Salut à tous,
Je sais ce que vous allez me dire... Je suis une grosse cochonne accro à la queue, au cul et au sperme... et vous aurez raison. Depuis que j’ai découvert le sexe à mes 18 ans (c’est la première fois où j’ai eu une queue en moi), j’ai besoin de ma dose quotidienne dans mon cul. Si je n’en ai pas, je deviens agressif et chiant. Et ça ne s’est pas amélioré avec l’âge. J’ai maintenant 30 ans et mon petit copain en a 29.
Cet été, on est parti en vacances ensemble pour 3 semaines en Italie. Dès qu’on pose un pied en Sicile, je suis chaud comme la braise ! On arrive à Messine. Après avoir quitté le ferry, je m’arrête vers le plein. Le mec qui nous sert le gasoil est homo ! Ça se sent à plein nez. Il tortille du cul. Il me lance un clin d’œil. Il semble avoir compris qu’on est du même bord. Peu avant qu’on parte, il nous demande ce qu’on fait ici. Il comprend qu’on est en couple et il nous livre un secret : chaque vendredi, donc demain aussi, il y a une fête privée avec les mecs les plus bandants de Messine. Il y a de la musique, à manger, à boire... et du sexe à gogo ! Il rajoute :
- Ça vous plaira sûrement. Moi, j’y serai en tout cas. Mais le répétez pas, c’est secret... Vous êtes intéressés ?
- Bien sûr que ça nous intéresse !
- La fête commence à 22h mais ça devient intéressant à partir de 23h, en général. Si vous voulez, je vous inscris. Quand vous arriverez, vous sonnerez 3 fois longuement et 3 fois brièvement.
Le mec, du nom de Marco, nous écrit l’adresse sur le ticket de caisse et on se sépare. Yannick (mon copain) et moi nous rendons à l’hôtel et peu après, on se retrouve sur la plage à paresser. Le repas du soir à l’hôtel est excellent. Le serveur est un peu énervant et il refuse de parler en italien avec moi alors que je me débrouille quand même assez bien.
Une fois revenu dans notre chambre, on prend une douche et on se pose sur le lit, nus. On ne tarde pas à s’embrasser. La langue de Yannick descend sur mon torse, il respire mes aisselles qui sentent le mâle et il les lèche tandis que ses mains caressent mon ventre. Puis, il s’agenouille et il prend ma grosse queue en main. Sa langue passe le long de mes 20 cm. Il les prends ensuite en bouche et il se mets à me sucer. Je lui fais faire des gorges profondes en tenant sa tête. Ses gémissements sont étouffés par ma grosse teub. Ensuite, je le fais remonter et je prends sa teub directement au fond de ma gorge. Puis, je monte et je descends sur son morceau. Il respire fortement mais il fait bien attention de ne pas faire de bruit. Il se met ensuite à me baiser la bouche avant de me faire me relever. Je lui malaxe les fesses et je passe mon doigt dans son trou. Puis, j’enfonce ma teub dans son anus et je coulisse dans son cul. Mes va-et-vient sont d’abord doux et lents. Je lui murmure à l’oreille combien j’aime son trou chaud. Puis, je commence à le baiser en donnant de grands coups de butoir. Je sens qu’il adore quand je donne de grands coups de reins qui enfoncent ma queue entièrement en lui et qu’il sent mes grosses couilles contre ses fesses. Des fois, je fais sortir entièrement ma teub avant de la faire re-rentrer. Ensuite, je me mets à le pilonner à fond. Je jouis très vite de longs jets qui envahissent ses entrailles.
Je sors de son cul, je me mets à quatre pattes et Yannick me défonce à son tour. Il éjacule au bout de 5 minutes. Il me plaque contre le lit et là, je sens les litres de son jus me remplir le ventre. Il me lâche une très grosse dose. Je sens son sperme chaud bouillonner en moi. Il me donne encore 3 ou 4 coups de queue, puis il ressort.
On s’endort dans les bras l’un de l’autre. Je ne peux pas m’endormir sans sentir le contact de mon copain contre moi.
On se réveille le lendemain, tard. Les oiseaux gazouillent, les cigales sont bruyantes, le paysage verdoyant de la Sicile nous émerveille. Quel magnifique endroit ! On se baise rapidement respectivement l’un l’autre avant de chacun ensemencer l’autre.
Après une douche et le cul plein de foutre, on descend pour prendre notre petit déjeuner. Enfin un café digne de ce nom ! On part ensuite visiter une ville non loin de l’Etna, Taormine. On rentre en fin d’après-midi à l’hôtel. On mange puis on se prépare pour la soirée... Mon copain et moi nous mettons sur notre 31. Yannick me dit :
- Tu es vraiment beau !
- Toi aussi !
On s’embrasse et on part. Notre GPS nous conduit dans des quartiers qui n’ont pas l’air très rassurants... avant de nous faire sortir de la ville. Finalement, on arrive dans la banlieue de Messine. Arrivés, on se gare. Il y a deux types louches qui nous regardent méchamment. Yannick me dit :
- Viens, on rentre à l’hôtel, je flippe un peu là...
- Non, allez, ça va être bien !
On arrive devant un petit immeuble. On sonne comme convenu, la porte s’ouvre, on entre et on va au cinquième étage. Devant la porte d’un appart se tient un mec dans les 30 ans, avec un jean bleu et... torse nu.
- Ciao ragazzi ! Vous êtes Nico et Yannick ? Enchanté. Moi, c’est Bruno. Marco m’a prévenu. Venez, entrez.
On entre dans un 5 pièce, assez grand. J’apprendrai plus tard que Bruno et son copain Michele sont les propriétaires de l’appart et les organisateurs de la fête. Bruno me plaît tout de suite. Il est sympa, souriant. Sa voix est très masculine. Il a des cheveux crépus, une barbe de trois jours, des yeux verts, un corps musclé, avec de beaux abdos, des piercings aux deux tétons, un tatouage tribal sur le bras droit. Son torse est recouvert de poils noirs.
Quand on entre dans le salon, on découvre 15 mecs, entre 20 et 50 ans. Certains sont en train de flirter, d’autres dansent. Bruno nous explique qu’on peut « prendre du plaisir » dans les 4 autres pièces d’à côté. Il nous jette un clin d’œil. Tous semblent se connaitre en tout cas. Notre entrée dans le salon ne passe pas inaperçue. Je me sens comme de la chair fraîche dont les mecs remplis de testostérone veulent se déchirer. Je me doute qu’ils ne doivent pas souvent avoir de mecs blonds, aux yeux bleus, avec la peau claire. Je vois quelques mecs qui me plaisent bien. Si je m’écoutais, je sauterais sur eux.
Mais au début, je veux rester « civilisé ». Bruno nous montre une place sur le sofa et il nous offre un cocktail de bienvenue. On mange qelques canapés, puis on fait connaissance de quelques Italiens qui sont à côté de nous. Mais très vite, les Italiens, qui sont bien chauds, passent à l’offensive. Un mec musclé se jette sur Yannick et je les vois disparaitre dans une pièce avoisinante. Immédiatement, Bruno me plaque contre son torse et il me roule une pelle. Il me fait alors danser. Il se dandine contre moi. Je sens ses muscles contre ma peau... et aussi le paquet volumineux de son entre-jambe qui se frotte contre le mien. Bruno m’excite tellement ! Je sens ses mains descendre pour me caresser le cul. Les miennes prennent ses fesses. Une main passe dans son pantalon et atterrit sur sa rosette. Bruno murmure :
- Tu veux me baiser ?
Sans répondre, mon index passe dans son trou ... ce qui le fait gémir. Je sens alors sa main saisir ma queue au travers de mon short. Il s’exclame :
- Putain ! Ta queue a l’air hyper grosse ! J’en ai bien besoin ! Viens, on va à côté.
Il me saisit le poignet et il m’entraine dans une autre pièce où se trouve un grand lit sur lequel un mec dans les 30 ans, hyper maigre a les jambes écartées. Son cul musclé attire tout de suite mon regard. Un mec musclé, genre punk, avec la boule à zéro, est en train de lui bouffer le cul. Bruno les pousse en disant :
- Faites un peu de place, le lit assez grand pour nous 4 !
Le punk se redresse, me sourit et il me demande :
- Tu es nouveau ici ?
- Oui...
- Si tu veux, après m’être occupé de cette salope, ça sera ton tour !
Les deux mecs nous font de la place et le punk renfonce sa langue dans le cul de son amant. Bruno me montre le mec maigre :
- C’est Pier-Angelo. C’est la salope de Messine. Il a un trou trop bon, très serré, faudra que tu l’essaies plus tard.
Je tends déjà ma main vers le cul de Pier-Angelo mais Bruno me saisit le poignet :
- Pas maintenant. C’est d’abord mon tour !
Bruno défait ma ceinture, il fait descendre mon short sur mes chevilles et il libère ma teub. L’Italien s’exclame :
- Minchia ! Elle est énorme !
Ma queue est bien brune, elle est épaisse, veinée, elle atteint 20 cm, avec un gros gland.
- Elle te plait, hein ? Tu vas l’avoir dans ton cul !
Bruno saisit ma bite avant de l’enfoncer dans sa bouche. Il me taille une superbe pipe. J’adore comment sa langue s’occupe de mon gland pendant qu’il fait des va-et-vient sur mon morceau. Très vite, mes doigts passent dans ses cheveux bouclés, et je commence à baiser la gueule de Bruno. Je suis très excité et je me fais plaisir. J’y vais de plus en plus rapidement et l’Italien semble apprécier. De la bave coule le long de son menton. Il a l’air d’être un pro de la suce ! Il arrive à bien prendre ma grosse queue en gorge profonde. Soudain, j’entends un « Siiiiii ! ». Je me retourne et je vois le punk enfoncer sa grosse teub dans le trou de Pier-Angelo. L’actif me regarde et dit :
- Putain ! Trop bon ! Sa chatte est vraiment bien serrée !
- Oui, vas-y, enfonce-la bien et baise-le à fond, il en a besoin, ça se voit !, dis-je.
- Oui, je vais donner à cette petite pute ce dont elle a besoin !
Il se met à donner des coups de queue profonds et rapides. Pier-Angelo s’exclame :
- Piano, piano ! (doucement !)
Le punk fait mettre le passif sur le ventre, couché sur le lit, et il se met à donner des coups de bite puissants mais plutôt lents. Très vite, les deux se mettent à gémir aux rythmes des coups de reins. Ça m’excite et je dis à Bruno :
- Lève-toi, je veux voir ce que t’as entre les jambes !
Je m’assois sur le lit et Bruno me présente son matos, toujours enfermé dans son short. Je prends son paquet en main et je le masse. Je remarque que le tissu est mouillé par son precum. J’ouvre le short : l’Italien ne porte pas de caleçon ! Sa queue est superbe. Elle fait dans les 18 cm, elle est presque noire. Elle est épaisse, avec un gland rosâtre. Elle est recourbée un peu en arrière. Je commence à la sucer. Je vais de lents va-et-vient avant d’accélérer et de faire des gorges profondes. Puis, je lui dis :
- Mets-toi sur le ventre !
Il se pose sur le lit et moi, j’écarte ses deux miches. Sa raie est rasée. Je me mets à titiller sa rosette puis j’enfonce un doigt dans son anus. Surpris, je constate que son trou est assez ouvert. Je me doute qu’il a dû se faire baiser avant qu’on arrive. J’enfonce ensuite ma langue dans son trou. Bruno cambre bien ses fesses et il gémit très fort... ce qui m’excite au plus haut point. Puis, je prends du lubrifiant qui se trouve au pied du lit et j’en enduis ma teub, avant d’en mettre dans son trou. Et lentement, je le pénètre... avant de m’enfoncer d’un coup dans son anus. Je sens alors son cul musclé contre mes couilles. Trop bon ! Puis, je me mets à défoncer ce cul. Il est vraiment trop bon !
Ça semble plaire aux spectateurs qui sont entre temps entrés dans la pièce.
- Vas-y, défonce-le !
- Oui, il en a besoin, le Bruno !
- Quelle salope !
Je regarde alors Pier-Angelo. Il est sur le dos et il est en train de se faire baiser par un gros mec. C’est beau de voir le corps maigre du passif se faire posséder par un gros mec poilu. Quant à moi, je me déchaine dans le cul de Bruno. Mais je jute trop vite à mon goût. Cependant, mon orgasme me dévaste. Je sens ma queue se contracter et lancer 10 giclées puissantes dans le cul du passif. Quand je sors de son trou, ma semence dégouline le long de sa raie. Le punk, qui baisait Pier-Paulo tout à l’heure, se jette sur Bruno et il se régale de mon jus qui en coule. Il lui fait un anulingus et j’entends ses bruits de succion : je comprends qu’il avale mon sperme. Il enfonce ensuite sa queue dans le trou que je viens d’ensemencer et il se met à le baiser.
Je me pose sur le lit et je reprends mon souffle. J’observe la scène du gros et de Pier-Paulo. Il a une carrure assez épaisse, il doit faire 1,75m pour 140 kg. Son corps est grassouillet, avec des tétons énormes. Il est large d’épaules. Il a de gros bras et un torse puissant, massif. Il a aussi un cul gros et rond. Ses cuisses sont aussi énormes. Son torse est recouvert de poils noirs et drus, tout comme son ventre. Ils entourent ses tétons marron et bien gros. Son dos est aussi un peu recouvert de poils. Il a des tatouages sur ses avant-bras.
Sa queue est bien épaisse, elle va et vient rapidement avec des coups de queue courts dans le trou du passif. Elle fait l’effet d’un piston car elle fait sortir du sperme hors de son anus. Je comprends que le punk l’a ensemencé avant. Le gros semble très endurant. Il finit au bout de longues minutes par gicler dans le trou de Pier-Paulo. Ce spectacle ne m’a pas laissé de marbre. Je me précipite sur l’anus devenu libre et je commence à le baiser. Le punk n’a pas menti. Son trou est vraiment trop bon ! Très serré ! J’ai l’impression que son anus me masse fermement la queue. Je regarde le passif droit dans les yeux et je me mets à le baiser vigoureusement. Une magnifique sensation aussi de baiser dans le sperme bien chaud du gros. Je me penche sur Pier-Paulo et je lui roule une grosse pelle.
Soudain, je sens que quelqu’un me doigte. Je me retourne... et je vois Marco, le mec de la station-service !
- Salut, Nico ! T’as cru que tu allais t’en sortir comme ça ? Mais moi, je t’ai pas oublié !
Il est nu et il regarde mon cul avec envie ! Il a les couilles et le pubis très velus et il doit avoir 18 cm entre les jambes. Une belle queue marron, épaisse, un peu recourbée vers l’avant. Rempli d’envie, je veux sortir ma bite du cul de Pier-Paulo mais Marco me pousse en avant en disant :
- On le fait à trois !
Je sens alors sa queue s’insinuer dans mon anus. Elle passe d’abord ma rosette, puis premier sphincter et ensuite ma prostate. Je recommence à donner des coups de reins dans le cul de Pier-Paulo. Quand il se retrouve au fond de moi, Marco dit :
- Je pense à ton petit cul depuis l’autre soir...
Il se met alors à donner des coups de reins profonds et puissants. Sa queue est hyper dure, je la sens trop bien. Le sentiment d’avoir une bonne queue sicilienne dans le cul pendant que ma propre bite est plantée dans le trou d’une salope, est tout simplement indescriptible. Mais très vite, j’entends Marco hurler :
- Putain ! Je jute déjà !
Je sens alors sa queue me pomper sa semence bien chaude au fond des entrailles ! Moi, je suis un peu plus endurant et je continue de baiser Pier-Paulo tandis que je sens le sperme de Marco sortir par vagues hors de mon anus. Je me mets à pilonner le trou du passif tel un marteau-piqueur. La semence de mes prédécesseurs coule le long du cul du passif et mes couilles qui frappent la raie se font recouvrir de sperme. Un bruit de baise mouillé se fait entendre.
J’ai besoin de 10 minutes pour gicler dans le cul du magnifique passif. Je lui jute 5 bons jets dans l’anus. Épuisé, je tombe sur son corps maigre. Ma queue devient molle et elle sort de son trou bien ensemencé. Je me penche alors devant son trou, j’écarte ses fesses et je nettoie d’abord sa raie. Puis, ma langue pénètre son anus et elle va ramasser le sperme des 3 étalons qui viennent de l’ensemencer. Pier-Paulo gémit et il se branle. Quand ma langue n’arrive plus à prendre le jus dans son anus, je me retire et je me mets à branler le passif pendant que je masse sa prostate avec un doigt dans son cul. Très vite, je prends sa queue en bouche. Pier-Paulo ne tarde pas à gicler dans ma bouche une bonne quantité de jus. Je me redresse, l’Italien ouvre sa bouche et j’y fais dégouliner son sperme. Je m’approche de lui, on se roule une pelle au jus avant qu’il avale tout. Je le prends dans mes bras et on somnole ensemble un moment.
Après cette petite pause, je retourne dans le salon où Bruno me tend un cocktail en me disant :
- Ça va te faire du bien. C’était vraiment trop bon avec toi. Je sens encore ta queue dans mon cul !
Je bois la boisson et je sens une chaleur m’envahir... c’est comme s’il y avait un truc dans cette boisson.
- C’est quoi ?, demandé-je en montrant le verre.
- Rien de spécial. Un mélange de prosecco, d’eau gazeuse, de jus de fruits. C’est une recette secrète mais ça excite un max !
- Et c’est tout ??
Bruno se tourne vers un mec de mon âge et il lui dit :
- Giuseppe, je crois que ce mec-là a besoin de ta queue pour se calmer.
Le dénommé Giuseppe se tourne vers moi et il m’entraîne dans une chambre où à côté du lit un sling est suspendu. Des mes se précipitent sur moi, ils me caressent, ils m’embrassent. Je me laisse aller car tous ces mecs bourrés de testostérone me font de l’effet. Giuseppe me met dans le sling, il m’attache poignets et chevilles. Je me retrouve à la merci des Italiens qui me contemplent avec envie.
Un des mecs qui a des yeux noirs pénétrants s’approche de moi et il me roule une pelle pendant que Giuseppe m’enfonce sa queue dans le cul. Son pubis et ses couilles sont une vraie jungle velue. Il a une queue de 18 cm très épaisse et de grosses couilles bien remplies.
Il se met immédiatement à me pilonner de façon intensive. Ses coups de queue sont puissants et profonds. Ses boules me fouettent le cul. Sa teub épaisse me maltraite bien la prostate. Il agrippe mes hanches et il se défoule en moi. Il lui faut quelques minutes pour me juter sa semence dans le cul. Je sens qu’il me dose bien. En effet, il jute 5 gros jets puissants qui giclent dans mes entrailles. Il reprend ses mouvements de hanches et il tasse son sperme en moi.
Le suivant est un jeune de 20 ans, mince, avec des cheveux crépus et un corps poilu qui enfonce sa queue fine dans mon anus déjà bien rempli. Il est plus endurant et il me baise sur tout le long de sa queue. Au bout de 5 ou 10 minutes, il pousse alors un cri incontrôlé et je sens sa queue me pomper son jus dans les entrailles. Ce sont bien 7 jets. Il se retire et un des mecs présents pousse un sifflement :
- Putain, tu l’as bien engrossée ! Regarde tout ce jus qui coule !
C’est le mec mignon qui m’a roulé une pelle au début. Il prend le sperme du minet, il s’en enduit sa queue de 16-17 cm et il prend la suite. Il enfonce sa teub et il commence à me baiser sur le champ. Il donne des coups reins puissants et réguliers tout en me caressant le corps.
Le suivant est un grand gars brun, la quarantaine, avec une barbe fournie, longue et bien entretenue. Il a des tatouages sur tous les bras et un sur le torse. Il est enrobé, avec un petit bidon. Il est extrêmement poilu sur tout le corps, les jambes, le dos et les avant-bras. Il a une queue de 20 cm et de très grosses couilles pendantes. Il me fout sa queue directement au fond du cul et il se met à me défoncer tout en me mettant de grandes fessées. Ses coups de pieu sont exceptionnels. Il me baise sauvagement d’une telle façon que j’ai presque l’impression que ma prostate est sur le point d’exploser. Il se défoule en moi. Ses grosses couilles me fouettent les fesses. Au bout de 5 minutes, il ajoute sa semence à celles des autres mecs. Malgré la taille de ses couilles, il ne semble pas être un gros juteur. Je ne ressens rien. Dommage. Mais il m’a bien baisé.
Le jeune de 20 and m’apporte alors à manger (un petit sandwich) ainsi que de l’eau et il me donne la becquetée pendant qu’un autre mec enfonce sa queue dans mon anus. C’est un petit italien timide de 21 ans, les cheveux courts avec une barbe de trois jours. Il est gros. Il a des gros seins et des tétons marron très larges et un gros ventre rebondi, avec de gros bourrelets. Son corps est parsemé par-ci, par-là de poils. Son pubis et ses grosses couilles sont aussi un peu poilus. Sa queue, épaisse, fait 17 cm. Il s’enfonce dans ma chatte et à ma grande surprise, il me saisit les hanches et il commence une baise endiablée. Il me baise vraiment bien, profondément. Il m’ouvre magnifiquement. Il est endurant en plus. Il me baise ainsi pendant 15 minutes, sans interruption. Finalement, dans un cri incontrôlé, il plaque ses couilles contre mon cul, sa teub bien au fond de moi, et il m’envoie sa sauce dans les entrailles. Je sens sa queue pulser et libérer son jus. C’est une énorme quantité que je reçois. Sûrement une dizaine de giclées.
Il se retire et un torrent de sperme gicle hors de mon cul. Un des mecs se penche alors sur moi, il m’écarte les miches et il enfonce sa langue dans mon trou. Il se met à s’abreuver du liquide abondant qui se trouve en moi. Quand il se redresse, je suis impressionné par sa teub : c’est la plus grosse de la soirée ! En plus, le mec est super bien foutu. Il a la trentaine, des cheveux assez courts et bruns, des épaules musclées, des biceps saillants et puissants ainsi que des pectoraux bien développés. Ses abdos sont bien dessinés. Ses cuisses sont gonflées. Il est très poilu. Des poils châtains parsemés sur les pectoraux vont se perdre dans sa pilosité qui recouvre entièrement le milieu de son torse. Un filet descend de son torse vers le nombril et le pubis, qui lui est très velu. Ses abdos sont aussi recouverts de poils fins. Il est monté 24 cm, sa teub est bien épaisse.
Il pose son gland sur ma rosette et il l’enfonce lentement en moi. Je me mets à gémir fort. Mon anus se fait écarteler ! Il attrape d’une main une hanche et il se met à faire de petits allers-retours réguliers. Puis, sa main passe sur mon épaule et il commence à me défoncer. Son pubis claque contre mes couilles. Le mec TTBM se penche sur moi et il me roule une pelle. Ses lèvres sont hyper douces. J’ai l’impression que je vais exploser de désir à chaque fois qu’il enfonce sa grosse bite en moi. Ensuite, il se met à me pilonner. Je gémis fort. Le mec me murmure à l’oreille :
- T’as une trop bonne chatte... bien serrée, comme je les aime. Dis-moi que tu veux ma queue, espèce de petite salope !
- Oui, je veux ta queue !
Ses coups de bite redoublent alors de violence. Sa grosse teub fait morfler ma prostate. Il la fait sortir entièrement avant de la renfoncer de tout son long, tout en m’embrassant. Nos corps frottent l’un contre l’autre. Ma queue se retrouve prisonnière et son ventre se frotte contre. Et j’éjacule sans même m’être touché. Le mec gicle au fond de mon trou presque au même moment. Je sens plusieurs giclées me fouetter les entrailles.
Il se retire et le suivant m’enfourne ses 18 cm dans le cul. Il me baise avec un rythme régulier. Et au bout de quelques minutes, il m’ensemence lui aussi, tout donnant de grands coups de reins. Il reste quelques secondes en moi, puis il se retire.
Je me sens comme un pantin désarticulé. Les mecs continuent de se succéder dans mon anus. Mon trou, qui est d’habitude très serré, semble désormais bien ouvert. Les queues entrent, déposent leur semence, ressortent. Le jus mélangé des différents étalons qui m’ensemencent dégouline le long de mon anus et tombe par terre, sur une serviette.
Je reste bien 2 heures dans le sling. Quand j’en redescends, je tiens à peine debout. Mes jambes arrivent à peine à me porter. Je vois que la serviette qui était sous mon cul est complètement mouillée par le sperme sorti de mes entrailles.
Un mec me tient dans ses bras puissants et il m’aide à marcher... avant de me plaquer contre le mur, de m’enfoncer 18 cm dans l’anus et de me défoncer jusqu’à ce qu’il se vide dans mon anus béant qui se prend une autre giclée. Dès qu’il en sort, un autre enfonce sa teub en moi et il me pilonne. J’accepte toutes les bites, je suis au septième ciel. Je bande de nouveau et le mec me branle. Le mec qui me défonce ne cesse de répéter à mon oreille :
- Je t’aime... Tu es à moi. Ta chatte est trop bonne ! J’ai envie de te juter dans le cul. Je vais te montrer que tu m’appartiens ! Je vais te faire des bébés.
Il éjacule en moi et je reçois sa semence avec envie ! Il se retire, puis il me conduit sur le canapé. Je n’en peux plus. Je vois Bruno qui m’apporte un verre d’eau. Sur un fauteuil, je finis par remarquer Yannick qui en train de se faire défoncer par un mec hyper viril, hyper baraqué. Il le pilonne à fond. Mon copain me voit et je lui fais un signe de tête. Il comprends que je veux partir . Lorsque je m’approche de lui pour mater son baiseur, il me dit :
- Attends que ce mec m’ensemence. Il est vraiment un trop bon baiseur.
Je me rassois et j’admire le taureau défoncer mon copain. Ses coups de queue sont courts et pissants, rapides. Puis, ils deviennent plus irréguliers, il enfonce alors sa teub dans l’anus de mon copain et je vois ses couilles envoyer des jets puissants dans le cul offert. Le mec qui est à côté de moi, la cinquantaine, dit :
- Quelle salope ! Elle est vraiment trop bonne ! Ça fait longtemps qu’on a pas eu de gars comme vous !
Quand le taureau se retire, le mec plus âgé enfonce ses doigts dans le trou béant et dégoulinant de sperme de mon copain. Il le doigte tout en le branlant et il le fait éjaculer.
Les adieux sont touchants. Chacun des mecs nous embrasse et nous roule des pelles, comme si on se connaissait depuis des années. Ils disent qu’ils sont attristés que nous n’habitions pas ici. Bruno m’embrasse pendant un long moment.
On monte en voiture, Yannick me conduit à l’hôtel. Je sens mon cul béant toujours. Je tombe épuisé dans le lit et je m’endors immédiatement. Quelle nuit de malade avec ces Italiens hyper chauds !
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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