Il fait chaud à Paris en ce mois d'août, mais c'est le mois que préfère Andersen pour venir passer du temps et visiter notre capitale.
Andersen, hollandais, a 24 ans, cela fait trois ans qu'il vient à Paris, sac à dos pour parler avec les français et enrichir ses connaissances.
C'est un beau mec blond comme les blés, cheveux longs, mince d'une dégaine nonchalante, mais ses beaux yeux bleus sont tout le temps en chasse d'un beau parisien, jeune de préférence, dans ses âges pour parfaire son français et en même temps le sexe. C'est un gourmand Andersen et ils se souvient de tous les petits français qui l'ont mis dans son lit. Il adore se faire baiser et plus la queue est grosse plus il apprécie.
Il n'a pas les moyens de se payer l'hôtel, alors il loge chez l'habitant ou dans un squat pas loin de la Gare du Nord. Mais quand il est arrivé hier c'est pour constater que le squat était muré. Il est entré dans un square et s'est installé dans son sac de couchage sous les branchages. Il est jeune il a dormi mais pas très bien quand même.
Là il est en chasse sur le boulevard, ses yeux cherchent son futur hébergeur.
Et ses yeux sont attirés par un mec dans ses âges, assis sur un banc, fumant sa clope artisanale. Il l'observe de loin d'abord, c'est un brun cheveux longs comme lui, beau visage fin aux belles lèvres, des yeux noirs vus de loin. La même allure que lui, nonchalante avec son regard dans le vide qui semble ne voir personne.
Pourtant les regards se croisent, se fixent comme s'ils se parlaient et Andersen s'avance tout sourire, son sac sur les épaules et vient se poser devant ce beau brun qui le fixe sans vergogne, lui tend sa clope:
-une taffe ?
Andersen s'assoit à côté de lui et il partage la cigarette artisanale sans échanger grand mot au départ.
Puis c'est Andersen qui se présente et il est scotché d'entendre parler ce mec. Un putain d'accent italien chantant presque qui le rend encore plus agréable.
Les sourires sont sur les lèvres, il s'appelle Raphaëllo et il est italien, étudiant en français. Ils se racontent leur vie et finissent par se reconnaître tous les deux, gays toujours en chasse.
Ils ont envie de se connaître plus intimement et se demandent où ils peuvent aller.
-j'ai trouvé un squat sympa dit l'italien, j'y dors depuis deux nuits, c'est tranquille, si tu veux on peut aller là-bas.
Andersen raconte ses mésaventures avec le squat qu'il connaissait et le parc où il avait passé la nuit.
Durant le reste de la journée ils se sont baladés, les mains se sont frôlées, serrées, les sourires s'accentuaient sur les lèvres et souvent ils s'arrêtaient face à face en se fixant, au milieu de la foule, prêt à s'embrasser devant tout le monde, mais repartaient en se tenant la main.
Le repas du soir fût vite expédié en bordure de Seine, les pieds presque dans l'eau et à la nuit tombée les mains sont devenues plus curieuses et les langues ont enfin fait connaissance.
Quand les mains ont touché les queues ce fût juste pour constater qu'ils bandaient tous les deux et Andersen avoue à Raphaëllo qu'il a envie de se faire baiser.
Un baiser fougueux suit cette déclaration et l'italien arrive à passer sa main dans la braguette ouverte pour sortir le bel engin hollandais. Une belle queue bien raide, bien droite au gland décalotté se redresse laissant couler la mouille en abondance et l'italien lui dit que c'est ce qu'il aime le plus : bouffer la mouille d'un beau mec comme lui.
Andersen a poussé son premier cri sur les bords de Seine quand l'italien a posé ses lèvres sur son gland pour l'avaler, le serrer entre ses lèvres, pendant que sa langue en faisait le tour et qu'il l'aspirait.
Andersen a poussé un long gémissement en caressant les beaux cheveux bruns de l'italien qui aspire sa queue de plus en plus, sa main sort les couilles, les tripote et se met à le piper comme un forcené, si bien qu'Andersen jouit en poussant de petits cris.
La bouche de l'italien vient se poser sur la sienne et ils se partagent son sperme chaud.
-ton jus est bon le hollandais, j'ai envie de ton cul maintenant! On va dans MON squat?
Le squat était sur le 4ème pas loin de Beaubourg et l'italien connaissait le chemin, ils marchaient plus vite, l'envie était là, des deux côtés.
Raphaëllo lui indique "sa" chambre avec un grand matelas dans un coin. Pas de lumière, mais avec ce clair de Lune on y voit presque aussi bien qu'en plein jour.
Juste le temps de jeter leurs sacs dans un coin qu'ils se jettent l'un sur l'autre. Les baisers reprennent, les corps sont déshabillés rapidement et ils se retrouvent nus tous les deux, face à face s'observant en souriant.
Andersen prend la belle queue italienne en main, la caresse et offre ses lèvres et sa langue. Raphaëllo le serre contre lui et ses mains partent en exploration sur ses fesses qu'il triture en les ouvrant, glissant un doigt pour toucher l'anus et constater qu'il est tout humide et surtout très souple!
-j'ai envie de toi dit l'italien.
-je voudrais te sucer avant, dit Andersen.
-j'aime bien après pour que tu récupères encore du jus, mais là c'est ton cul que je veux, maintenant dit l'italien en affermissant sa voix.
Andersen sourit, caresse son visage.
-c'est ça fait le dur, viole moi sur le matelas pourri dit Andersen en l'embrassant.
L'italien rigole, le retourne et le pousse vers le matelas où Andersen tombe à quatre pattes le cul bien écarté. Un lune regarde l'autre Lune brillante qui éclaire la scène.
Raphaëllo aime bien baiser durement un mec lors de leur première rencontre, le dominer en enfonçant sa grosse queue rapidement!
Il s'approche, pose ses mains sur le haut des fesses et sa queue bien décalottée au gland suintant cherche l'anus.
Mais une voix les fait sursauter.
-c'est pas un squat de pédés ici ! dit une voix forte et d'un ton qui n'invite pas à répliquer.
Raphaëllo se redresse pour faire face mais le mec le repousse et il tombe à côté d'Andersen.
C'est un arabe, un rebeu de quartier au regard vicieux quand il voit le cul d'Andersen qui n'a pas bougé. Un mec qui doit avoir plus de 30 ans, barbu mais la barbe bien taillée, pantalon de survêt, TN aux pieds, cheveux courts noirs qui les matte de son air dur.
-vous êtes qui les salopes ? demande l'arabe.
-moi c'est Andersen, je suis hollandais dit il en se redressant.
-ah ah dit le rebeu, les hollandais aime bien se faire niquer! Et toi ?
-moi c'est Raphaëllo, je suis italien.
-et tu te fais niquer aussi ?
-ça m'arrive dit l'italien en baissant la tête.
-Alors comme ça vous venez niquer dans mon squat sans demander la permission! Il y a toujours une taxe à payer les gars et les salopes comme vous deux j'les nique moi!
-mais t'es qui ? demande Andersen en le fixant.
-moi c'est Rakin, rebeu au zob distributeur de bonheur. Fais voir ton cul l'italien!
Ils ne veulent pas vraiment l'admettre tous les deux, mais ils n'étaient pas rassurés au début, mais cela semblait vouloir tourner à la baise.
Raphaëllo s'installe à côté d'Andersen et tend bien son petit cul.
Aussitôt les petits culs sont investis, deux doigts fouineurs entrent dans les trous, plus facilement dans celui du hollandais.
Le rebeu claque les fesses durement, ils poussent un petit cri.
-toi le hollandais tu vas préparer le cul de ton pote, bien l'ouvrir je vais lui faire payer la taxe en premier pendant qu'il sucera ma teub d'enculeur.
Et devant leurs yeux, il baisse son pantalon de survêt et boxer libérant un monstre de zob.
Le regard gourmand d'Andersen sourit, tandis que celui de Raphaëllo est inquiet.
Ils regardent le gros zob tant en longueur qu'en épaisseur.
Ca doit bien faire 22 cm pense Andersen et mes doigts n'en font pas le tour!
-viens goûter ma teub l'italien et toi prépare bien le cul de ton pote car quand je nique faut que tout soit ouvert!
Alors Raphaëllo a offert son cul à Andersen. Quand il a relevé la tête c'est pour voir le gros gland circoncis juste devant sa bouche, Rakin prend un malin plaisir à le promener sur ses lèvres, son visage répandant sa mouille et ricane en voyant le regard étonné de l'italien.
S'il est étonné c'est bien de voir le gros zob forcer ses lèvres, mais en même temps de sentir la douceur d'Andersen qui lèche son anus avec application, mouille abondamment et écarte la salive avec sa langue. Quand son premier doigt s'enfonce en lui, le gros zob du rebeu commence à forcer le fond de sa gorge. Il se met à tousser, ce qui ouvre son anus rapidement et Andersen peut glisser facilement deux doigts. Il tousse, il pleure et voudrait se retirer mais le rebeu tient solidement sa tête.
Quand le zob ressort lentement, ses yeux pleurent, la bave coule de sa bouche en filet jusqu'à terre. La gros zob revient avec force, bloquant son arrière gorge, l'empêchant de respirer!
-ferme bien ta bouche la salope italienne!
Il obéit et sent le zob bouger dans sa bouche. La mouille coule encore et il la trouve bonne, pas le même goût que celle d'Andersen, mais la mouille de ce rebeu est vraiment bizarre. Alors il se met à téter le zob, ce qui fait rire le rebeu.
-t'en fais pas, tu peux me faire juter, de toute façon j'aurais ton cul!
Il ricane un long moment avant de demander à Andersen si tout est prêt.
Andersen prendrait bien sa place, mais le rebeu fait le tour, le bouscule, fait relever l'italien, le fait pencher en avant.
-cale toi sur ton pote qui va ouvrir ton petit cul!
Et dans la pénombre bien éclairée quand même, Andersen voit le gros zob s'approcher de l'anus de l'italien, se poser dessus comme s'il s'écrasait. Le rebeu passe son gland dans la raie et revient sur l'anus humide, prend l'italien en haut des fesses et d'un coup de reins son gland disparait.
Le premier hurlement de l'italien arrive de suite. Il se cramponne à Andersen en pleurant mais au deuxième coup de reins il se sent comme écartelé par une grosse barre de fer brûlante. Au troisième tout est rentré et il continue d'hurler sa race!
-j'aime quand ça gueule ma belle salope, alors ne te prive pas!
Andersen ne quitte pas des yeux le gros zob ressortir lentement, voir l'anus écarté le laisser sortir et d'un coup de reins revient en place. Nouvel hurlement et la machine rebeu se met en route.
Andersen n'a jamais vu un si gros zob œuvrer dans un cul. Il en est presque jaloux. Il regarde le rebeu pour voir qu'il suit du regard son zob. Son visage est dur mais il a l'air heureux le rebeu et quand ses yeux croisent ceux d'Andersen, il lit de l'émerveillement.
Andersen n'a jamais vu un rebeu jouir de près, le voir sourire, serrer des dents, ses yeux le fixent, se ferment et il pousse un long gémissement pendant que l'italien sent la sève rebeu se répandre en lui en longues giclées chaudes. La douleur disparait.
Le zob sort du cul complètement, lentement et Andersen voit l'apparition de ce gros gland comme une naissance. Il bande encore bien raide le rebeu et, sans le regarder Andersen tend la main pour venir prendre le zob et se pencher dessus.
Il le pose sur sa main et se met à le lécher comme s'il le vénérait. Le zob ne débande pas et au contraire se raidit encore plus. Il regarde le rebeu, sourit :
-et moi ?
Là c'est le rebeu qui est étonné.
-mets toi en position puisque tu veux faire ta salope, mais sans préparation pour toi!
Il avait dit ça d'une voix dure, autoritaire, mais n'a pas vu le sourire d'Andersen.
Certes je vais chanter mais putain cette queue je la veux!
Il n'avait pas finit de penser sa phrase qu'il sentait le gland forcer son trou. Il avait caler son épaule sur le corps de l'italien qui maintenant assistait à ce que Andersen avait vu! Il a compris pourquoi il avait eu si mal!
Andersen a hurlé également, mais il n'a pas cherché à se sauver, au contraire il poussait pour que le zob entre plus rapidement sous ses cris.
Raphaëllo n'en revenait pas de voir cela surtout que lui aussi avait tout avalé!
Il a assisté à la baise de son nouveau pote qui couinait, hurlait, criait mais tendait bien son petit cul et le rebeu souriait en regardant sa queue voyager dans cette salope qui s'offrait, certes en gueulant mais il sentait bien qu'il aimait ça.
Comme il passait en second, la nique fut plus longue. Il n'en pouvait plus Andersen, à chaque coup de reins le mandrin rebeu s'enfonçait au fond de son cul, ça claquait sur ses fesses offertes, il prenait des claques de temps en temps et d'un seul coup le rebeu s'est figé au fond de lui.
Andersen n'avait pas vu les giclées qu'avait reçu Raphaëllo, mais il n'a pas été déçu du rebeu. Il a cru à un moment que le rebeu pissait en lui !
Puis tout c'est arrêté, le zob est sorti lentement et c'est Raphaëllo, sans se faire prier qui est venu nettoyer le zob du rebeu et goûter par la même occasion au cul de son nouveau pote.
Ils étaient à genoux devant le rebeu qui les toisait de toute sa hauteur.
Ses mains ont caressé leurs joues, il souriait de son air vicieux :
-vous êtes vraiment deux belles salopes et je vois que vous aimez le zob car maintenant vous bandez mes salopes! Alors vous allez vous gouiner devant moi, vous sucer ensemble et tout avaler surtout!
Ils se sont mis en position et se sont tétés mutuellement, goûtant vraiment pour la première fois à leur queue.
Le rebeu n'avait pas débandé et tournait autour d'eux en se caressant son gros zob. Ils l'excitaient ces salopes, il a commencé à se branler au dessus d'eux en les regardant se tailler des pipes. Voir les lèvres qui avaient entouré son zob, sucer avec avidité une autre belle queue, les entendre gémir ces salopes, il se branle plus énergiquement et dans un râle il éjacule deux longues giclées sur les corps pour les voir sursauter car en même temps ils jouissent ensemble dans les bouches accueillantes.
Le rebeu égoutte son zob au dessus d'eux, ils le regardent en souriant :
-léchez vous, ça ne se perd pas du jus de rebeu!
Ils ont obéi en souriant et sont venus à genoux devant Rakin qui commençait à débander. Les deux bouches se sont emparées du gros zob et se sont amusées avec, sentant les mains du rebeu sur leurs têtes qui les accompagnait.
Il le suçait chacun leur tour, se repassant le gros zob et quand il a fourni encore une fois quelques petites giclées ils se sont partagés la semence en souriant.
Le rebeu s'est mis à genoux entre les deux, les a pris par les cheveux, serrant fort pour approcher la tête d'Andersen en premier et lui rouler un patin d'enfer, mêlant sa langue à la sienne, avant d'approcher celle de l'italien et d'en faire autant.
Les mains des salopes caressaient le corps du rebeu qui n'arrêtait plus maintenant de leur offrir sa langue :
-vous êtes là jusqu'à quand ?
-moi un mois dit Andersen.
-moi aussi dit Raphaëllo.
-alors faudra régler la taxe tous les jours les mecs! dit le rebeu.
-moi je veux bien dit Andersen en posant sa tête sur l'épaule du rebeu, si c'est toi le collecteur!
-moi aussi dit l'italien.
-sinon j'ai un pote qui collecte aussi, dit le rebeu sournoisement.
-moi je t'aime bien dit Andersen en faisant sa salope.
Le rebeu se relève, se rhabille, il les prend dans ses bras, se laisse embrasser :
-bon demain soir même heure, soyez en forme mes belles salopes!
Il a disparu comme il était venu.
Ils se sont regardés en riant.
-je crois qu'on va avoir mal au cul à la fin du mois! dit Raphaëllo en riant. J'aimerais bien faire connaissance avec ton cul mec!
-viens dit Andersen en l'entraînant sur le matelas.
Le silence s'est fait, les soupirs, les bisous, les caresses reprenaient.
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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