Salut à tous,
Moi, c’est Nico, je suis le nouveau contremaitre dans une boite de BTP en région parisienne. J’ai 40 ans, je suis blond, les yeux bleus, un peu enrobé et assez poilu. Je suis gay, célibataire et un peu efféminé, à ce qui paraît...
Aujourd’hui, je me rends sur un chantier d’un immeuble qui est déjà bien avancé. Les murs en béton son coulés. Des ouvriers s’attèlent à la toiture tandis que d’autres s’occupent des fenêtres.
A un moment, je vois quelques ouvriers qui ne portent pas de casques. Je les engueule, bien sûr. Plus tard, je découvre des malfaçons... que des ouvriers ont essayé de cacher ! Je les appelle ! Je les engueule. Ils me regardent d’un œil haineux, mais je m’en fous car après c’est moi qui vais avoir les problèmes. Et c’est un grand rebeu du nom d’Ali qui commence à l’ouvrir. Je l’arrête tout de suite et lui dis :
- Si t’as pas envie de bosser, tu rentres chez toi !
Il ne dit rien mais ses yeux me mitrailleraient s’ils le pouvaient... Je leur promets de revenir le lendemain pour contrôler leur « travail de merde » !
Le lendemain, je reviens et constate que rien n’a été réparé. J’ordonne à Ali de me suivre et je l’emmène dans le container où l’architecte a son bureau. Il n’y a personne. Je lui passe alors un savon. Je lui donne une dernière chance avant d’aller voir son patron. Lui me regarde la bouche crispée, se frottant nerveusement les mains. Quand je finis de parler, il me sort d’un coup :
- T’as fini ?
Le fait qu’il me parle aussi agressivement et qu’il me tutoie me laisse sans voix. Ali continue :
- Je vais pas me laisser emmerder par une merde comme toi !
Il s’approche de moi, il me domine de sa grande taille, il doit bien faire 1,90m. Il me prend alors par le col de ma chemise et il continue :
- Espèce de salope, tout le monde sait ici que tu aimes te faire troncher comme une pute ! T’as pas d’ordre à me donner ! Ici, c’est moi qui donne les ordres !
- Tu te prends pour qui, arrête ! C’est un ordre !
- Tu te crois à l’armée ou quoi ?
Ali me met alors une grosse baffe qui m’assomme. Il me prend alors par le col de ma chemise et il me plaque contre le mur. Il se colle contre moi et je sens son entrejambe contre mon cul.
- Tu sais que les putes comme toi, je les défonce !
Il me retourne alors et il me prend par le cou. Il se met même à serrer ! Et moi qui adore me faire traiter comme ça, je me mets immédiatement à bander... ce qui ne manque pas de se voir dans mon petit jean moulant. Ali le remarque et ricane :
- Espèce de pute ! C’est bien vrai alors ! Tu aimes te faire dominer !
Il appuie alors sur mes épaules et je me retrouve malgré ma résistance à genoux. Il agrippe alors mes cheveux et il plaque ma tête contre son entre-jambe. Je sens sa bosse gonflée à travers son jean... qu’il ouvre immédiatement. Il ne porte pas de caleçon. Sa bite me saute directement au visage.
- Voilà ta vraie place, petite pute ! Devant ma queue ! Ouvre ta bouche !
D’abord je refuse. Il frotte sa queue contre mes lèvres. Elle sent le mâle. Elle est fine et assez longue, je dirais bien 20 cm. Elle est presque noire et il a de grosses boules ballotantes et poilues. Il me met alors une baffe.
- Ouvre la bouche ! Je sais que tu sais que tu te trouves à la place ! Pas besoin de résister !
Et Ali a en effet raison ! J’ouvre ma bouche docilement et sa queue s’introduit immédiatement dans ma gorge. Il saisit mes cheveux et il se met à baiser la bouche. J’arrive à peine à supporter sa bite... mais je subis avec plaisir.
- Brave pute ! Tu sais qui est le maître ici !
Il retire son t-shirt et je le vois nu. Il est mince, il a une peau sombre, des cheveux noirs et épais. Il est poilu au niveau du ventre et du pubis. Il ne me laisse pas le sucer plus longtemps. Il me tire vers le haut, il me plaque contre le mur et il se met à me peloter le cul :
- Depuis le temps que je le mate, celui-là ! Un vrai cul de femelle !
D’un coup, il ouvre ma chemise et il fait descendre mon pantalon sur mes chevilles. Il frotte sa queue sur ma raie en sifflant d’admiration. Il se met à donner des coups de reins et sa bite va et vient le long de ma raie. Puis, son gland se retrouve coincé contre mon trou.
- Ah ! Je crois que ma teub a envie de rentrer !
Sans me laisser le temps de dire un mot, son gland me pénètre, sans capote.
- Tu me fais mal !
- Ta gueule !
Il fait entrer lentement sa bite en moi, à sec ! Je la sens bien passer. J’ai mal... Il arrive au fond de mon cul et il se met à me baiser lentement.
- Ta chatte est trop bonne !
Et il accélère le rythme. Le plaisir fait petit à petit place à la douleur. Ali prend ma bite en main et il se met à la branler.
- T’aimes ça, pas vrai ? Tu bandes dur !
Il se met alors à me pilonner. Je me sens jouir du cul. Je sens ses grosses couilles me frapper le cul. Sa queue entre et sort de mon cul à une vitesse folle. Le rebeu se sert en fait de moi comme d’un vide-couilles... ce qui me ravie !
Il me baise pendant 10 minutes jusqu’à ce qu’il pousse un râle de plaisir et qu’’il m’ensemence.
- Salope ! Je te mets enceinte !
Je sens la violence de ses jets m’envahir. Il continue de me baiser puis il finit par sortir. Je sens son jus visqueux sortir de mon anus. Il sort par vagues. Il a éjaculé une grosse quantité. Le jus forme une flaque sous mon cul. Ali me prend par le cou et il me fait approcher de la flaque :
- Lèche ! L’architecte doit pas voir ça !
Le sol n’est pas très propre mais je m’abreuve avec plaisir de sa semence. Il me met alors une baffe. Il semble satisfait.
- Tu es une bonne pute ! On se reverra bientôt !
Je me rhabille après m’être branlé dans les toilettes. Je n’ose pas réapparaitre sur le chantier... surtout qu’Ali a fait sauter les boutons de ma chemise. Je rentre alors chez moi. Je m’en veux de m’être fait laisser traiter comme ça... ça recommence comme dans mon ancienne boîte. Les mâles sentent au plus profond d’eux que je suis une femelle et que mon seul désir est de les servir.
Le lendemain, je reviens pour voir l’avancer des travaux. Je suis content de ne pas croiser Ali. Mais très vite, je me rends compte que rien n’a été fait ! Je suis furieux. Je vois alors Tarik, un des maçons, passer et je l’appelle. Je lui demande de me rendre des comptes.
- Oh ! On va s’en occuper !
- Quoi ? Comment tu me parles ? J’ai le boss sur le dos qui me demande des comptes ! Vous avez plus de 2 mois de retard !
- Tu fais chier ?
- Quoi ?
- Ta gueule, salope !
En un éclair, Tarik se précipite sur moi et il me baisse le pantalon.
- Tu fais quoi là ?
- Je crois que tu as besoin d’une bonne queue dans ton cul !
- Tu me dois le respect, Tarik !
- Que dalle ! Ali m’a dit que tu es en fait une petite salope ! Tu vas prendre ma bite dans ta chatte !
Je me sens alors vaciller. Mon désir de femelle m’envahit. Tarik doit le sentir car il me retourne. Il baisse son pantalon et je vois son caleçon traversé d’une barre. Il prend ma main et la plaque sur sa bosse. Sa queue est bien dure. Je la caresse. Il reprend ma main et il la fait plonger dans son caleçon. J’en sors sa teub et je me retrouve à le branler. Sa bite est épaisse et de bonne taille : 18 ou 19 cm. Tarik a dans les 30 ans, il est petit et un peu grassouillet. Il a de larges épaules et un petit ventre imberbe. Son pubis est velu ainsi que ses petites couilles rondes.
Il me fait baisser. Je suce alors sa queue. Il pose ses deux mains sur ma tête et il se met à me baiser la bouche. Je supporte bien. Puis, il me relève et il se met à caresser mon cul, comme s’il l’admirait. Il enfonce alors sa bite dans mon trou qui mouille et il s’enfonce directement. Je me penche en avant, prenant appui contre le mur. Je cambre mon cul. Il saisit mon entre-jambe et il me tire vers lui. Mon corps est collé contre le sien. Il a sa tête contre la mienne, je sens son souffle dans mon cou. Il se met à me donner des coups de reins brutaux en me murmurant à l’oreille :
- Ta chatte est trop bonne ! Ali avait bien raison. J’ai envie de te mettre enceinte.
Il me baise en donnant de bons coups pendant 5 minutes. Puis, il me fait me baisser, il pose une main sur mon épaule, l’autre sur ma hanche et il me pilonne à fond. Je sens sa bite durcir, il se met à murmurer : « oh putain, oh putain ! ». Il se met à jouir, je sens mon cul se faire mitrailler par sa semence. Il se bloque au fond de moi, il donne deux gros coups de teub et il ressort. Il prend sa bite en main, il la secoue et il sourit :
- Tu es trop grosse salope, toi ! Je vais souvent me faire plaisir avec ton cul !
Sur ces mots, il se rhabille et il me laisse, mon cul dégoulinant de sperme. Je me rhabille après m’être branlé et je quitte les lieux, mort de honte d’avoir autant apprécier...
Je me planque chez moi pendant toute la journée. Mon chef m’appelle mais je lui dis que je ne me sens pas bien. Le lendemain, je reste aussi chez moi. Le soir, il m’appelle et je décroche :
- Ça va mieux ?
- Oui... Un peu...
Je dois me faire une raison... Je ne peux pas me cacher éternellement.
- Bon, tant mieux ! Un de nos ouvriers qui vient de l’entreprise de location de travailleur du Maroc est malade. C’est Icham, il me semble. Je ne veux pas appeler un médecin inutilement. Va voir ce qu’il a !
Je n’ai pas le temps de répondre qu’il raccroche. Je me rends alors au motel minable dans lequel les ouvriers venus de l’étranger logent. Je demande à la réception et je me rends dans la chambre d’Icham. Je frappe et on me dit d’entrer. Il est dans son lit, sous une couverture.
- Ah ! Monsieur Nico !
- Ça ne va pas, Icham !
- Si, ça va très bien !
Il retire alors sa couette et il se retrouve à poil, la queue bandée.
Icham a 45 ans, les cheveux épais, le visage lisse. Il a un corps plutôt normal. Son corps est recouvert d’un duvet de poils courts et noirs. Son pubis est velu et il a une teub de 16 cm, vraiment très épaisse et de petites couilles.
Il se met à se branler.
- Tu es à moi, ce soir ! Viens me sucer !
Je sens mes jambes avancer vers lui. Je ne me contrôle pas. La salope en moi veut se faire troncher par cette belle teub. J’enjambe son ventre et je me retrouve nu, assis sur lui. Il sourit. Agrippe mes hanches et il se met à caresser mon cul.
- Il parait que tu as une bonne chatte, toi !
Il se met à me masser le cul fort et à me caresser la raie. Je gémis involontairement. Un doigt rentre dans mon anus, puis deux. Il me doigte un peu puis il me fait basculer sur le lit. Je me retrouve sur le dos, les jambes relevées et lui accroupi devant moi, la queue tendue contre mon anus. Il plante sa bite en moi qui m’écarte bien et il va au fond de mon anus. Il se met alors à me lécher et à m’embrasser dans le cou. Il entame de petits coups de bite.
Après 2 minutes, il me pose sur le ventre et il s’enfonce dans mon cul. Il se met à me baiser lentement. Il lui faut 5 minutes pour jouir en moi. Il jute une bonne quantité, à ce que je ressens. Il donne encore quelques coups de teub tout en me pelotant le cul, puis il ressort.
Il va alors ouvrir la porte et à ma grande surprise, je vois certain de nos ouvriers qui sont déjà nus, la queue tendue, et ils regardent un portable. Je remarque alors une caméra qui était pointée sur le lit : ses salauds ont maté notre baise derrière la porte ! Ils entrent dans la pièce et ils se mettent debout devant le lit, les uns à côté des autres. 9 beaux rebeus (sans compter Icham), nus, magnifiques, qui bandent pour moi. Je ne peux bien sûr pas résister.
Je m’approche de Bilal et je saisis sa queue. Celle de Moha est tendue à côté. Je la prends en main aussi et je branle les deux bites. Je me mets finalement à genoux et je prends la teub de Bilal en bouche.
Bilal a 25 ans, il est grand et musclé. Sa peau est assez foncée. Il a des cheveux noirs et bouclés ainsi que 2 boucles d’oreille en diamant aux oreilles. Il a de beaux pecs et de magnifiques abdos. Il a des poils sur le pubis et les couilles, c’est tout. Il a de grosses boules surmontées par une teub épaisse de 19 cm presque noire avec un gland rose.
Bilal pose sa main sur ma tête et je le suce avec plaisir. Très vite, il se met à me baiser la bouche. Après quelques minutes, il me fait passer tel un joint à la queue de Moha :
Ce-dernier doit avoir 20 ans, il a les cheveux rasés et le visage lisse. Sa peau est assez claire. Il est mince sans être musclé. Il est à peine poilu. Un léger duvet recouvre son pubis. Sa teub fine doit faire 14 cm. Je le suce en le regardant dans les yeux et il me domine de sa hauteur avec un certain plaisir.
Je passe ensuite aux 20 cm d’Ali. Lui se met directement à me pilonner la bouche. Il me défonce comme des jours auparavant.
Le suivant est Karim. Il a 35 ans, il a les cheveux courts, et il porte une moustache fine. Il est de taille moyenne et il est un peu enrobé. Il a un filet de poils qui descend de son nombril vers son pubis qui est très velu. Sa bite de 22 cm est marron foncé et ses boules sont grosses et noires.
Il saisit ma tête et il se met à m’utiliser tel un sex-toy. Il se branle avec ma bouche pendant bien 5 minutes. Je passe ensuite à Bachir. Il a 40 ans. Il a un visage très mignon. Ses cheveux sont courts, il a une barbe de 3 jours. Il est petit et mince. Son ventre, ses tétons et son pubis sont recouverts de poils drus et noirs. Il a une grosse queue de 22 cm épaisse avec un gros gland.
Il me laisse le sucer. Très vite, il pose sa main sur ma tête et il m’oblige quelques fois à prendre sa queue plus loin dans ma bouche puis il se laisse faire. Je passe ensuite à la bite d’Akim. Il a 25 ans, il a les cheveux courts, frisés et il est un peu joufflu avec de grosses lèvres charnues. Il a un corps un peu enrobé avec de jolis petits seins. Il a des tatouages sur le torse. Il est complètement rasé. Il a une queue très épaisse de 18 cm, traversée d’une grosse veine, et de grosses couilles pendantes.
Il me pose sa main sur ma tête et il m’approche de sa queue. Elle est vraiment épaisse ! J’ouvre ma bouche en grand et je prends le gland en bouche. J’enfonce sa bite plus profondément, j’ai la mâchoire bien écartelée. Arrivée à la moitié, je commence à faire des va-et-vient sur son morceau. Je le regarde dans les yeux, il me laisse le sucer avec envie. Parfois, il fait sortir sa bite de ma bouche pour me bifler puis il me laisse continuer mon travail.
Vient le tour de Tarik, le deuxième mec qui m’a baisé : je prends sa teub de 19 cm que je suce pendant 10 minutes. Puis, je m’occupe ensuite de Youness. Il a 18 ans, il est lui aussi rasé de partout. Il est plutôt petit et mince avec un visage hyper mignon. Sa bite de bien 23 cm, épaisse avec des couilles aussi grosses que des abricots me donne envie. Je branle d’abord son morceau qui est recourbé vers l’avant. Je m‘en occupe bien, je le suce avec plaisir, j’arrive à faire quelques gorges profondes.
Je vois qu’Icham a retrouvé une belle érection et je m’occupe de nouveau de sa bite. Il me baise la bouche pendant un bon moment.
J’arrive enfin au dernier mec qui selon moi est le plus viril. Il s’appelle Mehmet, il a 45 ans. Il a des cheveux épais et une barbe fournie. Il est assez grand, il est de corpulence normale avec une petit ventre. Il est hyper poilu. Le milieu de son torse est recouvert d’une toison épaisse et dense. Un trait descend vers son nombril et de là partent des poils fins qui recouvrent entièrement son ventre. Son pubis est une vraie forêt vierge. Ses bras et ses cuisses, poilues, sont bien musclés. Il a une queue de 20 cm et de petites couilles velues.
Les mecs se mettent alors à m’encercler et je me retrouve comme un animal pris au piège. Ces queues dressées devant et derrière moi me rendent toute chose... je me précipite sur les bites que je suce pendant quelques secondes avant de passer à la suivante.
Ali me fait me mettre à genoux et ils se mettent à tous à se branler. J’admire les belles queues circoncises et les couilles ballotantes.
Bouche grande ouverte, Bachir me fait tourner la tête vers lui. Il se branle en face de ma bouche et il pousse un râle avant qu’il lâche un premier jet de sperme blanc et épais sur ma langue et sur mon visage. Il continue de se branler et le reste sort comme une pluie sur ma langue et mon torse. Il m’a bien arrosé. Il se recule et Moha prend sa place. Il pose sa queue contre mes lèvres et il jute son jus dans ma bouche. Une dizaine de gros jets de sperme liquide vont directement au fond de ma gorge.
Bilal est le troisième qui jute. Moha n’a pas encore retiré sa bite que Bilal arrive par la droite, branlant ses 19 cm, et il jute 5 gros jets épais sur mon visage. Presqu’au même moment, Mehmet jute sur ma gauche. Sa queue, telle une mitraillette, balance 8 jets puissants et liquides qui me peinturlurent le visage ... et qui dégoulinent immédiatement sur mon torse.
Les 3 mecs se reculent. Akim branle ses 20 cm au-dessus de ma bouche ouverte et il lâche un sperme épais sur ma langue et sur mon menton. Ma langue se retrouve totalement recouverte. Son jus est gluant. Il me donne ensuite sa bite à nettoyer. Tarik prend la suite, sa queue sur ma langue, il se branle et il gicle 10 jets puissants. Certains se retrouvent sur mon visage, d’autres vont immédiatement au fond de ma gorge et glissent dans mon œsophage. Telle une chienne, je lèche sa queue d’où sort encore un peu de sperme et je la suce de nouveau.
Karim se met devant moi, il se branle pendant qu’il me fait lécher ses couilles. Dans un grand cri, il me fait redresser ma tête mais la première giclée atterrit dans mes cheveux. Il me prend la tête pour m’abreuver de son sperme mais un deuxième jet part déjà sur mon épaule. Il engouffre son gland dans ma bouche et il continue d’éjaculer de 6 gros jets de sperme sur ma langue et au fond de ma bouche.
Ali se branle devant mes lèvres et il ne lui faut pas 1 minutes pour que ses 20 cm lâchent sa semence qui est blanche et épaisse. Le premier jet atterrit sur mes lèvres. Il fait alors promener sa queue sur mon visage et le deuxième jet tombe sur ma joue. Le troisième gicle puissamment sur mon front et dans mes cheveux. Les deux suivants peinturlurent mon autre joue ainsi que mon œil droit. Le reste, mon puissant, se retrouve sur mon nez. J’ai le visage complètement recouvert de sa semence qui vient de me marquer. Sa queue massive fait descendre le sperme de ma joue droite dans ma bouche et j’en profite pour nettoyer sa bite. A l’aide de son pouce, il fait glisser le jus placé sur l’autre joue dans ma bouche.
Ensuite, Youness me donne ses 23 cm et Icham ses 16. Je prends les deux glands et je les lèche, les suce, etc. Icham finit par se branler et il jute une pluie de sperme sur mon visage. Bien qu’il jouisse pour la deuxième fois de la soirée, il gicle une quantité respectable de jus.
Youness est le dernier à se branler. Il me fait pencher ma bouche en arrière et dans un cri guttural, il éjacule. Le premier jet jaillit et frappe mon menton. Il jute avec une telle violence que son sperme éclabousse partout en frappant contre mon menton. Les suivants atteignent leur cible, ma bouche grande ouverte, et son sperme atterrit au fond de ma langue, éclaboussant le palais et la luette. Ce sont 13 jets qui remplissent petit à petit ma bouche que je garde bien ouverte. Je lui laisse le loisir de contempler le résultat de son éjaculation : un trou rempli de son liquide blanc.
Je me retrouve avec 10 queues en train de se balancer autour de moi. N’en pouvant plus, pensant à tout ce jus, ce sont au moins 65 jets que j’ai reçus ! Je saisis ma teub que je branle comme un malade pensant que je lèche les queues molles. Je fais couler lentement le sperme que j’ai encore en bouche dans mon estomac, me délectant de ce délicieux breuvage et je jute 8 grosses rasades de sperme sur le sol et sur les pieds de certains participants.
Les rebeus se retirent dans leur chambre tandis que je prends une serviette pour m’essuyer le visage et le corps. Je me relève, souillé, humilié... mais satisfait !
Je rentre chez moi et je suis partagé entre l’envie de démissionner et de continuer à me faire de nouveau soumettre par mes beaux ouvriers rebeus. Les deux choses ne sont pas compatibles... En tout cas, une chose est claire : les ouvriers ne vont plus me respecter...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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