Moi, c’est Nico. J’ai 30 ans, j’ai décidé d’arrêter ma carrière d’enseignant il y a quelques mois et j’ai vu il y a peu une annonce qui disait que la gendarmerie recrutait des agents dans les bureaux. J’ai appelé et j’ai dû remplir un dossier. J’ai alors appris que j’allais devoir suivre une formation de militaire de base... ce qui ne m’a pas ravi... je ne suis pas très sportif et tout ceci fait partie entre autre de la formation... J’ai quand même accepté.
Le jour J arrive... me voilà devant une caserne de gendarmes, au Mans, avec une valise et mes bonnes intentions. Je commence vraiment à regretter mon choix. Pourquoi ai-je tout plaqué pour commencer un truc comme ça ? Je dois être complètement débile ! Je pense que si un mec en uniforme ne m’avait pas abordé, je serai parti.
En effet, un grand homme dans les 50 ans vient vers moi, il me tend la main que je serre et il se présente :
- Je suis le capitaine Martin. Vous êtes ?
- Nico R...
Le capitaine regarde sa liste et il sourit :
- Parfait, venez avec moi, je vais vous montrer vos quartiers.
On se dirige vers un bâtiment. Le capitaine me vante les mérites de la gendarmerie mais je n’écoute que d’une oreille. Je suis vraiment stressé. Il ouvre la porte et plusieurs mecs sont déjà dans la chambre. Le capitaine me dit de m’y installer et d’être dehors devant le bâtiment dans 30 minutes. La réunion d’introduction commencera alors. Je le remercie, la gorge serrée. Il nous quitte et moi je prends le dernier lit restant, en bas, à gauche de la porte. Je murmure un « bonjour » aux autres occupants et je me mets à ranger mes affaires. Dans cette chambre, nous sommes six. Il y a dans la pièce 3 lits superposés, 6 petites armoires une petite table et un coin toilette. Les douches sont communes, tout comme les toilettes. « Quel luxe ! » pensé-je !
Au bout de 30 minutes, nous descendons dans la cour. Je n’ai pas encore beaucoup parlé avec mes compagnons de chambre. Des chaises sont installées dehors et le capitaine Martin se présente, il nous souhaite la bienvenue au centre de recrutement et de formation, puis il présente le programme de la formation, etc. Je n’écoute que d’une oreille. Je deviens attentif quand il annonce :
- Aujourd’hui, vous devrez passer des tests intellectuels et psychologiques... mais aussi une visite médicale.
- Ah ! Putain ! Ça commence bien !, murmuré-je
Un de mes compagnons de chambre qui se trouve sur ma gauche, se met à sourire et à me donner un coup de coude. Quand le capitaine a fini son speech, d’autres formateurs se présentent. Je n’ose pas parler, même si je voudrais bien faire connaissance de mon voisin. Je l’observe du coin de l’œil.
Il est grand, il fait bien 1,95. C’est un rebeu aux larges épaules qui a l’air d’être bien musclé. Il a des cheveux noirs et courts. Ses bras sont magnifiquement poilus. Quand tout est terminé, je me présente en lui tendant la main. Il la serre et il me dit qu’il s’appelle Karim.
Nous discutons un peu : il vient de la région parisienne, il a 22 ans, il a échoué à ses études et il voulait essayer quelque chose de nouveau.
Nous nous dirigeons tous vers une salle et nous passons tout d’abord des tests de culture générale. Puis, nous avons des questionnaires à remplir. Nous déjeunons pendant 1h pendant lesquelles je parle avec Karim. Puis, les tests reprennent. Et en fin d’après-midi a lieu l’examen médical.
Je vois alors beaucoup de mecs, torse nu. Putain... la plupart sont vraiment bien bâtis ! Ils ont l’air tous très sportifs. Je fais un peu tâche... J’hésite à enlever mon t-shirt... puis finalement je fais comme Karim. Lui est bien bâti. Il a de magnifiques biceps et un torse puissant avec des pectoraux bombés et de magnifiques abdos.
Un médecin passe alors dans les rangs et il nous donne un flacon réservé à notre urine. Il nous explique alors d’aller aux toilettes. Nous nous y rendons mais ça fait la queue devant les cabines. Des gendarmes sont en train de surveiller... bien sûr, il ne faudrait pas que certains échangent leur fiole etc. Mais la queue est vraiment longue. Karim dit alors :
- J’ai trop envie de pisser ! Je peux pas attendre !
Il ouvre alors sa braguette et il sort son matos. Quelle queue ! Sa teub fait bien 15 cm au repos, elle est marron foncé. Elle a l’air épaisse.
Sa bite me fait vraiment envie ! Elle est si belle. Mais je détourne vite mon regard, pas que je m’attire déjà des ennuis. Il remet sa bite dans son pantalon. Il donne sa fiole à un médecin médusé et il quitte la salle. J’attends mon tour et je le rejoins, une fois fini. Avec mon groupe de chambre, on passe les uns après les autres devant le médecin qui nous ausculte, nous pèse, nous prend la tension, etc. Après arrive le test d’effort. Je dois dire que je morfle... Et ce n’est que le début, je pense.
Je suis sûr que je vais me faire recaler. Après une heure, je sors de la pièce et je suis en nage. Ma sueur perle de partout, je suis trempé. Pas question de remettre mon t-shirt ainsi. Des gendarmes nous indiquent les douches. Nous nous y rendons et là nous atterrissons dans une énorme salle qui est une immense douche avec plein de mecs nus en train de se laver. Je suis machinalement Karim, comme envoûté par ces belles teubs. Karim se met à poil, je fais de même et nous nous retrouvons tous à nous doucher.
Je remarque alors avec effroi que je ne suis pas seulement le moins sportif ... mais aussi que j’ai la plus petite queue ! Ce que je vois devant mes yeux est énorme ! Je sais que la taille moyenne d’une bite en France est de 13 cm ... mais là je pense que ce n’est que la taille moyenne des queues... au repos ! Il y a bien une vingtaine de mecs nus qui prennent leur douche et qui exhibent fièrement leur appareil. Ils sont tous minces, musclés. Il y a des blonds, des bruns, des roux, des renois, des rebeus... tous bien gaulés, certains avec un corps poilu, les autres imberbes. Mais leur point commun est leur pubis très velu... et leur énorme queue pendante et imposante.
Mes yeux passent d’une teub à l’autre. Quel spectacle ! Mon côté voyeur ressort et je mate ces bites. Mon regard tombe alors sur la queue d’un de mes compagnons de chambre, Philippe. Il est grand (1,90m), mince, élancé et musclé. Il a dans les 40 ans mais il fait beaucoup plus jeune. Il a des cheveux noirs et courts, de beaux pecs et de magnifiques tablettes de chocolat bien saillante. Seul son pubis est recouvert de poils noirs et courts. Sa bite est immense, même au repos. Elle doit bien faire 16 cm. Elle pend mollement, elle est marron, tout comme ses couilles qui pendent tout autant. Elles ont la taille de gros kiwis. Il est circoncis et son gland est petit et rose.
Je crois que je reste trop longtemps à mater sa queue. Car je sens son regard me fixer et je le regarde puis je détourne les yeux, gêné d’avoir été pris en flag. J’essaie maintenant de me contrôler et je regarde le mur des douches. Heureusement, le reste de la journée se passe sans accroc.
Mais le lendemain, je remarque que Philippe me regarde sans arrêt avec insistance. Et à un moment, alors que je vais aux toilettes, il me suit. Il se place à côté de moi aux pissotières et il déballe son matos. Quelques secondes plus tard, un gros jet de pisse frappe la faillance du WC. Je ne peux pas résister et je risque un coup d’œil. Quel morceau ! Philippe a une belle queue avec deux belles couilles... Sa bite est bien appétissante, bien grosse, bronzée, longue et épaisse avec un beau gland. En plus, il agite de temps en temps sa teub avec sa main. Ça commence à me faire de l’effet...
Quand il a fini de pisser, il secoue sa queue. Il reste quelques instants à faire tomber les dernières gouttes puis je quitte son matos des yeux. Je m’attends à ce qu’il le rentre dans son pantalon... mais rien ne se passe. Je risque de nouveau un œil et je vois qu’il se triture la bite... et qu’elle a pris du volume. Interdit, je ne sais pas comme réagir. Sa bite forme une belle barre... Je lève alors le regard et je remarque ... qu’il m’observe. Il dit :
- Elle te fait envie, c’est ça ?
- Non, c’est que...
Sans me laisser le temps de répondre, il me saisit la nuque et il me force à m’agenouiller. Il plaque sa queue contre mes lèvres et il m’ordonne :
- Ouvre la bouche !
Dans un mélange de peur et d’excitation, j’obéis et il introduit sa massue dans ma bouche. Il me fait une gorge profonde directe. Il plaque ses mains contre ma tête et il se met à me baiser la bouche. Ses boules aussi grosses que des kiwis me fouettent la gorge. J’essaie de résister aux haut-le-cœur... avec succès. Sa bite me lime la gorge, je bave de partout. Et au bout de 2 minutes, il plaque ma tête contre son ventre. J’ai le nez dans son pubis. Et là, il décharge une violente saccade de jus directement dans mon œsophage. 8 jets jaillissent hors de sa queue. Il me relâche la tête, il remet sur jean et je m’empresse de lui dire :
- Dis rien à personne, s’te plait !
- T’inquiète !
Et il disparait, me laissant seul. J’en profite pour me branler vite fait et juter dans la pissotière.
Quelques jours plus tard, je suis content de constater que Philippe s’est calmé. Il ne parle pas forcément avec moi mais il est courtois et il fait comme si rien ne s’était passé. La formation suit son cours. J’essaie vraiment d’oublier ces grosses queues que j’ai vues... mais c’est dur ! C’est le cas de le dire... Je suis chaud et je me branle souvent aux toilettes. Je ne sais pas comment je vais tenir toute la formation !
Un matin, je vais me doucher tandis que les autres sont déjà au petit-déjeuner. J’ai fait genre de ne pas pouvoir me lever afin d’être tranquille pour me branler... Je n’en peux plus. Je dois dire que même si je n’ai pas apprécié la façon dont m’a traité Philippe, j’aurais bien aimé le sucer à nouveau...
J’entre dans les douches... et je dois constater que je ne suis pas seul. Je vois alors Karim qui se douche. Je me place à côté de lui après avoir ravalé ma déception de ne pas être seul. Il se met à parler tout en se douchant et moi, je peux l’observer sans craindre de me faire capter par d’autres.
J’admire le filet d’eau parcourir son corps. Karim me parait immense de si près. Il doit faire 1,95m. Il a de larges épaules, de magnifiques biceps et un torse bombé. Il a de magnifiques abdos. Il a une touffe de poils au milieu du torse. Son ventre est aussi recouvert d’un duvet fin. Son pubis est velu avec des poils noirs, épais et frisés. Ses cuisses sont imposantes et poilues. Son cul est bien bombé et un genre de forêt vierge recouvre sa raie. Il se retourne et j’ai vu sur sa belle teub. Il ferme les yeux, savourant l’eau chaude ruisselée sur son corps. J’en profiter pour mater sa bite. Sa teub fait 15 cm de long... au repos. Il est circoncis et son gros gland est bien visible. Sa queue pendouille lourdement au-dessus de grosses couilles pendantes et velues. Sa teub est marron foncé, tout comme ses boules.
- Ça va, Nico ?
Je relève la tête, affolé. Je me suis encore fait prendre en flag !
- C’est ma bite que tu regardes comme ça ?
- Non, je ... euh...
Je rougis écarlate. Karim continue :
- Tu sais, y a pas de mal. Beaucoup de meufs et de mecs me matent quand je vais sur des plages naturistes. J’adore m’exhiber aux yeux de tous.
- Ah oui, dis-je, surpris.
- Oui ! Mon morceau est pas mal, avoue !
- C’est sûr, Mère Nature t’a bien doté. J’ai rarement vu des bites de rebeus comme ça...
- Ah, tu en vois souvent des bites de rebeus ?
- Quoi ? Euh... C’est pas ce que...
- Arrête, je te taquine, j’ai bien compris. Tu peux regarder ma queue autant que tu veux.
N’osant plus la regarder, il la prend en main et il s’écrie :
- Regarde ma bite !
Tout d’un coup, il se met à pisser droit devant lui. Là, pas d’autre choix, je regarde.
- Voilà ! Y a pas de mal ! Tu vois ! Joins-toi à moi ! Pisse un bon coup.
Je prends alors ma bite en main et je me mets à pisser.
- Tu vois, tu te laisses aller. Ça a même l’air de te plaire, dis-moi ?
En effet, ma queue prend un peu de volume.
- J’ai pas l’habitude de ce genre de chose... De ce genre de morceau. Regarde, ma bite est petite.
- Mais non, elle est pas mal non plus. Et tu as de superbes fesses !
Je ne sais quoi dire ni quoi faire. Je prends mon gel douche et je me savonne en silence. J’ai alors l’impression que je viens de louper une occasion. Est-ce que Karim me faisait du grain ? Quand je repose mon regard sur sa queue, je remarque qu’elle a pris de plus grosses proportions... elle est presque en demi-molle. Karim voit mon regard et rigole :
- C’est l’effet de l’eau chaude, t’inquiète, c’est pas ton petit cul qui me fait cet effet.
Je me mets à rigoler avec lui. Puis, il me dit :
- Tu peux la toucher si tu veux.
Je le regarde, interloqué.
- N’ait pas peur, elle ne va pas te mordre !
Je ne sais pas ce qui me prend... j’avance alors ma main vers sa teub. Je la tâte. Elle est encore molle... mais elle est chaude. Ma bite se dresse d’un coup. Karim s’exclame :
- Oula ! On dirait que ça te plait. T’inquiète, ça arrive à tout le monde. Même des hétéros ont réagi comme toi. Tu veux pas savoir le nombre de fois que je me suis fait branler par des hétéros. Certains m’ont même sucé.
Il me regarde droit dans les yeux. Je n’ose soutenir son regard. Je commence enfin à comprendre son invitation.
- Vas-y, Nico. Fais-toi plaisir. C’est pas tous les jours que tu as un truc comme ça devant tes yeux.
Et là, sa bite se gonfle. Elle se dresse devant son ventre, splendide. Elle atteint les 22 cm. Et ses couilles ! Enormes ! Deux fois plus grosses que les miennes ! Je ne peux alors plus résister. Je me mets à genoux. Je lèche d’abord ses boules. Puis, je m’occupe de son gland ... et d’un trait, j’enfourne sa bite entièrement dans ma bouche. Elle va titiller le fond de ma gorge. Puis, je saisis ses couilles que je me mets à masser. Karim pousse de longs gémissements. Et j’entame de longs va-et-vient sur sa queue qui m’ouvre bien la bouche. Parfois, ma main se balade sur son corps bien sculpté et va triturer les tétons de ses pecs bien gonflés. De son pied gauche, il me malaxe les couilles. J’adore lui faire des gorges profondes, mon nez se retrouvant alors dans les poils de son pubis.
Au bout de quelques minutes, il pousse un râle et je reçois une dose copieuse de sperme bien épais et bouillant. 8 jets vont tapisser le fond de ma gorge directement. Il retire sa queue de ma bouche mais je me reprécipite dessus car je vois une goutte de jus dégouliner de son gland. Je ne veux pas en perdre une seule goutte ! Je me branle et je jouis très vite.
Je me relève et Karim me donne un baiser sur la joue.
- Tu suces trop bien !
Il m’attend, je me lave le visage, je me rince le corps et je le suis. Nous allons tous les deux commencer la formation, sans avoir pris le temps de petit-déjeuner.
Les jours suivants se passent sans encombre. Je ne trouve pas de nouvelles occasions de m’occuper de l’anaconda de Karim. Dommage. Il m’obsède ! Les journées sont assez monotones. Petit-déjeuner à 7h. Premier cours à 8h30. Déjeuner de 12h à 13h30. 14h, de nouveau un cours. 16h, activités physiques. 18h, repas. Le soir, les gars de ma formation et moi-même regardons soit la télé, soit jouons aux cartes. Parfois, je préfère lire tout seul dans mon coin.
Deux semaines après la pipe faite à Karim, je joue avec mes compagnons de chambre au poker. Je bats Philippe. Un peu énervé, il se lève et se dirige vers les toilettes. Quand il revient, il s’approche de moi. Je n’ai pas encore remarqué qu’il a baissé son pantalon et que sa queue pend à quelques centimètres de ma tête. Je sursaute quand je découvre sa bite. Je le regarde, surpris. Lui me regarde avec un sourire vicieux. Je vois sa bite qui pend indécemment devant mes yeux, posée sur ses grosses couilles grosses comme des kiwis. Il dit alors :
- Vas-y, Nico, occupe-toi de moi comme l’autre jour.
Je le regarde, interloqué :
- Quoi ? Qu’est-ce que tu... Arrête tes conneries !
- Allez ! À genoux et suce-moi !
- Philippe, arrête, c’est pas drôle.
Karim dit alors :
- Ah ! Il t’a aussi sucé ?
- Oui ! Pourquoi ? Toi aussi ?
- Oui. Il fait ça trop bien, non ?
- Oui, dément !
Les deux mecs parlent de mes talents de suceur comme si c’était normal. Je suis dans une pièce avec 5 mecs sportifs et bien membrés... qui parlent ou écoutent. Philippe me caresse alors la tête. D’un geste rapide, il colle sa teub contre ma joue. J’essaie de résister... mais sans grand succès. Il frotte alors sa bite molle sur moi. Les autres regardent, sans rien dire.
- Allez, montre-nous comme tu suces bien ! Allez, les mecs, encouragez-le !
Je recommence à me débattre. Il me met alors une grosse baffe qui me sonne un peu. Par contre, ça semble l’exciter car il commence à bander. Ses 20 cm se déploient devant mes yeux. Je sens mon excitation augmentée malgré la situation gênante.
- Allez, on va l’aider, s’exclame Karim. Les mecs, tous à poil !
Karim fait descendre son pantalon sur ses chevilles et je vois alors sa queue déjà en demi-molle. Et finalement, les autres l’imitent. Certaines bites commencent déjà à se tendre... et en effet, ça m’encourage... J’engouffre le gland de Philippe dans ma bouche. Il crie victoire ! Il m’entraine avec lui, il se rassoit sur sa chaise et je me mets entre ses jambes. Les autres me regardent faire. Philippe me donne une baffe et il me fait sucer sa queue, les mains autour de ma tête. Puis, quand il me relâche, il demande :
- Alors ? Qui veut essayer ?
Personne n’ose bouger. Karim s’avance et il me donne sa queue à sucer. Je l’engouffre immédiatement dans ma bouche. Je la suce bien. Et doucement, les mecs se mettent à m’entourer, comme des fauves devant leur proie. Les bites se dressent. Mais personne n’ose me caresser ou me présenter sa queue. Karim s’écrie :
- Allez, les mecs ! On est entre nous ! Personne n’en parlera ! Y a pas de mal à se vider les couilles ! Vous avez vu, il a déjà sucé Philippe et moi et personne ne l’a su ! Nico, tu es d’accord pour nous tailler une pipe ?
Je sors sa bonne queue de ma bouche et je les regarde tous avec envie. Je fais un grand « oui » de la tête et je reprends la suce de la teub du rebeu. Il n’en faut pas plus à Pascal pour s’avancer et pour me présenter sa queue.
Pascal a 30 ans, il est très mignon. Il a des cheveux bruns et courts, une barbe bien taillée. Son corps est super bien musclé. Ses bras sont énormes, on en distingue chaque muscle. Ses pectoraux sont ronds, ses abdos sont saillants, ses cuisses sont bombées. Son pubis est recouvert de poils drus et touffus. Il a une queue de 20 cm, épaisse, avec des couilles rondes et marron.
Je n’en demande pas plus, je me précipite sur sa queue et je l’engouffre dans ma bouche. Pascal pousse un soupir et il se laisse faire. Il s’exclame :
- Putain, il suce vraiment trop bien !
Philippe prend alors ma tête dans ses mains et il me fait faire des gorges profondes sur la bite de Pascal. Romain passe derrière moi et il avoue :
- Son petit cul m’a donné envie de le baiser depuis le premier jour que je l’ai vu ! Les mecs, vous avez pas observé comme il dandine son petit cul quand il va au lit, le soir, dans son petit caleçon ?
- Si, c’est vrai, ajoute Walid. Je me suis toujours dit que si c’était pas un mec je lui aurais déjà pété la rondelle !
- Faites-vous plaisir, les mecs, dit Philippe. Tu feras tout ce qu’on veut, n’est-ce pas, Nico ?
- Oui, dis-je, la bouche pleine.
Karim et Philippe se mettent à me peloter le cul. Walid me tend sa queue et je la suce goulument. Philippe dit à Karim :
- Putain ! J’ai jamais baisé un cul de mec... Ça se fait pas en fait... Je mange pas de ce pain-là.
- Philippe, mate ce cul ! Ça fait trop envie... Oh putain ! Il est trop serré !
En effet, Karim est en train de me mettre un doigt dans le cul. Je cambre bien mes fesses pour lui montrer ma soumission. Et j’observe les mecs qui sont devant moi.
Walid est un rebeu de 27 ans, assez grand, mince, il a les cheveux bruns. Son torse est poilu, tout comme son ventre. Les poils de son pubis recouvrent tout son bas-ventre, ils sont bruns et super épais. Ses couilles sont aussi recouvertes d’un beau duvet qui révèlent leurs couleurs brunes. Il a une bite et des boules vraiment très foncées. Ses beaux poils noirs sont aussi abondants sur les bras et les jambes et sur son cul. Il a aussi des poils noirs abondants sous les aisselles.
Romain a quant à lui 20 ans, il n’est pas très grand, il est blond. Il a un visage assez angélique. Il a les cheveux rasés sur le côté et coiffés en épis sur le dessus. Son visage est imberbe. Il est mince et musclé sec. Son torse et son ventre sont recouverts de poils châtains assez courts, tout comme ses bras et ses jambes. Son pubis est velu et frisé. Il a une épaisse queue de 24 cm et de grosses couilles rasées.
Walid me met la main derrière la tête et il accompagne tendrement mes mouvements de tête. Sa bite fine entre et sort de ma bouche. Elle va bien au fond de ma gorge et j’arrive à lui faire de bonnes gorges profondes. Je me retrouve avec mon nez dans ses poils de pubis épais qui sentent forts le mâle. Ils m’enivrent... et ils me fascinent... Ils sont très foncés et ils frisent, ils sont vraiment très épais.
Je sors sa queue de ma bouche. Je tire alors ma langue et je lèche son pubis. Je passe ma langue du côté droit, puis du côté gauche et je descends. J’arrive à ses couilles que je lèche aussi. Je les gobe ensuite, d’un coup. Il pousse un soupir de satisfaction. Je remonte vers son pubis et de mes lèvres, je joue avec ses poils : je les tire avec les lèvres, j’y passe ma langue de long en large, de haut en bas. Je bande à fond. J’adore ses poils, je les savoure. Il apprécie, sa queue est tendue au max aussi.
Puis, il se retourne et j’ai une vue plongeante sur sa raie hyper velue. Immédiatement, j’enfonce ma tête dans son cul qui est perdu dans une masse de poils. Je ne saurais dire où son trou se trouve. J’enfonce ma langue dans cette jungle et arrive à mon but. Je titille sa rosette très fournie de poils frisés et il se met à gémir. Je ne contrôle alors plus ma langue qui essaie de s’enfoncer toujours plus loin dans ces broussailles. Walid couine, ce qui m’encourage à insérer ma langue au plus profond, je sens alors le trou se détendre. Au bout de 5 minutes, il se relève et il cède sa place
Pascal et Romain s’approchent alors de moi et ils me donnent en même temps leur bite. Je suce d’abord celle de Romain puis celle de Pascal. Finalement, je prends les bites dans chaque main, j’enfonce leurs deux glands en même temps dans ma bouche et je joue avec ma langue dessus.
Pendant ce temps, Philippe et Karim me massent toujours le cul, comme indécis quant à la réaction à adopter : écouter leurs pulsions ou plutôt écouter leur voix intérieure de macho. Mais finalement, c’est Karim qui se met à jouer avec sa queue contre mon anus... où son gland s’enfonce lentement. Il ressort... hésitant... et finalement, il s’enfonce dans mon anus jusqu’à ce que je sente ses poils de pubis collés contre mon cul. Il place ses mains sur mes hanches et il se met à faire des allers-retours. Philippe me caresse le dos, comme envoûté par cette bite qui entre en moi. Karim soupire de bonheur et s’écrie :
- Putain ! Il est trop bon ce cul ! Bien serré, les mecs ! Un rêve ! J’ai jamais vu ça !
Je ne suce maintenant plus que Romain qui a ses mains posées sur ma tête et qui me baise la bouche. Karim laisse sa place dans mon cul à Philippe qui y entre sans aucune hésitation. Les queues des mecs défilent dans ma bouche tandis que Philippe me baise sauvagement.
Puis il ressort et je me rends alors compte que Karim et Philippe m’ont pris sans capote... Tant pis ! Je prends de la prep. Romain s’assoit sur une chaise et il me fait signe de m’approcher. Je pose son gland sur mon trou, il me prend dans ses bras, il me colle contre lui et il me fait lentement descendre sur sa grosse bite qui m’ouvre bien. Je me retrouve complètement emmanché sur sa teub. Il me fait alors faire des allers-retours sur son morceau. Pendant ce temps, Pascal me baise la bouche.
Romain me fait sortir de sa bite avant d’atteindre le point de non-retour. Pascal vire les cartes de la table, il me plaque mon corps dessus, les jambes plaquées contre son torse et lui, debout, enfonce sa bite dans mon cul. Il se met à me défoncer à fond. Les autres nous entourent en se branlant.
Les mecs vont alors se succéder dans mon anus. Je me sens comme une poupée gonflable qui est là pour assouvir leurs désirs. A un moment, Philippe me tire et m’envoie valdinguer par terre. Il me prend par la tête. Je me retrouve assis, devant sa grosse teub tendue qu’il présente à ma bouche. Je suis aussi encerclé par les autres bites bien tendues. Philippe me tire par les cheveux et il enfonce sa bite dans ma bouche. Ça dire quelques secondes puis c’est le prochain qui me tire par les cheveux et qui me donne sa queue à téter. Chacun veut sa part du gâteau et je reste très peu de temps sur une bite. Ils me font circuler comme on fait circuler un joint.
Puis, Philippe me plaque contre une armoire et il enfonce son morceau alors au fond de ma gorge. Il se défoule alors dans ma bouche. Il me la baise bien sauvagement. Puis, c’est Karim qui prend sa place. Et Walid puis Romain et Pascal. J’avale les grosses bites sans broncher et je me laisse baiser la gueule. Les mecs sont émerveillés par ma capacité à supporter leur gros matos. Puis, Philippe me relève, il me plaque contre le mur, il enfonce sa bite dans mon cul et il me baise sauvagement. Au bout de quelques minutes, il hurle :
- Putain, les mecs, je vais lui jouir dans le cul !
Et à ce moment-là, je sens mon cul se faire inonder par son jus. De nombreux giclent en moi. C’est incroyable de sentir cette puissance masculine m’envahir de la sorte. Philippe ressort et le jus coule hors de mon anus, éclaboussant le sol. Et c’est Karim qui prend sa place. Il s’écrie :
- Merde ! Ton jus est tellement chaud, Philippe ! C’est incroyable de baiser dedans.
Je sens mon cul grand ouvert par cette teub de rebeu. Ses coups de reins sont rapides et puissants. Le sperme frais de Philippe sert de lubrifiant, la bite de Karim glisse en moi. Elle devient blanche, elle fait de gros flocs. Des gouttes tombent bruyamment sur le sol, ses couilles projettent aussi une partie du ruissèlement sur mon cul puis elles font voler le sperme un peu partout. Je me rends compte que Philippe m’en a mis une sacrée dose !
Pascal se met devant ma bouche tandis que Karim me baise. J’ouvre la bouche en grand, la langue tendue, prêt à recevoir sa semence. Et très vite, il gémit en disant :
- Oui, Nico, ouvre bien ta bouche !
Et au moment de jouir, il plaque sa main contre ma nuque, il enfonce sa teub dans ma bouche. Il donne quelques coups de bite et je sens son sperme gicler directement au fond de ma gorge, d’autres me remplissent la bouche. Il appuie bien fort sur ma nuque, voulant ainsi bien faire prolonger le plaisir. J’avale sa semence avec plaisir.
Il ressort, soulagé, en murmurant :
- Putain, quel bon vide-couilles !
Le spectacle semble avoir bien plu à Karim qui accélère et qui finit par jouir lui aussi dans mon cul qu’il me remplit. Son sperme va se mélanger à celui de Philippe. Il se laisse ensuite tomber sur mon dos, épuisé. Il m’y dépose de petits baisers. Sa queue ramollie ressort de mes entrailles tandis qu’il se relève. Le sperme bouillonne hors de moi tel un geyser. Je vois sa queue normalement marron foncé qui est devenue toute blanche. Elle est bien allée chercher le jus de son prédécesseur. Je me précipite dessus pour la nettoyer.
Romain, qui se branle comme un fou, finit par venir derrière mon cul et un premier jet explose contre ma rosette. Il s’enfonce alors en moi et un deuxième jet éclabousse tout autour de nous. Puis il continue de se vider dans mon anus. C’est incroyable... c’est comme s’il me pissait dedans. Je me sens me faire remplir à fond.
C’est enfin au tour de Walid de me prendre. Il me prend dans ses bras et il me fait assoir sur son morceau. Je sens le jus de ses prédécesseurs dégouliner hors de mon trou et descendre tel un torrent le long de sa queue. Il s’y enfonce et le sperme est tassé. Il me fait alors monter et descendre lentement sur sa bite. C’est magnifique. Ses 20 cm coulissent bien en moi. Son gros gland m’ouvre à fond. Il me baise pendant 10 minutes, me faisant coulisser sur sa queue. Puis à un moment, il accélère, ses coups de bite se font toujours plus violents et plus rapides... jusqu’à ce que je sente la violence de ses jets m’inonder le cul. Sa bite pulse à fond. Je compte entre 15 et 20 jets qui me remplissent. Je me relève et son jus dégouline le long de sa queue. Ses poils de pubis sont remplis de sperme ! Je me mets à aspirer le jus. Je lèche toute cette semence qui a coulé le long de mon cul. Je passe ma langue dans la broussaille que forme ses poils de pubis et je lape lentement son jus. A la fin, il ne reste plus aucune goutte.
- Et toi ?, demande Walid, avec un sourire malicieux.
Je me branle dans la main de Walid, je jute dedans et il me donne le contenu à avaler. Je m’empresse de boire mon propre nectar. Tous les mecs viennent alors vers moi et m’embrassent sur la bouche. Bizarrement, tous restent à poil, comme si une sorte de clan venait de se former. Certains fument discrètement à la fenêtre, d’autres regardent leur portable. Mais l’ambiance reste très fraternelle. Ils me regardent avec admiration, ferveur... et envie ! Nous allons nous coucher, comme si rien ne s’était passé.
Cette formation promet d’être plus intéressante que ce je ne pensais...
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Meetmemz
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