Salut,
Moi, c’est Nico, je suis étudiant en littérature moderne, j’ai 22 ans, je suis blond, les yeux bleus, je suis mince, de taille moyenne et je vis à Poitiers.
Ce soir, je suis à une fête d’un de mes potes de promo, Alex. J’arrive avec Laëtitia, ma voisine de palier. Je sonne et force est de constaté que l’appart est plein à craquer. La musique est forte. On se faufile à travers la foule et on salue Alex ainsi que Louis, son colloc. Je prends un verre de vin blanc, Laëtitia se sert un panaché et on se retourne. On se met à parler avec des connaissances de la fac. Mon regard se promène sur la pièce. Alex et Louis ont décoré l’appart avec de petites loupiotes multicolores.
Au bout de 5 minutes, j’abandonne une conversation ennuyeuse sur Proust et je me faufile à travers la masse de gens, à la recherche de Myriam ou de Pierre, mes deux meilleurs amis. Je prends un vol un bol de chips et je me dirige vers la cuisine. J’y découvre un groupe de meufs que je ne connais pas. Puis, j’entends mon nom. Je me retourne et je vois avec surprise Cynthia, une amie du lycée que je n’avais pas revue depuis un moment. On commence à bavarder et elle me dit qu’elle fait des études de physique. On parle pendant un moment et on rigole bien. Mais elle se met à me toucher le bras et je me dis qu’elle ne doit pas encore savoir que je suis gay... En effet, j’ai fait mon coming-out il y a quelques mois de cela. Elle me sourit et tout... J’ai bien l’impression qu’elle essaie de flirter avec moi. Je commence à être mal à l’aise, puis je lui dis que je dois aller retrouver des amis qui me cherchent aussi (je fais un signe en direction de mon portable, signifiant que j’ai reçu un message). Mais Cynthia me suit. On arrive près de la porte ... Quand la sonnette retentit. Cynthia ouvre alors et de nouveau invités entrent dans le petit appart qui est sur le point d’imploser...
Parmi eux, se trouve Giorgos, un étudiant qui vient de Grèce, participant au programme Erasmus. Je le connais... Il est homo aussi, on a déjà couché ensemble. Vu que ça ne l’avait pas fait, je lui avais dit que je ne voulais pas répéter l’expérience... ce qui l’avait vexé ! Depuis, il ne m’adresse plus la parole. Moi qui avait voulu être honnête ! Derrière ses talons entre un beau jeune homme à la peau mate. Je ne l’avais jamais vu sur le campus... Je le regarde passer, hypnotisé par cette magnifique apparition ... Ce bel inconnu doit sentir mon regard sur lui car il tourne immédiatement sa tête vers moi. Il soutient alors mon regard pendant quelques secondes... de longues secondes... jusqu’à ce qu’Alex brise cet instant en saluant les nouveaux venus. Il les emmène ensuite dans la cuisine pour leur servir un verre... et mon beau gosse disparait derrière la porte de la cuisine. Cynthia n’a apparemment pas remarqué ma confusion... car elle continue de parler tel un moulin à parole.
Deux heures plus tard, je suis en compagnie de Myriam et Pierre et on a pas mal bu. Cynthia est partie très vite quand elle a vu que je me désintéressais de ce qu’elle me racontait. Je ne sais pas comment on est en arrivé à ce thème mais Myriam, ma meilleure amie lesbienne, me parle de l’homosexualité au Maghreb, sujet tabou ... mais accepté, tant qu’il reste entre 4 murs. Ce qui l’énerve énormément, c’est cette double morale, etc. Elle est activiste et parfois, son discours me laisse indifférent... quand elle prend quelqu’un à parti :
- J’ai pas raison, Abdoul ?
- Si !
Je me retourne et ... je vois le mec avec qui j’ai eu ce contact avec les yeux. Myriam semble connaitre le mec qui s’approche de nous en souriant. Il se met à raconter que c’est tellement tabou que même les homos n’ont pas le droit de faire leur service militaire. Il se met à raconter qu’il a fait des photos pour des amis, bien hétéros, avec des pauses assez équivoques afin qu’ils ne fassent pas leur service.
Myriam et Abdoul se mettent à discuter avec passion de ce thème... et moi, je dois avouer que j’écoute attentivement. J’en profite pour observer cet étudiant : il est mince et sportif, un peu plus grand que moi. Il a des cheveux sombres et épais, une barbe de 3 trois jours, un piercing à l’arcade sourcilière droite... et de magnifiques yeux verts. Il a un magnifique visage et de belles lèvres épaisses. Sa peau est assez foncée. Il porte un jean noir et une chemise verte qui fait ressortir la couleur de ses yeux. Le dernier bouton de sa chemise est ouvert... ce qui laisse entrevoir une belle toison de poils noirs.
Finalement, Abdoul me sort de ma contemplation quand il me demande comment je m’appelle.
- Nico. Et toi, donc c’est Abdoul.
- Moi, oui, c’est Abdouramane, ou Abdoul pour les intimes.
Il me tend la main qu’il me serre avec un grand sourire. Quel sourire de charmeur, pensé-je ! Ce petit rebeu semble avoir tout pour lui... un beau corps, un sourire angélique et un visage de tombeur. Moi qui aime en fait les mecs un peu plus costauds, je dois dire qu’Abdoul me fait quand même de l’effet. Il continue sa discussion avec Myriam... qui commence à m’ennuyer. Voyant qu’Abdoul ne me calcule plus et mon verre vide, je me dirige vers la cuisine.
Je commence à parler avec Alex... mais la fatigue me saisit... Je deviens moins bavard et je me retire quand Alex se fait aborder par d’autres étudiants. Je me mets à penser qu’il serait temps de rentrer. C’est alors qu’Abdoul entre dans la pièce, qu’il me voit et qu’il se dirige vers moi :
- Tu es là ? Désolé de t’avoir ennuyé avec la politique.
- Ah, mais tu ne m’as pas ennuyé, dis-je en mentant. J’’avais juste soif.
On entame une conversation et j’apprends qu’Abdoul est étudiant en littérature classique et qu’il est depuis la rentrée (donc depuis 4 mois) en France. Il a 25 ans. Du coin de l’œil, je vois Giorgos qui traine dans le coin. Abdoul suit mon regard et il me demande :
- Tu connais Giorgos ?
- Oui, vite fait.
- Il te plait ?
La question est sortie de nulle part ! Je n’ai pas le temps de répondre qu’Abdoul reprend :
- Il a un mec et il semble très fidèle.
- Ah je ne savais pas. Depuis quand ?
- 2 ans, je crois.
- Ah ok, dis-je en pensant que le Grec m’avait caché ça et qu’en fait... il n’est pas si fidèle que ça !
- Et toi, il t’intéresse ?
- Non, il est trop efféminé à mon goût...
- Tu as un copain ?, demande Abdoul de but en blanc.
- Non... et toi ?
- Non plus.
- Même pas au Maroc ?
- Non.
- Tu es déjà sorti avec un mec au Maroc ?
- Oui.
Le silence s’installe. Je ne sais plus quoi dire... la tête vidée, fatiguée, remplie d’alcool, je lui avoue que je suis crevé et que j’aimerais rentrer chez moi. Je me demande alors si la fatigue me joue des tours ou je décèle de la déception dans le regard d’Abdoul. Mais je dois me tromper. Je lui tends la main … et à ma plus grande surprise, il s’approche de moi et il me tape la bise. Je sens son souffle chaud sur mon visage.
Je prends le chemin de la main et je repense à cette soirée… et à Abdoul… Quel bon nom… Je ressens encore sa joue contre la mienne. J’ai beaucoup aimé que ses lèvres touchent ma peau. Je me l’imagine alors nu… je souris, rien qu’en imaginant un beau corps musclé et poilu, ainsi qu’une grosse queue de rebeu. J’ai envie de lui tout d’un coup.
Le lendemain, je me réveille… et mes premières pensées vont vers Abdoul. Je fais alors quelques recherches sur Internet et sur les réseaux sociaux. Mais c’est en tombant sur le profil de Giorgos que je trouve finalement celui d’Abdoul. Sur la photo, il enserre un mec. Il a un regard dur. J’ouvre la fenêtre de tchat. Après de longues minutes, je lui envoie un message : « La soirée était très sympa hier. Merci de ta compagnie. »
Je n’ai pas longtemps à attendre. Il répond au bout de quelques minutes : « Oui, c’était super ! 😊 J’aimerais bien te revoir ». Je réponds : « Avec plaisir ». Sa réponse ne se fait pas attendre : il m’envoie son numéro. Puis, il me demande si je n’ai pas envie qu’on se fasse un truc aujourd’hui ou demain. Et sans avoir le temps de répondre, je sens mon portable vibrer : Abdoul. Je décroche et il me demande si je ne veux pas venir le voir, dans 1h.
- Le temps de prendre une douche et j’arrive. Tu habites où ?
- A la cité de U. Je t’envoie l’adresse exacte par SMS.
On échange quelques banalités puis je prends ma douche et je finis par me mettre en route. Arrivé devant la porte d’entrée, je l’appelle et il m’ouvre. Je m’engouffre dans les longs couloirs du bâtiment. Je le vois alors, accoudé à la porte, tout souriant. On se fait la bise (je me rends compte qu’il s’est mis du parfum) et il me fait entrer. Il porte un t-shirt blanc et un short noir. Il habite dans une petite chambre étudiante et il m’apprend qu’il partage les toilettes, les douches et la cuisines avec d’autres étudiants. Il referme la porte et je me retrouve dans cette petite chambre qui a un petit lit et une armoire, un petit bureau et un lavabo ainsi qu’un petit frigo. Sa chambre est très bien ordonnée. La pièce est assez sombre car les rideaux sont tirés.
- Assieds-toi.
Il me montre une chaise à son bureau sur laquelle je m’assois pendant qu’il s’installe sur l’autre. Je le regarde. Il est aussi beau que dans mes souvenirs. Il semble assez nerveux. On commence à papoter, à parler de la vie l’un de l’autre. Puis, il me montre un clip de sa chanteuse marocaine préférée. Au moment où il me parle de sa ville natale, je lui demande où elle se trouve. Il me le montre sur une carte sur Internet. Ensuite, il me montre des photos de sa famille qui vit au Maroc. Puis vient mon tour. Je me mets à raconter ma vie mais tout s’arrête assez vite car je ne trouve rien de bien vraiment intéressant à dire.
Soudain, sonne son portable qui se trouve devant moi. Instinctivement, je le saisis, je lui tends... et nos mains se frôlent l’espace d’un instant. Puis, il prend la communication et il se met à parler en arabe. J’en profite alors pour l’observer. Ses bras sont fins et bronzés, recouverts de poils fins et noirs. Quant à ses jambes, elles semblent assez musclées et vraiment bien velues.
Puis, je ne sais pas comment ça se passe… mais soudain, ça se passe. Nos jambes se frôlent … et elles restent collées l’une contre l’autre. Je regarde alors Abdoul qui me regarde aussi… ma main passe alors automatiquement sur son bras qu’elle se met à caresser. Je ne sais pas comment elle est arrivée là. Abdoul semble abréger son coup de fil et il raccroche. Il me sourit, je lui souris aussi… et il approche sa main de mon visage qu’il commence à caresser. Il fait ça très sensuellement, très lentement. Puis, il m’attire vers lui et nos lèvres se rejoignent. Je me sens alors complément transporté au nirvana. Je lui rends ses baisers.
Puis, nos lèvres se séparent, on se regarde en souriant... et sans crier garde, en même temps, on se jette l’un sur l’autre. On se roule une grosse pelle pendant que nos mains enlèvent rapidement les vêtements de l’autres. Les t-shirts volent, ainsi que mon pantalon et son short. Même nos caleçons se retrouvent sur le sol. Et on peut enfin s’admirer, nus.
Abdoul a un corps svelte, mince, sans être vraiment musclé. On devine des pecs qui restent assez plats... mais des abdos sont légèrement visibles. Son corps est assez poilu. Le milieu de son torse est recouvert d’une toison noire et frisée, assez dense, qui recouvre ses pecs de façon plutôt éparse. Son ventre est aussi un peu poilu, avec des poils courts et frisés. Ses jambes et ses avant-bras sont aussi poilus. Il a un pubis velu, recouvert de poils noirs, frisés. Il a une bite de 19 cm, circoncise, marron foncée, assez épaisse, avec des couilles un peu poilues, presque noires qui pendent bien. Elles ressemblent à de gros œufs.
Ne pouvant résistant, je me mets à genoux devant lui, j’ouvre la bouche... et j’y enfourne lentement sa queue bien dure. Je me mets à savourer son sucre d’orge... tout en le regardant dans les yeux. Puis, petit à petit, j’augmente la cadence. Abdoul me regarde tout en soupirant un peu. Très vite, je m’active sur sa bite. Abdoul me caresse la tête. Moi, je masse ses grosses couilles pendantes. Parfois, ma langue sort et lèche son dard sur tout son long, ce qui le fait gémir. Puis, j’aspire son gland et je reprends ma suce en tenant la base de sa bite.
Au bout de quelques minutes, je me relève et je me place à cheval sur lui, sa queue bloquée dans mon dos. Son regard doux m’envoûte. Je l’embrasse à pleine bouche. Mes mains caressent son torse et mes doigts s’amusent avec les poils de sa toison. Je me mets aussi à jouer avec ses tétons et Abdoul semble apprécier car il gémit doucement. Ma langue descend le long de son cou, elle joue avec ses poils puis avec ses tétons. Mes narines perçoivent l’odeur décente du mâle. Ma langue passe alors sous ses aisselles et elle lèche ses poils qui y sont abondants. Je sens sa queue durcir dans mon dos.
Je remonte doucement pour avoir son gland au niveau de mon trou. Remarquant que je mouille bien, je ne veux pas utiliser de gel. Le regardant droit dans les yeux, j’enfonce son gland dans mon anus. Il ne dit rien, il se mord juste les lèvres. J’entame alors une descente sur sa bite, sans capote. Je serre un peu les lèvres, mais je supporte bien. Une fois que je sens ses grosses couilles posées contre mes fesses, je me mets à faire des allers-retours. Les lèvres d’Abdoul se posent sur mon épaule et elles m’embrassent tandis que ses mains me caressent tendrement.
Il me laisse diriger la cadence des va-et-vient. Je me branle en appréciant sa grosse queue ainsi que ses caresses sur mon corps. Je chevauche sa queue, qui m’ouvre bien, avec un plaisir non dissimulé. J’y vais assez lentement mais parfois, je monte et descends vite et il accompagne mes mouvements de petits coups de reins.
Après 5 minutes, il me fait me relever et il m’emmène sur le lit. Il me place sur le dos et il me fait relever mes jambes. Il enfonce sa bite dans mon anus et il prend le contrôle de la baise. Il y va d’abord doucement. Il se penche sur moi et il m’embrasse. Ses va-et-vient deviennent toujours plus rapides. Je respire fort et je gémis doucement. Je pousse de petits cris quand il arrive au fond de mon anus dans un coup sec. Il me prend dans ses bras et il me sert fort tout en me faisant l’amour. Il me possède bien. Puis, il semble ne plus pouvoir se contrôler. Il commence à me baiser à fond, en donnant des coups de bites amples. Moi, je saisis ma bite et je la branle. Il alterne coups rapides et lents, sur tout le long de sa queue. Il me fait l’effet d’un piston qui entre et sort dans son enveloppe. Je sens ses couilles me frapper les fesses. Parfois, sa bite rate mon trou et elle dérape en dehors. Sans les mains, il la refait rentrer dans mon anus. J’adore voir et sentir son pubis velu taper contre mes boules.
Il accélère toujours plus le rythme et quand il gémit plus fort, je comprends qu’il va jouir. Je sens sa bite être prise de spasmes au fond de mon trou et dans un râle, il jouit. Sa queue expulse une grosse quantité de jus chaud qui me remplit le cul. Je sens cette vague énorme m’envahir. Sa queue semble ne pas s’arrêter. Il y en a tellement que du jus sort hors de mon anus. Il se retire au bout de quelques secondes et je vois sa queue poisseuse, recouverte de son sperme. Je me précipite dessus et je la nettoie. Il sourit en me caressant la tête et en disant :
- Tu aimes le sperme toi !
J’avale son sperme jusqu’à la dernière goutte. Je sens mon anus libérer sans arrêt son sperme qui dévale hors de mon trou tel un petit ruisseau, dans un flot mince et continu. Il engouffre ensuite ma bite dans sa bouche et moi, couché sur le lit, je caresse son magnifique corps tandis que je sens mon orgasme monter en moi. Sa bouche est chaude et douce. Sa tendresse et sa douceur me plaisent. Ses doigts passent sur ma rosette qu’ils se mettent à titiller. Ses mains passent sur mon torse et sur mon ventre. Il me suce lentement en faisant de bonnes gorges profondes.
- Je vais pas tarder à jouir, murmuré-je.
Mon beau rebeu accélère ses allers-retours et dans un grand cri, ma queue explose dans sa bouche. Ce sont bien 5 jets qui la remplissent. Il avale tout au fur et à mesure. Quand il se redresse, il vient se loger dans mes bras et il m’embrasse. Son haleine sent mon sperme.
Il se pose à côté de moi et il me caresse la teub et le ventre. On reste durant de longues minutes comme ça. Puis il se relève et il enfile son short. Il va sur son minuscule balcon. J’ai l’impression que quelque chose ne va pas. Je le suis et je le trouve pensif. Je finis par demander :
- Ça va pas ?
- Si, si.
- Ça t’a pas plu ?
- C’était génial, Nico ! Tu es trop mignon (il me roule une grosse pelle). J’aime énormément être avec toi...
- Mais... ?
Après quelques secondes de silence, mon rebeu reprend :
- Il faut que je t’avoue quelque chose...
- Quoi ?, demandé-je, la gorge nouée.
- Je sors avec un mec... il s’appelle Mickaël. Il habite à Dijon. Je le connais depuis 3 mois. Mais en fait, je voulais le quitter depuis un moment, mais je n’en ai pas eu le courage... Mais je pense que je vais le faire... car c’est toi que je veux, en fait.
- Tu me connais à peine...
- Nico, tu es le prince de mes rêves...
Après un silence pesant, je lui dis :
- Ecoute, je vais y aller. Je dois réfléchir à tout ça...
- Ok, répond-il un peu déçu.
Sans me laisser le temps de réagir, il me serre contre son corps que j’adule et il m’embrasse, se moquant de ce que d’éventuels observateurs pourraient penser. Je sens ma queue se tendre. Mais je finis par me retirer et me rhabiller. Je lui souris en disant que je l’appellerai. Je sors de la chambre rapidement et je quitte ainsi le bâtiment. Je rentre chez moi à pied, réfléchissant à la situation... Mon cerveau me dit de mettre tout de suite fin à ce cirque avant que je souffre... mais mon cœur me dit autre chose... Il me fait comprendre qu’il est en train de tomber amoureux d’Abdoul. Je rentre chez moi, en proie á ce conflit intérieur...
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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