Salut à tous,
Je vais vous raconter ma première fois avec un mec. Moi c’est Nico, je venais d’avoir tout juste 18 ans. A l’époque, j’étais mince, assez musclé, peu poilu, mais bien monté (17 cm).
Je me sens depuis toujours attiré par les mecs. Je n’avais pas encore fait mon coming-out, personne ne savait au lycée que j’étais gay. J’étais déjà sorti avec une fille, juste pour sauver les apparences. Et un jour, en feuilletant un magazine porno, j’ai eu l’idée d’appeler un numéro spécial où on pouvait « rencontrer des hommes » (c’était bien avant les rencontres par Internet). J’ai pris contact avec un mec, il devait avoir dans les 30 ans, brun, poilu, TTBM. Telle était sa description. Et bien sûr, j’en ai bouffé du porno dans ma jeunesse, et j’ai toujours admiré les grosses teubs qui défonçaient les culs. Alors, quand j’ai entendu que le mec était TTBM, j’ai voulu tout de suite le rencontrer. Quand il a su que j’étais encore vierge, il a voulu qu’on se voie au plus vite pour me dépuceler.
On a échangé nos numéros de téléphone. On s’est envoyé des SMS. On a échangé des photos. Mais il ne voulait pas envoyer des photos de son visage vu qu’il était marié. Ça ne me dérangeait pas (à l’époque).
Un jour, il m’annonce qu’il est dans ma région (il habitait Poitiers), en déplacement et qu’il aimerait qu’on baise ensemble dans l’après-midi. Ça tombe bien, ce jour-là, je termine les cours tôt et mes parents sont au travail pendant encore un bon moment. J’accepte et je lui donne l’adresse.
Le mec se gare devant chez moi et sonne. J’ai une boule au ventre. C’est la première fois que je fais une rencontre comme ça, en plus chez mes parents, alors que je ne connais pas le me... Je me dis que c’est risqué.
Je vais quand même lui ouvrir et il rentre. Il se déchausse et on va dans ma chambre. On s’assoit sur le lit, on échange des banalités. Puis il s’approche de moi et met sa main sur ma cuisse. Je le regarde dans les yeux. Et je l’embrasse. Nos langues se touchent et s'enroulent l'une autour de l'autre. Ce premier baiser m’électrise. Ma queue se met immédiatement à durcir. Tout d’un coup, tout devient plus torride. On se roule des pelles de malades pendant que nos mains sont occupées à nous déshabiller mutuellement. Et on se retrouve tous les deux à moitié nu, avec nos caleçons comme seul habit.
Je me mets à le regarder. Le mec (Laurent, il me semble) a dans les 40 ans, il a les cheveux bruns et une barbe de 3 jours brune avec quelques poils blancs. Son corps est mince. Il a un piercing à chaque téton. Son corps est parcouru de poils, ce qui reste assez décent vu que les poils sont courts et parsemés sur tout son torse et son ventre. Il a des poils aussi sur les jambes et les bras. Mais ce sont surtout les poils qui plongent dans son caleçon qui me font frémir de désir. Il a aussi des tatouages tribaux sur les deux bras. Mais c’est son caleçon qui me laisse sans voix : le bout de tissu me laisse entrevoir un paquet bien rempli qui a l’air d’exploser. Il ne bande pas encore vraiment mais je devine un morceau énorme, une bite épaisse... bien large ainsi qu’un gros gland. Le tissu moule extrêmement bien le prépuce et le gland. Il a aussi l’air d’avoir d’énormes couilles.
Nous reprenons nos baisers torrides. Nos corps se touchent, je sens ses poils et sa peau chaude me caresser. Je trouve ça super excitant. Ma queue prisonnière de mon caleçon se frotte contre son paquet... ce qui me fait bander encore plus raide ! Sa langue descend vers mon cou, mes oreilles. Il me lèche comme un fou et j’adore ça. Je pousse des gémissements incontrôlés. C'est tellement excitant de voir ce mec me lécher le corps et de s’approcher de plus en plus de mon pubis... et de ma queue. Je me dis qu’enfin je vais enfin connaitre ma première pipe.
Arrivé au niveau de ma bite, il la sort de mon caleçon et il se met à la sucer. Je découvre alors des sensations jusque-là inconnues. Il s’occupe d’abord de mon gland, le titillant. Puis il envoie direct ma queue au fond de sa gorge. Sa bouche se retrouve complètement contre mon pubis. Il me fait des gorges profondes tout en me malaxant les couilles. Je me sens partir au nirvana. Je gémis encore plus fort.
Laurent se débrouille vraiment bien ! Il me suce comme un pro. Ma queue coulisse dans sa bouche avec passion. Je sens bien ses lèvres glisser le long de mon morceau, je trouve ça divin. Il a l’air de se régaler... et moi, je savoure cette pipe. Puis sa langue remonte le long de mon ventre et sous mes aisselles. Je me rends alors compte que j’ai oublié de mettre du déo... ce qui ne semble pas le déranger ! Il lèche mes aisselles avec avidité, il passe sa langue dans mes poils et moi, je gémis encore plus fort... il remonte vers moi et m’embrasse.
Ma main caresse son torse, frotte le bout de ses tétons, descend le long des poils soyeux qui conduisent à son ventre que je caresse aussi. Je me rends compte que j’adore ses poils ! Puis ma main frôle son morceau... qui me semble énorme ! Il bande fort maintenant. Je m’arrête de l’embrasser et je regarde, bouche bée, son paquet. Sa bite se dresse dans son caleçon, formant une sorte de tente. Tout excité, je veux tout de même prendre mon temps afin d’apprécier le moment avant de déballer « mon cadeau ».
Ma langue passe dans son cou, descend à ses tétons que je lèche, ce qui le fait gémir assez fortement. Puis je passe à son ventre et à son nombril. Puis je descends le long de sa cuisse ... puis je remonte vers son paquet. Ma langue passe sous son caleçon et remonte vers ses couilles. Je rencontre des couilles lisses que je lèche avidement. Puis, je me dirige vers sa teub… J’y arrive enfin… et je me rends compte de l’épaisseur de son pieu. Je décide de lui enlever son caleçon. Je déballe mon cadeau… et je suis encore une fois sans voix… Il a une teub énorme, de bien 24 cm. Quel morceau ! Même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais pu imaginer me retrouver devant un tel truc ! Je suis hypnotisé par sa queue. Elle est large, veineuse, plus foncée que le reste de son corps. Son pubis, rasé à quelques millimètres, laisse apparaitre une très fine toison. Je prends sa bite en main et je fais des mouvements de va-et-vient, décalottant ce gland qui commence à perler tandis que mes mains soupèsent ses couilles rasées et marron. Puis ma langue reprend son travail et lèche les grosses boules pendantes. L’odeur virile de son sexe envahit mes narines et m’excite au plus haut point. Et je remonte pour reprendre sa queue hyper raide en main. La sensation est incroyable, c'est la première fois que je touche une autre bite que la mienne.
Laurent se couche alors sur le lit et mes yeux restent figés sur sa bite. Je me mets à branler ce gros morceau de chair bien dur. Je me dis que je n’arriverai jamais à tout avaler. Mais elle me rend dingue d’excitation. J’ai toujours rêvé de tenir un aussi gros morceau dans mes mains... et de me le prendre dans le cul ! Alors, je dois assurer ! Je branle toujours la bite tout soupesant ses couilles. Puis lentement, je m’approche, je décalotte le gland et je l’enfourne dans ma bouche qui descend lentement sur sa bite. Je suis super excité. Quelle sensation étrange de lécher une bite pour la première fois, de sentir ce morceau de chair palpiter sur ma langue. D’abord le gland... puis j’enfonce le reste. J’arrive à la moitié et j’ai l’impression que ma bouche est déjà pleine... ce qui me donne des frissons de plaisir. Je ressors la teub et je la branle un peu. Elle a l’air encore plus énorme dans ma bouche. Puis je la reprends. J’essaie de l'avaler entièrement, mais impossible, son gland bloque à l’entrée de ma gorge. Le réflexe vomitif me fait sortir sa queue de ma bouche mais je l’y replonge bien vite. Je la suce sensuellement, passionnément, elle me remplit bien la bouche et écarte mes lèvres en grand. Il me caresse la tête pendant ce temps. Il se laisse faire, il savoure le moment. Et moi, je savoure la sensation d'avoir une grosse bite en bouche. Je bande comme un fou.
- Putain, tu suces trop bien. T’es sûr que tu l’as jamais fait ?
Je sors son pieu de ma bouche pour articuler un faible « oui ». Alors, il se lève et pose son gland sur ma langue. Il commence à donner des petits coups de rein, enfonçant son engin un peu plus loin dans mon gosier. Puis il le fait lentement coulisser, repoussant ma glotte pour s’enfoncer toujours plus loin pour descendre dans ma bouche puis dans ma gorge. J’en arrive presque à la base. Je suis assez fier de moi. Mais le réflexe vomitif me la fait ressortir. Mais Laurent ne se laisse pas décontenancer. Il me remet sa queue en bouche pour me faire une autre gorge profonde. Il gémit fort. Je salive énormément, ma bave dégouline le long de ses couilles. Il me prend la tête et accélère le mouvement.
Je le suce pendant une vingtaine de minutes. Puis il me relève, il me fait poser à quatre pattes sur le lit et il se retrouve avec le nez devant mes fesses. Il sort sa langue et il la passe dans ma raie. Cette sensation jusqu’ici inconnue me fait pousser un gémissement involontaire. Encouragé, Laurent écarte alors bien mes deux miches et il se met à donner de petits coups de langues sur ma rosette. Puis il se met à l’enfoncer bien dans mon trou vierge et serré. Je suis aux anges, je gémis de plus en plus fort. Sa langue titille mon trou qui s’ouvre pour bien sentir cette pénétration. Il mouille bien ma rosette. Cette sensation que mon trou est plus humide et plus chaud me fait bander à fond. Ce traitement me procure un plaisir intense. Puis, il pose son index sur mon trou et il l’enfonce lentement dedans. Il se met à me doigter doucement. Je ressens un sentiment étrange, pas désagréable... mais plus il s’enfonce, plus le sentiment étrange s’empare de moi. Ma queue débande. Je sens mon antre se serrer involontairement.
- Détends-toi. Laisse-toi faire et apprécie.
Je prends un grand bol d’air et j’essaie de me détendre. Il va alors plus loin en moi jusqu’à l’enfoncer complétement. Puis il le ressort, le re-rentre. Il joue bien avec mon trou. Ma queue se redresse et j’ai l’impression qu’elle durcit même plus que tout à l’heure. Voyant que ça ne me déplait pas, Laurent met un deuxième doigt. Je sens mon trou se crisper sur ses doigts, ça me fait un peu mal puis je respire profondément et ça va mieux. Tout d’un coup, il appuie à un endroit qui me fait gémir. Je sens quelque chose se passer aussi dans ma queue... comme s’il allait me faire jouir juste en me doigtant :
- Ça te plait ?
- Oh oui !
- C’est ta prostate.
- C’est trop bon... j’ai l’impression que je vais jouir.
Il retire ses doigts, recommence à me lécher le trou puis il se relève. Il place sa queue bandée contre mon trou et il commence alors à s’enfoncer en moi, sans capote. Je panique :
- Stop ! Tu fais quoi ?
- J'ai trop envie de ton cul...
- Mets une capote stp !
- C’est bien plus intense sans, tu verras, dit-il en m’embrassant dans le cou.
- Non, mets-en une !
Je prends une boite que j’avais achetée et j’en sors une capote. Je l’ouvre et je la déroule sur son gland et le long de son chibre. Mais je me dis que ce n’est pas un préservatif XXL, il a l’air ridicule sur sa queue, il en couvre à peine les trois quarts et il la sert comme une saucisse. Il me regarde avec un sourire malicieux.
- Ok, maintenant retourne-toi.
Je lui donne mon cul. Il me doigte encore un peu, il badigeonne sa queue et mon trou de gel puis il met sa teub sur ma rondelle. Son gland y rentre lentement. Je me crispe, j’ai mal. Il force un peu, il ouvre mon cul de ses deux mains et je sens la pression qu’il impose à mon anus. Finalement, son gland passe mon premier sphincter. Je pousse alors un cri, j’ai le souffle coupé. Et c’est seulement le gland qui vient de rentrer ! Je me dis que si le gland me fait souffrir, qu’est-ce que ça va être quand le reste rentrera. Il remarque mon stress, il me masse un peu le dos, ressort puis re-rentre sa bite. Il donne des petits coups et il s’enfonce toujours un peu plus. J’essaie de me détendre mais ce n’est pas facile quand un membre bien épais de 24 cm s’enfonce en soi. Il ressort plusieurs fois, pour que je m’y habitue. J’ai l’impression que sa queue me déchire tout sur son passage. Je tâte mon trou à la recherche de traces de sang... Heureusement, il n’y en a pas. Mais je sens sa queue qui est loin d’être complétement en moi. Je suis vraiment serré, c’est ma première fois, c’est normal, me dis-je. Il me demande si ça va. La douleur est telle que je n’arrive pas à parler. Je hoche simplement la tête. Il reprend sa descente. Je ressens chaque millimètre rentrer en moi. Il me pénètre doucement jusqu'à arriver à la hampe. Je suis content quand je sens ses poils de pubis me chatouiller le cul et ses grosses couilles frotter contre mon périnée. Il a réussi à me pénétrer entièrement avec son monstre. Mais je n’arrive plus à bouger, Laurent s’est emparé de moi. Il commence à me limer lentement.
J’ai vraiment mal. Je m’accroche aux draps et j’essaie de subir. Je ressens ce gros morceau me remplir l’anus. Je me sens vraiment rempli ! J’ai même l’impression que sa queue va jusque dans mon ventre et me trifouille les entrailles. Mais Laurent me fait l’amour lentement, sensuellement. Il m’embrasse dans le cou, il donne des petits coups de reins. Le plaisir fait alors lentement place à la douleur. Mon anus commence à s’habituer à son gros morceau. Je me mets à gémir ce qui l’incite à accélérer la cadence. Il plaque ses mains sur mes hanches, il colle son corps contre le mien, ses poils chatouillant mon dos, et il me baise en bougeant seulement son cul. Ça rend ses coups de bite profonds. Il m’empale sur tout son membre, il reste bien au fond de moi puis il se retire lentement, faisant presque complétement sortir sa queue. Et il la renfonce d’un coup brusque, me faisant pousser des cris de plaisir. Je commence à apprécier cette sensation de remplissage et cette queue qui me troue le cul ainsi que ce gland qui s’enfonce au plus profond de mes entrailles. Puis il se met debout, moi toujours à quatre pattes sur le lit et il me baise bien en rentrant et sortant rapidement. Je sens ces grosses couilles taper sur mes fesses, j’adore ce bruit.
- Ça va ?
- Oui, continue !
- Ça te plait alors ?
- Oui, j’adore !
- Il est trop bon, ton cul !
Ensuite, il se couche sur moi, me faisant ressentir de nouveau son corps poilu et il m’entraine vers le bas de tout son poids. Je me retrouve à plat ventre et il m’embrasse dans le cou tandis qu’il me baise en bougeant simplement ses fesses. Il passe ses bras autour de mon torse et il m’agrippe. Je ressens encore mieux sa bite me pénétrer et s’enfoncer au fond de moi. Puis il se relève, met ses deux bras au niveau de ma tête et il me baise avec plus de panache et d’énergie, sa queue me ramonant bien comme il faut. Il accélère de plus en plus le mouvement, ses coups de queue sont toujours plus violents, ses couilles me fouettent le périnée, son pubis claque sur mon cul.
Quelques minutes plus tard, il se couche sur le dos et il me demande de le chevaucher. Je place le gland au bord de mon trou que j’ai l’impression d’être bien béant et j’essaie de m’enfoncer sur son chibre. Je vais toujours de plus en plus loin mais les douleurs reprennent. Je suis seulement à la moitié de ma descente et je souffre. Il tente d’accélérer ma descente avec ses mains posées sur mes hanches mais je résiste. J’essaie de souffler, de me détendre et je me laisse tomber sur son pubis. Sa queue est entièrement en moi et j’ai mal. Il m’agrippe les hanches et commence à me faire chevaucher sa bite. Je lui d’arrêter, je souffre trop. « Pas de problème », me dit-il. Je me relève, il me fait me placer sur le dos et il se renfonce lentement dans mes entrailles. Les jambes bien écartées, je souffre moins. Cependant, mes mains se retrouvent involontairement contre son ventre pour l’empêcher d’aller trop vite. Il reste en moi, sans bouger, s’enfonçant très lentement. Une fois que ses poils de pubis frottent mes couilles, il donne de petits coups de bite. Je recommence à pousser des gémissements. Il sort sa bite à moitié et il donne des petits coups de reins. La douleur est de courte durée. Je sens même que je mouille car sa bite glisse en moi maintenant. Puis il accélère ses mouvements. Il s’enfonce en moi et il recommence à me défoncer. Ses coups de bite deviennent amples et puissants. Il me démonte, ses couilles me fouettent. Il sort même de temps en temps de mon cul pour y rentrer à nouveau d'un grand coup.
Dans un dernier grand mouvement, il se bloque en moi et il gueule :
- Ça vient !
Et en effet, ses coups de buttoirs deviennent de plus en plus saccadés, il accélère la cadence. Je sens sa bite grossir, son gland enfler. Et je ressens comment sa queue, prise de secousses, jute en saccades le sperme dans la capote.
J’ai l’impression que sa jouissance ne s’arrête pas et je sens la capote se remplir de plus en plus en moi. Elle s’allonge, elle fait pression sur le fond de mon cul. Il se remet à donner des coups de reins. Il m’embrasse toujours dans le cou, je comprends que son orgasme dure. Je sens vraiment la capote se remplir et gonfler dans mon cul. S'il n'en avait pas mis, il m'aurait vraiment bien fécondé ! Après 30 secondes, il se couche sur moi, en soufflant et en m’embrassant dans le cou. Il donne toujours des petits coups de reins. J’ai l’impression qu’une grosse balle de tennis s’est formée dans mon intestin. Et comme si le jus, à cause de la pression, passait le long de sa queue jusqu’à la base de la capote, je sens sa bite se mouiller et mon cul devenir aussi bien humide. Je passe mes doigts sur la queue, ils touchent quelque chose de visqueux. La base de sa bite et ses couilles en sont recouvertes ! Je retire ma main pour la sentir. Et en effet, c’est du sperme ! La capote est trop pleine et son jus passe sous l’anneau de la capote ! Et le pire, c’est qu’il est en train de me l’enfoncer dans mon cul ! Les soubresauts de sa queue n'en finissent pas. Je sens bien que la capote enfle toujours plus. Et tout d’un coup, comme lorsqu’une digue lâchait, je sens mon cul se faire inonder. Comme si la capote avait cédé, un torrent dévale le long de sa queue et envahit mon trou. Quelle chaleur ! C’est magnifique de sentir ce liquide chaud remplir mes entrailles.
Il ressort de mon cul et un torrent de sperme est libéré ! Je regarde sa queue. La capote est en lambeaux, elle a craqué au niveau du gland. Elle est maintenant sous le gland et elle ne recouvre plus que quelques centimètres de sa queue. Le préservatif serre sa queue, elle était définitivement trop petite. Puis je remarque que sa queue crache encore du sperme ! Par gros jets ! Des jets puissants et visqueux qui arrosent mon ventre et qui vont se loger sur mon torse et dans mon cou. Sans réfléchir, je prends sa grosse queue en main et je la replonge dans mon trou. Le mec se bloque de nouveau en moi et il me déverse le reste de son foutre au fond du cul. Et Laurent, ravi de ma réaction, donne des petits coups de reins. Sa queue se calme. J’ai essayé de compter les giclées mais j’ai fini par y renoncer. Il jouit tellement que sa grosse queue ne fait plus du tout office de bouchon et que le jus déborde de mon cul sous la pression de ce qui sort de sa teub. Il jouit bien pendant deux bonnes minutes. Il ressort de mon cul lentement et un sperme blanc et visqueux en coule lentement mais sûrement pour former une grosse flaque sur le sol. Mon trou, béant, ne peut empêcher le jus de sortir par vagues, sous la contraction de mes sphincters. Mon anus semble rester ouvert. Le plaisir se dissipe et une légère brûlure s’empare de mon cul.
Il prend ma queue en main, commence à la branler et très vite, je jouis une grosse quantité de jus ! Jamais je n’ai jamais eu un tel orgasme. 6 gros jets viennent tapisser avec violence mon corps, remontant jusqu’à mon torse, chose qui ne m’était jamais arrivée jusque-là... preuve de l’énorme plaisir que j’ai ressenti lors de cette baise. Laurent s'effondre sur moi et m'embrasse dans le cou. Nous restons comme ça quelques longues secondes puis il se relève et enlève les lambeaux du préservatif plein de sperme. Il se couche à côté de moi, il me caresse le ventre, les épaules, il m'attire contre lui et m’embrasse.
Me voilà dépucelé par une bite XXL et rempli pour la première fois de ma vie par une quantité énorme de sperme. Cette première fois m’a donné le goût au nokapote... Et je peux vous dire que j’adore ça !
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. Merci à Mehdi pour son idée. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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