Salut à tous,
Moi, c’est Chris. Je suis étudiant en littérature, j’ai 22 ans. Je suis ouvertement gay, même si on ne le lit pas sur mon visage. Ma famille, mes amis, mes copains de fac, tous sont au courant. Je suis brun, les cheveux courts, mince (mais pas du tout musclé, je ne suis absolument pas sportif), de taille moyenne. Je suis un peu poilu. Mes poils commencent à partir du nombril qui partent en une ligne bien noire pour plonger dans mon pubis assez velu. Mes jambes sont aussi recouvertes d’une toison noire et soyeuse. Je suis actif et passif, j’adore la baise, même si mon côté timide m’empêche de draguer ouvertement des mecs. Même les rares fois où je vais dans des boites gays, je n’ose pas aborder des mecs. Ma timidité est maladive. Même quand je drague sur Grindr, je n’arrive pas à aller jusqu’au bout et à rencontrer les mecs ...
Malgré tout, il m’est arrivé un truc pas ordinaire il y a quelques jours...
Maik est étudiant dans ma promo. C’est un grand black, super mignon. A la suite de problèmes familiaux, il a voulu refaire son année de licence. Il a 25 ans. Il fait 1,90m, il semble bien bâti. Il ressemble à un sportif. Dès le premier jour, il s’est mis à côté de moi en cours, on a parlé et on a très vite sympathisé. Aucune ambiguïté entre nous. J’ai toujours d’ailleurs pensé qu’il était hétéro.
Un mois après avoir fait connaissance, il m’appelle un soir pour me dire que sa famille l’a viré de chez lui et il ne sait pas où aller. Moi, j’habite dans un petit appart sympa, seul, car je bosse pas mal à côté des cours dans un centre de formation ce qui me permet de financer mes études et mon logement. Je lui propose immédiatement de l’héberger pour la nuit.
Il arrive chez moi, avec deux grosses valises et un sac à dos. Il a l’air très reconnaissant. Je lui mets ma chambre à disposition. Il a l’air super fatigué. Je lui donne des draps propres, une serviette de bain et je lui propose de se détendre sous une bonne douche. Il me remercie par un grand sourire et accepte en hochant de la tête, les larmes aux yeux. Je ne cherche pas à en savoir plus.
Il ferme la porte de la salle de bain. Il m’appelle après quelques minutes :
- Chris, j’ai oublié la serviette, tu peux me l’apporter s’il-te-plait ?
Je me rends dans ma chambre puis je frappe à la porte de la salle de bains et je rentre. Il me tourne le dos, il est en train de se savonner. Quel beau cul ! Un cul bien rond, bombé, lisse qui semble bien ferme.
- Voilà ta serviette, je la pose sur le lavabo !
- Merci, dit-il en se retournant.
J’ai alors une vue imprenable sur son corps... et sur sa queue. Il est vraiment magnifique : il a un corps imberbe, bien taillé, des pectoraux assez bien dessinés, des tablettes de chocolat sublimes, des jambes musclées et légèrement poilues ... et surtout il est bien membré ! Une longue saucisse de bien 14 cm pend entre ses jambes. Elle est bien épaisse et elle laisse apparaitre un gland rose. Même au repos, la teub semble lourde et grosse. Elle est splendide ! Elle repose sur de grosses couilles légèrement poilues, tout comme son pubis. Je sors, le cœur battant ! Quel beau mâle !
Quelques minutes plus tard, je l’entends quitter la salle de bain et se rendre dans la chambre. Il ferme la porte et je ne le verrai plus de la soirée. A un moment, je m’approche pour essayer de savoir ce qu’il fait et j’entends à travers la porte qu’il pleure... Je me retire et je le laisse tranquille.
Le lendemain, il se lève quand j’ai presque terminé mon petit-déjeuner.
- Tu vas être en retard, non ?
- Si tu peux me faire un café pendant que je m’habille, ça serait cool. Je pars directement avec toi après.
- D’accord.
Mon regard essaie d’éviter son bas-ventre. Il porte un t-shirt et un caleçon ... et son membre est bien visible !
Il va s’habiller et au bout de 10 minutes, on quitte l’appartement.
Le soir, à table (il m’a cuisiné un petit curry au poulet), il me demande :
- J’ai vu tes posters dans ta chambre... (postes de beaux mecs musclés et torse nu). Tu es homo ?
- Oui... Tu le savais pas ?
- Ben non, tu ne me l’avais jamais dit...
- Je pensais que tu savais.
Après un long silence, il m’avoue :
- Je me suis fait jeter hier soir par mes parents parce que je leur ai avoué que je suis aussi gay...
Les larmes m’en monteraient presque aux yeux.
- Je suis vraiment désolé... C’est horrible.
- Tu veux savoir pourquoi je leur ai dit ? J’ai toujours été attiré par les mecs même si j’ai souvent eu des aventures avec des filles. Mais je crois que je suis tombé amoureux de toi. C’est pas du désir... enfin pas seulement. Après m’être avoué ceci, j’ai tout de suite su qu’il fallait que j’affronte la réalité.
Touché par ses révélations, il me prend la main. Je dis alors :
- Je suis vraiment touché. Je n’ai jamais eu de telles pensées pour toi. Je t’ai toujours considéré comme un bon copain...
- Mais moi aussi... sauf depuis ces derniers jours. Je me dis depuis quelques temps qu’il y a sûrement quelque chose entre nous... et depuis que je suis ici, j’en suis certain.
Voyant que je ne repousse pas sa main posée sur la mienne, il me regarde droit dans les yeux et un sourire apparait sur son visage. Alors, il se lève et vient vers moi. Je me mets debout, il saisit mes deux mains, il se colle à moi... il s’empare alors de mon visage avec ses grandes paluches et m’embrassent. Ses lèvres sont démentes. On passe bien 10 minutes à s'embrasser sauvagement. J’adore ses lèvres pulpeuses. J’ai immédiatement une érection ! Vu que je suis en short, ma queue bandée se voit ! Maik s’en aperçoit. Il pose alors sa main sur mon paquet. Il le caresse puis il se baisse et le libère de sa prison. Il enfonce ma queue jusqu’à sa base dans sa bouche. Je pousse un soupir de satisfaction.
Maik me fait une superbe pipe. Il commence par des petits coups de langues sur le gland, tout en l’entourant. Puis il pose ses lèvres dessus jusqu’à ce qu’il gobe ma queue sur toute sa longueur. Il me fait une belle gorge profonde. Je me retiens de pas jouir trop vite car il me suce trop bien. Il continue d’enfoncer ma queue bien au fond de ma gorge. Il s’active sur mes 18 cm en montant et descendant dessus tout en me branlant. Puis il me suce tout en laissant balader ses mains sur mon cul qu’il l'attrape fermement et qu’il malaxe. Trop proche de la jouissance, je le repousse gentiment. Il ouvre alors sa braguette, il s’empare de ma main et il la pose sur son paquet en main. Il a une barre qui me semble immense. Il ouvre sa braguette et il fait descendre son pantalon sur ses cuisses musclées. Il se retrouve en caleçon... qui se déforme comme une tente, tellement sa queue est bien dressée. Je le regarde alors déballer lentement mon cadeau et je me retrouve nez à nez avec son engin. Quel morceau ! Il doit avoir bien 24 cm ! Une bite épaisse, parcourue de grosse veine, bien noire avec un gland rose. Ses couilles pendent sous sa queue, noires, un peu poilues et bien gonflées. Il prend sa queue en main et il joue avec. Je suis comme hypnotisé par ce morceau mais je n’ose pas le prendre en main. Il s’approche de moi, il me fait basculer la tête en arrière, d’un doigt il m’ouvre la bouche et il pose son gland sur ma langue. Il enfonce toujours plus loin son anaconda qui prend toute la place dans ma bouche. Alors, je m’applique à bien le sucer. Je n’arrive pas à avaler entièrement son morceau mais ça lui va. Il pousse de profonds gémissements tout en me caressant la tête.
Au bout de quelques minutes, il me relève et il m’embrasse sur la bouche. Puis il descend dans mon cou qu’il lèche avec passion. Ses lèvres charnues font un travail formidable. Je me sens partir au septième ciel. Puis, il descend jusqu’à ma queue qu’il suce. Ensuite, il me fait de nouveau sucer sa queue.
Après, il me retourne et ses grosses lèvres se mettent à lécher ma raie et les poils qui la parcourt ainsi qu’à embrasser et à lécher ma rosette. Je me sens partir au nirvana. Il fait ça comme un pro. Puis il enfonce sa langue dans mon intimité. Sa grosse langue titille d’abord mon trou puis s’enfonce lentement en moi, de plus en plus profondément. Je gémis de plaisir. Il enfonce sa langue le plus profondément possible tandis que ses mains caressent mes fesses et les écarte. Il me mouille bien l’intérieur de mes entrailles. Il me fait gémir très fort. Il se régale de mon trou qui finit par s’ouvrir sous ses coups de langues. Puis de son index, il masse ma rondelle, et il m’enfonce un doigt dans le trou, puis trois. Il fait tourner ses gros et longs doigts dans mon cul tout en massant ma prostate. Puis il se relève et frotte se grosse teub le long de ma raie poilue.
Puis il me relève et il m’embrasse goulument. Il se place derrière moi et il m’embrasse dans le cou. Je gémis encore plus fort. Je sens la barre de Maik dans mon dos. Il la fait descendre vers mon trou, place son gland en position et il s’enfonce lentement en moi. Je m’ouvre comme une fleur. Je ne ressens que du plaisir. Ses 24 cm s’engouffrent en moi et je les sens bien me posséder.
Il glisse en moi comme dans du beurre. Son anulingus m’a vraiment bien ouvert. Arrivé au fond de moi, il commence à me donner des petits coups de queue. Je me rends alors compte qu’il me baise sans capote. Peu importe, je me laisse faire, la sensation est trop démente. Il fait de longs allers et retours en moi, me laissant bien apprécier sa longue queue. Puis il se retire et il me dit :
- Prends-moi maintenant !
Il me couche alors sur le lit. Ma queue, dressée, tendue, ne demande que ça. Il s’empare de mes hanches et il m’attire vers lui. Il enduit son trou de gel puis il monte au-dessus de moi. Il pose mon gland sur sa rosette et il s’enfonce son trou sur mes 18 cm. Je sens qu’il est très serré. Il monte puis descend, pour s’habituer à ma queue, jusqu’à être finalement assis complétement dessus.
Il commence à coulisser sur ma bite. J’admire ma queue rentrer et sortir de son anus, tout se collant à ses poils de culs noirs qui accompagnent ses mouvements. Puis il s’accroupit au-dessus de mon ventre et il accélère le rythme. Il hurle de plaisir. J’adore entendre mon pubis claquer contre ses fesses et faire des « flops ».
Au bout de 10 minutes, proche de la jouissance, je l’arrête d’un geste. Il me fait mettre en levrette et il me défonce. Il y va plus sauvagement maintenant. Il m’ouvre l’anus en grand, je sens sa queue me pénétrer à fond et frotter contre ma prostate. Je dois bien me concentrer pour ne pas jouir sous la pression de sa bite.
Après 5 minutes, il pousse un grand cri et il bloque sa queue en moi. Je la sens alors pulser et je comprends qu’il me remplit. La sensation est incroyable... c’est comme s’il me pissait dans le cul !
Cependant, je suis un peu déçu... je me dis que j’aurais bien aimé apprécier sa queue plus longtemps. Je veux me relever mais il me bloque d’une main, m’en empêchant. Il reprend alors ses mouvements de reins. Sa queue est encore bien dure me baiser et elle tasse son jus. Il me défonce sauvagement et je commencer à sentir son jus couler le long de mon périnée et de mes couilles. J’entends aussi ses grosses couilles taper dans le jus et s’en faire tapir. Je baisse la tête et je les vois entre mes jambes se teinter pour devenir blanches. Elles balancent le jus sur le lit ainsi que sur mon ventre.
Après quelques minutes, il se bloque de nouveau en moi et jouit une seconde fois. La quantité de sperme est inférieure à la première fois... mais ça reste assez impressionnant. Il sort de mon colon et je sens une partie du jus, sous la pression, jaillir de mon cul pour aller s’écraser sur le sol.
Nous faisons une pause. Il me prend dans ses bras et nous bavardons un peu. Mais je remarque qu’il bande toujours.
- Ta queue est toujours en forme !
- Oui, en effet.
Je la prends en main, je la soupèse, je la bouge, je joue avec. Et elle ne débande pas. Je suis impressionné. Il me prend alors gentiment par la nuque et il me fait approcher de son anaconda. Je comprends le message et je me mets à nettoyer avec envie sa queue et ses couilles qui sont toutes blanches de son sperme. Puis je me relève et je lui dis :
- Mais tu ne débandes pas ?
- Pas encore. Je serais prêt pour un troisième round.
Surpris, je souris. Prenant ça pour un signal, il m’attire vers lui et, toujours couché, il me fait m’installer sur sa queue. Je me mets à le chevaucher. Puis attiré par ses lèvres pulpeuses, je me penche sur lui et je l’embrasse. Il prend alors mon cul dans ses mains et il commence à m’imposer un rythme de baise endiablé. Je sens sa queue me perforer bien au fond. J’entends ses couilles qui baignent dans son propre jus m’en tapisser le cul. En effet, son sperme coule le long de son chibre puis de ses couilles. Et dans ses mouvements de baise, ses couilles se balancent de haut en bas et tapissent mon dos de sperme. Sa queue maltraite ma prostate et je me retiens de ne pas jouir. D’un geste, je l’arrête. Il fait une petite pause puis reprend sa baise rapide :
- Ah oui, je vais jouir.
Il donne des coups de reins, me faisant monter et descendre sur son chibre. Et c’est alors que je sens les pulsations de sa queue qui me gicle son jus dans les entrailles, tassant son propre jus. Je me retire et une flaque de sperme, sorti de mon cul, se forme sur son ventre. Il m’attire vers cette flaque et me met le nez dans ce breuvage aphrodisiaque que je commence à laper. Il se positionne alors en levrette et je comprends que je dois le baiser.
Je me précipite sur son cul délicieux que je pénètre. Il prend alors les commandes, faisant aller et venir son boule sur ma queue. Il gémit fort. Après 10 minutes, je lui jouis dans le cul. Il continue ses mouvements puis il se relève et je vois qu’il bande toujours. Il me met alors à quatre pattes et il s’enfonce dans mon cul offert. J’ai encore un peu envie donc je le laisse me baiser. Il se défoule vraiment beaucoup mais je sens qu’il fatigue. Les mains posées sur mes hanches, il donne des coups réguliers, rapides et profonds. Encore plus que tout à l’heure, je ressens sa queue me défoncer la prostate. Il lui faut plus de temps pour jouir mais comme une bête assoiffée de sperme, je me délecte du fait qu’il me pompe une quatrième fois son jus en moi. Il donne des grands coups de bite et m’enfonce sa purée au fond de mes entrailles.
Sa queue quitte mon antre et il se couche sur le lit, à bout de souffle. Sa queue ramollit :
- Là, je crois que je ne pourrais pas une cinquième fois, je n’en peux plus.
- Tu aurais pu jouir une cinquième fois ?
- Oui, ça m’est déjà arrivé.
Impressionné, je me couche à ses côtés et je l’embrasse. On passe la soirée comme ça, parlant peu et savourant le moment présent. On s’endort ainsi.
Le lendemain matin, le réveil sonne. J’ai trop mal au dos.
- Ce soir, on ira acheter un lit plus grand si t’es d’accord.
Maik ne dit rien mais il sourit.
Merci à Chris pour ses idées.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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