J’ai rencontré ma copine il y a un an en boîte. Après 2 ans de célibat, mon pote Pierre m’a obligé à sortir pour l’accompagner en discothèque. Je ne suis pas du tout le genre fêtard. Je préfère rester plutôt tranquillement à la maison, je suis très pantouflard. Pierre voulait que « je m’amuse ». « Nico, il est temps que tu t’amuses », ne cessait-il de répéter. J’ai tout de suite compris ce qu’il sous-entendait par là. Mais j’ai toujours dit que je n’aimais pas les coups d’un soir. Il a quand même réussi à m’y traîner... ce que je n’ai pas regretté. C’est là que j’ai rencontré Marjorie.
Je m’en rappelle comme si c’était hier. Il était tard et je voulais rentrer... quand je l’ai rencontrée au bar. Elle avait 36 ans (moi 38), avec de longs cheveux blonds, un corps élancé et sportif et un sourire à se damner. Pierre avait vu mes regards et il m’avait présenté. En a suivi un rendez-vous amoureux. Puis un deuxième. Marjorie m’a tout suite avoué qu’elle était séparée depuis plus de 10 ans de son ex qu’il l’a mise enceinte alors qu’elle avait 18 ans. Elle est maman de deux jumeaux. Ça ne m’a pas dérangé qu’elle soit déjà maman de deux garçons, Cédric et Philippe.
Entre temps, j’ai emménagé chez Marjorie et les deux garçons, qui font leurs études en ville et qui donc n’ont pas d’appart à eux. Ils veulent plutôt faire des économies pour louer ou voir même acheter un vrai appart à eux. C’est assez incroyable de voir comment les jumeaux sont inséparables. Je me suis depuis longtemps rendu compte qu’ils avaient un lien très spécial. Et même après avoir passé 20 ans sans être séparés, ils ne cessent de répéter qu’après leurs études, ils habiteront ensemble. « On est frère et personne ne se mettra entre nous ! », répètent-ils souvent.
Marjorie et moi sommes aussi inséparables et on est très amoureux. On est très casaniers et on passe le plus clair de notre temps libre et de nos vacances ensemble. Un an après notre premier anniversaire, elle a changé d’entreprise, ce qui l’a conduit à aller de temps en temps à Paris pour des réunions sur la journée. Mais aujourd’hui, on s’enlace. La séparation est dure car elle doit partir pour presque une semaine à Paris pour faire une présentation devant de gros investisseurs. Elle trouve que c’est une bonne occasion pour moi et ses garçons de faire encore plus ample connaissance. Je lui promets bien sûr de veiller sur eux et de faire attention à ce qu’ils ne fassent pas de bêtises, alors qu’eux disent qu’ils vont transformer la maison en une porcherie après avoir fait une grosse fête avec des drogues et du sexe à gogo, laissant leur mère inquiète en grimpant dans le taxi pour la gare...
Le premier soir se passe super bien et je suis vraiment content d’avoir atterri dans une famille comme celle-là. Cédric et Philippe m’aident à préparer le repas sans que j’aie besoin de leur demander. Le repas est très convivial et on parle bien. Ils me racontent des trucs qu’ils ont toujours caché à leur mère, comme des petits péchés de jeunesse, des mauvaises blagues, leur première cuite, leur première (et dernière !) cigarette. Et très vite, je passe au sujet des filles, ce dont ils ne veulent apparemment pas parler avec moi. Pour ne pas ruiner la soirée, je ne pose pas d’avantage de questions. Je suis vraiment content qu’ils se confient à leur « beau-père ».
Après le repas, ils débarrassent d’eux-mêmes la table et ils rangent la cuisine. N’ayant plus rien à faire, je vais me doucher. Après la douche, je me regarde dans le miroir : je suis sportif et mon corps est musclé sec. Je coupe les poils de mon torse pour qu’ils ne soient pas trop longs. Je suis blond, avec une barbe courte bien entretenue et des cheveux courts. Mon cul est ferme et musclé et je sais que les femmes se retournent sur mon passage dans la rue pour me mater le cul. Ma queue au repos est pas mal. Quand je bande, j’ai 17 cm. Mes couilles sont grosses et pendantes. Je les rase, tout comme mon pubis.
Une serviette autour des hanches, je sors de la salle de bains et je me dirige vers ma chambre quand j’entends des bruits venir du grenier (aménagé). Curieux, je veux aller voir ce que les garçons y font. Je me demande tout d’un coup s’ils ont de la visite en entendant les messes basses et les gémissements... J’ouvre lentement la porte et j’entends :
- Non, Philippe... et si Nico nous entend..., murmure Cédric.
- Non, il va rien entendre, crois-moi.
Je vois alors les jumeaux... dans le même lit. Ils sont torse nu et Philippe a sa tête dans le cou de son frère.
- Merde ! Tu m’as refait un suçon ! T’es chiant, Philippe ! Maman va encore poser des questions... et Nico aussi maintenant... après qu’il nous a demandé si on avait des copines, murmure Cédric.
- Désolé, frérot, mais tu es si beau...
J’entends alors Philippe embrasser son frère dans le cou et Cédric gémir. Bien que je sache que la situation n’est pas du tout normale et que je devrais intervenir, je me sens comme paralysé. Je comprends immédiatement pourquoi les jumeaux, qui sont beaux gosses, n’ont pas de copine. J’entends alors un truc qui me foudroie presque :
- Suce-moi, gémit Cédric.
- Et si Nico nous entend, demande Philippe avec un ricanement au coin des lèvres, tout en caressant la bosse formée dans le pantalon de son jumeau.
- Je m’en fous... Il peut même participer, ça ne me dérangerait pas, gémit Cédric.
Je me rends alors compte que cette perspective plait à ma bite qui se dresse sous ma serviette !
- Allez, suce-moi ! Ca fait trop longtemps !, s’empresse de dire Cédric.
Philippe dépose un baiser sur les lèvres de son frère et il lui ouvre son pantalon pendant que ce-dernier écarte les jambes. Philippe en sort une queue qui bande déjà bien.
Les deux garçons ont des cheveux bruns. Ils ont un corps mince et musclé, bronzé. Leur torse est imberbe et ils ont 2 petits tétons marron foncé. On devine une tablette de chocolat sur leur ventre. Ils ont de belles jambes musclées, un peu poilues. Je vois le pubis de Cédric qui est velu, avec des poils longs et frisés. Il a une queue de 18 cm, marron et veinée, avec un gros gland. Il a de grosses couilles poilues et bien pendantes.
Je dois alors avouer que la vue de cette teub me fait de l’effet. Des souvenirs de jeunesse remontent. Moi aussi, j’ai eu des expériences avec des mecs. Ça fait une éternité...
Sans hésiter, Philippe saisit la bite de son frère et il enfonce la moitié dans sa bouche. Il commence immédiatement à le sucer. Cédric gémit. Philippe lui met immédiatement une main devant la bouche. Cédric pose une main dans les cheveux de son jumeau et il se met à le caresser en fermant les yeux. Puis, il appuie ce qui fait descendre plus profondément sa queue dans la bouche. Philippe se retrouve avec le nez dans les poils pubiens de son frère. Puis, il relâche la pression et Philippe se redresse. Cédric murmure :
- Continue !
Philippe reprend sa suce en faisant des gorges profondes. Cédric ferme les yeux et il s’accroche aux draps du lit. Quand il rouvre les yeux, son regard se dirige vers moi. Il m’aperçoit... et il me regarde droit dans les yeux, sans broncher, tout en caressant la tête de son frère. Moi, je reste là, debout en continuant d’observer les jumeaux. Ça semble l’exciter que je les mate car il repose la main sur la tête de son frère et il l’oblige à le sucer plus rapidement en disant :
- Vas-y, Philippe, prends-la bien à fond ! Suce-moi à fond jusqu’au bout !
Il l’oblige à aller plus profondément. Je remarque alors que j’ai sorti ma queue bien dure et qu’elle se trouve... dans ma main ! Soudain, Cédric pousse un fort gémissement, il me regarde droit dans les yeux et il donne un coup de reins. Je comprends qu’il gicle son nectar dans la bouche de son frère jumeau.
Je retourne silencieusement dans la salle de bain, je prends ma queue et je la branle à fond en repensant à ce que je viens de voir. Rien qu’en m’imaginant la queue de Cédric qui gicle dans la bouche de son frère, je jouis sur le champ. Je jute 3 giclées puissantes à travers la salle de bain qui atteignent le lavabo et même l’armoire à glace !
Je reprends mon souffle et je nettoie mes traces. Une fois mon excitation passée, je me retrouve envahi par des sentiments négatifs. J’ai mauvaise conscience d’avoir observé les fils de ma copine en train de se sucer. Le pire, c’est que Cédric m’a vu !
Le lendemain, lorsque je me réveille, je suis content que les garçons soient déjà partis pour la fac. Je sais qu’ils rentreront tard, ils ont, après les cours, entraînement de foot. Je m’assois devant un café et je me remémore alors que les événements de la soirée ont aussi imprégné mes rêves car j’ai rêvé de la scène que j’ai matée... et j’ai trouvé des traces de sperme séché dans mon slip en me réveillant. Je réfléchis et je ne sais pas comment je vais réagir en présence de Cédric... maintenant que je suis au courant de sa relation « interdite » avec son frère et lui sait que je sais... et il sait aussi que ça m’a plu !
Je suis content que Sophie ne soit pas là en fait... et je suis encore plus content d’être en congés ! Je n’aurais sûrement pas pu bosser après la soirée d’hier ! J’essaie de me changer les idées au jardin... ce qui marche bien ! Après avoir bien bossé, je vais prendre une douche. Pour le repas, je me mets une pizza congelée dans le four et je la mange, vu que je suis seul. Les jumeaux mangent avec des potes de foot après leur entraînement.
Les deux frères rentrent vers 22h. L’anxiété me reprend car je sais que je dois parler avec Cédric. Quand ils passent le pas de la porte, je vois qu’ils sont trempés jusqu’aux os : il s’est en effet mis à pleuvoir des cordes. Cédric s’exclame, en s’adressant à son frère :
- Je vais prendre ma douche au sous-sol, t’as qu’à aller en haut.
Et á peine arrivés, ils disparaissent chacun de leur côté. Je m’étais imaginé pouvoir immédiatement parler avec Cédric. Je suis un peu désemparé. Soudain, j’ai peur qu’ils parlent de tout ça à Sophie. Je prends mon courage à deux mains et je descends dans le petit studio qu’on utilise comme salle de jeux. Elle a une petite douche. Quand j’entre, je vois Cédric qui a laissé la porte de la mini salle de bains ouvertes et qui est nu sous la douche. Je l’admire. Son corps musclé et bronzé est magnifique. J’admire aussi ses jambes musclées tu poilues. Il se retourne et j’ai une sublime vue sur son cul musclé et magnifique, en forme de pomme. Il se retourne de nouveau. Il a les yeux fermés... quand je vois alors qu’il est en train de savonner sa queue... qui prend du volume ! Elle atteint 18 cm. Elle est vraiment belle, avec un gros gland. Sous ses mouvements de branle se balancent ses couilles d’avant en arrière. Soudain, j’entends :
- Tu veux seulement me mater aujourd’hui ? Ou tu veux participer ?
- Qu...Quoi ?, m’écrié-je.
Mon regard se détache de sa bite et se pose sur son visage. Il a toujours les yeux fermés. Il se branle toujours. Je vois des gouttes de precum sortir de sa queue.
- Je te demandais si tu voulais participer, répète-t-il en ouvrant lentement les yeux et en me faisant signe de venir vers lui.
- Quoi ? Non... Ça va pas la tête...
- Je crois bien que ta queue en aurait envie.
Je regarde alors mon entre-jambe... Mon pantalon est déformé par une grosse érection.
- Allez, tu sais que j’en ai envie, je sais que tu en as envie...
J’entends mon cerveau crier « non ! »... tandis que je sens mon corps faire tout le contraire de ce que mon cerveau dit. Mes jambes se dirigent vers la cabine de douche jusqu’à ce que je me retrouve à quelques centimètres de Cédric. Il saisit le col de mon polo et il me tire dans la douche. L’eau chaude mouille complètement mes vêtements. Mon polo colle à mon corps musclé.
- Cédric... c’est pas bien..., murmuré-je.
Le jeune me regarde de la tête aux pieds en se mordant les lèvres :
- Nico, tu es vraiment trop beau gosse ! Depuis le premier jour que je t’ai vu passer la porte de la maison, j’ai voulu faire ça...
Il s’approche de moi et il m’embrasse. Pendant ce temps, ses mains douces passent dans mon short et en sortent ma queue tendue. Je soupire légèrement. Puis très vite, le garnement me pousse contre la paroi de la douche et il me roule une grosse pelle pendant qu’il lève sa cuisse et qu’il la frotte contre ma queue dressée. Ensuite, ses lèvres descendent dans mon cou. Il me retire mes vêtements et ses lèvres descendent le long de mon corps. Puis, il se dirige de nouveau vers mon visage, il me mordille le lobe de l’oreille et il murmure :
- Tu veux que je te suce ?
Sans répondre, je mets mes mains sur ses épaules et je le fais descendre devant ma bite tendue. Il la saisit et il se met à la branler. Moi, je pousse mon bassin vers l’avant. J’ai envie qu’il me suce. J’ai perdu toute pensée rationnelle. Lorsque Cédric fait passer sa langue chaude sur mon gland et que ses lèvres humides encerclent ma bite, je pousse un gémissement. Mes doigts passent dans ses cheveux mouillés et j’agrippe alors sa tête. Je le fais aller et venir sur mon membre. Je fais entrer ma queue au fond de sa gorge. Je sens ses mains passer sous mon t-shirt mouillé pour me caresser le ventre, passant entre mes poils. Dans un moment bestial, j’utilise la bouche du jeune homme comme un sex-toy. Mes couilles vont et viennent, frappant son menton.
Au bout d’un moment, je le relâche, prononçant un « ouaou !! ». Je regarde Cédric qui ressort ma bite de sa bouche tout en me regardant en souriant.
- C’est ça, laisse-toi aller !
Il reprend ma bite en main et il se met à la branler tout en passant sa langue sur mes couilles. Prisonnier de mon désir, je n’ai qu’une envie, c’est envoyer ma semence dans les trous de mon beau-fils. Je m’entends alors dire :
- Debout !
Cédric obéit, il pose ses mains sur la paroi de la douche, il se cambre et il dit :
- Fuck me, daddy !
Sans hésiter, je me positionne derrière Cédric. J’écarte ses deux fesses et je vois son petit trou imberbe.
- Bouffe-moi le cul, daddy !
Je ne réfléchis pas et je le fais, tout simplement. La pointe de ma langue entre doucement dans l’anus du jeune, ce qui le fait gémir.
- Continue, daddy, baise-moi avec ta langue.
Le fait qu’il m’appelle « daddy » m’excite au plus haut point. Le jeune met bien son petit cul en arrière et je me mets à aller et venir ma langue en lui. A un moment, je saisis sa bite, et ma langue passe le long de son périnée pour sucer sa queue. Cédric gémit fort. Ensuite, je reprends mon bouffage de cul. Cédric murmure quelque chose. Je ne comprends pas :
- Quoi ?
- Baise-moi, daddy, s’écrie-t-il.
Je me redresse et j’enfonce ma queue bien dure dans le trou du jeune. Pendant ce temps, ma langue passe dans son dos pour atterrir dans son cou. Il gémit doucement, il tourne la tête et je l’embrasse goulument. Une de mes mains glisse sur son ventre, l’autre autour de son torse.
- Je vais te baiser, mon garçon !
Automatiquement, Cédric se cambre et je me redresse pour mater son cul parfait. Je l’enlace de nouveau dans mes bras et je pousse sur ma queue qui entre lentement dans son trou. Mais d’un coup, il se recule vers moi et je me retrouve avec sa teub entièrement en lui ! On gémit tous les deux. Je me redresse et j’admire mes 17cm en lui, sans capote.
Quand je commence à faire des allers-retours, je suis surpris que son anus soit si serré. Je pose mes mains sur ses hanches et j’entame une cadence régulière et lente. Cédric se redresse, il pose son dos contre mon torse poilu. Moi, j’enlace le jeune et mes coups de reins deviennent plus amples et plus durs.
- Plus fort, daddy !
Sans hésiter, je le baise plus fort. De ma main droite, je saisis sa queue bien dure et je la branle. Sentir sa bite pulser dans mon poing me fait encore bander plus dur. Je le pilonne maintenant. Cédric crie fort quand il sent mes boules fouetter ses fesses. Ma main libre parcourt son corps, nous nous embrassons sauvagement pendant que je le défonce. Il est si serré que je dois sortir de son anus pour ne pas jouir. Non, je veux encore profiter de lui.
- Viens là, lui dis-je.
Je m’assois sur le carrelage de la douche et je l’attire vers moi. Je lui fais signe de venir s’assoir sur ma queue.
- Je veux te voir pendant que je te baise.
Il sourit comme un petit démon. Il enjambe mon corps et il s’assoit d’un trait sur ma teub tout en me regardant droit dans les yeux. Je pose mes mains sur ses hanches pour enfoncer le plus profondément ma queue dans ses entrailles. Je vois la queue de Cédric, posée sur mon ventre, en train de laisser échapper du precum qui recouvre dans mes poils.
Cédric entame de rapides va-et-vient sur ma bite. J’observe le fils de ma copine en train de me chevaucher sans aucun problème. Il se penche au-dessus de moi et il m’embrasse sauvagement.
Au bout de quelques secondes, je reprends les commandes et je pose mes mains sous son cul. Je commence à le baiser, à le faire monter et descendre sur ma teub.
- Vas-y, daddy, plus vite. Plus profondément ! Mets-moi enceinte !
Jusqu’à présent, personne ne m’avait parlé ainsi ! Et je dois avouer que Cédric m’excite énormément. Je redouble alors mes coups de bite. Je me déchaine en lui. Mes couilles frappent bruyamment son cul. Et en effet, très vite, je sens ma semence monter. Ma queue durcit. Cédric semble le sentir car il se met aussi à monter et descendre en cadence sur ma bite tout en se branlant.
- Vas-y. mon garçon, va chercher ma semence.
Je ne tiens plus longtemps et je sens mon jus alors sortir hors de ma teub. 8 giclées jaillissent et vont mitrailler ses entrailles, telle une fontaine, telle une lance incendie. Cédric gémit fort et il se lève. Je vois ma semence dégouliner de son cul et tomber sur mes jambes. Il se place devant moi et je lui dis :
- Oui, donne-moi ta sauce !
Cédric sourit et il me place sa queue dans la bouche. Je la suce. Quand je sens sa teub se durcir, il la prend en main, il se branle en disant :
- Je vais juter.
J’ouvre alors la bouche et il gicle 10 jets puissants qui atterrissent dans mes cheveux, sur mon visage, sur le nez et les sourcils, dans ma barbe, sur ma langue... et sur le mur derrière moi.
Quand il réouvre les yeux, il voit à quoi je ressemble et il se met à rire. J’avale le sperme que j’ai sur la langue. Cédric se penche sur moi, il lèche son propre jus qui se trouve sur mon visage et il me l’enfonce dans l’embouche quand il m’embrasse. Puis, il s’assoit à côté de moi dans la bouche et on se câline alors que l’eau continue de couler. Je me sens bien, je n’ai pas mauvaise conscience car le sexe avec Cédric a été vraiment trop bon. Finalement, on se lève, on se lave mutuellement. Lorsqu’on se sèche, il me dit :
- T’inquiète, je dirai rien à maman. Du moment que tu ne dis rien non plus, promet Cédric. Ça fait un moment qu’elle cherche un nouveau mec et je ne veux pas... être entre vous deux. En plus, Philippe et moi t’aimons bien. Je dis pas ça à cause de cette partie de jambes en l’air. Je le pense depuis longtemps. Tu es un super beau-père !
Je rougis et je réponds :
- Ça me touche, merci. Je te promets de ne rien dire.
On s’embrasse et je remonte dans le salon. Je m’assois, je bois un verre de vin et je me promets que cette « chose » entre Cédric et moi n’était rien. J’aime sa mère. Point. Personne ne saura ce qui s’est passé ce soir, même pas Philippe. C’est mieux pour toute le monde.
Cependant, je ne saurai que plus tard que cette soirée sera le début de quelque chose dont je ne peux pas encore me douter.
A suivre...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :