-mais t'arrête jamais!
-mais Sofiane! Un mec comme toi j'en ai jamais eu! J'ai jamais été si bien baisé et si longtemps! t'es vraiment un maître!
-toi t'es vraiment une salope et t'as de la chance j'aime les salopes, alors tu fais quoi ce soir ?
-ce que mon Maître voudra! j'ai répondu en tendant mes lèvres, qu'il a pris délicatement avant de me bouffer la bouche!
Quand il a repris son souffle, il m'a regardé :
-alors on va chez moi! j'ai encore plein de choses à t'apprendre ma belle salope!
Voilà pourquoi je suis accro aux rebeux… qui me le rendent bien!
Vous voulez connaître notre soirée ?
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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