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HISTOIRE

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Paquet énorme à la piscine

Salut,

Moi, c’est Mohammed, mais tous mes amis m’appellent Moha. J’ai 24 ans. Je suis un rebeu. J’ai les cheveux bruns et courts, les yeux marron. Je n’ai pas de barbe. Les mecs me trouvent mignon, avec un air espiègle d’ado. Je suis monté 20 cm. Une queue circoncise, plutôt fine et presque noire avec un gland assez proéminent. Je suis un peu potelé (j’ai un peu de ventre par exemple et des petits seins avec de beaux petits tétons noirs) et je suis poilu au niveau des jambes et du pubis qui est rempli de poils noirs et frisés. Mes aisselles sont aussi très poilues.

Avant le Covid, je faisais pas mal de sport : foot, piscine, ... Depuis, j’ai un peu tout arrêté et ça se voit à mon embonpoint. J’ai un peu envie de perdre quelques kilos, même s’ils ne me dérangent pas. J’aime bien mon évolution. A la fin du deuxième confinement, j’ai repris le chemin de la salle de sport, mais je ne suis pas pleinement satisfait. Une fois les mesures restrictives passées, je me suis décidé à aller de nouveau à la piscine.

Un jour, je me rends après le boulot, vers 16h, à la piscine à côté de chez moi. En arrivant, je vais me doucher et j’arrive à voir un mec avec une grosse teub qui est en train de se doucher. J’admire l’eau bien chaude qui ruissèle sur son torse et ses abdos musclés pour descendre sur sa queue. Elle est grosse, longue et pend lourdement, tout comme ses couilles. Son gland semble encore plus épais que sa bite. Il est circoncis, bien dessiné.

J’allume la douche, je me rince et je vois le mec TTBM qui me tourne le dos. Ses fesses bien dessinées sont très sexy. Puis, malheureusement pour mes yeux, il met une serviette autour de ses hanches et part vers les vestiaires : le mec a fini son entrainement et il sort. Dommage !

Je me rends dans le grand bassin et je commence par une séance de brasse. Puis s’ensuit le crawl. A un moment, alors que je suis sur le dos en train de faire le papillon, un mec passe à côté de moi : il marche sur le rebord. Surpris, je fais un faux mouvement et je bois la tasse. Je m’accroche au bord, je me libère les poumons et je lève la tête. Le mec marche toujours. Il porte un maillot de bain blanc qui moule bien un petit cul rebondi. Mais ce n’est pas ça qui m’a fait perdre mes esprits. Il pose sa serviette dans un casier et il se dirige vers le rebord de la piscine. Sa peau est bronzée et contraste avec le blanc de son slip de bain. Et là, je vois ce qui m’a surpris : son maillot révèle un paquet impressionnant ! Quand je dis impressionnant, je n’exagère pas. Quand je porte mon maillot, il forme une ligne bien horizontale au niveau du ventre. Chez le mec, non... il forme un arc de cercle comme si la pesanteur l’attirait vers le bas. Sauf que c’est son énorme paquet qui le tire vers le bas. Le paquet laisse entrevoir tout d’abord deux énormes couilles qui pendent bien. Elles ont l’air d’être aussi grosses que des mangues ! Sa grosse bite a l’air aussi bien grosse et bien large, elle est plaquée sur l'aine droite, montant presque jusqu'à l'élastique tendu de son maillot. L’ensemble forme une boule volumineuse. Je reprends ma nage tout en observant du coin de l’œil le mec au beau paquet.

Je m’attarde sur son physique. Le mec est vraiment pas mal : il est assez bronzé. Je ne saurais dire s’il est métis ou tout simplement bronzé, il est grand (1,90m), large d’épaule avec un ventre assez prononcé mais bien dur, des seins gonflés et larges qui donnent envie de les téter, de gros bras, des cuisses musclées. Il doit avoir dans les 40 ans. Il a les cheveux noirs, mi-longs, frisés, une barbe bien entretenue.

Au bout de 30 minutes, il sort de l’eau et se dirige nonchalamment vers les toilettes. Il s’éloigne, me montrant son dos et surtout ses fesses galbées et bien dessinées. Mon envie première aurait été de le suivre... mais je n’ose pas. Quand il revient, je ne peux m’empêcher de mater le paquet bien rempli qu’il arbore. J’essaie de calmer mes ardeurs mais c’est dur devant ce maillot déformé par un bulge aussi volumineux et pesant ! Je me dis que c’est indécent de montrer un truc pareil, mais comment dissimuler un paquet aussi volumineux ? Il prend alors son morceau en main qui est plaqué contre sa cuisse gauche et il place son matos au-dessus de ses couilles. Le paquet a l’air encore plus gros ! Et le fait d’avoir replacer sa queue, a tiré un peu le tissu vers le bas, ce qui montre les poils noirs de son pubis.

A un moment, il ressort pour reprendre son souffle et s’assoit sur le bord. Le tissu mouillé laisse encore mieux deviner ce qu’il cache dessous. Il laisse entrevoir le dessin d’un gros gland. Le maillot moule de façon bien nette un long sexe imposant qui est plaqué sur ses couilles. En effet, le tissu montre en gros plan le dessin de son gros gland. Le mec semble aussi avoir un long sexe qui est plaqué sur ses couilles géantes. En effet, le tissu trempé colle à la boule que fait sa bite. On voit vraiment le moindre contour de ses couilles et de sa queue. Puis il replonge et continue de nager.

Je continue mes brasses, mais mon esprit ne peut se sortir ce bulge de la tête ! Je plonge souvent en passant à côté de lui pour mater ses énormes couilles écrasées par le tissu et son matos plaqué au-dessus. Je veux fixer chaque détaille, chaque courbure, chaque pli du tissu pour pouvoir y repenser quand je serai chez moi en train de me branler. Perdu dans mes pensées, je me cogne légèrement contre lui quand il tente de me dépasser. Je bégaye :

- Pardon...

Je lui lance un sourire timide mais il n’y répond pas. Au bout d’une heure, épuisé par cette nage, je remonte l’échelle et me dirige vers les vestiaires, non sans lui lancer quelques regards. J’aurais tellement aimé qu’il me suive. Mais il poursuit ses mouvements de nage.

Je prends ma serviette et mon gel douche et me dirige vers les douches. Je m’installe dans un coin, je commence à faire couler l’eau. Je me savonne vers le mur, essayant de ne pas frôler ma queue qui bave encore sous l’effet de cette vision improbable. J’entends alors un bruit de porte et voilà que le mec au gros paquet rentre et se met en face de moi. Je me savonne et je me retourne, voulant mater le bel homme, dans l’espoir qu’il se mette à poil. Il me tourne le dos, il pose sa serviette et prend son gel douche. Là, il se met de biais et je peux mater son paquet de plus près. Je reste bouche bée. Le paquet a l’air encore plus gros de près. Il semble presque déborder ! Les couilles sont énormes et sa queue est plaquée contre son aine droite et elle semble bien grosse. Le tissu mouillé en laisse voir la forme et même la couleur ! Le tissu est tendu au maximum, la queue est longue et large. Elle prend presque toute la largeur du maillot. L’eau se met à couler et dégouline le long de son maillot, et j’ai l’impression que la bite est encore plus visible. Il me semble aussi que le paquet est si volumineux qu’il y a une petite ouverture entre son entre-jambe... Si je me penchais, je verrais peut-être ses couilles... Je me ressaisis de justesse. Je ne veux pas me faire prendre dans un moment de voyeurisme. Mais la queue est maintenant tellement collée au tissu qu’on remarque la couleur sombre de la teub et la couleur plus claire du gland. Je la vois comme s’il ne portait rien !

Il se retourne pour poser son gel douche, il se retourne et il fait glisser son maillot le long de ses cuisses, lentement. Je vois alors un cul bien moulé, bien dessiné, un peu rebondi mais ferme, recouvert de poils noirs Il écarte alors un peu les jambes et j’aperçois alors ses couilles qui pendent de l’autre côté. Je vois une masse imposante, longue, pendre au milieu de ses jambes, et font bien 1/3 de la longueur de ses cuisses. Puis il se retourne, ne me calculant toujours pas et moi je continue mon spectacle de voyeur. Je me réjouis intérieurement ! Il est enfin à face à moi, complètement à poil. Putain, quel engin ! ses couilles sont énormes, elles font vraiment la taille de grosses mangues, larges, luisantes sous l’eau qui en coulent. Elles pendent bien lourdement. Sa queue bien brune, presque noire aussi pend lourdement : elle fait bien 15 cm au repos et elle est bien épaisse. Le gland est recouvert d’un long prépuce. Il lave sa bite et ses couilles. L'eau coule le long de son torse et de son ventre, sur ses cuisses et sur ses couilles de taureau poilues. Il passe sa main sur sa bite énorme qui se fait décalotter petit à petit, sous l’effet de ses va-et-vient. Puis c’est le tour de ses couilles qu’il semble caresser. Il remonte et savonne sa touffe pubienne et repasse à sa queue. Il tire le prépuce, savonne le gros gland. Puis il laisse retomber sa bite qui se pose sur ses grosses couilles et pend comme une grosse saucisse noire.

Mes yeux remontent et se retrouvent droit dans les siens qui me fixent... Je suis rouge de honte et je me retourne. Mais je sens son regard braqué sur moi. Il s’approche alors de moi et se place sur ma gauche. Il allume la douche, se rince un peu le visage et continue de se savonner. Il ne me regarde pas.

Je ne peux pas contrôler mon regard qui tombe sur son engin. Il pend entre ses jambes, aussi grosse qu’une canette de soda et plus longue. La teub pend flasque comme une grosse saucisse toute molle, traversée de quelques veines. Et là, je sens que ma bite, incontrôlée, se met à frémir et à grossir. Le mec fait comme de si rien n’était et continue de se savonner. Puis il se penche en avant pour se laver les pieds. Et mon regard passe à son cul. Que de belles fesses musclées ... et ses couilles pendent dessous, et sont même visibles de l’autre côté. Quel beau spectacle !

Il se relève et cette fois me regarde droit dans les yeux, me souriant. Je n’ose plus bouger. Pris sur le vif, je détourne le regard. Et je me retourne vite car ma trique naissante commence à être visible. Je ferme les yeux et essaie de chasser le mec de mes pensées. Mais je ne peux m’empêcher et j’ouvre les yeux pour observer la masse qui pend entre ses jambes. Elle est massive... J’admire l’eau ruisseler le long de son ventre, dans son pubis, entre ses poils bien noirs. Puis, elle se met à descendre le long de son engin et de son long prépuce et pour tomber comme un gros jet de pisse sur le sol de la douche.

Et là, ma queue bondit dans mon maillot. Je bande dur. Je n’ai qu’une envie, c’est avoir cette poutre dans ma bouche, dans mes trous. Il rompt alors le silence :

- Tu es mignon.

Je ne sais pas quoi dire. Je bafouille :

- Merci...

- Tu t’appelles comment ?

- Moha... et toi ?

- Séb. Moha, je peux te frotter le dos si tu veux.

Sans attendre ma réponse, il prend mon gel douche en main, le fait couler dans sa paume et il commence à me savonner. J’ai des frissons. Je sens de temps en temps sa queue me frotter le cul : il s’active à me savonner et sa queue se balance de droite à gauche. Il descend lentement et se met à me caresser les fesses. Je le laisse faire, un peu surpris par la situation. Petit à petit, je sens sa queue monter le long de mon cul et se dresser. Il s’approche de moi et je me retrouve avec sa bite plaquée contre ma colonne vertébrale. Son anaconda a l’air impressionnant. Je le ressens dans la moitié de mon dos. Il commence à m’embrasser dans le cou.

Il me retourne, il me prend dans ses bras et il m’embrasse langoureusement. Sa langue s’immisce immédiatement dans mes lèvres et les ouvre pour aller fouiller ma bouche et s’enrouler autour de ma propre langue, tandis que l’eau coule sur nos corps rapprochés. Il colle mon corps contre le sien et me caresse le dos. Je sens sa grosse queue plaquée contre mon ventre. Je ne vois rien mais le morceau a l’air d’avoir des proportions hors normes. Ses mains descendent le long de mon dos pour me masser les fesses. Puis il enfonce un doigt dans mon anus, à travers le tissu de mon maillot. Il me murmure à l’oreille :

- J’ai trop envie de toi !

- Moi aussi, réponds-je sans réfléchir.

Il se baisse alors, fait descendre mon maillot le long de mes cuisses et il prend ma queue en bouche. Il sait y faire : mes 20 centimètres disparaissent au fond de sa gorge en moins de deux. Il ressort et il joue avec mon gland circoncis puis il s’enfonce de nouveau sa bite dans sa bouche. Sa bouche est chaude, j’en frisonne de plaisir. Il s’y prend bien. Puis il se relève et je cède à la tentation. Enfin, je l’ai devant mes yeux ! Il bande comme un âne, sa queue a des proportions anormales : je la prends en main. Je tiens bien 28 bons centimètres ! Elle est presque noire, longue, massive. Ma main n’arrive pas à en faire complétement le tour. Son gland marron clair est maintenant décalotté et il est aussi gros qu’un abricot. J’hallucine, je n’ai jamais vu ça. Et mes yeux tombent sur ses couilles. Elles sont vraiment énormes, aussi grosses que des mangues. Je pose une main dessus et je constate que la surface de ma main est plus petite que la surface de ses burnes. Ce sont vraiment les plus grosses couilles qui m’ont été données de voir. Comme je l’avais observé, elles sont aussi grosses que des mangues... aussi grosses que des couilles de taureau, et assez poilues. Elles sont aussi très foncées comparées au reste de sa peau. Je prends maintenant son membre en main et je dois constater qu’elle n’arrive pas à en faire le tour. Le gros gland arrive presque au niveau du torse, c’est hallucinant.

Je prends son gland en bouche et je joue avec le frein. Puis j’enfonce petit à petit le monstre dans ma bouche. Seule la moitié y entre. Je fais alors des va-et-vient sur sa queue. Elle est vraiment bien bonne. Et je ne peux m’empêcher de caresser ses énormes burnes couvertes de poils noirs et soyeux.

Soudain, on entend les portes des vestiaires s’ouvrirent. Je me relève précipitamment et nous faisons mine de nous laver, tourner vers le mur pour ne pas montrer notre érection. Mais je crois qu’un ou deux mecs nous ont capté. Mon taureau me murmure à l’oreille :

- Viens, on va chez moi.

On finit de se doucher, on s’habille. On va à pied chez lui. Il habite à 5 minutes de la piscine. Il me lance des regards coquins sans arrêt tout le long du chemin. Moi, je lui adresse des sourires provocateurs. Et on arrive à son appart. J’ai trop envie de continuer là où on s’est arrêté. Je lui enlève son t-shirt dès le seuil passé et puis je m’agenouille devant lui. Je tire sur le milieu de son survêt qui descend lentement le long de ses cuisses, révélant le monstre. Il ne porte pas de caleçon, ça je l’avais bien remarqué quand il s’est habillé tout à l’heure.

Je fais descendre le survêt très lentement. Tout d’abord, je révèle les poils de son pubis puis la base de sa queue. Elle est si large, c’est impressionnant. Puis je continue de tirer et je découvre lentement le reste de son gourdin qui pend entre ses jambes, flasque, massif. La descente semble être interminable. Sa queue au repos fait bien la moitié de la largeur de ma main ! Et enfin, je le libère l’anaconda. Le gland est gonflé, sous le long prépuce. Et les couilles dépassent de chaque côté.

Il me fait remonter, me déshabille aussi et me roule une grosse pelle, langoureuse et sensuelle alors que ses mains se baladent sur mes fesses et les caressent. Il me plaque contre son corps, je passe ma main dans ses cheveux. Je sens sa queue gonfler, glisser le long de mon ventre et venir s’imposer entre nous. Une envie de le sucer me prend mais il est plus rapide.

Il se met à genoux et enfonce ma queue jusqu’à la garde. Et à l’aide de sa main, il me branle. Il me fait une pipe d’enfer. Puis il s’arrête, me regarde et je plonge pour l’embrasser. Le mec est trop canon. Il continue de me sucer et il fait ça trop bien. Il me fait des gorges profondes, appréciant bien mes 20 centimètres au fond de sa bouche.

Il m’amène sur son lit, me fait coucher sur le dos et m’embrasse. Puis il descend le long de mon corps avec sa langue et il reprend sa pipe. Je me laisse faire, appréciant son traitement. Il me suce bien pendant 10 minutes. Je dois bien me concentrer pour ne pas jouir. Puis il remonte vers moi et on s’embrasse tout en se câlinant. Il est couché sur moi et il frotte sa queue contre la mienne.

Puis je me libère de son emprise, je passe sur lui, je l’embrasse dans le cou et ma langue descend le long de son torse, vers son monstre que je prends immédiatement en main. Je tire sur sa peau qui libère son beau gland pâle. Je le lèche puis ma langue descend le long de sa matraque pour s’occuper de ses couilles. Je les lèche et les masse. Elles sont si douces et si grosses dans ma main. Je branle son membre en même temps.

Ensuite, je remonte à son pieu que je mets en bouche. Je le suce, j’ai l’impression que j’avale sa queue un peu plus loin. Mais je suis fasciné par ses grosses couilles pendantes que je ne peux m’empêcher de lécher. Sa main accompagne ma suce et quand j’enfonce sa queue au plus profond de mes possibilités, il met une petite pression sur ma tête afin de rentrer quelques millimètres plus loin dans ma gorge. J’admire ses couilles qui se balancent d’avant en arrière quand il donne de petits coups de reins ou de haut en bas quand je le branle. Je les admire vraiment. Elles sont tellement grosses... Je me surprends alors à lui dire :

- Baise-moi la bouche !

Il se lève alors, je me mets à genoux et il se met en position. Sa queue me caresse le visage. Ensuite, son gros gland trouve le chemin de mes lèvres. Je tire alors la langue et me prépare à tout recevoir. Doucement, il la fait entrer dans ma bouche en faisant de petits va-et-vient. Il enfonce son pieu dans ma bouche. Ma mâchoire craque. Elle est mise à rude épreuve, son morceau est si large qu’il m’ouvre la bouche au maximum. Je sens le gland passer sur ma langue et sa teub en descendre tout le long. Elle est dure et raide. Ma tête est prise entre ses deux mains comme s’il m’aidait à supporter son chibre qui rentre en moi. Sa queue glisse lentement au fond de ma bouche puis passe les amygdales. J’ai deux tiers de sa bite en moi. Je ressens le réflexe vomitif mais je tiens bon. J’ai envie de l’avaler au maximum de mes possibilités. J’essaie de respirer par le nez. Puis le mec se met à ressortir doucement pour revenir lentement au fond de ma gorge. Il y va avec précaution. Il s’enfonce toujours plus profondément.

Il se met maintenant à aller plus vite et plus profond, il me baise la bouche. Le rythme est rapide, il fait des grands mouvements de bassin. Moi, j’encaisse pendant de longues minutes. Il me tient la tête d’une main. De temps en temps, il ressort, me laissant reprendre ma respiration. Mais une bonne quantité de bave sort de ma bouche et vient s’écraser sur le sol. Il me fait lécher ses couilles puis reprend sa baise. Il me frappe de temps en temps avec sa queue sur le visage... qu’elle recouvre complétement sur toute sa longueur.

Ses couilles se balancent devant moi, d’avant en arrière. Elles me cognent le menton et plus le rythme s’intensifie, plus les couilles s’enfoncent avec violence dans le bas de mon visage tout en fouettant mon cou où elles rebondissent. Puis il ressort de ma bouche. Je suis content, il ne manquerait plus que quelques centimètres pour que j’ai tout avalé.

Il se masturbe au-dessus de mon visage. Quel beau spectacle ! Sa grosse queue noire, si longue, si large, avec de grosses veines saillantes si proche de mes yeux. Ses énormes couilles se balancent devant moi, sautent de haut en bas, sous les mouvements de sa branle et je ne peux m’empêcher de les lécher, ce qui le fait gémir.

Puis il m’attire vers lui, me pousse sur le lit et se met à me sucer. Je lui caresse la tête tout en fermant les yeux et je sens ma sauce monter. Je suis tellement chaud que je ne peux plus contenir ma jouissance. Je commence à gémir et dans un grand râle, je sens ma queue se contracter et lui remplir abondamment la bouche. Mes jets fusent au fond de sa gorge et il avale tout sans en perdre une goutte. Il ressort ma queue de sa bouche et lèche les dernières perles qui s’échappent sur mon gland. Je lui ai mis une bonne dose dans la gorge.

Il se couche et me dit :

- C’était trop bon !

Souriant intérieurement, je me mets à quatre pattes sur le lit et je dis :

- Prends-moi !

Il me regarde, surpris, mais il ne se fait pas prier et il se relève. Il se met derrière moi et se couche sur mon dos, m’embrassant dans le cou. Je ressens sa queue bien dure collée contre ma colonne vertébrale et ses couilles posées contre ma raie. Il prend un tube de gel et il commence à me doigter. Un doigt rentre bien, puis deux et enfin trois. Je remarque que je mouille bien. Séb me fait vraiment envie ! Il enduit sa queue de gel et revient m’embrasser dans le cou. Je sens son gland bien dur à l’entrée de mon anus. Il s’enfonce lentement en moi. Mon trou résiste puis sous la pression, il laisse passer le gland. Je sens l’entrée de mon cul tout de suite remplie par ce gland monstre, aussi gros qu’un abricot. Il y va lentement. Je sens sa bite dure, veineuse, épaisse, entrer en moi. La moitié de sa queue s’enfonce toute seule en moi. Il continue sa descente mais je mets une main sur sa cuisse. Je commence à avoir mal. Il sort, remet du gel sur sa bite, laissant mon trou béant, puis re-rentre doucement. Il va plus loin cette fois. Je sens comment cette queue m’entrouvre et m’écarte bien le trou. Je sens centimètre par centimètre le monstre passer en moi. Mes sphincters résistent puis finissent par céder sous la pression. J’essaie de me détendre ce qui me fait respirer bruyamment. Et au bout de cette descente qui me semble interminable, il arrive au fond de mes entrailles, son pubis plaqué contre mon cul et ses énormes couilles posées sur mes cuisses.

C’est la première fois que j’ai un aussi gros morceau comme ça en moi ! 28 cm ! Séb reste immobile puis il se retire complètement et replonge doucement. Il se met à donner de petits coups de bite, pour me laisser m’habituer à son morceau tandis qu’il me caresse le dos. La douleur s’estompe petit à petit. Il entame de longs aller et retours, allant bien au fond de mon cul.

Il accélère le rythme, faisant des mouvements de plus en plus amples... et ses cuisses musclées tapent contre mes fesses. Ses énormes couilles lourdes, bien noires, s’écrasent à chaque pénétration contre moi et rebondissent contre mes cuisses. Il m’embrasse dans le cou tandis qu’il me fait l’amour. Mon trou se fait à ce monstre. Oubliant la douleur, je commence à ressentir du plaisir... Je me sens mouiller de l’intérieur. Séb aime bien faire sortir sa bitte entièrement pour la remettre immédiatement sur toute sa longueur. Je commence à couiner. Il défonce bien ma prostate.

Il me baise de plus en plus rapidement et quand il sort de mes entrailles, j’ai l’impression qu’il manque quelque chose, je me sens vide. La mouille coule le long de mes cuisses. Il me passe ses bras autour de mon ventre et m’embrasse dans le dos tout en continuant ses mouvements de reins. Il s’aperçoit alors que je bande toujours et il me demande alors :

- Tu peux me prendre ?

- Pas de soucis.

Il se retire de mon cul, je sens que mon anus reste béant. Il se place en levrette et je me précipite sur son trou que je lèche. J’enfonce ma langue dans sa raie poilue et je me mets à titiller sa rosette. Il se met à gémir. Ensuite, ma langue transperce son anus et s’enfonce lentement en lui, de plus en plus profondément. Je ressors et je remonte le long de ma raie pour mieux redescendre et le pénétrer de nouveau avec ma langue. Je réussis à en rentrer la moitié et je commence à faire frétiller ma langue... ce qui semble bien lui plaire ! Il gémit de plaisir, très fort. Je salive énormément. Son trou s'ouvre de plus en plus sous mes coups de langues. Je lui écarte le cul de mes mains pour aller bien au fond.

Je ressors, le doigte avec du gel et je m’enfonce en lui. Il prend mes 20 cm sans broncher. Ils s’enfoncent comme dans du beurre. Je le baise aussi sans capote. Arrivé au fond de lui, je reste sans bouger et je profite. Il a un cul bien chaud et très accueillant. Je me couche dans son dos et je l’embrasse dans le cou tout en commençant à donner des coups de reins. Il gémit bien. J’alterne les coups de queue puissants et doux. J’adore voir et entendre mes couilles rebondir sur son périnée. Au bout de 10 minutes, je lui dis :

- Je vais pas tarder à jouir.

- Une deuxième fois ??

- Oui !

- Ok ! Donne-moi tout ton ! Féconde-moi !

Je m’enfonce dans son trou et mes couilles se mettent à se contracter et à expulser mon sperme... J’éjacule longuement, en de longs traits. Une dizaine de jets lui remplissent les intestins. Je sens le sperme jaillir de ma queue pour aller s’exploser au fond de ses entrailles et lui remplir ainsi le ventre. Je me couche dans son dos, envahi par la jouissance. Ma queue reste bien dure en lui. Je me mets alors à bouger mes fesses et ma queue reprend ses va-et-vient. Je sens ma bite nager dans mon sperme chaud. Mais je continue de le baiser : il me fait tellement d’effet que ma queue ne débande pas. Je vois alors ma bite devenir toute blanche. Le jus sort aussi de son cul sous la pression de mon chibre. Il va couler le long de ses couilles pour tomber sur le lit. Une flaque se forme par terre, ses couilles et son périnée sont complètement blancs. Mes couilles se mettent à battre contre ce ruisseau de jus et à l’éparpiller un peu partout : sur le lit, sur son ventre, sur mes cuisses.

Au bout de quelques minutes, je ressors de ses entrailles : je veux qu’il me baise de nouveau. Mon jus coule par vagues de son anus. Il se couche alors sur le lit et je grimpe sur sa bite. Je m’empale dessus, je descends lentement et je ressors de temps en temps. Pas facile de se faire à ce monstre que je sens encore mieux m’ouvrir que tout à l’heure. Au bout de quelques minutes, je suis satisfait : je suis complètement assis sur sa queue, je sens ses couilles contre mes fesses et mes propres couilles sont posées dans les poils de son pubis. Je l’embrasse avec passion. Puis je commence à monter et descendre. Son éperon m’ouvre bien ! Je le sens en moi... comme un tronc qui me remplit le fion. Je me mets à califourchon au-dessus de son ventre et je monte et descends sur son membre. Quelle sensation de dingue ! Puis il me fait alors tourner sur sa queue sans sortir de mon cul, il me fait basculer sur son torse et il me fait lever les jambes. Il se met à vraiment me baiser. Ses grosses couilles se balancent de haut en bas et viennent frapper les miennes. Sa queue m’ouvre comme jamais. Je ressens la puissance de ce membre s’emparer de moi. Les coups de queue sont de plus en plus rapides. Je sens le jus monter dans ma queue, tellement sa bite me travaille la prostate. Ses coups de bite sont longs et puissants et vont bien au fond de moi. Il me mordille l’épaule. Mon corps vibre sous ce traitement. Mon plaisir est au maximum.

Puis, il me fait me relever et me fait poser sur le dos sur le lit. Il s’approche de moi, m’embrasse tendrement tandis que son gland trouve tout seul le chemin du fond de mes entrailles. Il reprend sa baise. Le contact de ses énormes couilles qui frappent mon dos est des plus excitants. Il fait des allers-retours assez lents. Je sens bien toute la longueur de sa queue. Puis il se met à me baiser comme un dingue, rapidement, très profondément. Je gémis fort. Dans le miroir, je vois ses couilles rebondir sur mon cul et se balancer d’avant en arrière. Elles accompagnent les mouvements de son cul qui dégouline encore de sperme. Je mets mes jambes autour de son cou. Je veux le sentir au plus près de moi. Il s’en rend compte, il colle son torse contre le mien et me roule de grosses pelles sans s’arrêter de me baiser.

Il ressort de mes entrailles qui restent béantes et il se place sur le dos, cul en l’air. Je place alors mon gland encore bien dur sur son anus et je l’enfonce au fond de ses entrailles. Je donne des coups de queue lents et réguliers, entrant et sortant bien de lui pour lui bien faire sentir mes 20 cm qui sont toujours blancs et qui expulsent toujours mon sperme de tout à l’heure. Je suis tellement excité que mon troisième orgasme arrive au bout de 15 minutes. Je me bloque en lui et je lâche ma sauce. Ma queue pulse et expulse mon jus. Je compte bien 11 jets qui jaillissent dans ses entrailles et lui remplissent le ventre. Je ressors et un sperme plus gluant suit et coule lentement le long de sa raie.

Mais cette fois, ma queue débande. Je me relève. Il me demande de me mettre sur le dos. Je m’exécute et il se met à se branler au-dessus de mon cul. Il se penche aussi pour m’embrasser. Puis c’est la jouissance ! Quatre gros jets puissants viennent s’écraser sur moi, sur mon pubis, sur le torse, le visage, dans les yeux, dans les cheveux. Mais je vois qu’il continue d’éjaculer. Il m'en envoie partout. Je m’écris :

- Plante-moi ta queue dans le cul !

Il obéit. Je sens sa queue coulisser en moi et continue d’expulser son précieux sperme. La source de ses grosses couilles ne semble pas se tarir. Son éjaculation semble interminable. Les jets semblent moins puissants mais un flot continu de jus m’envahit le cul. Il crache et il crache toujours. Il marque une pause quand il a fini. Je sens bouillonner ce jus chaud en moi. Quelle sensation incroyable. Puis il continue de me baiser et je sens qu’il tasse son jus qui coule comme un torrent le long de mon cul. Chaque pression dans mon cul libère une quantité astronomique de sperme qui envahit le lit. Sa queue encore un peu dure me baise ainsi durant de longues minutes avant de déculer. Sa bite est devenue toute blanche. Je sens mon trou grand ouvert, béant, se contracter et expulser le trop plein, tel un geyser. Le jus visqueux et translucide coule sur le lit et forme une énorme flaque. Je me précipite sur sa bite et je la suce avec avidité.

Il se couche sur le lit, me prend dans ses bras et m’embrasse dans le cou. Il plaque son corps contre le mien et il se blottit contre moi. Je tourne ma tête et l’embrasse à pleine bouche. Nous resterons comme ça jusqu’au matin suivant, moi, le trou béant et explosé d’où s’échappe des litres de sperme qui coulent sur les draps.

Merci à Moha pour ses idées.

J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).

Meetmemz

meetmemz@yahoo.de

TOP AUTEUR 2022 + 2023 MEETMEMZ

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💦 Dernère mise à jour:
29 Octobre | 78 pages

Les nouvelles | 11 Pages

Une vente peu ordinaire Hagdahuk
Masturbation plaisir Gay-de-Correze
L'atelier du peintre Colinot
La chasteté ou tu paies Lucas59
Premier plan à 3 no kpote Romaincho
Esclave Meetmemz
La visite de mon neveu Meetmemz
Croisière pour célibataires Meetmemz
Un infirmier Meetmemz
Prison Meetmemz
Entre potes hétéros Meetmemz

Les séries : 67 pages

Dans ma librairie | 10 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10
Soirée bien remplie | 2 | +1 0liv
1 | 2
Godages à l'oriental | 3 | +1 Fabrice
1 | 2 | 3
Les vestiaires du travail | 2 | +1 Sotender
1 | 2
Commandant Hassan | 10 | +1 Fabrice
Saison 11 | Le diable rouge | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10
Entre potes | 17 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 1617
À disposition | 2 | +1 Jerôme
1 | 2
Cocu | 7 | +1 Dej407
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7
C'est un deal | 2 | +1 Sasemex
1 | 2
Mi-temps à Bourges | 2 | +2 Coolsexe
1 | 2
Ascenseur | 9 | +1 YvesChalons51
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Une vie | 1 | +1 Fabrice
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ET CE N'EST PAS TOUT !
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