Salut à tous,
Moi, c’est Nico, j’ai 20 ans, je suis étudiant en littérature à Bordeaux. J’habite dans une petite ville dans la proche banlieue de Bordeaux. Je vis encore chez mes parents. Je suis homo, j’ai fait mon coming-out il y a 2 ans, mais je ne le crie pas non plus sur tous les toits. Seule ma famille est au courant, ainsi que mes amis proches.
J’ai déjà un peu d’expérience... mais très peu. En partie parce que je me sens très complexé. Moi, je suis mince, je fais 1,80m. J’ai un corps plutôt imberbe. Je suis blond, les yeux bleus, les cheveux courts et je porte des lunettes. Le problème, c’est que je suis mince et que j’ai un énorme cul. J’en ai toujours eu un en fait. Mais pendant la période du bac, j’ai mangé beaucoup de cochonneries comme des sucreries ou des chips à cause du stress... et j’ai pris du poids, presque 5 kg, mais seulement au niveau du cul. Et je remarque que depuis quelques temps, on me regarde dans la rue car j’ai des hanches et un cul de meuf...
Depuis que j’ai remarqué ça, je vais à la salle de sport et je fais du foot. Je suis vraiment bien gaulé, j’ai de beaux abdos et des pecs développés... mais mon gros fessier est toujours là. Mon cul est en forme de poire, avec de grosses fesses bien rondes. Je ne peux plus porter de jean de mecs... Soit je vais chez les femmes, soit je porte des leggins ... qui malheureusement mettent mon cul bien en valeur.
Mais bon, ceci est pour le moment du passé. La crise du Covid a frappé, la fac a été fermée, on est passé en cours à distance. Et puis est venu le confinement. Je me retrouve donc enfermé dans la maison de mes parents, avec mon père, Guy, ma mère, Sylvie, et mon frère, Christophe. Mon frère a 25 ans, il vient de finir ses études d’ingénieur et il cherchait du travail au moment où la crise du Covid a commencé. Il a une copine qui étudie sur Paris et qui, bien sûr, n’est pas chez nous.
Je vis assez bien toute cette période. Nous sommes maintenant confinés depuis bien 1 mois et je suis assidument les cours en ligne, je joue beaucoup à des jeux vidéo. Personne ne me fait de réflexion ou je n’ai pas besoin d’avoir honte à cause de mon cul. Mon frère, quant à lui, le vit moins bien. Il aimerait sortir, faire la fête... et surtout profiter de sa copine ! J’ai très vite compris en effet qu’elle lui manquait... surtout que le sexe lui manquait. Il a vite commencé à faire des allusions qu’il était en chaleur. Moi, à chaque fois, je levais les yeux au ciel.
Par exemple, un jour, mes parents reviennent avec un test PCR. Ils me le donnent et on doit se tester parce que mon père pensait avoir été cas contact au supermarché. Je sors le test de son emballage et je siffle !
- Putain, mais ils sont gros, ceux-là !
- Oui, dit mon père. Ça va faire mal !
- Tu crois que je vais arriver à faire rentrer ça ?
- Ça rentre toujours, t’inquiète !, dit alors mon frère en me lançant un clin d’œil. Ça fait toujours mal la première fois, mais après ça passe tout seul.
Je regarde mon frère d’un air consterné en secouant la tête.
- Putain, mais trouve-toi une meuf !
- Pas possible en ce moment, dit-il en se levant et en me tapant derrière la tête.
- Connard !
Je me lève pour prendre ma revanche et il me fout une grosse fessée. Puis, surpris, il pousse un « oh ! ».
- Quoi, dis-je, énervé.
- Non rien, c’est que ...
- Les garçons, arrêtez !, intervient ma mère. Vous avez quel âge ?
Quelques jours plus tard, ma mère fait à manger et elle prépare des saucisses avec de la purée. Je m’exclame :
- Hmmm ! Des saucisses ! Ça fait longtemps que j’en ai pas mangé !
- Oh, Nico ! Tu as envie de saucisses ? En ce moment, c’est dur pour toi aussi, non ?
Je le lui lance un regard noir, sans commenter son allusion. Mais il continue :
- Moi, je suis plutôt en manque de bonne viande fraiche, bien dodue, bien tendre !
Je sors de la cuisine, un verre à la main. Je bois et soudain, je vois une ombre passer derrière moi. Je sens alors mon frère qui me frôle le cul... ce qui me fait m’étrangler :
- Putain ! Connard ! Tu vois pas que je bois.
- Ah, Nico, c’est que de l’eau ! Tu as dû t’étrangler avec bien pire, je pense.
- T’es trop con ! Tu crois pas que je comprends tes allusions ! Va te branler un bon coup, ça te calmera !
- Non, j’aurais plutôt besoin du cul de ma copine !
- Ben, pas le choix, tu es en mode manuel !
- Ah, si tu préfères commencer avec les mains, moi, j’y vois pas d’inconvénients !
- T’es vraiment un mec lourd, tu sais ?
- C’est plutôt ce que j’ai entre les jambes qui est lourd... et plein !
Je vais dans ma chambre pour ne plus entendre ses conneries. Pas facile, ce confinement !
Le jour suivant, on est dans la cuisine. Je suis en train de me faire un thé et il passe derrière moi et il me met une fessée. Je m’écrie :
- Putain ! Tu me fais mal !
- Mais Nico, c’est que tu as un cul bien moelleux, dis-donc !
D’un geste rapide, il fait descendre mon leggin et mon gros cul rebondi est à l’air libre.
- Ah merde ! Ton cul est tellement gros qu’il ne loge plus dans tes slips ! Ça te ferait presque un jock-strap !
Sans que je puisse réagir, il me met une main au cul qu’il malaxe. Je me défends alors en remontant mon leggin :
- Tu fais chier ! Dégage !
- Mais tu sais que t’as un vrai cul de meuf !
- M’emmerde pas avec ça !
Et je quitte la pièce, énervé. Les jours suivants, il va sans arrêt faire des allusions perverses à propos de mon gros cul de meuf tout en le touchant... ce qui finit par m’énerver grave. Un jour, j’éclate et mes parents lui disent d’arrêter. Mais à chaque fois qu’il passe derrière moi, il fait des « hm » en rigolant. Je suis vraiment en colère et je passe depuis le plus clair de mon temps dans ma chambre.
Une des raisons pour lesquelles je suis content d’être confiné, ce que j’en profite aussi pour beaucoup me branler. Je mets des pornos et j’adore faire durer le plaisir. Je me masturbe pendant une heure et je jute de grosses quantités.
Aujourd’hui, il est 23h. la maison est tranquille. Mes parents sont allés se coucher, mon frère est dans sa chambre. Je mets un porno et je commence à me branler. Quelques minutes plus tard, j’entends la porte de ma chambre s’ouvrir et Christophe rentre :
- Ah, Nico, tu es encore debout ! Tu peux me prêter ...
Il ne termine pas sa phrase. Il remarque la situation et il prononce juste un « oh ! ». Je me mets vite fait un coussin sur mes jambes, cachant ma bite et je lui hurle :
- Tu veux quoi ? Dégage, putain ! Tu peux jamais me foutre la paix ?!
- Ok, ok, pardon ! J’aurais dû frapper. Mais j’ai l’impression que ... tu as une plus grosse bite que la mienne. C’est possible ça ?
- Merde ! Dégage !
Christophe s’approche de moi et il arrache le coussin.
- Ah ! Non ! La mienne est plus grosse ! Je suis rassuré.
Il rigole et il repart en fermant la porte. Bien sûr, énervé, je mets un jeu vidéo en route. Il m’a coupé toute envie !
C’est maintenant le printemps et il fait vraiment chaud. Et mon frère a décidé de se promener torse nu pendant toute la journée. Mon frère est grand (1,90 m), sportif. Il a des cheveux châtains, mi-longs, un visage lisse. Il a un corps superbement musclé. Il a de beaux pectoraux et des tablettes de chocolat en se damner. Ses bras et ses cuisses sont aussi musclées. Il a un piercing sur le téton gauche. Il a une toison de poils courts sur le torse. Une ligne de poils en descend sur son ventre et va se perdre dans son caleçon. Le milieu de son ventre est aussi poilu, tout comme ses jambes.
Je me dis qu’il est quand même bien foutu et je me retrouve un peu jaloux qu’il n’ait pas hérité d’un gros cul comme moi.
Un matin, alors que je me prépare pour un cours en ligne et que les parents dorment, il entre dans la cuisine, tout nu.
Je remarque d’abord qu’il a beau petit cul musclé et imberbe. Puis, il se retourne. Cette ligne de poils qui traverse son ventre arrive dans un pubis extrêmement velu. Sa queue molle pend entre ses jambes. Au repos, je dirais qu’elle doit faire 13 cm, épaisse, marron, avec un gros gland enfermé dans un prépuce. Il a aussi de grosses couilles velues et pendantes. Chacun de ses mouvements, sa bite bouge lourdement tel un pendule de gauche à droite.
- Mais tu fais quoi, là ? Tu peux pas t’habiller ?
- Quoi ? Je suis chez moi aussi ici !
- Respecte un peu mes yeux... ils sont en train de se faire violenter !
- Ah ! Genre ! Avoue que je te fais envie !
- Arrête de dire n’importe quoi !
Bien sûr, je mens. Je dois m’avouer à moi-même que son morceau a l’air très prometteur et si Christophe n’avait pas été mon frère, je me serais jeté sur sa grosse queue.
Je secoue la tête, chassant ses pensées inappropriées. Je m’assois à la table de la cuisine et je mate son petit cul musclé qui est à quelques mètre de moi. Christophe se verse tranquillement son café dans une tasse. Puis, il prend un bol et il y met des corn-flakes, il y ajoute du lait et il vient se poser à côté de moi pour prendre son petit-déjeuner. Je vois de nouveau sa bonne teub et il vient s’assoir à côté de moi. Je bois mon café en quatrième vitesse et je me précipite dans ma chambre... son morceau étant vraiment trop tentant. J’essaie de me calmer et j’allume mon ordi pour suivre les cours. Une demi-heure plus tard, j’entends mes parents se lever... Je suis soulagé, Christophe ne va pas oser se promener nu devant eux.
Le lendemain, je me lève à 7h30 car mes premiers cours commencent à 8h. Après un café obligatoire pour me réveiller, je me dirige vers la salle de bains pour être présentable car notre professeur veut qu’on allume notre webcam. Il veut sûrement vérifier si on est bien là et si on suit le cours. J’ouvre la porte de la salle de bains et je me rends alors compte, trop tard, qu’elle est occupée. Mon frère est sous la douche, l’eau coule sur son magnifique corps. Il a les yeux fermés ... et il est en train de bander ! Sa queue est à l’horizontale, bien grosse. Sa bite est droite comme un « i ». Elle est épaisse, marron, avec un gros gland rouge. Elle doit bien faire 22 cm. Elle est veinée.
Il ne m’a apparemment pas entendu rentrer car il saisit alors sa bite et il se met à la branler. Je ferme la porte rapidement et je me précipite dans ma chambre... Putain ! Quelle teub ! Elle me fait trop envie ! Je remarque alors que je bande. Je regarde l’heure : 7h50. J’ai le temps pour une petite branlette vite faite. Je jouis rapidement et je vais dans la salle de bains quand j’entends qu’elle est libre. Je me pose ensuite devant l’ordinateur... un peu honteux... je viens de me branler en pensant à la queue de mon frère...
Vers 10h, je descends dans la cuisine et je me refais un café. Mon père est à table et il lit le journal. Christophe arrive quelques secondes plus tard et il passe derrière moi en me disant :
- Tu me fais un café ?
- Oui pas de soucis.
Il est derrière moi... et il se met à passer sa main sur mon cul. Je veux me dégager de cette situation quand il me murmure à l’oreille :
- Je suis trop en manque en ce moment !
- Arrête, putain !
- Ton gros cul me fait trop envie !
- Arrête !
Il passe sa main dans mon leggins et il se met à me malaxer un de mes grosses miches. Je remonte vite mon pantalon en jetant un coup d’œil à mon père qui n’a rien remarqué.
- Regarde, je mens pas.
Il prend ma main et ... il la pose sur son paquet. Il est en effet en train de bander. J’enlève vite ma main et il me dit :
- Je sais que tu m’as vu dans la douche ... et je sais que ça t’a pas laissé indifférent !
Je verse du café dans une tasse sans rien dire et je me casse dans ma chambre, sans même prendre le temps d’y ajouter du sucre.
J’évite alors mon frère pendant toute la journée. Toutes sortes de pensées me trottent dans la tête. Mais j’essaie de ne plus y repenser. Le soir au dîner, il n’arrête pas de me lancer des regards provocateurs. C’est pour ça que je vais m’enfermer dans ma chambre directement après le repas.
Ce qui se passe dans la nuit, je peux simplement le reconstruire d’après les dires de mon frère. En pleine nuit, il se faufile dans ma chambre sans un bruit, il referme la porte et il me trouve en train de dormir, sur le dos. Il se déshabille et il s’approche de mon lit. Il se penche sur moi et il remarque que je bande. Il saisit alors ma queue qu’il tâte. Je dois faire un mouvement car il se recule et je me mets sur le côté. Il voit alors mon cul qu’il se met à caresser à travers le tissu. Puis, il passe sa main dans mon caleçon tout en passant sa main sur son corps et en malaxant sa queue de l’autre. Il se fait plaisir ainsi pendant quelques minutes...
C’est à ce moment-là que je me réveille.
- Putain, mais tu fais quoi là ?
- J’ai envie de toi !
Je découvre alors la scène : mon frère nu devant moi... en train de bander. Il s’assoit alors sur mon lit et il me caresse mon cul.
- Y a pas de mal à faire ca entre nous. Je suis en manque, toi aussi à en juger par ce que j’ai vu hier après que tu m’as vu dans la salle de bains... On fait rien de mal. Juste se faire mutuellement du bien entre frérot.
- Je... euh... Je sais pas quoi dire devant autant de bêtise.
Sans me laisser le temps de réagir, il saisit ma main et il la plaque sur sa teub. Il prend une autre et il la plaque sur un de ses beaux pectoraux.
- Hm, tu as les mains douces.
Je me laisse bizarrement faire. Il fait promener ma main sur sa bite. Je murmure :
- C’est pas bien...
- Vas-y, suce-moi...
J’ai sa grosse teub devant les yeux, en main... Et finalement, je ne peux plus résister. Ma bite se met à prendre du volume. Je me penche au-dessus. Christophe plaque sa main sur ma nuque, il me regarde droit dans les yeux... et il se met à m’embrasser sur la bouche.
Christophe met ensuite la langue et nous, les deux frères, nous roulons une grosse pelle. Il s’assoit sur mes genoux et il plaque son corps musclé contre le mien.
- Nico, j’en peux plus. Ton cul me fait trop fantasmer. C’est une torture que de le voir sans arrêt se dandiner devant mes yeux.
Je n’ai même pas le temps de répondre qu’il se relève et que je me retrouve avec sa bite devant les yeux.
- Suce-moi, Nico...
Hésitant, je prends tout de même la queue de mon frère en main et je le branle un peu tout en le décalottant... Puis, j’approche ma bouche et ma langue se met à titiller son frein. Et soudain, rempli d’envie, je fais une gorge profonde... Je me retrouve avec la grosse queue de mon frérot au fond de la gorge. Il pousse un râle surpris.
- Putain ! Nico ! C’est trop bon !
Je me mets alors à le sucer pendant qu’il me caresse le cul. Je ressors sa queue, je la prends en main et je lèche son gland. Puis, j’entame des allers-retours sur sa bite, l’enfonçant entièrement dans ma bouche. J’adore sentir mon nez atterrir dans les poils de son pubis et mon menton cogner contre ses grosses boules velues. Je la ressors et je l’admire. Putain ! Quelle énorme queue ! Ma main arrive à peine à en faire le tour. Et son gland est hyper gros, bien proéminent. Je la ravale en gorge profonde et je reprends une suce, cette fois rapide, mais toujours sur toute la longueur de son membre. Il ne lui faut pas longtemps pour me dire :
- J’ai vraiment envie de ton cul, frérot...
Il me fait alors mettre à quatre pattes et il se met à lécher, caresser, frapper mes fesses. Il donne de petites tapes, le faisant ainsi bien onduler. Il le malaxe, ses doigts s’enfonçant dans mes fesses comme dans un ballon mou.
- J’en rêve depuis si longtemps.
Il crache sur mon trou et il se met à me doigter. Puis, il me met son doigt dans ma bouche pour que je mouille bien avant de reprendre le doigtage. Ses mains se posent dans mon cul moelleux qu’il se met à malaxer. Puis, il donne des fessés et je sens mon postérieur devenir rouge. Il ne cesse de répéter : « Quel énorme cul ! Trop bon ! Meilleur que celui de Vanessa » (Vanessa est sa copine).
Christophe joue mes fesses, il les admire, il les malaxe, il les caresse. Ses doigts passent dans ma raie et entrent dans mon anus pour ressortir et reprendre ses caresses. Il se penche dessus et il le mordille. Il semble vraiment le vénérer. Ça me fait trop d’effet ! Je bande dur ! Et je me mets soudain à gémir fort. J’essaie de faire doucement mais il se met à me bouffer le cul : il commence par la raie puis la pointe de ma langue passe sur sa rosette qui se contracte par réflexe. Il la lèche par à-coups. Puis, elle atteint mon trou, il y glisse la pointe de et il l’y enfonce lentement. Il insère sa langue au plus profond. Son nez se retrouve dans ma raie. Pendant ce temps, ses mains pétrissent mes fesses comme si c’était de la pâte à pizza. Il me fait un anulingus de malade qui me fait gueuler de bonheur. Je me mets à mouiller du cul. Je ressens sa langue tournoyer dans mes entrailles. Puis, il se met à la faire rentrer et sortir, comme si elle me baisait … Si je m’écoutais, je gueulerais à fond. C’est tellement bon que je perds la notion du temps. Il s’occupe de son anus pendant un bon moment.
Puis, il se relève et, sans me prévenir, pris d’une envie incontrôlable, il me plante directement la moitié de sa bite dans le cul. Je pousse un cri surpris. Il me plaque sa main sur ma bouche en faisant : « Chut ! Détends-toi ! »
Je prends alors un grand bol d’air et je me détends. Sa massue progresse alors dans mes entrailles. Il fait quelques allers-retours, toujours plus profonds... et au bout de 2 minutes, il arrive au fond de mes entrailles. Je me sens alors complètement ouvert. Son concombre me dilate le trou à fond. Heureusement que je ne suis pas puceau !
- Putain ! C’est trop bon ! Ton cul est chaud ! J’ai jamais connu ça ! Vanessa peut aller se rhabiller !
Il me laisse le temps de m’y habituer puis il entame de lents va-et-vient. Je me mets à gémir fort mais sa main sur ma bouche empêche les sons d’en sortir. Je me surprends alors à dire :
- Frérot ?
- Oui ?
- Vas-y... défonce-moi ! Je veux sentir ta grosse bien au fond de moi !
- Avec plaisir. Mais ferme-la !
Sa main quitte ma bouche et elle se plaque sur mes hanches. Il entame alors une baise rapide, puissante et sauvage. Je sens sa grosse queue coulisser en moi et je me retiens de ne pas crier de plaisir. Ses couilles me frappent le périnée. Ses cuisses atterrissent dans la grosse masse que forme mes fesses et qui atténue ses coups, faisant vibrer mon cul, telle une vague qui fait vaciller la graisse sous ma peau.
- C’est trop bon comment ton gros cul ondule quand mes cuisses te frappent !
Il ralentit la cadence et il se met à caresser mes fesses tout en admirant sa queue rentrer et sortir de cet énorme cul qu’il semble aduler depuis un moment. Je sais qu’il adore voir mes énormes miches de meuf taper contre ses cuisses et vibrer, vaciller, créant des vagues qui les font onduler. Il accélère ses mouvements de reins, augmentant ainsi les vagues de mon cul. Je les sens onduler à fond.
- Ton cul est trop bon ! Encore meilleur que dans mes rêves ! Le meilleur que j’ai enculé ! Meilleur que celui de Vanessa ! Je vais te baiser souvent, crois-moi !
- Oh oui, Christophe ! Allez, défonce-moi pour de vrai !
- Petite salope !
Il redouble alors ses coups de reins et je me retrouve plaqué sur le lit, le corps de mon frère collé contre mon dos. Christophe me baise tel un marteau-piqueur. La tête dans mon oreiller, j’y laisse mes cris s’étouffer. Mon frère me possède. J’entends ses cuisses claquer contre mes fesses dodues. J’adore les sentir atterrir mollement contre mon cul. Je vois dans le miroir de mon armoire à glace mon énorme cul qui vacille, formant de grosses vagues, sous ses coups de bite. Il ne cesse de le comparer à celui de sa copine en ajoutant qu’elle ne fait pas le poids !
- A ce rythme, je vais pas tenir longtemps !
- Pas grave ! Je veux sentir ton jus en moi !
Cette phrase semble lui plaire car il accélère le mouvement. Il pousse alors un gémissement, je sens son gland durcir et soudain, il lâche sa sauce dans mon cul. Putain ! Mon cul se fait mitrailler par son jus hyper chaud. Ce sont bien une dizaine de jets qui me remplissent. Une fois son orgasme passé, mon frère se laisse tomber dans mon dos.
Puis, sa queue quitte mon cul et du sperme en coule. Je me précipite alors dessus, je le lèche et je l’avale tout en me branlant. Au moment de l’orgasme, je me pose sur le lit et je jouis une énorme quantité de semence sur mon ventre. 6 gros jets puissants et abondants giclent sur mon corps et sur mon visage.
Mon frère se relève et se rhabille. Il quitte la chambre puis revient avec du papier toilette. Il me le tend et il s’apprête à quitter la pièce. Mais il me dit :
- Je crois que je reviendrai tous les soirs.
- Avec plaisir !
Il quitte ma chambre en catimini et moi, je m’essuie... Quel instant magnifique ! Je sens le sperme de mon frère continuer de couler hors de mon trou. Je crois que je suis en train de devenir le vide-couilles de mon frère...
A suivre...
Merci à Arthur pour ses idées.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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