Salim 30 ans passé est toujours à la recherche d'un zob qu'il ne connait pas, d'un zob qui n'a pas visité son cul de salope endurante. Pourtant quand on rencontre ce beau mâle viril on pense plutôt que c'est un macho prêt à vous niquer.
Les céfrans, ses potes blacks ne l'intéressent pas, pourtant il en a vu certains à poils dans les caves et la longueur de certains bangala fait toujours envie à n'importe quelle salope.
Mais Salim n'est pas n'importe quelle salope.
32 ans au compteur, 1m85 pour 80 kg, toujours sa barbe bien taillée, ses yeux marrons foncés qui sont sans arrêt en recherches, toujours en survêt haut et bas et l'on distingue toujours la forme de son sgeg dans le pantalon et ce n'est pas n'importe quel sgeg.
Mais quand ce beau mâle se déshabille et que l'on voit son cul, beaucoup en sont restés bouche bée. Une forme bien ronde dont chaque fesse tient bien dans la main, des fesses imberbes car il les rase, les entretient, alors que ses cuisses et son torse sont poilus. Mais les poils s'arrêtent juste en dessous des fesses ce qui les met en valeur. Salim est heureux quand c'est un potto, un cousin, un beur qui s'intéresse à son anatomie. Il adore se faire peloter les fesses longuement quand le mâle rebeu, le macho le tient dans ses bras, lui disant qu'il est une salope et qu'il va le niquer. Ils s'embrassent comme des bonhommes qu'ils sont, les langues se mélangent, les salives changent de camp et c'est parti pour son bonheur.
Mais il compte sur les doigts des deux mains les vrais zobs qui lui ont donné du vrai plaisir. Son préféré est Yassine du même âge que lui et je vais vous raconter leur rencontre, leur première fois au moment où Salim est tombé sous le charme de Yassine, comme Yassine est tombé sous le sien.
Que vous demandiez à l'un ou à l'autre, ils sont d'accord pour dire que cela c'est passé un vendredi soir lors d'une tournante à la cave.
Ils se mataient déjà, mais pas un ne voulait dire qu'il aimait les rebeux, niquer les céfrans ou autres oui mais pas un frère, un cousin. Et pourtant.
Ils étaient en bas de l'immeuble, six rebeux, comme souvent le vendredi soir à raconter leurs mythos de baises quand Farid est arrivé disant qu'il y avait un nouvel arrivage à la cave, trois putes de céfran qui venaient se faire niquer par le plus grand nombre de rebeux et de renois. Ce fût l'hallali, la ruée vers les caves et pas longtemps après les sgegs étaient de sortie et entraient rapidement dans les trois culs et bouches des céfrans. Ils se sont tous vidés comme il se doit, mais Salim avait enfin vu le zob de son pote Yassine en plein effort et ses coups de reins lui avaient plus.
Il s'est arrangé pour sortir de la cave seul avec lui et ils sont allés s'asseoir sur un banc dans le square où régnait la nuit. Ils racontent et commentent ce qu'ils viennent de vivre ensemble et rigolent. Dans la nuit Salim observe son pote et à la clarté de la Lune se rend compte qu'il est beau, attirant qu'il aime l'entendre parler, le regarder, lui sourire.
Yassine malgré sa barbe a un visage doux, affectueux qu'on a envie de caresser. Le rebeu est tactile et Salim passe son bras sur les épaules de Yassine qui lui sans façon pose sa main sur sa cuisse. Ils parlent et en fait se caressent en même temps.
Salim se sent émoustillé, la main de Yassine qui bouge sur sa cuisse lui procure une douce chaleur qui monte dans son zob déjà raide. Le premier compliment sort de sa bouche.
-j't'avais jamais vu niquer un mec Yassine, mais putain j'peux dire que t'es beau quand tu fais ça.
La main de Yassine s'affermit sur sa cuisse, et il se colle encore plus à lui :
-et toi c'est pareil Salim, j'avais jamais remarqué ton putain de corps, comme t'es musclé mais, j'veux pas te vexer mon pote, ce que j'ai remarqué m'a mis dans tous mes états.
Ils se regardent à ce moment là, ils sont presque nez à nez à se toucher.
-quoi? demande Salim comme s'il ne s'en doutait pas.
-dommage que tu sois un frère parce qu'avec le cul que tu as, il donne envie de le visiter!
-t'as jamais niqué de cousins ? demande Salim.
-si bien sûr, mais des salopes, des petites crevettes de rebeux qui se font niquer par tout ce qui passe, mais toi comme moi on est des bonhommes Salim!
Ils se fixaient sans rien dire durant un long moment.
-et pourquoi deux bonhommes comme nous on pourrait pas se faire plaisir ? demande doucement Salim en collant son nez à celui de Yassine.
-tu m'offrirais ton beau cul Salim ?
-si tu me le demandes gentiment et que tu sais t'en occuper dit Salim en avançant ses lèvres à toucher celles de Yassine.
Yassine avait le cœur qui battait encore plus vite quand ses lèvres ont rencontré pour la première fois celles de Salim.
Ils se sont embrassés comme de jeunes puceaux, se caressant les lèvres mutuellement, se serrant du mieux qu'ils pouvaient l'un contre l'autre sans chercher à faire voyager leurs mains sur les corps chauds.
Et l'envie est venue des deux côtés en même temps quand ils ont soupiré en gémissant et que les langues se sont touchées pour s'enrouler l'une à l'autre. Ils se tenaient chacun le visage pour mieux s'embrasser, se déguster la langue chacun leur tour et les salives coulaient d'un côté comme de l'autre.
Lorsqu'ils se sont regardés ils ont ri et ont recommencé avant que Salim lui demande :
-on va chez moi ? j'aimerais pas que les autres nous voient Yassine.
-t'as raison ou chez moi si tu préfères.
Quand il se sont vus en pleine lumière, sourire aux lèvres ils n'ont pas cessé de s'embrasser dans l'ascenseur pour arriver les zobs raides collés l'un à l'autre.
Sitôt entrés, Salim l'emmène dans sa chambre, allume la lumière tamisée et ils se déshabillent tous les deux comme s'ils étaient pudiques sans se regarder pour s'allonger sur le lit et Salim se retrouve dans les bras de ce beau mâle rebeu.
Les baisers hard ont repris, ils se mordaient à se faire mal, Yassine faisait des suçons dans le cou de Salim qui lui en faisait autant et c'est Yassine qui s'est mis à déguster son corps, ses tétons qu'il a martyrisé durement en les pinçant, les mordant sauvagement pour l'entendre crier. Il est descendu sur son torse, noyant son nombril et fait des bisous à son gros zob bien raide, bien dur et chaud, lui a bouffer les couilles rapidement avant de soulever ses jambes pour les coller sur son torse.
Salim a entendu un sifflement sans voir la tête de Yassine qui plongeait déjà sur son cul.
Dans cette position ses fesses étaient bien ouvertes, imberbes complètement, lisses. Il sent les mains chaudes de Yassine les caresser, les écarter encore plus et, de suite sa langue se poser sur son anus. La bonne langue dépose de la salive chaude et de suite la pousse sur l'anus souple qui s'ouvre facilement, faisant siffler une seconde fois Yassine.
Sa façon de lui lécher l'anus a plu de suite à Salim. Son petit trou s'ouvrait bien et la langue pouvait le pénétrer, il la sentait toucher sa muqueuse et les frissons comme les râles arrivaient. Quand les lèvres de Yassine ont épousé son anus, Salim n'a pu s'empêcher de crier. La langue passait dans la raie longuement pour revenir sur son petit trou et essayer d'aller encore plus loin.
Yassine n'arrêtait pas de caresser ses belles fesses, il avait envie de le niquer comme la salope qu'il ne pensait pas qu'il était, mais il aimait l'entendre gueuler sous ses coups de langues.
Quand il a mis deux doigts directement en tournant dans l'anus, Salim criait en continue, il voyait qu'il poussait et que le trou restait ouvert quand il a crié :
-nique moi Yassine!
Telle une ogive téléguidée son sgeg est venu se poser sur l'anus, juste à l'entrée, juste pour sentir la chaleur du conduit se répandre en lui, et il a regardé Salim :
-j'savais pas que mon frérot se faisait niquer comme une salope!
Alors d'un coup de reins il a fait entrer la moitié de son gros zob, ouvrant encore plus l'entrée pour qu'immédiatement après le conduit se resserre dessus, pendant que Salim continuait ses gueulantes.
Salim gardait les yeux ouverts pour fixer Yassine et lui sourire malgré la rudesse qu'il employait. Pour finir de le combler Yassine prend son temps en forçant lentement, sentir le conduit s'ouvrir devant son gland, l'envelopper, le serrer et enfin que ses couilles reposent sur celles de Salim.
Il a fait tomber son corps sur celui de Salim, rapprochant leurs têtes et d'une voix douce a demandé :
-donne moi ta langue bébé!
Les yeux ne se quittaient pas quand les langues se sont touchées, mais le gros zob a commencé son voyage, l'amplitude des coups de reins était douce au démarrage, comme une locomotive diésel qui se chauffait.
Salim était aux anges, la langue et le zob de son pote pour lui, pour lui tout seul, pas un mec pour les voir faire. Il enveloppe de ses bras la tête de Yassine et lui roule l'un de ses meilleurs patins, faisant couler la salive de leurs bouches.
Yassine est lancé, le gros zob rebeu a pris sa cadence et sans être sec, Salim trouve que son cul n'a jamais été si bien ramoné, pas trop fort mais on sent quand le même le mâle dominateur, le gros sgeg est là pour le prouver.
Quand les bouches se séparent, Yassine s'appuie sur les cuisses de Salim et sans le perdre du regard, le nique, le nique comme un rebeu de cité nique une pute offerte. Salim comprend ce qu'est la puissance rebeu, la vraie puissance du bonhomme qui domine sa salope tout en la vénérant, car dans son regard Salim ne voit pas du mépris mais bel et bien de l'admiration d'avoir accès à son cul superbe.
Il prend son temps Yassine, c'est vrai qu'ils viennent de juter plusieurs fois ce soir à la cave et cela permet de tenir la distance et comme Salim sait jouer avec son cul sur le zob voyageur, c'est autour de Yassine de commencer à grogner, de râler puis de pousser une gueulante en s'écroulant dans les bras accueillants de Salim qui sent les giclées chaudes du rebeu macho couler en lui, remonter dans son conduit, réchauffer le tout, les giclées n'arrêtent pas, Yassine a des sursauts de son corps que Salim tient contre lui.
Tout s'arrête d'un coup, ils sentent tous les deux les cœurs battre à l'unisson.
Yassine regarde Salim, ils rigolent ensemble :
-tu m'as tué mon frère dit Yassine, j'ai jamais été aussi bien dans un cul de rebeu! Tu sens je suis encore raide!
-oui je le sens bien ton gros sgeg et il est toujours aussi dur, si tu veux continuer vas y j'ai vraiment kiffé mec!
-bah tu vas bien me garder pour la nuit maintenant ?
-oui dit Salim en riant.
-car j'aimerais goûté à ton zob, boire son jus!
-quoi Yassine le macho suce des zobs!
-chut Salim, c'est le même secret que toi qui se fait trouer le cul!
Ils rigolent en serrant l'un contre l'autre.
-si tu suces aussi bien que ton zob m'a niqué, alors j'ai hâte de découvrir cela!
-quoi? mon frérot me met au défi!
Il sort délicatement du cul de Salim, plus délicatement qu'il l'avait vu faire des culs des céfrans à la cave et son corps n'a qu'à glisser pour avoir accès au zob de Salim, qui n'attend que ça.
Il prend le zob d'une main, le redresse, l'observe comme il a fait avec son cul et c'est sa langue qui entre en action, léchant rapidement les couilles, la pointe de sa langue part de la base et suit la grosse veine qui vient se perdre sous le gland. Le sgeg est bien circoncis, sa langue titille le gland et voilà Salim reparti dans ses petits cris. Quand il sent les lèvres envelopper son gland, la langue le caresser en l'inondant et Yassine aspirer en descendant ses lèvres serrées sur la hampe, Salim redresse la tête, pour voir son gros zob disparaître lentement dans la bouche de ce phénomène de rebeu macho qui fait des gorges profondes comme une vulgaire salope de cité.
Salim sent son gland entrer dans la gorge et quand Yassine relève la tête, c'est pour voir que ses beaux yeux pleurent, mais il repart à l'attaque, le suçant vraiment comme un mec qui aime la queue et qui veut faire jouir son mec, ses doigts triturent ses couilles, les caressent, les écrasent doucement et Salim sent déjà sa liqueur arriver.
Yassine a dû le sentir également, car il resserre ses lèvres et quand les giclées arrivent, juste précédées de cris de Salim, Yassine sent le bon jus rebeu se répandre dans sa bouche avant de couler dans sa gorge. Salim est excité comme un jeune puceau et il jouit, jouit à n'en plus finir tellement la bouche et la langue de Yassine lui font du bien.
Yassine revient s'allonger sur lui, offrant ses lèvres et déverse un peu de son jus qu'il avait gardé en bouche. Ils se délectent de ce bon jus, s'embrassant, se caressant.
-tu sais que t'as un zob magnifique mec et j'espère que ce ne sera pas notre seule nuit Yassine.
-je ne suis pas envahissant Salim, c'est toi qui offre ton cul, alors quand tu ne voudras plus de moi, tu le dis c'est tout!
-mais si j'ai jamais plus envie de toi ?
-alors je serais le plus heureux des rebeux de la cité, mais faut être discret hein!
-t'en fait pas Yassine, c'est pas moi qui va aller raconter que ton zob est magique!
-non pas magique Salim, tu sais ce que m'a dit un rebeu un jour ?
-non dit Salim.
-que j'avais un zob distributeur de bonheur!
Fabrice
nico.tendre@orange.fr
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