Ce matin, je me réveille vers 7h et je me lève pour aller me préparer. On est samedi donc je ne bosse pas. Je me dirige vers la cuisine où j’allume la machine à café. Puis, je vais dans la salle de bains. J’allume l’eau pour me laver le visage quand... panique, un bruit sourd se fait entendre et soudain, un énorme jet d’eau se met à jaillir hors des tuyaux. Je me précipite sur le téléphone et j’appelle mon proprio en catastrophe. Il me dit qu’il envoie le plombier de notre syndic.
Une heure plus tard, on sonne à la porte. Entre temps, j’ai trouvé l’arrivée d’eau que j’ai fermée. Cependant, des gouttes sortent toujours du tuyau... Je suis en train de passer la serpillière quand j’entends la sonnette. Par l’interphone, j’entends :
- Bonjour, c’est le plombier !
J’appuie sur le bouton et quelques secondes plus tard, il sonne à ma porte. Je lui dis :
- Bonjour, entrez.
Le mec est mince, il a la trentaine. Il a une barbe épaisse. Il a une caisse à outil dans une main et il me regarde en passant son autre main dans sa barbe. Je le conduis dans la salle de bains et je lui montre la flaque qui continue de se former dans la salle de bains. Je lui explique ce qui s’est passé.
- Montre-moi d’où vient la fuite.
Surpris que l’artisan me tutoie, je me penche et je lui montre l’endroit, derrière la colonne en céramique. Il se penche et il regarde. Il prend alors immédiatement un outil dans sa caisse et il se met au travail.
- Tu n’aurais pas une clé de 9 ?
- Euh... non ! C’est vous l’ouvrier, non ?
- Pardon ?
- Oui, vous êtes censés avoir votre matériel.
- C’est dans ma camionnette.
Il ressort de mon appart de mauvaise humeur et il revient. Il s’affaire quelques minutes sous le lavabo.
- C’est quoi le problème ?, demandé-je.
- Je pense que c’est juste un joint qui est usé.
- Ah, rien de grave alors.
- Non, t’inquiète.
J’ai du mal à me faire à son tutoiement. Il se recule et d’un geste, il fait tomber mon porte-serviette. Je dis, en essayant de rester poli :
- Eh, ne détruisez pas ma salle de bains...
- Haha, répond-il.
Il prend un joint neuf dans sa caisse et il me dit quelques secondes plus tard :
- Rallume l’eau pour voir.
Je m’exécute et j’ouvre la vanne. Quand je reviens, il attend à genoux et il me regarde. Je lui demande :
- Et maintenant ?
- Allume le robinet.
Surpris qu’il n’ait pas daigné se lever, j’obéis sans rien dire. J’allume et la fuite semble avoir disparu.
- Oh super ! Merci ! Je m’en serais pas sorti tout seul sans vous.
- T’es pas un bricoleur, toi, hein ?
- Non, pas du tout !
- Ça se voit. Avec ta tête de premier de la classe...
- Pardon ?
L’ouvrier se lève et il se pose contre le lavabo en me regardant d’un regard noir.
- J’aime pas ton ton depuis le début.
- Et moi, j’aime pas me faire tutoyer par des inconnus.
Il se tait mais il me fixe toujours.
- Je suis désolé mais je crois que je vais appeler votre patron.
Le mec se retrouve en un éclair contre moi et il me tire les cheveux :
- Qu’est-ce que tu racontes-là ?!
D’un geste violent, il arrive à me faire plier. Je me retrouve par terre. Je suis pris de panique.
- Lèche !
Je le regarde et je vois qu’il montre de son index ses pieds.
- Quoi ?
Il pose son pied sur la cuvette des toilettes et il me montre ses chaussures de travail. Il plaque ma tête dessus et il crie d’un ton autoritaire :
- Lèche !
Et à ma grande surprise, je sens ma langue qui quitte ma bouche et qui se met à lécher ses chaussures. Je bande sur le champ... et ça se voit dans mon short moulant.
- Je savais bien que tu aimerais ça. Je l’ai senti dès que je suis rentré !
Je continue mon travail. Je viens de trouver un mec dominant... et moi, j’adore me faire dominer !
- Allez, on va dans ta chambre.
Il me conduit dans ma chambre et il se déshabille.
Le rebeu est mince. Il a des cheveux rasés sur le côté et très courts sur le dessus. Il a d’épais sourcils et un regard noir, sévère. Il a un tatouage sur le bras gauche. Ses aisselles sont très velues. Son corps svelte est recouvert de poils drus, épais et longs (sur le torse et le milieu du ventre). Son pubis est très velu. Il a de grosses couilles marron et une queue fine de 20 cm.
Il se pose sur le lit et je me mets à lécher ses orteils à son commandement. Puis, je remonte vers ses mollets et ensuite vers ses cuisses. Je kiffe ses jambes poilues et ses grosses cuisses musclées. Ses poils bien noirs et drus chatouillent ma langue. Tout en léchant ses jambes, je lève les yeux et j’ai une belle vue sur sa grosse queue bien gonflée et ses grosses couilles bien poilues. Magnifique !
Le macho me dit :
- Ouvre la bouche !
J’obéis et il me crache un mollard sur la langue. Ma queue bande à fond. Le mec sourit. Il continue de balancer des mollards dans la bouche, puis il me met une petite baffe. Il me prend ensuite la tête entre ses mains, il me crache sur la figure, il m’ouvre la bouche en grand et il y plonge sa teub bien dure. Il se met à la faire coulisser dans ma bouche. Il l’enfonce toujours plus loin au fond de ma bouche. Sa queue va titiller ma gorge.
Soudain, il se met à me pilonner la bouche. Je suis un sex-toy entre ses mains. Parfois, il ressort sa queue pour me laisser prendre ma respiration, il me donne des baffes, il me biffle, puis il replonge brutalement sa bite dans ma bouche. Je la sens coulisser dans ma gorge. Je bave de partout. Le rebeu me défonce la gorge.
Au bout de quelques minutes, il me relâche et il va s’assoir sur un fauteuil et il me donne l’ordre d’ouvrir ma bouche. Je m’exécute et je le vois approcher ses grands pieds de mon visage. Il doit faire du 46 ou 47. Je sens la transpiration qui s’en dégage. Ma langue passe dessus.
- Oui c'est bon ça ! Tu me sers bien. Tu es une bonne petite pute.
Soudain, il enfonce la moitié de son pied dans sa bouche.
- Apprécie la bonne odeur de mâle, sale chienne ! Tu aimes ça, hein ? Tu as trouvé ton maitre. Vas-y, lèche-le. Voilà, bien ! Savoure bien mon odeur !
Je sens ses orteils qui bougent dans ma bouche. Il essaie d’enfoncer le pied toujours plus profondément. Puis, il finit par ressortir. Il est plein de bave. Il me tend alors sa chaussure.
- Sniffe-la !, ordonne-t-il.
Je m’exécute mais j’ai un mouvement de recul en prenant ses chaussures de travail. Elles dégagent une odeur de sueur... Evidemment, l’odeur du mâle qui bosse... Je m’approche et je hume...
Puis, il me prend par les oreilles et il plante sa queue dans ma bouche. Il se cale au fond du fauteuil et il me fait aller et venir sur sa bite. Ses 20 cm n’arrivent pas à entrer complétement dans ma gorge. Il me traite de salope, ma bouche va et vient rapidement sur sa teub. Il me démonte bien la gueule. Je ne bronche pas, j’encaisse, tout simplement. D’un coup, il me fait faire une gorge profonde. Je me retrouve sa queue au fond de la gorge et le nez complétement bloqué contre son pubis. Je ne peux plus respirer mais je subis sans broncher. J’adore me faire traiter comme ça. Quand je ne peux plus respirer et que je commence à me débattre, le macho me lâche et je me dégage de son emprise en laissant couler un gros filet de bave. Mais il me reprend rapidement la tête et après m’avoir donné une baffe, il recommence à me limer la bouche.
Puis, il se penche sur mon cul et il enfonce un doigt à sec dans mon trou. Puis deux... puis trois. Je savoure. Il me fait alors mettre en levrette, il crache sur mon anus et il reprend son doigtage hyper violemment. Tout d’un coup, je sens un coup qui me fait mal. Le mec se met à me boxer les fesses avec ses poings. Je hurle de douleur... et de plaisir. Il m’utilise comme un punching-ball. Je bande à fond, j’adore me faire traiter comme ça. Je gémis même de plaisir.
- Je savais dès que je t’ai vu que tu es une grosse salope qui aime se faire dominer.
Et sans crier garde, il me pénètre Sans capote. Sans hésiter. Je sens son gland glisser le long de mon anus. La douleur me fait crier. Il reste une minute sans bouger, savourant sa bite enfoncée en moi. Puis, il commence ses va-et-vient rapides et brusques. Il me démonte le cul. Mon corps tremble sous ses assauts. Il sort sa queue, la rentre, la sort, la rentre.
- Ton cul est trop bon. T’es un vrai sac à foutre ! Ma petite pute. Tu vas boiter demain !
Ses couilles claquent sur mes fesses. Je me mets à gémir, ce qui accroit la violence de ses coups. Il me met des fessées, ce qui augmente mes cris.
- Salope, tu mouilles du cul ! Ta mouille coule le long de ton boule et de mes couilles !
Et en effet, j’entends des clapotis sous ses coups de bite. Sans pitié, il me bourre. Puis, il se couche sur moi, ce qui me fait tomber sur le ventre, et il continue de me péter le cul. Je transpire, je subis. Je sens son souffle et il me dit à l’oreille :
- Sale pute, tu me rends dingue. Ta chatte est trop bonne ! Tu vas pas tarder à prendre tout mon jus en toi. Je fais t’engrosser avec mon bon jus de rebeu !
Il me baise comme si j’étais une poupée gonflable. Il se défoule dans mon cul.
Au bout de 2 minutes, il s'enfonce en moi, il pousse un cri de jouissance et il me lance sa purée au plus profond de mon trou. Je sens comme sa queue se contracte pour expulser tout le sperme contenu dans ses grosses couilles. Il continue ses mouvements bien brusques, puis il décule. Son sperme jaillit comme un geyser hors de mon anus et il tombe lourdement sur le lit.
Il se rhabille et il se barre en me laissant à poil, rempli de son jus de mâle. Je me retourne sur le dos, épuisé. Je remarque que j’ai joui sans me toucher. Une flaque de sperme recouvre les draps et mon ventre. J’entends alors une porte et je comprends que le rebeu est parti directement. Je remarque que du jus s’écoule hors de mon cul sur le lit.
J’essaie de reprendre mes esprits. Je vais me doucher mais je rebande immédiatement quand je repense à ce plombier, ce mâle rebeu qui m’a traité comme la dernière des putes.
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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