Salut à tous,
Ce soir, je vais héberger mon cousin, Christophe, pendant une semaine. Il vient sur Toulouse pour le boulot, il doit rencontrer des clients qui travaillent dans l’aéronautique.
Moi, c’est Nico, 37 ans, blond, les yeux bleus, un peu enrobé et poilu, monté 17 cm. En ce moment, je suis célibataire.
J’ai fait des petites préparations pour la venue de Christophe. Après le boulot, j’ai fait des courses et là, je prépare un risotto. Il arrive vers 20h. Nous tombons dans les bras l’un de l’autre car nous ne nous sommes pas vus depuis un bon moment.
- Tu n’as pas changé, me sort-il.
- Toi non plus !
Et en effet, il est toujours le même. Christophe a 50 ans. Il est bien conservé. Il est grand. Il a le crâne rasé et une barbe fournie brune. Il a des épaules assez larges et on devine un corps bien sculpté sous sa chemisette.
Je le laisse s’installer et nous mangeons ensemble. Nous buvons une bière et nous parlons jovialement. Patrick sait que je suis gay et il me pose des questions sur ma vie sentimentale... qui est un vrai désert. Lui, tout se passe bien avec sa femme. Leurs deux fils font des études, ce qui n’est pas facile financièrement pour les parents.
Nous regardons ensuite un film puis je le laisse aller « au lit ». Il dort sur le canapé tandis que je rejoins ma chambre.
Le lendemain, nous nous levons à la même heure, nous prenons le petit déjeuner ensemble puis nous partons ensemble. Je lui donne tout de même un jeu de clés si jamais il finissait avant moi. Et finalement, quand je rentre, je le trouve devant la télé. Je pose mes affaires et je vais me prendre une bière quand je remarque que Christophe est torse nu, en caleçon devant la télé. Je suis surpris mais je ne dis rien. En effet, il a un corps bien sculpté. Ses pectoraux et son ventre sont gonflés, un mélange de muscles et de graisse, mais ce qui reste très esthétique. Son torse et son ventre ont un léger duvet de poils.
Nous faisons la cuisine ensemble puis nous regardons une série sur Netflix... et il reste ainsi pendant toute la soirée.
Le jour suivant, je me lève plus tôt que lui et alors que je suis en train de prendre ma douche, il entre dans la salle de bains. Je suis surpris... et un peu irrité... Je trouve qu’il commence à trop prendre ses aises ! Mais je ne dis rien. Le soir, quand je rentre, il est aussi torse nu et en caleçon. J’ai vue sur ses cuisses puissantes et très poilues, tout comme ses bras.
Le troisième jour, je me douche et je suis soulagé qu’il ne rentre pas comme la veille. Mais quand j’entre dans la cuisine et que je me fais un café, il sort de son lit... et il est à poil. Le cochon bande dur ! Je remarque d’abord son pubis très velu avec des poils longs, frisés et noirs. Il a une queue marron, épaisse. Elle doit faire dans les 22 cm. Elle a un gros gland et de grosses couilles pendantes, poilues et marron. Je suis impressionné !
Il passe devant moi, il se sert un café et il me parle comme si tout était normal. Quand il part vers la salle de bain, sa queue est en mode demi-molle. Son gland a même l’air un peu gonflé. S’est-il branlé ? Sa bite est encore un peu dure et elle est tendue à l’horizontal. Christophe disparait dans la salle de bains. Je suis déjà un peu en retard mais je me promets que je lui parlerai plus tard.
Le soir, je rentre tard. Il est en train de regarder un match de foot... et il est complètement à poil. Ses couilles sont posées sur le canapé et sa queue qui est assez épaisse pend mollement devant ses boules. Sa bite ressemble à gros serpent mou. Un long prépuce recouvre un gland dont on devine les formes.
Je trouve ça vraiment fort. Je lui sors :
- Dis, tu voudrais pas t’habiller, et correctement ?
- Ça veut dire quoi ça ?
- Que ça ne me plait pas trop que tu te balades à poil dans l’appart comme ça.
- C’est à cause des voisins qui pourraient me voir par la fenêtre ?
- Pas du tout !
- Ben quoi alors, on est entre cousins !
- C’est quoi le rapport ?
- Pas de chichis entre nous !
- Tu déconnes ?
- Ah tu sais, ton frère, il n’a jamais fait le difficile comme toi !
- Quoi mon frère ?
- Non, rien...
De mauvaise humeur, Christophe se rhabille... mais il reste en caleçon. Je soupire... et je me dirige vers la cuisine où je nous prépare un truc. Mais je ne peux chasser une pensée de mon esprit. Qu’a-t-il voulu dire avec mon frère ?
Poussé par ma curiosité, je lui pose la question au dîner :
- Tout à l’heure, tu as dit quelque chose à propos de mon frère.
- Non, oublie, t’inquiète.
- Vas-y, dis...
Après une pause de réflexion, il finit par m’avouer :
- Quand on était plus jeune, je me suis branlé avec ton frère.
- Ah oui ? Quand ?
- Des fois, quand vous veniez nous voir. Un jour, il a trouvé un de mes magazines porno et on a parlé de meufs, de branle, etc. Et la fois suivante, il m’a demandé si on voulait pas se branler ensemble. Et finalement, on l’a fait. Et pendant quelques années, on s’est branlés en secret à chaque fois que vous nous rendiez visite.
Je m’imagine alors la scène. Je les vois sur le lit de Christophe, en train de se branler, un magazine sur leurs cuisses. Ils se branlent, complices. Leurs jambes se touchent, mais ça n’a pas d’importance. Je revois mon frère, qui a toujours été mince, avec ses quelques poils sur le torse et je m’imagine son pubis bien fourni et sa queue marron identique à la mienne, un bon 18 cm. Mon frère masturbe son engin fortement tandis que Christophe, qui est 10 ans plus âgé que mon lui, qui avait un corps très sportif et musclé à l’époque. Christophe branle sa grosse bite bien en chair avec un gros gland. Puis, pour s’amuser, il se lève et il dirige sa bite vers mon frère qui n’a pas le temps de réagir. Christophe lui jute 10 gros jets de sperme sur le corps et sur la bite... ce qui doit exciter mon frère. Lui aussi se lève et il branle sa teub d’où sortent 5 jets qui vont tapisser le ventre de Christophe. Ils rigolent, comme des gamins, complices, devant ce jeu interdit. Christophe me sort alors de mes rêveries tandis que je bande, rien qu’à imaginer la scène :
- Tu sais, ton frère, il a une belle queue. Ça doit être de famille, dit-il en rigolant.
- Ah oui ?
- Moi j’ai 22 cm entre les jambes. La bite de ton frère devait pas être plus petite.
- Ah ok. Je savais pas, j’ai jamais vu la bite de mon frère.
- Elle fait combien la tienne ?
- 17 cm.
- Ah ben, ton frère a dû récupérer les bons gènes. Moi, j’ai eu ceux de mon père. J’ai déjà surpris mon père en train de se branler. Il a aussi une grosse queue.
- Il y a pas que la taille qui compte, Christophe. En tout cas, avec moi, les mecs se plaignent pas !
- Ah, donc c’est toi l’homme quand tu baises ? Je me le suis toujours demandé.
- On dit : actif ! C’est pas une question d’homme ou de femme ! En tout cas, je suis actif et passif. Car j’aime bien aussi me prendre une bonne bite dans le cul.
Je me mets alors à rougir en disant ça. Ce n’est vraiment pas dans mes habitudes de faire ce genre de révélation. On continue de manger en silence. Je dévie alors le sujet et nous finissons le repas.
La nuit, alors que je me lève pour aller aux toilettes, j’entends des bruits bizarres venir du salon. Je comprends très vite que Christophe est en train de regarder un porno et rien qu’à entendre les mouvements, je comprends qu’il est en train de se branler. Je me faufile derrière le canapé, il est assis, il me tourne le dos. Je vois alors une belle vue sur sa queue bien bandée. Elle est épaisse et bien veinée avec un gros gland. Ses grosses couilles poilues se balancent de haut en bas au rythme de ses mouvements.
Je m’approche doucement, il ne semble pas m’entendre. Il est très concentré sur le film. Il astique son manche puis il arrête de se branler. Le cochon fait durer le plaisir. Il se caresse les couilles puis il reprend sa branle. Je me demande depuis combien de temps il se masturbe. Et je dois avouer que sa queue me fait envie. Mais je secoue la tête en me disant : « C’est mon cousin ! » Mais cependant, je reste là, en train de l’admirer.
Au bout de 30 minutes de branle et de pauses, il accélère la masturbation et quand j’entends son souffle accélérer, je comprends qu’il va juter. Et ça ne manque pas. Le premier jet ressemble plutôt à l’explosion d’un volcan. Plusieurs jets de sperme sortent d’un coup de sa queue, témoignant de la pression qu’il a accumulé pendant des heures de branle. Un deuxième jet crépit son torse. De nombreux jets sortent ensuite comme une mitraillette et éclaboussent son ventre, son torse, son visage... et même un m’atteint sur la joue. D’autres vont se perdre autour de moi. Sa bite ne semble plus pouvoir s’arrêter. Puis sur la fin, sa queue expulse les dernières salves qui sont moins fournies mais tout aussi explosives. Elles l’atteignent au visage. La source se tarit et je quitte le salon après avoir bien vu que son corps était complètement inondé de son sperme blanc et liquide.
Je retourne dans ma chambre et je me branle comme un forcené. Je prends le sperme de Christophe qui m’a sauté au visage et je le lèche avec appétit. Je jouis comme jamais. Je me rendors, avec la vision de sa bite devant mes yeux. Magnifique...
Le lendemain, je pars au boulot avant qu’il se lève. Le soir, je suis en train de préparer le dîner quand Christophe rentre de ses réunions. Il vient vers moi. Il me dit « bonjour »... tout en me caressant le cul ! Je le regarde, surpris et il ajoute :
- Tu as un beau cul bandant !
Je le regarde, effaré, sans rien dire, et il quitte la pièce en rigolant :
- Si tu voyais ta tronche !
Quand le repas est prêt, je m’apprête à aller le chercher. Je le trouve alors devant un porno, la queue à la main, en train de se branler. Quand il me remarque, il ne cherche même pas à cacher son matos, il me sourit et il me sort tout simplement :
- J’aurais bien envie d’une bonne branle entre cousin. Comme à l’époque avec ton frère...
Je regarde alors son entre-jambe... cette massue m’hypnotise. Quelle belle queue... longue et épaisse... Je n’arrive tout simplement pas à digérer cette demande inattendue. Je m’entends alors dire :
- Oui, pourquoi pas... ça pourrait être cool...
- Allez viens, je suis en rut là, j’ai besoin de me décharger.
- Moi aussi...
Je n’arrive pas à croire les mots qui sortent de ma bouche. Nous sommes deux adultes d’un certain âge... et non deux ados dont les hormones s’affolent ! Je reste là devant la vision de sa bite tendue. Quand Christophe me dit : « Allez, viens t’assoir », je me place à côté de lui.
- Mais on est cousin...
- Et alors ? J’ai fait ça avec ton frère... et ? C’était rien de méchant ! Et je dois dire que je me suis déjà branlé en pensant à toi ...
- Ah bon ?
- Et je sais que toi aussi... hier soir par exemple après que je me suis branlé.
- Quoi... je ... non...
- Ne mens pas, je t’ai capté.
Il se met alors à branler sa bite alors que la mienne se dresse lentement dans mon pantalon. J’ouvre ma braguette et je sors ma demi-molle. Christophe mate un porno hétéro et je me concentre sur la grosse bite black qui défonce le cul d’une meuf. Immédiatement, je bande à fond. Christophe regarde alors ma bite et demande :
- Elle fait combien ?
- Dans les 17 cm... et la tienne ?
- 22 cm.
- Quel beau morceau !
Je prends ma bite en main et je commence à me branler aussi. Je fais descendre mon pantalon sur mes pieds et j’enlève le bas pour être plus à l’aise pour me masturber. Je ne me branle pas trop rapidement car je sens que je pourrais jouir très vite. Christophe écarte alors les jambes qui me frôlent. Je me sens comme électrisé. Je regarde sa belle bite veinée et ses énormes couilles. Il branle sa queue de façon très appuyée. Il fait de longs mouvements de va-et-vient. Je lui demande alors :
- Tu te branles souvent comme ça avec des mecs ?
- Non, juste avec mes cousins.
On continue de se branler en silence. Sur la vidéo, le black bien membré retourne la meuf et il la prend par derrière. Christophe me dit alors :
- Tu t’es déjà fait enculer, si j’ai bien compris.
- Oui.
- C’est comment ?
- J’adore. C’est vraiment génial. Ça provoque un plaisir inouï. Pourquoi ?
- Non comme ça. Je me suis toujours demandé ce que ça faisait. Ou même ... avoir une bite dans un cul... Mais ma femme ne veut pas se faire prendre par derrière (il marque un temps d’arrêt puis il reprend) Dis, tu veux pas me branler ?
Je ne fais même pas genre d’être surpris. Il a sûrement remarqué que je matais sa bite avec insistance. J’avance ma main vers son morceau dont je m’empare. Il est chaud et dur. Et sans me demander mon avis, il s’empare de ma queue qui durcit sous l’excitation de sentir sa main me branler. Il me regarde droit dans les yeux et il me sourit.
- C’est bizarre de sentir une autre queue que la sienne entre ses doigts.
Je ne réponds rien, ayant l’habitude... nos mains vont et viennent lentement sur nos bites.
- Elle te fait envie ?, me demande soudain Christophe
- Comment ça ?
- Tu veux pas me sucer ?
Je le regarde droit dans les yeux. J’y lis de l’envie... et je ne peux pas résister à son morceau. Il arrête de se branler et il secoue sa queue. Je me penche alors dessus et je l’enfonce délicatement dans ma bouche. Elle me la remplit bien. J’enfonce la moitié et je la suce délicatement. Puis, je la ressors et je la lèche de tout son long. Je veux faire durer le suspense. Je la reprends en bouche et je l’y enfonce un peu plus loin. Puis, je la ressors et je joue avec ma langue avec le gland. Et finalement, je l’enfonce entièrement dans ma gorge. Il gémit de plaisir :
- Putain, personne n’a jamais réussi à l’avaler comme ça !
Je le suce bien maintenant, alternant gorges profondes et suce. Une envie soudain me prend. Je passe au-dessus de lui et je plaque son gland contre mon trou. Je le regarde droit dans les yeux. Il murmure :
- Oui, vas-y.
Je m’enfonce alors lentement sur sa bite. Elle descend en moi, m’ouvrant bien les sphincters. Je me retrouve avec ses 22 cm enfoncés en moi, ses poils de pubis me chatouillant la raie. Il me dit alors :
- Ça fait tellement longtemps que je fantasme sur ton cul...
- C’est vrai ?
- Oui, depuis presque toujours.
Et en effet, je peux sentir que sa queue durcit encore plus. Mon cousin qui fantasme depuis longtemps sur moi peut enfin me baiser. Je me suis empalé sur sa grosse bite... ce qu’il attendait depuis son arrivée. Il passe alors ses bras autour de moi et je remonte un peu vers lui. Il se met alors à faire coulisser sa bite en moi. Il y va lentement, me laissant m’habituer à sa grosse queue. Puis, il accélère le rythme. Ses mouvements deviennent rapides. Mon cul rebondit sur ses jambes.
Ensuite, il me fait lever et il me met à quatre pattes. Il donne des coups de reins puissants, profonds et assez rapides. Ses couilles rebondissent contre mon cul. Puis, il accélère encore plus. Tel un athlète, il fait des pompes dans mon cul.
- Je peux juter dans ton cul ? J’en rêve depuis si longtemps...
- Oui, vas-y !
Il beugle comme un bœuf alors qu’il se vide en moi. Sa queue me remplit et il continue d’aller et venir dans mes entrailles. Ses jets violents et liquides me fouettent le fond du cul. Il sort de mon anus et il se met à me branler. Je jute vite sur le canapé.
On se ressaisit et on se rhabille. On mange et on ne parle plus de cet « incident ». Je vais me coucher tôt.
Pendant la nuit, il vient dans ma chambre et il se pose à côté de moi. Je me réveille quand il se met à me lécher partout : dans le cou, sous les aisselles, dans le dos... et il descend vers mon cul qu’il se met à bouffer. Il pose son gland contre mon anus et il s’enfonce en moi. Je suis toujours bien ouvert. Il se met à donner des coups de bite lents et réguliers, sensuels... tout en m’embrassant dans le cou. Moi, je suis sur le dos et je supporte avec plaisir son assaut. Il se met à accélérer et il fait bien sortir sa bite de mon trou pour la renfoncer tout aussitôt. Ses couilles me fouettent les fesses. Le lit, sur lequel il rebondit, l’aide bien à s’enfoncer toujours plus profondément en moi. Ses bras m’entourent le cou et son souffle chaud est dans mes oreilles. Il se vide dans mes entrailles en 5 longs jets au bout de quelques minutes.
Puis, il se glisse contre moi, il me prend dans ses bras et nous nous endormons ainsi. Le lendemain, mon réveil sonne et je vais dans la douche. Quelques minutes plus tard, il rentre dans la salle de bain, nu, et il me rejoint. Il me regarde droit dans les yeux et il se met à jouer avec mes tétons. Ses mains commencent à se balader sur mon corps et il masse mes fesses. Je murmure que je n’ai pas beaucoup de temps.
Alors, il me fait me retourner. Il masse mon anus avec son pouce puis il écarte mes fesses. Il pousse sa queue en moi et il se met à tasser le jus de la veille.
- Ton cul est trop bon, me murmure-t-il à l’oreille.
Et pendant 10 minutes, il me baise sous l’eau qui coule. Le jus de la veille contenu dans mon anus s’en échappe et éclabousse tout autour de la queue qui le tasse. Puis, il finit par jouir en moi, une troisième en l’espace de quelques heures. Je finis de me doucher et je m’habille. Je bois rapidement un café et je sors de l’appart. Je sens avec plaisir le jus de Christophe dégouliner le long de mes jambes pendant toute la journée.
Christophe restera 4 jours pendant lesquels nous baiserons ensemble dès que l’occasion s’en présentera. Je garderai un bon souvenir de sa visite chez moi. Vivement les congés de cet été où je prévois de lui rendre visite...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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