Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent et ça donne envie de continuer à vous raconter mes petites aventures.
L’histoire que je vais vous raconter m’est arrivée il y a peu.
Il y a quelques années, j’ai baisé avec un beau turc qui m’a laissé de beaux souvenirs. On a perdu le contact (il avait eu un mec entre temps) et je l’ai retrouvé par hasard il y a peu sur un tchat bien célèbre. Il a exprimé un souhait : que cette fois je le baise (il m’avait bien démonté la première fois) et que je le domine. Pas de soucis !
J’arrive chez Murat, le beau turc. Il n’est vêtu que d’un slip et je peux admirer ce beau mec. Murat est un bear, un ourson. Il doit faire dans les 1,85m pour 130 Kg. Il a les cheveux très épais et très noirs, une barbe épaisse. Sa peau est mate. Il a des gros seins avec des tétons bien roses, un gros ventre rebondi et bien dur. Mais ce qui m’impressionne et me fait bander, c’est sa toison. Il est poilu de partout. Ses poils débutent dans son cou, descendent sur son torse qui est très très velu et continuent sur son ventre où ils se font moins denses. Ses épaules, ses biceps et ses bras sont recouverts d’une toison épaisse et velue... tout comme son dos qui n’a pas un centimètre carré sans poil ! Il en est recouvert ! Des poils noirs, poilus et drus... ainsi que ses jambes qui sont puissantes et musclées.
J’approche sa figure d’ourson vers moi, je lui roule une grosse pelle. J’adore ses grosses lèvres sensuelles et charnues. Il devient fou, il me déshabille et très vite, il est penché sur mes 17 cm qu’il enfonce en bouche. Puis il remonte vers mes lèvres en me léchant partout de sa langue. Je me penche à mon tour, lui faisant descendre son slip sur les chevilles. Et je redécouvre enfin sa belle teub : une belle queue de 18 cm très épaisse, bien marron avec un gland énorme et rose. Son pubis est extrêmement poilu, des poils drus, frisés, bien noirs qui arrivent à mi-hauteur de sa queue. Je le suce et je saisis et je masse ses grosses fesses qui sont tout aussi poilues que le reste de son dos. J’adore. J’admire aussi ses grosses couilles de taureau.
Il m’entraine dans sa chambre et je le pousse sur un matelas posé à même le sol. Je me précipite sur lui et je commence à lécher son torse. Puis je relève ses bras et ma langue passe sous ses aisselles. J'aime le contact de ses poils sur mes lèvres et ma langue et d'après ses soupirs je constate qu'il apprécie aussi. Ses aisselles sentent le mâle. Puis, toujours avec ma langue, je descends le long de son corps. Je prends un plaisir extraordinaire à sentir sur sa peau ferme la masse de ses poils si fournie des pectoraux au ventre. Je descends ensuite vers sa queue, je la lèche puis je lui bouffe les couilles. Ensuite, je remonte de nouveau vers sa teub et je prends son gland en bouche. Il bande raide. Je descends ensuite vers ses couilles puis ma langue passe à son périnée pour arriver à son trou bien poilu. Il écarte alors les jambes et j’admire sa raie. Elle est super poilue. Je m’approche de son trou et commence à jouer avec ma langue. Un parfum de mâle pénètre mes narines. J'adore cette odeur. Je commence par la raie puis la pointe de ma langue passe sur sa rosette qui se contracte par réflexe. Je donne de petits coups de langue. Puis au bout de quelques minutes, je la caresse avec un doigt humide. Il gémit sous mon traitement et de sa queue, qui bande à fond, coulent quelques gouttes de précum. Je glisse le bout de mon index dans son trou qui n’est pas très serré. Aidé de ma salive et de gel, je m’enfonce plus profondément. Je glisse un deuxième doigt et Murat gémit de plaisir. Je continue lentement ma progression. Je prends alors mon téléphone et fait des photos de ce beau mâle livré à moi.
- Pas le visage, s’il te plait...
Cette phrase provoque chez moi comme un déclic. Une sorte de chaleur me prend, je m’assois alors sur son torse, mes mains le prennent par la gorge et je serre.
- Ne me dis pas ce que je dois faire ! Tu as compris.
Je lui mets alors une baffe et je serre son cou encore plus fort !
- Tu as compris ?
- Oui...
- Oui qui ?
- Oui maitre...
- Je vais te montrer qui est le boss ici !
Je le lâche et je lui remets une baffe :
- Ouvre la bouche, trou à bites !
Il s’exécute et je lui crache de gros malards dans la bouche.
- Avale !
Murat s’exécute. Il avale ma salive chaude et gluante. Puis j’approche mon gland de son visage. Je le bifle et l’insulte :
- T’es une bonne bouffeuse de bite ! Tu la veux, hein ?
- Oui, maître !
Je le traite de salope, de chienne, de garage à bites. Puis je me mets au-dessus de lui, je pose mon gland sur sa langue et je m’enfonce lentement dans sa gorge. Puis je donne un grand coup de rein et ma queue va frapper sa glotte.
- Oui, vas-y, avale bien tout !
Je vais toujours plus loin dans sa gorge jusqu’à ce que mes couilles s'écrasent sur son visage.
- Oui, bouffe-la ! Ta gorge est trop bonne !
En effet, sa trachée bien étroite se fait écarter par mon gland... et le masse
- Tu es une bonne suceuse, hein ?
Je commence alors à m’activer et à lui baiser la bouche. Je vais très profond dans sa bouche, il a le nez dans mes poils pubiens et mes couilles frappent son menton. Il s’étouffe de temps en temps mais il supporte mes assauts qui deviennent de plus en plus forts.
Puis je sors de sa bouche et je le fais retourner. Son gros cul poilu s’offre devant mes yeux... Je pose mon gland sur sa chatte, je m’enfonce sans capote en lui et mes couilles se plaquent immédiatement contre ses fesses. Je gémis de plaisir, il a le cul assez serré.
- Salope ! Ton cul est trop bon ! Je vais te déchirer les entrailles et te féconder, grosse chienne ! Tu es ma pute, hein ?
- Oh oui !
- T’aimes bien ma bite dans le cul, salope ?
- Oh oui, c’est trop bon !
- Penche-toi un peu !
Il s’exécute et je commence à le défoncer, allant chercher le fond de ses entrailles. J’adore voir ma grosse queue pénétrer son trou poilu, la voir rentrer et sortir sans rien entre ma bite et son trou, la voir le pénétrer si profondément qu’on a l’impression que mes couilles appartiennent à son cul. D’une main, je lui attrape les cheveux et je tire en arrière :
- Putain, ta chatte est trop bonne, ma salope !
Après cinq minutes, je le fais retourner sur le dos et je reprends ma baise.
Je l’agrippe par le cou et je serre très fort tandis que ma queue rentre et sort de son antre. J’adore voir mes 17 cm disparaitre en lui... A chaque fois qu’ils ressortent de son cul, je vois son trou bien ouvert ! J’accélère mes coups de rein. Je lui détruis l’anus. Il gémit de plaisir. Ses fesses vacillent sous mes assauts. Je lui tape au fond de son cul. Je le baise comme une bête, comme une chienne. Puis ne voulant pas déjà éjaculer, je me retire de son cul et me pose sur le lit. Il se retourne et me suce. Puis il me demande :
- Tu veux que je te baise aussi ?
Les souvenirs de notre dernière baise remontent et c’est vrai que j’avais bien apprécié sa bite bien épaisse. Même si ça ne correspond pas à cette image de dominateur que je voulais donner, je me mets à quatre pattes et je lui réponds :
- Oui, vas-y ! Baise ton maitre !
A l’aide de ses grosses mains, il écarte mes fesses et crache sur mon trou. Il enfonce alors sa grosse langue dans mon intimité et me fait un incroyable anulingus. Puis il prend du gel, me doigte avec, se badigeonne la queue et il s’enfonce en moi, en mode nokapote. Je retiens mon souffle, étant peu habitué à me faire enculer par des bites aussi épaisses. Je la sens descendre lentement le long de mon colon et m’ouvrir le trou en grand. Je remarque comment mon cul lutte autour de sa bite. Je gémis doucement. Mais mon cul souffre. Il arrive au fond de mes fesses et il se met à me baiser. D’abord doucement puis de façon plus appuyée. Ses couilles me frappent les fesses, j’ai le cul en feu.
Il commence à donner de grands coups de rein virils. Très vite, je sens sa bite déjà bien large gonfler encore plus et sans un râle, sa queue expulse son jus, je la sens pulser. Comme pris de spasmes, sa queue n’arrête pas de laisser jaillir son sperme bien chaud. Une vraie fontaine de semence virile ! Il éjacule bien 8 ou 10 jets.
Après une petite pause, je le retourne et je me remets à le baiser. Mais il fait tellement chaud, je sue à grosses gouttes et je décide de faire une pause. Il bande toujours, prêt pour un deuxième round. Je suis dans ses bras quand soudain, un changement radical se produit dans ses yeux. Il n’est plus l’ours dominé, son regard se transforme en braise, il devient dur et froid. L’attitude de Murat change du tout au tout, il devient très autoritaire. Il saisit alors mon cou et serre. Puis il me retourne comme si je ne pesais rien, je me retrouve à plat ventre sur le lit, il se couche sur moi et sa queue trouve le chemin de mon intimité. Elle s’y enfonce d’un grand coup, me laissant échapper un grand cri de surprise et les coups de marteau-piqueur commencent.
- Oui, c’est ça, salope ! Abandonne-toi à ma teub ! Une bonne teub de rebeu ! C’est toi ma petite pute !
Je ne comprends pas vraiment ce changement mais j’assume et je me laisse dominer. Il m’explose le cul, je sens son gros ventre me plaquer contre le lit, ses bras puissants empêchent tout mouvement, il me domine de tout son corps. Ses poils se frottent à moi.
- T'aimes ça, ma petite salope ! Tu aimes la bite de rebeu !
- Oh oui...
- Tu m’appartiens maintenant ! Tu es à moi !
Et je me surprends à répondre :
- Oui, maître !
- Bonne pute ! Tu es né pour me servir de vide-couilles.
Je l’appelle « maître » sans qu'il ne l’ait exigé ? Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Ai-je enfin trouvé ma place ? En tout cas, ça a l’air de lui plaire. Il saisit ma nuque, il me crache dessus puis il me plaque la tête qui se retrouve plaquée contre le coussin.
- Quelle bonne chatte de pute ! Tu aimes te faire défoncer comme une chienne, hein ?
- Oui, maitre...
- Tu m’appartiens désormais ! Quand je te dis de venir, tu viens. Pas de discussion ! Sinon, tu ne reverras plus jamais ma bite de rebeu. Tu as compris ?
- Oui, maitre...
- Plus jamais tu me baiseras ! Tu es ma chienne ! C’est moi qui te défonce !
- Oui, maitre...
- C’est bien, sac à foutre ! Dresse bien ta chatte !
Il continue de me défoncer, ses grosses couilles de taureau claquent contre mon cul, sa queue me déchirent l’intérieur de mon trou qui est en feu, tout en me traitant de garage à bite, de pute, de chienne... Il me domine complètement. Je sens cette masse de graisse, de muscles, poilue, qui me défonce la chatte.
- Tu m’appartiens, hein ma salope ?
- Oui, maitre...
- Tu es une bonne pute... Je vais te traiter comme telle ! J’ai des potes rebeus qui seront contents de défoncer une chatte comme la tienne ! Tu aimerais te faire troncher par d’autres grosses queues de rebeu ?
- Oui maitre !
- Brave salope. Mais tu m’appartiens. Ils devront payer pour te baiser. Je serai à côté, j’encaisserai et je les laisserai te baiser.
- Oui, maitre.
- T’es trop bonne ! je vais me faire beaucoup d’argent avec toi ! Tu auras ta part, bien sûr... la moitié, disons.
- Oui maitre !
Mon mâle me domine et me possède. Il me retourne sur le dos et renfonce sa grosse bite en moi. Il me baise de plus en plus sauvagement. Dans cette position, je sens encore mieux sa queue me dilater au maximum, mon colon me brûle, mais il supporte les assauts de la bite de Murat qui s’enfonce toujours plus profondément en moi en me ravageant. Je sais qu’il marquera dans quelques minutes son territoire, pour la deuxième fois. Son gros ventre bute contre mes fesses et mes couilles. J’admire cet ours me défoncer, son corps poilu me dominant.
- Oh putain, tu es une grosse salope !
- Oui, maître
- Dès qu’on a fini, tu prends tes affaires et tu te casses, c’est compris ?
- Oui, maitre.
- Et quand je te dirai de revenir, tu reviens, tu te dessapes dans le salon, tu vas dans la chambre et tu te mets à plat ventre, prête à recevoir ma queue. Compris ?
- Oui maitre
- Peut-être que je ferais venir mes potes rebeu la prochaine fois. Ça te plairait ?
- Oh oui, maitre !
- Bonne pute.
Les coups de bite deviennent de plus en plus forts et rigoureux. Plaqué par son corps contre le lit, je gémis fort sous les coups de bite.
- Tu veux mon sperme ? Je vais te mettre enceinte, salope !
- Oui ! S’il vous plait, maître, je veux tout !
Il me tient fermement et commence à gueuler. Sa bite se met à devenir plus large, je sens son gland gonfler dans mon cul. Murat bloque sa queue au fond de mes entrailles et il me féconde pour la deuxième fois. Je sens quatre gros jets exploser en moi tandis qu’il continue de me ramoner. Il me retient bien, il savoure sa jouissance.
Puis, il se pose à côté de moi. Ayant compris où est ma place, je me lève, je m’habille et je me dirige vers la sortie. Il me rattrape, me roule furtivement une pelle, me fesse et me répète :
- Tu m’appartiens maintenant ! Je te dirai quand revenir te faire féconder !
- Oui maitre.
Je sors. Je n’ai certes pas joui mais j’ai trouvé ma place... je sais que je dois maintenant servir mon maitre, Murat. J’ai hâte d’être sa pute et de servir ses potes rebeus...
J’espère que cette histoire vous a plu. Elle est bien réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires si vous voulez que je continue à publier une suite... mais aussi pour me donner un retour (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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