Chapitre-1
Personne ne sait que je suis homo. Et je n’ai pas envie que ça change car je n’ai pas vraiment envie de me prendre la tête avec mes parents. Je m’appelle Clément et j’ai 20 ans et j’ai déjà un peu d’expérience avec un pote. on regarde assez souvent des pornos ensemble et on se branle. Au début, c’était chacun pour soi, et après un certain temps, on en est venu à se masturber l’un l’autre. On s’est même déjà sucé ! Par contre, je ne lui ai jamais avoué que je rêve qu’il me défonce... Oui, ça fait plusieurs années que j’ai envie de me faire prendre par une bonne queue ! Mais malheureusement, mon souhait est resté jusqu’ici inassouvi.
Aujourd’hui, je n’ai pas cours. Je décide alors de me rendre chez mon frère, Maxime. Il a 29 ans. Je sonne chez lui et il m’ouvre. Maxime est mince, sportif. Il a des cheveux blonds et des yeux bleus, tout comme moi. On se ressemble comme deux gouttes d’eau, à ce qui paraît. Mais contrairement à lui, je n’ai pas de barbe de 3 jours ni de corps musclé. Comme souvent, il m’ouvre et il est torse nu. Je sais qu’il se promène toujours à poil dans son appart, sauf quand il a de la visite, alors il met un short. Je viens souvent le voir chez lui souvent. On s’entend bien et on fait beaucoup de choses ensemble. Il est quelqu’un de très sociable et il a toujours du monde chez lui. Quand il ne donne pas de fête, il joue à la console avec ses potes. Je me suis toujours demandé comment il faisait pour trouver le temps de faire ça à côté de son boulot.
Quand j’entre, je remarque qu’il est en train de jouer à Fifa avec Hugo, son meilleur pote. Il a son âge que Maxime, il a des cheveux courts et bruns, une barbe de trois jours et il est toujours bien sapé. Il est vraiment sexy et je dois avouer que je fantasme depuis longtemps sur lui. D’ailleurs, c’est lui que je m’imagine souvent en train de me dépuceler. J’ai déjà fait des dessins de lui, nu. Je l’ai dessiné bien gaulé avec une teub de 19 cm. Je ne l’ai certes jamais vu à poil, mais c’est le fantasme que je me fais de lui. A cause de mon frère, je n’ai jamais essayé de savoir s’il était homo... car mon radar gay me dit qu’il n’aurait rien contre le sexe entre mecs.
Aujourd’hui, Hugo porte un bermuda et je peux alors admirer ses jambes poilues tandis que mon frère et lui reprennent leur partie. Je m’assois à côté d’eux et Hugo demande alors à mon frère:
- Au fait, t’es pas rentré seul chez toi hier soir ?
- Non, en effet.
- Vous avez fait quoi ?, demandé-je.
- On est sorti en boîte, explique Hugo. Alors, Max, t’as baisé la petite meuf qui t’a dragué ?
- Oui ...
- Putain, t’as trop de la chance ! Moi, je suis rentré bredouille.
- Ah… c’est cette odeur bizarre que j’ai sentie en rentrant, dis-je. Ça pue le sexe !
- Pauvre con !
- Il a raison, Max, surenchérit Hugo. T’as même pas dû te laver ta queue après, j’en suis sûr ! C’est pour ça que tu pues !
- Putain, je vais vous mettre ma bite sous votre nez, vous allez voir si elle pue !
On se met tous à rire... et moi j’essaie de contrôler mes pensées en imaginant mon frère qui donne sa bite à Hugo... qui se met à bander et que je pourrais... Putain, ma teub commence à frémir. J’essaie de contrôler mes fantasmes... quand Maxime crie car il a battu Hugo. Il fait une danse puis en regardant l’heure, il dit :
- Il faut que j’aille faire quelques courses si on veut manger quelque chose !
- Je viens avec toi, dit Hugo. Et toi, Clément ?
- Non, je reste ici.
- On n’en a pas pour longtemps, dit Maxime.
Je ne veux tout simplement me lever car ma bite est dressée et je la cache en gardant les jambes croisées. Mon frère se dirige vers sa chambre et quand il ouvre la porte, je vois un bordel sans nom. Les deux s’en vont et je vais alors voir sa chambre : des bouteilles de bière vides sont sur le sol, du linge sale est éparpillé un peu partout, des paquets de chips ouverts et à moitié pleins trainent à côté de ses dossiers de boulot. Je suis vraiment curieux de voir si je trouve des « traces » de sa nuit sauvage. Je vois deux caleçons... et intrigué, je les approche de mon nez. Ils sentent la sueur et la pisse. Putain ! Je me mets à bander... quand soudain, je vois deux capotes sur le sol. Il a baisé la meuf deux fois ? Il devait bien être en rut. Je retourne dans le salon, la bite gonflée. Je cherche alors sur mon portable un porno mais je n’ai pas le temps de le mettre en route que les deux sont déjà de retour. Ils apportent 3 packs de bière et des pizza surgelées.
On mange, on boit des bières et on joue à un autre jeu sur la console de mon frère. Vers minuit, on se rend compte qu’on a vidé les 3 packs de bière à nous trois.
- Max, tu peux me ramener à la maison... Je suis pas en état de prendre le bus, je pense.
- Je suis pas en état de conduire non plus ! Tu peux pieuter ici !
- Moi non plus, je peux pas prendre le volant.
- Dors ici aussi. Clément, tu prends le canapé... et si tu prends pas toute la place, Hugo peut dormir à côté de toi.
- Bonne idée, dit Hugo. Je suis bien fatigué ...
- Je vous apporte des couvertures et des oreillers... et au lit, les mecs !
Mon frère nous prépare tout ça pendant qu’on déplie le canapé. Puis, on se couche et il éteint la lumière.
- Bonne nuit, Clément !
- Bonne nuit, Hugo.
Mon cœur bat à tout rompre... Je dors à côté du mec sur lequel je fantasme. Hugo s’endort direct. Ma bite bande à fond. Heureusement que le canapé est grand. Mais j’aimerais tellement essayé de voir sa bite... Mais les vapeurs d’alcool et la fatigue ont raison de moi et je m’endors sans rien oser.
Au beau milieu de la nuit, je suis réveillé par une envie ultra pressante de pisser. Je vais aux toilettes et je me soulage. C’est quand je reviens dans le salon que je remarque que le canapé est vide : Hugo n’est pas là. Je me demande où il peut se trouver. Mais je suis tellement crevé que je me couche afin de me rendormir. Soudain, j’entends un bruit. Je tends l’oreille. Oui, ce sont bien des gémissements. Je suis cette fois bien réveillé. J’écoute. Plus rien. Mais 2 minutes plus tard, ils reprennent. Je suis alors le bruit. Je me rends compte qu’il vient de la chambre de Maxime. Je plaque mon oreille contre la porte mais je n’entends plus rien. Très précautionneusement, j’arrive à ouvrir la porte. Les gémissements reprennent. A travers l’embrasure de la porte, je vois mon frère, nu, debout, qui est en train de baiser quelqu’un en missionnaire. J’entends alors :
- Putain ! Ta bite me remplit bien ! Ça fait mal !
- J’arrête ?
- Non, continue ! Défonce-moi !
C’est Hugo que j’entends prononcer ces mots ! Maxime reprend et je peux ainsi l’admirer en train de baiser son meilleur pote ! Je bande immédiatement ! Hugo est sur le dos, ses jambes poilues bien écartées. Ses mains agrippent la tête de lit de mon frère. Son corps est athlétique, son torse et son ventre sont recouverts de poils noirs et fins. Pendant que je regarde les deux en train de baiser, je me mets à me branler doucement. Je ne vois mon frère que de dos qu’il a de puissant. Ses hanches fines donnent des coups sauvages de butoir qui font gémir Hugo. Je vois aussi la bite à moitié bandée d’Hugo qui bouge sous le rythme de baise de mon frère. Les deux sont tellement bien occupés qu’ils ne voient pas la porte ouverte.
Une odeur de sueur envahit mes narines. De temps en temps, Maxime retire entièrement sa queue du trou de son pote. Sa raie ainsi que son anus sont bien poilus. Je peux alors admirer la teub tendue de mon frère. Elle est fine avec un gros gland. Elle doit bien faire 22 cm. Je me rends compte qu’il baise son pote sans capote… ça me fout une de ces triques ! Sa bite reste quelques secondes dehors avant de se renfoncer dans le cul d’Hugo qui gémit bien. Je le vois alors prendre sa queue pour commencer à la branler. Il bande maintenant à fond et sa queue m’impressionne. Elle doit faire dans les 20 cm et elle est bien épaisse. Il se met à dire:
- Baise-moi encore plus fort ! Vas-y, défonce-moi !
Mon frère obéit et il le pilonne vraiment sauvagement, si fort que la tête d’Hugo va se cogner contre le montant du lit.
- Oh putain ! C’est trop bon !
Soudain, je vois son jus jaillir de sa queue bien dure. Ce sont 5 jets puissants qui sortent de sa grosse bite. Il ne faut pas très longtemps à Maxime pour donner un gros coup de rein et quand il gémit, je comprends qu’il ensemence le trou de son meilleur ami. Maxime donne encore quelques coups de reins, il tasse son jus. Je vois alors son sperme qui sort lentement du trou d’Hugo et qui dégouline sous sa bite pour atterrir dans la raie poilue du passif.
Mon frère sort du trou de son pote et il présente sa queue devant sa bouche. Hugo se précipite dessus et il la nettoie. Il avale avec un plaisir évident le sperme de mon frère. Maxime donne quelques coups de reins et ses 22 cm s’enfoncent entièrement dans le gosier de son pote. Puis, il ressort, sa bite molle pendouille entre ses jambes. il prend alors la queue d’Hugo dans sa bouche et il en lèche le sperme qui la recouvre. Sa langue remonte ensuite le long de son ventre puis de son torse pour ramasser le jus qui a aspergé le corps d’Hugo. Il va ensuite embrasser son pote et il lui refile sa semence sur sa langue. Je me dis alors que je dois refermer la porte et vite, je le fais d’un coup et je me précipite dans la salle de bains. Je me branle et j’éjacule rapidement... C’est comme si ma queue explosait ! Je nettoie tout rapidement et je me rends sur le canapé. Au bout de 15 minutes, Hugo m’y rejoint. Je fais semblant de dormir.
Le lendemain, on se lève et les deux font comme si de rien n’était...
Pendant de longues semaines, je repense à cet épisode... Je suis jaloux de mon frère mais j’ai adoré voir les deux baiser ! J’y pense souvent et je dois bien sûr me branler !
Un jour alors que je m’ennuie, je décide d’aller rendre visite à mon frère. Je ne lui ai jamais avoué les avoir surpris et je fais comme si tout était normal : je vais souvent le voir. Quand j’entre, il est en train de jouer à Fifa, en caleçon, torse nu.
- Alors tu t’ennuies à la maison ?
- Oui…
- Tu veux jouer ? Hugo va passer, on peut se faire une partie.
- Non, pas envie.
- Eh ben... tu vas nous regarder jouer !
Quelques minutes plus tard, il me demande, sans quitter la télévision des yeux :
- Tu peux aller me chercher mon autre manette. Elle est sous la télé, dans le tiroir de droite. Celle-là n’a plus de batterie.
- Ok.
J’ouvre alors le tiroir et je vois la manette. Je la prends... quand mes yeux découvrent avec stupeur ce qui se cache, à côté de la manette, dans un mouchoir mal plié : un gode !
- Allez, donne ! J’ai plus de jus là !
Devant mon manque de réaction, il se précipite sur moi et il découvre alors l’objet de ma stupéfaction. Il se met à rigoler :
- Pas mal, le truc, non ? Il fait du bien là où il passe !
Je n’en crois pas mes oreilles. Mon frère vient de m’avouer qu’il se gode ! Mais ma queue commence à se dresser dans mon pantalon.
- Va sur mon lit, m’ordonne mon frère d’une voix sévère qui ne semble pas tolérer la discussion.
D’un doigt, il désigne sa chambre. Il me prend par le bras et il m’entraîne dans sa chambre. Je suis encore trop surpris pour réagir. Maxime me pousse vers le lit :
- Couche-toi, petite pute !, dit-il d’un ton agressif.
Je tombe sur le lit et je vois que sa queue déforme son caleçon : il bande ! Il se rend alors compte que je bande à fond et il sourit :
- J’ai toujours su que tu étais une petite salope !
Il m’enlève alors mon t-shirt et mon pantalon de jogging. Je me retrouve en caleçon et en chaussettes. Maxime fait alors glisser son caleçon le long de ses jambes musclées. J’ai une magnifique vue sur son morceau, en demi-molle. Je le fixe. Son pubis est recouvert de poils fins et courts. Ses couilles pendent assez profondément. Il s’assoit sur mon ventre et je sens la lourdeur de son morceau sur mon torse.
- Tu sais, Clément, je connais ma chambre. Je sais quand quelqu’un l’ouvre. Je connais bien le bruit du gond qui couine un petit peu. J’ai l’oreille fine. Quand tu t’es branlé pendant que je baisais Hugo, j’ai tout de suite entendu ta gourmette qui faisait un léger bruit... Et je sais aussi que quand on est excité, on jute beaucoup... et loin. Moi, je ne me branle pas dans la salle de bains... et pourtant après que tu nous as surpris, j’ai trouvé des traces de sperme sur le miroir de l’armoire à glace !
- Non ... euh... je...
- Je sais que ça t’a plu d’observer ton grand frère péter le cul de son meilleur pote, avoue !
- Oui, dis-je en baissant les yeux.
- Elle te fait envie ?, demande-t-il en jouant avec sa queue contre mon torse, comme si c’était une massue.
- Oui...
- Alors... ouvre la bouche !
Je me mets immédiatement à bander. Je dois avouer que son ton dominant me plait... et c’est pour cela que j’obéis. Maxime saisit ma tête et il met son gland qu’il libère de son prépuce dans ma bouche. Lentement, il fait entrer sa bite dans mon gosier. Son gland a un goût un peu salé... mais quand même agréable ... et chaud... Il me prend par les cheveux et il enfonce sa queue molle entièrement dans ma bouche. Je la sens alors y prendre du volume... ainsi que dans ma gorge ! Je commence à paniquer, je n’arrive plus à respirer. Maxime appuie sur ma tête quelques secondes, puis il relâche la pression. Je me mets à tousser et à respirer bruyamment. Je sens quelques larmes couler le long de mes joues... Mon frère affiche un sourire carnassier... Soudain, la sonnette retentit. Maxime sourit et il va ouvrir, la queue dressée. J’entends alors Hugo dire :
- Oh ! Max ! Tu m’as jamais accueilli comme ça !
Les deux entrent dans la chambre et ils me regardent... en caleçon, avec une bonne gaule.
- T’y es enfin arrivé ?, demande Hugo.
Je remarque alors une légère excitation dans la voix du meilleur pote de mon frère. Je vois Hugo se déshabiller pendant que Maxime vient s’assoir sur mon torse :
- Lèche.
Il fait alors passer son cul au-dessus de ma bouche et j’ai une belle vue sur sa raie... imberbe. J’obéis, je sors ma langue et je me mets à lécher son trou. Maxime gémit immédiatement. Pendant ce temps, je sens qu’Hugo me retire mon caleçon et qu’il me fait lever les jambes. Je me demande ce qui va suivre... mais je crois connaitre la réponse. J’angoisse alors un peu car je suis encore vierge du cul... ce qui ne m’empêche pas de continuer de faire un anulingus à mon frère qui gémit de plus en plus fort. Soudain, je vois Hugo qui s’approche de lui et qui lui roule une grosse pelle tandis qu’il se branle.
Ensuite, Maxime se penche alors sur sa commode, il en tire un tube de lubrifiant qu’il tend à Hugo qui s’en badigeonne la queue. Moi, je continue toujours de procurer du plaisir à mon grand frère. Soudain, je sens la bite dure d’Hugo contre mon trou.
- Oui, vas-y, défonce-moi, Hugo !, me surpris-je entendre dire.
- T’inquiète, je vais bien te baiser !
Maxime en profite pour enfoncer sa queue dans ma bouche. A ce moment-là, Hugo enfonce son gland dans mon trou... ce qui me fait gémir involontairement. Je ressens un peu de douleur car sa queue est quand même épaisse... mais je veux qu’il continue. C’est tellement bon ! Je suce avec envie la queue de mon frère pendant que son meilleur pote me dépucèle ! Je saisis la bite de Maxime et je la regarde. Elle est vraiment magnifique. Elle est certes fine, mais veinée. Elle est dure comme du béton et elle a un gros gland rouge. Elle est vraiment longue... Je commence à lui lécher la pointe du gland, puis le gland tout entier. Ensuite, mes lèvres glissent le long de son morceau. J’arrive à la moitié ... et je commence à faire des allers-retours.
- Putain ! Tu suces trop bien !, s’exclame mon frère.
Il donne quelques petits coups de reins, enfonçant sa bite un peu plus profondément. Maxime me saisit alors la tête et il donne un grand coup de reins. Sa queue touche le fond de ma gorge. Je manque de m’étouffer. Il la ressort et il la renfonce. Il se met à donner des coups de reins puissants qui me font tressauter. Je bave de partout, les yeux éclatés. Hugo me saisit la bite et il la branle tout en continuant de me baiser. il s’exclame :
- Max, tu avais raison, tu savais qu’il aimerait ce traitement... Elle bande, cette petite pute.
Mais mon frère ne me laisse pas le choix. Je prends sa teub de plus en plus profondément dans la gorge. Les réflexes vomitifs sont de moins en moins nombreux. Parfois, il ressort sa bite. Et sans crier garde, il la remet dans mon fond de gorge.
- Tu as un vrai garage à bites ! Ça te plait hein ? Vas-y, lèche-moi les couilles.
Maxime me donne ses couilles à gober qui sont pleines de ma salive qui a dégouliné le long de mon menton. D'abord une boule, puis l’autre. Il a de très grosses couilles poilues. Puis il replace sa teub devant ma bouche. Et je l'ouvre, soumis ... C’est vrai que cette situation m’excite... Je lui nettoie son gland, rempli de sa mouille. J’admire sa queue veinée, énorme et chaude ! Cette fois, il m’explose la gorge. Pendant ce temps, Hugo se fait plaisir dans mon cul. Il a jusqu’ici donné de petits coups de reins, admirant mon frère s’occuper de moi. Mon trou s’est bien fait à sa queue. Je me rends alors compte que je me fais enfin baiser par le mec sur lequel je fantasme depuis un bon moment ! Trop bon !
Mais Hugo finit par sortir sa queue de mon trou, il me fait placer sur le dos et, sans ménagement, il enfonce d'un seul coup sa bite en moi. La douleur me fait crier. Il reste quelques secondes sans bouger, savourant sa bite plantée en moi, sans capote. Puis, il commence des va-et-vient rapides et brusques. Il me démonte le cul. Mon corps tremble sous ses assauts. Il sort sa queue, il la rentre, il la sort, il la rentre. Ses couilles claquent sur mes fesses. Je me mets à hurler de plaisir, ce qui accroit la violence de ses coups. Il s’exclame :
- Merde ! Ta chatte est trop bonne ! Et bien serrée en plus ! Je vais pas tenir longtemps !
Il se défoule dans mon cul. Pendant ce temps, je suce la queue de mon frère qui s’exclame :
- Oui, sale pute, suce-moi bien pour aller chercher ma semence !
Hugo me pilonne tel un marteau-piqueur, tellement fort que je n’arrive plus à sucer mon frère. Alors, il recommence à me baise la gueule, sans pitié. Soudain, je sens la queue de mon frère se tendre et sans que je puisse comprendre ce qui m’arrive, un liquide salé et chaud gicle sur ma langue. Et d’un coup, ce sont des jets puissants qui jutent rapidement dans ma gorge. J’arrive à peine à tout avaler. La quantité est impressionnante. Ce sont au minimum 8 giclées ! Je me mets à me branler à fond. En moins d’une minute, je m’exclame :
- Putain ! C’était trop bon ! Je vais jouir aussi !
Je sens l’orgasme monter en moi... et mon jus gicle comme une fontaine, recouvrant mon ventre, mon torse et atteignant même mon menton ! Hugo hurle alors :
- Ouah ! C’est trop bon comme ton anus me masse la teub ! Je vais jouir !
Il s'enfonce en moi, il pousse un cri de jouissance et il me lance sa purée au plus profond de mon trou. Je sens comme sa queue se contracte pour expulser tout le sperme contenu dans ses grosses couilles. De nombreuses giclées sortent et me fouettent le fond du cul, telle une mitraillette. Je sens mon anus se faire remplir. Il continue ses mouvements bien brusques, tassant son jus qui gicle encore hors de sa bite. Je sens qu’il déborde de mon anus et qu’il dégouline le long de mon cul... Des gouttes de son sperme en tombent lourdement. Sa teub ressort de mon trou et de nombreuses vagues de jus continuent de sortir. Mon frère et son meilleur pote se mettent alors à récupérer la semence que j’ai dans ma raie, sur mon corps, autour de ma bouche... et ils viennent se placer à ma gauche et à ma droite. On se roule des pelles au jus, se partageant ainsi notre jus…
Puis, Hugo s’écroule sur le lit en disant :
- Ouah ! J’en peux plus, les mecs !
- Moi pareil, dit mon frère.
Moi, je ne dis rien. Je baille et je me colle contre ces deux mâles et je m’endors rapidement. je suis tellement détendu maintenant...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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