Je vais vous raconter ce qui s’est produit l’autre jour dans le bus. Je n’aurais jamais cru qu’un truc comme ça puisse m’arriver un jour.
Comme presque tous les jours, je rentre du boulot en transport en commun. Après avoir pris le train, je fais les dernières 20 minutes en bus. Je monte, comme d’habitude en heure de pointe, toutes les places assises sont occupées, donc je me mets un coin, debout, non loin des portes. Juste avant que le bus ferme ses portes, un mec se précipite et attire l’attention de tous quand il remercie le conducteur de l’avoir attendu. Les portes se ferment, le bus se met en marche, les gens baissent la tête pour s’occuper de leur portable, tout comme le mec qui s’accroche à une barre de maintien. Je le trouve super mignon et je le mate discrètement.
Le mec doit avoir 25 ans, il est mince, grand (1,90 m) il porte des lunettes, il a des cheveux courts très foncés, une barbe très courte, très bien taillée, aussi courte que ses cheveux, ce qui lui donne un air irrésistible. Il porte un sweat à capuche et un pantalon de jogging rouge. Il semble assez bronzé, je ne saurais dire s’il s’agit d’un métis ou d’un mec qui a bien profité du soleil. Je ne vois presque que son dos... puis quand une personne passe pour descendre, il se pousse et se retourne vers moi. Mes yeux sont alors attirés par son entre-jambe. Sa bosse a l’air bien sympathique au niveau de sa bite. Puis il bouge de nouveau, toujours les yeux rivés sur son portable, il est maintenant de profil. Je le zyeute du coin de l'œil et je pose de nouveau mon regard sur son jogging. Je remarque alors la bosse que fait sa bite dans son jogging rouge, qui en moule parfaitement la forme ... ce qui m'excite grave. Je reste sans voix. Son paquet a l’air énorme. Je ne regarde plus que lui, mes yeux jonglant sans arrêt entre son visage et sa bosse. Son paquet a l’air vraiment énorme dans son pantalon. Je suis comme hypnotisé, je ne peux plus quitter sa bosse des yeux.
Le mec doit se sentir observer car il tourne la tête dans ma direction. Mon regard se détourne immédiatement de son paquet. Mais je pense que le mec a remarqué que je le matais. Je le mate de nouveau, discrètement, il est toujours son téléphone. Fausse alerte ? mes yeux se retrouvent une nouvelle fois planter sur sa bosse. J'essaye de détourner le regard naturellement quand il remonte la tête de son portable mais mes yeux sont très vite redirigés vers lui. Il me fait tellement envie que je sors mon téléphone et je fais genre d’écrire un message alors qu’en fait je fais des photos de son paquet. Je pense qu’il le remarque très vite. Je fais alors genre de continuer de taper sur mon clavier, de façon naturelle.
A l’arrêt suivant, il se pousse pour laisser passer des gens et je se trouve maintenant à 2 mètres de moi. Je jette toujours des coups d’œil vers lui. Je vois que son paquet est bien gonflé et qu’il a l’air impressionnant. Je reste muet devant ce spectacle. Sa queue semble pendre dans son pantalon. Elle a l’air aussi bien longue. Et visiblement, il ne porte pas de caleçon ! De profil, je vois le tissu mouler sa bite au repos bien large. Le tissu la presse, tout simplement. Elle semble toute molle et recourbée sur des couilles qu’on ne voit malheureusement pas. Son gland semble aussi très gros, le tissu le serre tellement bien...c’est comme s’il était nu devant moi. Il est parfaitement dessiné avec un prépuce épais qui le recouvrait à moitié. Son pantalon est bien tendu à ce niveau. Mon regard reste fixé sur son paquet et il tourne vite fait sa tête, me grillant au passage. Il me sourit puis reprend sa lecture sur son téléphone.
Je remarque alors que le tissu se tend, je distingue la forme de son sexe emprisonné dans le pantalon et je vois une barre qui s’allonge lentement. Il prend sa barre en main et la compresse. Je lève les yeux et vois qu’il me sourit, me regarde puis regarde sa bite. Il plonge sa main dans sa poche et il fait ainsi glisser son membre le long de ses jambes et cette fois, je peux presque tout deviner de sa queue qui tend le tissu du pantalon au maximum. Il est tourné vers moi et quand il remet sa queue en place, on dirait qu’un chapiteau s’est formé sous sa tente. Son gland est décalotté, comme emprisonné et je devine ses contours. Le jeune s’approche de moi, se retourne vers la vitre et pose son gland sur la barre et lentement, il s’y frotte. Il remet sa main dans la poche et colle sa teub le long de son pubis. On en devine chaque contour, chaque proéminence, chaque veine. Sa barre grossit, grandit. C’est comme si son pantalon allait exploser. A un arrêt où beaucoup de monde descend du bus, il bouge et se retrouve à quelques centimètres de moi. Je suis comme hypnotisé par son anaconda qui a l’air énorme de plus près. Je remarque qu’il bande à mort, ça se voit aux plis du tissu de son jogging. Je positionne alors ma main à quelques dizaines de centimètres de sa bite, les éventuelles secousses du bus m’aident à lui frôler la bosse. Moi aussi, je commence à bander. Il ne dit rien, il s’est replongé sur son portable. Mais je sens sa queue frotter à nouveau contre ma main plus longtemps sans qu’il y ait de vraies secousses... le salaud se laisse donc prendre au jeu. Je laisse faire et je le sens bien frotter sa queue qui semble prendre encore plus de volume.
Je fais alors un pas dans sa direction, d’un geste rapide, il me retourne et je le sens s’approcher millimètre par millimètre jusqu’à ce que son gland me frôle le cul. Puis il se recule. Je ne bouge pas et quelques secondes plus tard, il recommence son manège, cette fois restant un peu plus longtemps coller contre mon pantalon. Au bout de 2 ou 3 reprises, il se colle contre moi, je sens son chibre contre mes fesses. Discrètement, je glisse ma main derrière moi et je frôle son gland, toujours emprisonné dans le jogging. Il a l’air bien gros et bien dur. Ça m’excite grave. Je prends alors son manche en main, toujours à travers tissu, et je le sens tout de suite encore plus durcir. Une bosse énorme déforme son pantalon. De sa main gauche que personne ne peut voir, il me caresse le cul. Toujours lui tournant le dos, je descends du gland vers sa tige qui est bien dure, bien serrée dans son jogging. Je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule et le mec a le nez plongé sur son écran. Il ne me touche plus, il se laisse faire. J’appuie un peu plus sur son membre mais ça semble le laisser de marbre. Je continue pendant quelques minutes. Le bus s’arrête pour laisser descendre des passagers. Quand le bus repart, je suis audacieux et je remonte vers son ventre, trouve l’ouverture de son pantalon et j’y plonge ma main. Il ne porte en effet aucun caleçon. Je prends énorme son gland entre les doigts. Puis je saisis sa queue, ma main n’arrive pas à en faire le tour. Je me mets alors à la branler doucement. Il fait toujours comme si de rien n’était, concentré sur son smartphone.
A l’arrêt suivant, pas mal de personnes montent et je me retrouve carrément coincés contre lui. Le mec frotte son paquet contre mon cul. J’ai du mal à cacher ma trique... Il met alors discrètement sa main dans mon boxer pour me caresser le cul ! Puis d’un coup, il se retire et va vers la porte du bus. Je suis un peu décontenancé. Il est tourné vers la porte, je ne peux plus rien voir. 2 minutes plus tard, il se retourne vers moi, me regarde dans les yeux et me sourit, puis me fait un clin d’œil. Sa teub a repris sa place normale dans son jogging. Mais la bite n’a pas disparu, elle est toujours bien visible sous le tissu. Il appuie alors sur le bouton d’arrêt bus. Il me regarde une nouvelle fois. Le bus stoppe. Je le vois descendre. Je ne sais que faire. Veut-il que je le suive ? Ou est-ce qu’il s’est servi de moi pour se chauffer. Je prends mon courage à deux mains et je sors du bus. Il commence à marcher, je le suis. Il ne se retourne pas. Il prend à droite, dans un parc et je peux voir son paquet : sa bite se balance de gauche à droite dans son pantalon.
Au bout de 2 minutes il s’arrête à une petite cabine, il sort une clé de sa poche et l’ouvre, il entre, laissant la porte entrebâillée. Je l’ouvre avec un peu de crainte : il est en train de pisser. Je comprends alors que c’est un WC pour les conducteurs de bus. Il laisse couler la dernière goutte, il renferme son sexe dans son jogging et se retourne tandis que je ferme la porte. J’ai le cœur qui bat à fond.
Il sort son téléphone et je comprends qu’il commence à regarder un porno. C’est comme un signal, je m’approche de lui, caresse sa bosse. Il pose son portable sur la cuvette des toilettes, ferme la porte à clé... et il se déshabille lentement ce qui laisse apparaitre un corps assez musclé et lisse, et des abdos assez bien dessinés. Il est mince et sec, son corps est aussi bronzé que son visage. Il enlève enfin son pantalon de jogging. Sa bête est enfin libérée. Il a des poils noirs seulement sur son pubis et sur ses couilles. Sa queue est tendue, elle est très foncée avec un gland très clair, presque rose. La taille de sa bête est vraiment impressionnante, longue et très épaisse. Elle pend le long de ses jambes, toute flasque. Juste son gland tout gonflé montre que je l’ai bien excité dans le bus. Je dirais 16 cm rien qu’au repos. Qu’est-ce que ça doit être quand il bande... Je remarque sa main qui pend et en comparaison, j’ai l’impression que sa teub est plus longue que sa paluche. Des veines la parcourent jusqu’à la base du gland. Ses couilles ne sont pas très grosses mais elles ont l’air bien remplie. Il prend alors ma main, la pose sur son torse et je le caresse puis je travaille ses tétons. Ça semble lui faire de l’effet. Sa tige se dresse, toute dure, toute excitée. Les veines sont devenues saillantes et bien gonflée. Il doit bien avoir 24 cm entre les jambes. Il prend la base de son gland et commence à se branler.
Une envie irrésistible me prend, je me baisse et j’enfonce sa queue dans ma bouche et d’une main je prends ses couilles. Sa queue est mouillée de précum. Je le suce, j’ai presque la moitié de sa bite en bouche. Il commence à s’exciter, il donne des coups de rein ce qui enfonce sa bite un peu plus profondément. Puis de ses deux mains, il imprime un mouvement pour me faire avaler son membre. J’en arrive presque à la base. Je suis assez fier de moi. Puis je ressors et lui me remet sa queue en bouche pour me faire une autre gorge profonde. Au bout de quelques minutes, mon nez se retrouve au milieu de ses poils de pubis.
Très vite, il me retourne et enduit son doigt de savon liquide qu’il sort de la pompe au-dessus du petit lavabo. Il m’en tartine le trou. Je prends appuie sur le WC et je pose mon genou gauche sur le couvercle des toilettes. Il présente très vite son gros gland à l’entrée de ma chatte. Il enfonce lentement sa teub en moi jusqu’à se retrouver au fond de mes entrailles, ses couilles plaquées contre mon cul. Il commence alors à me baiser, avec de petits mouvements, sa queue bougeant seulement de quelques centimètres. Il s’arrête quelques secondes puis reprend. Puis il sort le gland de mon cul et il le replante, laissant la plus grande partie de sa bite dehors. Et il se remet à donner des petits coups. Bien qu’il ne frappe plus ma prostate et le fond de mon cul, sa façon de baiser me fait gémir, je sens son gros gland me labourer l’entrée de mon trou, c’est une sensation assez incroyable.
D’un coup, il accélère le rythme. Il enfonce cette fois sa queue bien à fond puis en ressort. Il me baise plus sauvagement, plus intensément. D’un bras, il me prend par le cou, m’attire vers lui, me mordille l’oreille tout en continuant de me baiser. Il me murmure des choses inaudibles à l’oreille et me donne quelques mini baffes. Il serre son bras autour de mon cou, entrainant un serrement pas très agréable. Maintenant, il sort sa bite complètement et la rentre avec des grands coups de reins. Puis il me lâche, me fait me pencher vers l’avant et met sa jambe sur le couvercle des toilettes. Il m’attrape les côtes entre ses mains et m’impose son rythme. Il me pénètre par à-coups. Je sens les couilles de mon amant claquer contre les fesses. Puis, il pose son pied à terre, me reprend par les hanches et recommence à me donner des petits coups de bite, comme au début.
Dans un dernier effort, il plaque ses couilles contre mon cul, positionne sa queue bien au fond de mes entrailles. Il jouit alors en moi. Il est un très gros juteur malgré la taille de ses couilles. Je sens le premier jet remplir mon cul, puis un deuxième. Il bouge encore un peu en moi tout en beuglant de plaisir ... Je sens qu’un jus épais, blanc et chaud se met à couler de mon trou bien ouvert par cette grosse teub le long de mon cul et de mes cuisses. Sa queue semble continuer à pomper du jus en moi mais je ne ressens plus rien, mon cul étant plein à ras bord. Soudain, il sort sa queue de mon trou. Un torrent de jute dégouline le long de mes cuisses. Je me retourne et je vois sa bite continuer d’éjaculer. 2 jets m’atteignent de plein fouet. Il prend sa bite en main et se branle. Il beugle encore une fois, comme s’il avait un deuxième orgasme, et 6 jets, cette fois moins puissants mais tout aussi abondants, atterrissent lourdement sur le carrelage du sol des toilettes. Il prend sa bite par la base et du liquide continue de couler de sa teub. La source semble intarissable. Puis il replante sa queue encore dure en moi... grâce à la pression de cette énorme bite dans mon colon, mon cul se vide d'un flot de sperme chaud. Il donne quelques coups, ses couilles continuant d’expulser les derniers jets. J’en profite pour me branler et je ne mets pas longtemps avant de juter. Il sort lentement de moi et je vois des gouttes continuer de sortir de sa teub et venir éclabousser le sol.
Je tombe les fesses à terre dans la flaque immense de semence. Il se rhabille, remonte son pantalon qui moule encore plus son membre, encore gonflé de sang grâce à l’orgasme. Il ouvre la porte, me tend un papier avec son numéro écrit dessus et part en souriant. Je reste là, assommé, repus, dégoulinant de sperme. On peut dire qu’il m’a vraiment bien fécondé. Après une toilette sommaire, je sors des toilettes et vais à l’arrêt bus, voyant encore danser des étoiles devant les yeux.
J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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