Chapitre 1
Salut, moi c’est Nico. Je suis policier à Metz, j’ai un copain depuis 3 ans, on forme un couple heureux et on fait de temps en temps des plans à trois... sinon nous avons beaucoup de sexe ensemble. On baise très souvent, dès que c’est possible. Je ne l’ai jamais trompé et lui non plus. Je suis assez dominant, j’aime avoir mon passif sous mes ordres, même si je voudrais bien essayer de nouveaux trucs comme l’uro... mais Michel, mon copain, ne veut pas. Je fais très attention, on baise nos amants avec capote. Je suis grand (1,83m), musclé sec, blond, les yeux bleus, monté 17 cm, épais, avec de grosses couilles qui jutent bien.
Hier, lors d’une intervention, j’ai dérapé. Je vais vous raconter ce qui s’est passé.
En fin d’après-midi, ma brigade et moi sommes envoyés dans les bois de M... car des dealers sont supposés vendre leur came, selon une source anonyme. Nous nous y rendons pour procéder à des interpellations et des fouilles. A un moment, les ordres sont de se séparer et dans un coin isolé, je vois tout d’un coup un petit mec en train de sortir quelque chose de sa poche et de le snifer. Je suis sûr d’avoir découvert un des mecs que l’on cherche, je m’approche. Malheureusement, je fais du bruit (une branche craque), le mec se retourne et voyant mon uniforme, il se met à détaler. Je lui hurle de s’arrêter et je me mets à sa poursuite. Il s’enfonce un peu plus dans les bois mais j’arrive vite à le rattraper et je le plaque à terre. Je sors mon arme, le mec pousse un cri strident et me dit d’arrêter, qu’il n’a rien fait. Je lui passe les menottes et je commence une fouille au corps. Quand j’en arrive à son postérieur, je sens un truc bizarre, assez dur.
- Qu’est-ce que c’est ??
- Rien ! Je... non...
Je lui enlève alors son froc et je suis pris de stupeur : le mec porte un string rose. Et de son cul poilu sort un gros truc noir. Je le tâte, je l’enlève et je me retrouve avec un énorme dildo dans les mains, tout noir, aussi gros qu’un poing et long de bien 30 cm. Je recule et par inadvertance, je marche sur son pantalon et j’entends alors un craquement. Surpris, je fouille ses poches et je tombe alors sur un flacon de poppers que j’ai dû briser en marchant dessus. Je sens alors les effluves de cette drogue m’envahir les narines et me monter au cerveau. Et c’est là que tout bascule. Les yeux posés sur son cul et sur le dildo, je sens ma bite enfler. Je me sens décoller... je ne suis plus maitre de moi.
J’ai envie de cette salope qui est sous mes yeux. D’un geste brusque, je lui déchire son t-shirt, je vire le reste de ses vêtements. J’admire la petite pute qui se trouve à mes pieds. J’apprendrai plus tard qu’elle s’appelle José. Le mec est petit (1m55), mince et musclé sec, il a des yeux marron, il est châtain, il doit avoir la quarantaine et il n’a aucun poil sur le corps. Seul son pubis, ses couilles et son cul ont des poils longs et châtains. Son téton droit à un piercing et il a plusieurs tatouages. Je lui dis :
- Ecoute-moi, espèce de salope ! Je veux que tu m’obéisses, que tu me serves, que tu fasses tout ce que je vais te dire de faire.
La salope ne dit rien, elle sourit juste, son regard s’éclaire.
Je déboutonne la braguette de mon pantalon, je mets ma main derrière sa nuque et je lui fais engloutir d’un trait mes 17 cm. La sensation est si bonne que je pousse un long soupir.
- Putain, quelle bonne bouche ! Vas-y, suce-moi ! Et n’oublie pas de me masser les couilles.
Elle me suce bien, savourant ma queue tout en me massant mes grosses couilles bien remplies. Mais ce n’est pas ce que je veux. Je commence alors des allers-retours dans sa cave buccale. Doucement au début puis de plus en plus vite. Elle se laisse faire, elle est docile. Je m’enfonce au fond de sa gorge, elle maitrise ses haut-cœurs. C’est vraiment une pro ! Je ressors ma queue de sa bouche. Un filet de bave en sort et je la lui renfonce immédiatement. Je lui mets une baffe, mon regard est dur et sévère ... et à partir de ce moment-là, je ne me contrôle plus du tout. J’ai enfin devant moi une pute qui va faire tout ce que j’exige d’elle. Je lui agrippe les cheveux et je lui pilonne alors littéralement la bouche. Je sens ma queue gonfler encore plus sous le coup de l’excitation. J’adore voir son visage s’enfoncer dans mes poils pubiens à chaque mouvement de reins. Je vois alors sa queue dressée majestueusement, un bon 18 cm bien raide et bien épais.
- Sale pute, tu aimes être traité comme ça, hein ?
Je lui baise la bouche pendant cinq minutes. Puis j’ai une idée. Je prends ma matraque policière et je la lui mets en bouche, je la lui fais bien lécher. Pendant ce temps, deux doigts jouent avec son anus déjà bien dilaté. Avec fermeté, je retourne mon vide-trou qui se cambre tout naturellement et je lui donne de fortes claques sur les fesses, je tire ses couilles en arrière. Je commence à enfoncer la matraque dans son trou, ayant craché au préalable dessus. J’enfonce bien 10 cm dans le trou et je commence à l’utiliser comme un gode. J’enfonce la matraque toujours plus profondément. 15 cm puis 20, et 30 disparaissent dans son cul. Il ne bronche pas, il gémit tout simplement, sa queue toujours bien dure. J’adore voir les longs poils de son cul coller sur la matraque et aller et venir dessus. Finalement, la matraque disparait entièrement dans son trou. Je la secoue alors de toute ses forces, la pute se met à hurler de plaisir. Je lui bourre le cul.
Je ressors ma traque d’un coup et je prends son gros gode en main. Je commence à l’enfoncer dans son anus. Elle ne dit rien. J’y vais toujours plus profond. Puis je le ressors et je me mets à coulisser. Le gode lui écarte vraiment bien le cul.
- Putain ! C’est bon ! Tu es ouvert comme une salope ! Je vais bien te défoncer, toi !
Je ressors le gode et je mets 2 doigts dans son trou. Elle est bien ouverte. Les effluves de poppers emplissent toujours les lieux... et je me vois alors enfoncer dans sa rosette un troisième doigt... puis un quatrième. Finalement, ma main rentre jusqu’à la base de mes doigts dans son cul. Je force un peu et son anus cède. Ma main y rentre entièrement. La sensation est géniale. Je tourne ma main dans cet anus chaud et accueillant. J’enfonce toujours plus profondément et mon poignet se retrouve alors en elle. Je me mets alors à la boxer. Elle gémit de plaisir, je vois sa queue avoir des soubresauts sous l’effet du traitement que je lui inflige.
Une envie soudaine me prend. Je sens ma vessie pleine. Mon poing toujours dans son cul, je lâche les vannes et grâce à mon érection, je me mets à lui pisser sur le dos. Comme un animal dominant, je marque mon territoire sur cette pute. Mon champagne lui coule le long de ses côtes. Puis j’ai une envie. Mon poing ressort de son cul et je présente ma bite devant son trou et je continue de lâcher ma pisse. Elle subit, elle émet juste des couinements. Son trou est tellement bien ouvert que je peux l’utiliser comme un urinoir. Je libère des litres dans son cul ! Et rien n’en ressort. Je ne peux pas m’arrêter. Ma pute se retourne alors je continue de lui pisser dessus… sur le torse… sur la tête. Dans la bouche. Et enfin je m’arrête. Mais elle gobe mon chibre, elle ne veut pas en perdre une goutte.
Je me retourne et mon cul se retrouve devant sa bouche. Elle sait très bien ce que j’attends de lui. Sa langue sort de sa bouche et elle me fait un bon anulingus. Je gémis lorsqu’elle le perce de la pointe de sa langue. Elle s’occupe bien de moi.
Puis je me replace derrière lui et d’un coup, je défais ma ceinture et je m’en sers de bâillon. Je regarde alors ma pute bien soumise : elle est appuyée contre un arbre, les mains menottées dans le dos, bâillonnée et le trou suintant de ma pisse. Sans lubrifier ma queue, je pose mon gland sur son trou béant. Je suis conscient que je n’ai pas mis de capote, que je n’aurais jamais fait ça dans un état normal... mais je n’ai qu’une envie... c’est de défoncer cette pute et d’ajouter mon jus à ma pisse dans son trou béant. J’enfonce alors ma teub d’un coup sec jusqu’à ce que mes couilles s'écrasent contre son cul et que mes poils pubiens soient plaqués contre ses fesses. C’est rentré comme dans du beurre ... après le traitement que je lui ai infligé, c’est plutôt normal. L’anus est tout souple. Elle se laisse faire, sachant qu’elle n’a pas le choix. Ses gémissements augmentent en intensité. Son trou est bien chaud, bien crémeux... et aussi rempli de mon champagne... j’adore sentir son sphincter se resserrer sur ma queue qui est plongée dans ma pisse. Je commence par donner des petits coups de rein. Puis je me mets à labourer le cul de cette pute qui est cambrée comme une chienne. Elle prend bien ma queue, et à chaque fois que ma bite se retrouve au fond d’elle, elle gémit. A mes gros coups de teub, j’ajoute de grosses fessées qui rendent ses fesses très vite toutes rouges.
Une envie furieuse me prend et d’un coup de rein, je plaque cette pute par terre. Je lui relève le croupion, je continue ma baise endiablée tout en lui maintenant la tête bloquée par terre avec ma grosse chaussure. Je vois le visage de profil de la pétasse, la tête collée au sol, les mains toujours dans le dos. Elle kiffe ce traitement, je le vois dans ses yeux. Je me remets à donner de grands de queue, faisant expulser la pisse qui éclabousse mon ventre et son dos. Quand elle me lance :
- Oui, vas-y, plus fort !
Ça me met hors de moi et les fessées pleuvent. Je lui enlève le bâillon et je plante ma matraque au fond de sa bouche, l’obligeant à la sucer, à la lécher. Puis je lui agrippe les hanches et me mets à la pilonner comme un marteau piqueur. Elle pousse maintenant de gros cris, je ne peux pas dire si ce sont des cris de jouissance ou de douleur. Mais ça m’est égal. Seul mon plaisir est aujourd’hui important. Son visage vire au rouge, elle halète sous mon pied qui maintient fermement son visage, mais je n'ai aucune pitié.
- Putain je vais te remplir, sale pute ! Je vais t’engrosser et te faire un bébé !
- Oui commandant, je suis à vous, remplissez-moi bien !
Et très vite, je l’agrippe par les hanches, je plaque mes couilles contre son cul, bien au fond, je sens ma queue gonfler et soudain des jets puissants de sperme giclent dans son cul, se mélangeant à ma pisse. Je me vide dans ses entrailles, j’ai l’impression que ma jouissance ne peut pas s’arrêter. Puis quand j’ai fini, je recommence des va-et-vient, tassant mon jus dans ce trou et savourant le plaisir de ses entrailles chaudes et bien remplies. Puis je ressors, son trou laisse sortir mes liquides qui se déversent en un torrent sur le sol de la forêt. Je lui ordonne :
- Nettoie-moi la bite !
Je la tire par les cheveux et je plante ma bite, redevenue molle, dans la bouche et elle me lèche les gouttes de pisse et de sperme. Ma pute avale tout jusqu’à la dernière goutte. Je vois qu’elle a éjaculé sans se toucher sous mes coups de teub, son ventre et sa queue sont plein de son sperme. Elle a bien pris son pied, elle aussi.
Je me remets debout, je remets mon slip et mon pantalon, je récupère ma ceinture. Je lui enlève les menottes... même si ça aurait été kiffant de la livrer à d’autres mecs ou peut-être à des collègues. Je prends son téléphone, j’en note le numéro et je lui dis :
- Je t’appelle, tu es ma pute officielle maintenant ! Quand je te sonne, tu me donnes ton adresse et je rapplique chez toi pour te baiser comme tu le mérites.
Je m’éloigne, la laissant par terre, souillée, salie, remplie de foutre et de pisse.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. Merci à José pour ces idées. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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