Chapitre 1
C’est au lycée que j’ai connu ma bande de potes. Il y a Giovanni et Stefano, deux italiens, Rachid et Alan, deux rebeus, Lucas, et moi, Nico. On s’est connu au lycée, on était dans la même classe.
Dès les premières semaines en Seconde, on s’est bien entendus. Et très vite, on a fait les 400 cents coups ensemble. On se moquait des profs, on foutait le bordel dans la classe. Mais quand Giovanni s’est fait renvoyer en fin de Seconde, mes parents sont intervenus et ils m’ont interdit de revoir mes potes.
Six mois plus tard, mes parents ont lâché du lest et j’ai de nouveau pu ressortir avec mes amis. Cependant, nous nous sommes bien calmés après tout ça. A partir de la Terminale, on est beaucoup sortis le week-end. En fait, on était toujours ensemble, dès qu’on avait un moment de libre. On s’adorait, on était toujours collés les uns aux autres. On se prenait dans les bras, on se donnait des tapes amicales sur les fesses. Au fil du temps, on est devenus très tactiles. C’était juste un signe d’amitié et de complicité. Personne ne s’en offusquait ou avait des arrière-pensées.
Les années sont passées, on a terminé nos études, on s’est marié, on a tous fondé une famille. Et finalement, on a eu notre petit train-train (genre métro, boulot, dodo). Mais malgré tout, nous nous voyions souvent. On allait assister à des matchs, on faisait partie de la même équipe de foot, on sortait dans les bars.
Et voilà, aujourd’hui, nous avons 50 ans. Moi, je suis blond, les yeux bleus, un peu poilu, monté 17 cm. J’ai une femme, Aurore, et deux filles de 15 et 18 ans. Ma femme et moi avons une vie sexuelle plutôt calme. Nous habitons dans une grande maison dans la banlieue de Poitiers. Je travaille comme informaticien, ma femme est contrôleuse de train, ce qui fait qu’elle est souvent en déplacement.
Ce soir, nous avons laissé nos familles et mes potes et moi sommes sortis faire la fête, ce qui n’était pas arrivé depuis plusieurs semaines. Je suis le premier et Rachid arrive quelques minutes plus tard.
C’est vraiment un bogoss, doublé d’un macho. Il a une peau mate, des cheveux noirs et épais sur le dessus, rasés sur le côté et une barbe bien taillée et fournie. Il a un regard perçant. Il a un corps assez sportif, avec de superbes pectoraux gonflés, de gros bras musclés mais avec une petite brioche au niveau du ventre.
Il m’embrasse tout de suite et il me serre dans ses bras. Puis arrivent Giovanni et Alan.
Giovanni a des cehveux gris très courts et une calvitie prononcée. Il a une barbe grise et un visage fin avec des lunettes. Il a un corps mince avec un petit ventre. Quant à Alan, il a des cheveux noirs et courts, avec une barbe très courtes sur les côtés et avec un bouc un peu plus épais. Il porte aussi des lunettes. Il a une peau bronzée et de larges épaules. Il a de gros seins et un énorme ventre gras, mou, avec de gros bourrelets.
Les deux me serrent aussi fort contre eux. Stefano arrive 5 minutes plus tard.
Il a des cheveux épais et noirs, une barbe fournie noire mélangée à des poils blancs. Il porte de grosses lunettes. Il a un corps fin et sportif, musclé sec.
Il me donne une tape sur les fesses et il me dit :
- Ça va, ma poule ?
Il m’embrasse et il dit qu’on entre dans le bar :
- Lucas m’a envoyé un message, il va avoir du retard.
On ricane, habitués... on entre et on va s’assoir. Une serveuse prend nos commandes. Très vite, nous nous retrouvons avec nos bières devant nous. Giovanni, le charmeur, se met à draguer une meuf qui pourrait avoir l’âge de sa fille. Alan est assis à côté de moi, il est très tactile, comme à son habitude. Il me touche la main, il me prend dans ses bras. Pour moi, c’est normal.
Lucas arrive avec un retard de 30 minutes.
Il a des cheveux gris et courts, une barbe châtain. Il est grand et assez costaud. Il a de larges épaules, des pectoraux gonflés et un ventre bombé et dur. Il a des cuisses énormes et des bras de bûcherons.
Il me fait une grosse bise baveuse sur la joue. Il s’assoit et il se met à boire. Je remarque que Giovanni finit par rouler une pelle à sa proie. Les deux se dirigent au bout de quelques minutes vers les toilettes. C’est normal pour Giovanni. C’est un charmeur invétéré qui baise tout ce qui bouge. Nous, on ne dit rien. Sa femme n’est pas au courant. Nous sommes mués comme des tombes.
Au milieu de la soirée, je me rends aux toilettes. Quand je suis devant la porte, j’entends des chuchotements et des bruits bizarres. Mon petit côté voyeur prend le dessus et je me dirige vers les bruits. La porte de derrière (qui donne sur l’extérieur) est ouverte. Je jette un coup d’œil et je reconnais un mec qui est passé devant notre table il y a bien une demi-heure de cela. Il nous avait dévisagé avec insistance, je m’en rappelle bien.
Là, il est à genoux en train de... sucer une queue ! Je ne vois pas le mec mais il semble qu’il a une grosse teub car le suceur fait des mouvements amples. Tout d’un coup, celui qui se fait sucer dit :
- Je vais jouir !
Je reste pétrifié ! La voix que j’ai entendue... je la connais ! Le mec se met à gémir et il semble jouir dans la bouche du suceur. Après quelques secondes de pause, le mec reprend :
- T’es une bonne suceuse !
Le suceur se relève et le sucé remonte son pantalon. Je me précipite dans les toilettes dont je laisse la porte entrouverte. Le suceur passe et une minute plus tard, l’autre passe aussi. C’est bien ce que j’avais cru entendre : C’est Rachid ! Je suis effaré. Je ne m’attendais pas à ce qu’un de mes meilleurs potes soit homo.... ou bi. Je croyais que je le connaissais par cœur, qu’on se disait tout, qu’on avait aucun secret l’un pour l’autre. Je vais me rassoir après quelques minutes. Je vois Rachid en train de prendre Alan dans ses bras et de rigoler avec lui.
Je me mets vraiment à voir mon pote rebeu autrement. Au fil de la soirée, tous ses gestes me paraissent suspects. Je tressaille quand il me touche. Je pense à sa femme... à ses enfants... et à nous, qu’il trompe sûrement depuis longtemps. Puis, je remarque que Rachid, tout comme Lucas, boit beaucoup. Veut-il noyer son action dans l’alcool ? Moi, je bois modérément, j’ai pris la voiture et j’ai proposé à Alan de le ramener car il habite à quelques rues de chez moi.
Vers 2 heures, on comprend que le patron veut fermer le bar. Nous sortons et Lucas propose de continuer la soirée en boîte. Je refuse, voulant rentrer, car je dois amener ma fille le lendemain à son entraînement de foot. Alan dit qu’il va alors rentrer aussi.
On monte en voiture et je m’apprête à démarrer quand Rachid frappe à la portière :
- Vous pouvez me ramener aussi ? je vois que je ne suis plus en état de conduire...
- Monte, s’écrit Alan.
Je n’ai pas d’autre choix que d’accepter.
Une fois arrivé chez lui, il descend et trébuche contre le rebord du trottoir. Il s’étale par terre. Alan dit alors :
- Viens, on devrait l’aider.
Etant donné que sa femme déteste l’alcool, on le prend à deux sous les bras et on rentre doucement dans sa maison. On l’installe sans un bruit sur le canapé. Mais Alan renverse quelques objets. Il dit :
- Je vais rester un peu, ranger un peu tout et veiller quelques minutes, voir s’il ne vomit pas. Rentre, toi, je me débrouillerai.
Je ne proteste pas et je pars. Arrivé à ma voiture, je me rends compte que mon portable n’est pas dans ma poche. Je le cherche dans la voiture. Rien. Je me dis qu’il a dû tomber de ma poche quand on partait Rachid. Je retourne à la porte d’entrée. J’envoie un message à Alan afin qu’il m’ouvre... mais il ne réagit pas. Ne voulant pas sonner, et sachant où ils cachent leur clé de secours, je soulève un pot de fleur et je prends ladite clé. Je rentre discrètement et je m’avance à pas de loup. Sur le meuble du hall d’entrée, il n’y a rien. Sur le sol non plus. Je me dirige vers le salon... et je vois mon portable par terre. Je le saisis quand des bruits sur le canapé et des chuchotements attirent mon attention. Piqué par la curiosité, je vais voir et là, je suis choqué : je vois Rachid allongé sur le canapé et Alan agenouillé devant lui... en train de le sucer ! Il agrippe la bite de sa main dont elle ne peut en faire le tour. Il la branle tout en enfonçant le morceau dans sa bouche.
Après quelques minutes, Rachid se met debout, au-dessus de la bouche d’Alan et il lui baise la bouche. Il y va d’abord doucement puis voyant que sa teub coulisse librement dans la bouche, il commence à la lui baiser plus sauvagement.
J’ai alors une vue plongeante sur la grosse queue de Rachid. Elle est épaisse et très veinée. Elle doit bien faire 24 cm. Alan se jette dessus comme un affamé. Il prend le gros morceau en gorge profonde... ce qui me fait comprendre qu’il n’en est pas à sa première bite. Les deux mecs se lèvent après 5 minutes et je les vois à poil :
Alan a de gros seins et un énorme ventre gras, mou, avec de gros bourrelets. Il est velu tel un gorille. Ses poils noirs et épais recouvrent chaque centimètre carré de sa peau. Ils commencent dans son cou et ils se déversent sur son torse où ils forment une véritable toison noire, dense. Seuls ses tétons larges et marron dépassent de ce tapis. Son ventre est tout simplement noir de ses poils. Ils descendent vers son pubis extrêmement velu et ils continuent le long de ses cuisses et de ses jambes pour recouvrir entièrement ses orteils. Ses bras sont aussi remplis de poils noirs et drus. Son dos est aussi complètement recouvert de poils qui descendent dans son cul qui est une vraie forêt vierge. Il a de grosses couilles noires, bien remplies et une bite de 16 cm, circoncise, presque noire avec un gland marron et épais.
Quant à Rachid, c’est un vrai macho monté comme un étalon. Il a un corps assez sportif, avec de superbes pectoraux gonflés, de gros bras musclés mais avec une petite brioche au niveau du ventre. Son torse et le milieu de son ventre sont recouverts de poils fins et noirs, tout comme ses bras et ses jambes. Son pubis est recouvert de poils noirs bien entretenus. Il a des boules noires et pendantes, une bite énorme de 24 cm, marron sur la partie basse, rose sur l’autre moitié. Elle est épaisse et recourbée vers l’avant.
Rachid positionne Alan sur le dos. Il se place derrière lui, il lui fait relever les jambes et il se met à lécher sa bite. Puis, sa langue descend le long des couilles. Il écarte ses fesses, laissant sa raie poilue bien visible... Quel cul ! J’admire son cul broussailleux et sa raie qui est extrêmement velue. Elle est toute noire de poils. On ne saurait dire où son trou se trouve dans la jungle de sa raie bien noire, très fournie de poils frisés.
Rachid malaxe les fesses dodues, grasses et molles et il lèche la raie, enduit l’anus de bave, il titille l’entrée du trou. Puis il lui broute l’anus : sa langue s’enfonce profondément. Il le doigte ensuite pendant quelques instants, les poils mouillés collant sur les doigts de Rachid. Il élargit bien le trou. Puis il se relève et Alan saisit la grosse queue dont il guide le gland vers son trou. Il le pose dessus et Rachid enfonce ensuite son énorme morceau. Il y va doucement. Il s’enfonce lentement, faisant ressortir sa bite de temps en temps pour l’y renfoncer. C’est comme si l’anus d’Alan avalé ce membre immense. Alan pousse un gémissement quand il sent les boules de Rachid plaquées contre son cul. Rachid, debout, se met à baiser Alan. Ses coups de bite sont lents. Parfois, il se penche sur Alan et il lui roule de grosses pelles. Puis, ses coups de reins deviennent plus puissants et plus profonds. Alan essaie de se retenir de gémir mais ça lui semble difficile.
Quand ils sont dans cette position, personne ne me voit. Je m’approche un peu plus, attiré par ce spectacle envoûtant. Je remarque que je bande bien. J’ai alors une vue plongeante sur les boules noires et pendantes de Rachid qui frappent les fesses d’Alan. Sa bite épaisse détend bien le trou du passif. Elle sort et rentre dans son antre qu’on ne distingue pas. Seuls ses poils sont visibles et semblent avaler la grosse queue de Rachid. Des poils mouillés sont collés à la bite et ils accompagnent les va-et-vient du monstre.
Au bout de quelques minutes, je me recule doucement pour ne pas me faire surprendre. Les bruits de mes pas sont couverts par les grincements du canapé. Je sors mon téléphone et je me mets à filmer la scène. Rachid sort alors du cul d’Alan qui se couche sur le canapé sur le ventre. Je remarque alors le trou d’Alan qui est grand ouvert, il fait comme un O. La queue de Rachid l’a bien dilaté ! Rachid branle sa grosse bite, il écarte les belles fesses d’Alan et il entre dans le trou. Il baise Alan en donnant de petits coups de reins profonds, ses mains posées sur les hanches du passif. Puis les va-et-vient deviennent de plus en plus forts, de plus en plus secs.
Alan est maintenant à quatre pattes. J’ai une magnifique vue sur les grosses fesses poilues et sur ses couilles pendantes. Rachid prend sa bite tendue et frappe la raie. Puis, il s’enfonce d’un coup et reprend sa baise. Il fait des mouvements amples, enfonçant bien sa queue dans le cul d’Alan. Les cuisses de Rachid tapent contre le cul d’Alan ce qui le fait vibrer. Il tient Alan par les épaules. Parfois, il sort le gland du trou puis il l’y replante. Au fil des minutes, la bite entre et sort de plus en plus vite. Alan murmure :
- Oui, vas-y, baise-moi.
Et Rachid accélère. Il le baise sans ménagement. Pendant ce temps, Alan se branle. Rachid fait claquer ses grosses couilles sur les fesses poilues du gros rebeu. Puis, il finit par donner un grand coup de bite et il gémit doucement, éjaculant son sperme dans le trou d’Alan qui se branle à fond pour jouir sur son gros ventre. Rachid lui remet quelques coups de bite.
Il sort ensuite de son cul, il fait pressions sur sa bite, faisant ainsi sortir les dernières gouttes de sperme qui coulent dans le trou et il secoue sa queue. Il joue à l’aide son gland avec le sperme qui se met à dégouliner le long du périnée. L’anus est grand ouvert, il forme un O duquel se déverse une bonne quantité de sperme.
Je me dis que je devrais courir vers la porte pour ne pas me faire prendre mais c’est trop tard. Si je bouge, ils vont me capter. Mais au lieu de partir, les deux rebeus se serrent sur le canapé et Rachid prend Alan dans ses bras. J’attends de longues minutes puis je remarque qu’ils s’endorment après s’être roulés de grosses pelles. Je vais voir de plus près. Je fais alors une photo et je pars.
Je monte dans ma voiture et je souffle. Je suis complètement déboussolé... Mes deux potes baisent ensemble ... et ce n’est pas la première fois, ça s’est vu ! Je me sens perdu... un peu trahi... mais je ne comprends pas non plus mon état. Pourquoi est-ce que je bande encore ?
Une fois arrivé chez moi, je me mets au lit. Ma femme dort à point fermé. Je me remémore la scène de baise et je recommence à bander ! N’y tenant plus, je vais embrasser ma femme et je lui fais sauvagement l’amour. Je jouis très vite... ce qui n’est pas dans mes habitudes ! Quand j’ai éjaculé, ma femme vient se blottir dans mes bras, savourant cette baise passionnée... et moi, je me demande pourquoi je suis dans un tel état...
A suivre...
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Meetmemz
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