Comme je vous l’ai raconté, je suis parti en vacances en Sicile cet été. Après un séjour plein de détente et de sexe, la fin des vacances est malheureusement venue. Je reprends la route pour rentrer à Toulouse.
Je fais une pause à Bologne après avoir roulé toute la journée sur près de 1200 km. Je dors dans un hôtel. Après une nuit assez courte (je suis arrivé vers 23h à l’hôtel), je prends un petit-déjeuner et je repars vers 9h. Avant de prendre l’autoroute, je m’arrête dans une station-service pour faire le plein. Une fois que c’est fait, je repars.
Cependant, au bout de quelques kilomètres, la voiture se met à trembler. Elle vacille. Je commence à prendre peur. Quand un voyant rouge s’allume, je me dis qu’il faut agir. J’ai le bon réflexe de ralentir et de me garer sur la bande d’arrêt d’urgence. Heureusement... car le moteur s’arrête d’un coup. J’essaie de redémarrer, sans succès. Je soupire et je descends. Je vais à une borne de SOS et je réussis à contacter quelqu’un. Mon italien est assez bon pour expliquer le problème. Le mec à l’autre bout du fil me dit qu’il m’envoie quelqu’un.
Après un quart d’heure à attendre, un camion de dépannage arrive. Un mec en descend. Je le trouve super mignon. C’est un Italien ténébreux de 30 ans. Il est de taille moyenne. Il porte une casquette sur la tête et ses cheveux sont rasés. Il a une barbe en collier et des boucles d’oreilles en diamant aux deux oreilles. Il porte une salopette bleue de mécanicien. En dessous, il a un t-shirt sans manche, laissant voir des bras puissants, couverts de tatouages.
Il se présente, il s’appelle Pier-Paulo. Il ouvre le moteur, il regarde dedans. Il se relève et il me dit qu’il veut amener la voiture à son garage. Je hoche de la tête, pas particulièrement ravi. Il fait monter la voiture derrière son camion, je m’assois à côté de lui et il démarre en trombe.
Pendant le trajet, il est assez silencieux. Je prends mon portable et je raconte mes mésaventures sur WhatsApp à un ami, Johann, mécanicien et je lui explique les évènements. Il me demande si j’ai bien mis du diesel quand j’ai fait le plein. Je réponds : « Oui, je pense... ». Tout d’un coup, une notification de Grindr apparait avec pour message : « Bello culo », en lettres majuscules, avec la photo d’une grosse bite. Je fais vite disparaitre la notification et je regarde le dépanneur. Je perçois un mouvement rapide de sa tête. Je crois qu’il a vu la notification. Je suis mal à l’aise. Personne ne dit un mot pendant tout le trajet.
On arrive à son garage. Il descend, il parle à un de ses collègues, ils font descendre la voiture et ils l’examinent. Son collègue me demande dans un français approximatif si j’ai bien mis du diesel et pas du sans plomb. Je me mets maintenant vraiment à douter. Je réponds que je pense. Il fait alors une tête bizarre.
Les deux garagistes s’affairent autour de la voiture et quelques minutes plus tard, ils reviennent vers moi : j’ai bien mis de l’essence. Ils m’expliquent que ça va durer un moment avoir d’avoir pompé toute l’essence hors du réservoir et d’avoir « purifié » le moteur.
Je leur dis que j’attends, qu’ils ont qu’à faire ce qu’il faut. Je m’assois sur un siège. Je comprends que Pier-Paulo dit à son collègue que ça va durer longtemps et qu’il n’a qu’à y aller. Je remarque alors sur une pancarte que les samedis, le garage est ouvert seulement le matin jusqu’à 12h. il est déjà 11h. L’autre mec tourne la pancarte disant que le garage ferme (« chiuso »), il sort et il ferme la porte à clé de l’extérieur.
Pier-Paulo me donne des papiers à signer. Je ne les comprends certes pas mais je n’ai pas d’autre choix, je les signe. Puis, je lui demande de montrer les toilettes. Il se lève et il me fait signe de le suivre. Il me montre la porte des WC, j’y entre et je pisse. Quand je ressors, je découvre Pier-Paulo souriant, ... la braguette ouverte avec une belle saucisse qui pend bien.
- Tu vuoi ?
Putain, bien sûr que je la veux ! Elle est vraiment belle ! Je la saisis et je me mets à la branler. Il enlève alors sa salopette et le reste de ses habits ! Le mec est canon ! Il a un corps imberbe et un peu enrobé. Il a quelques poils entre le nombril et le pubis, qui est assez velu. Il a une queue marron foncé de 19 cm avec un petit gland rose.
Je m’approche de lui et je m’agenouille. Je prends sa bite en main. Elle est complètement dure. Je l’enfonce dans ma bouche et je la suce. Il se laisse faire, il me regarde le sucer. Puis, il me fait signe de me déshabiller. Je m’exécute. Quand je suis nu, je le vois lever le bras, découvrant une aisselle poilue qui me donne vraiment envie ! Je me précipite dessus et je plonge ma langue dans ses poils. Ils sentent bon le mâle. J’avale avec envie le nectar de ses aisselles.
Ensuite, je lèche ses tétons tandis que mes mains caressent son torse. Il est vraiment bien gaulé ! Je descends le long de son ventre et je plonge sur sa queue que je suce bien. Je me branle en même temps. Je commence une fellation lente. Puis, je me mets à faire des gorges profondes. Il gémit, surtout quand je bloque sa bite au fond de ma gorge. Il se laisse faire. Je vais des allers-retours sur ses 19 cm. J’adore me retrouver le nez dans ses poils de pubis. Ils sentent vraiment le mâle en rut.
Après 5 minutes, il me relève, il me plaque contre le lavabo et il écarte mes fesses. Il crache sur mon anus et il y plonge son gland... sans capote ! Il s’enfonce lentement en moi. Moi, ayant tellement envie de me faire baiser, recule pour enfoncer sa bite encore plus loin en moi... Il arrive au fond de mon trou, les couilles plaquées contre mon cul. Il se met à me baiser. Je me branle au rythme de ses va-et-vient. Il accélère toujours plus la cadence. Le garagiste me tient fermement les hanches. Parfois, il ressort sa queue avant de la rentrer entièrement dans mon anus. Il me défonce ensuite sans vergogne. Je gémis de plaisir. Putain ! Sa queue m’écartèle bien les entrailles ! Je bande à fond. Pier-Paulo se fait plaisir en moi, il me pilonne bien. Il me tient bien fermement les hanches pour m’enculer à fond.
Après 10 minutes, il bloque sa queue dans mon cul et dans un gémissement synchronisé, il me jute dans le cul tandis que je jouis en même temps que lui en me branlant. Il me remplit l’anus pendant que j’arrose le sol des WC avec mon sperme liquide et blanc. Je sens la violence de ses jets de sperme qui me mitraillent les intestins. Le mec n’a pas dû juter depuis un moment ! Il s'affale sur moi en soufflant comme un bœuf, la queue encore dure dans mon cul. Puis, il se retire et mon trou bien ouvert laisse échapper le sperme liquide et abondant qu'il vient de me décharger dans le cul.
On se rhabille, moi le cul dégoulinant de jute. Il me dépose un petit baiser sur la bouche tout en me caressant la nuque. Il reprend son travail et au bout de trois heures, il me dit que je peux reprendre la route. Mais tout en disant ça, il sort sa bite. Devant son regard qui me dit : « Vas-y, suce-moi bien la bite », je me mets à genoux devant lui et je la suce de nouveau. Elle me plait vraiment. Elle me remplit bien la bouche. Pier-Paulo prend ma tête dans ses mains et il se met à me baiser la gueule. Il me bourrine la bouche ! Je lui caresse les couilles en même temps ce qui semble faire monter son désir. Sa bite va profondément dans ma gorge. Ses coups de reins sont puissants, il me fait de belles gorges profondes en laissant sa bite bien au fond.
Je le suce pendant 20 minutes. Puis à un moment, il sort sa queue de ma bouche, il se branle pendant quelques secondes et dans un râle sonore, il me jute sur le visage. Quatre jets viennent me peinturlurer le visage mais avec une quantité énorme ! Son premier jet de sperme vient s'écraser sur ma joue, puis le deuxième dans les cheveux. Les deux autres finissent sur ma langue et sous mon nez. J’avale tout ce que je peux. Avec son gland, il fait glisser son sperme sur ma langue et j’avale le tout avec délectation.
Il me relève et il m’embrasse sur la bouche en me donnant une tape sur les fesses. Il me dit que je peux repartir, et que je n’ai rien à payer. Je le remercie, je lui roule une grosse pelle et je reprends la route.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
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Meetmemz
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