Aujourd’hui, je pars avec ma classe pour un échange scolaire en Allemagne.
Moi, c’est Nico. J’ai 18 ans, je suis élève en Terminale dans un lycée de Toulouse. Depuis le début de l’année scolaire, notre prof d’allemand, M. Souillac, nous a mis en relation avec nos correspondants. Le mien s’appelle Finn. On s’est d’abord échangé des messages sur une plateforme d’apprentissage, puis très vite on passe sur Insta et sur WhatsApp. Finn a mon âge et il est en classe de 12ème. Il me semble assez sympa, même si un peu timide.
Le mois de mars arrive : ma classe et moi partons pour Francfort. On prend le train à partir de Toulouse et 8h après, on arrive à la gare de Francfort. Le prof de français de la classe de nos correspondants, M. Heller, nous accueille et nous montre nos familles. J’aperçois un grand gaillard blond et mince de presque 1,90m qui me fait de grands gestes : c’est Finn. Il me souhaite la bienvenue avec ses parents. Le père prend ma valise et nous partons en voiture chez lui. Ils habitent dans le centre de Francfort, dans un appartement assez grand. Ils me montrent la chambre. Je dors dans le lit de Finn qui lui sera sur un matelas à même le sol dans la chambre. Ils me demandent si cette solution me convient car ils n’en voient pas d’autres. Ça me va très bien, dis-je. Je pose mes affaires et très vite, la mère de Finn me dit qu’on va passer à table.
Le repas est très sympa, ils ont commandé des pizzas. Je fais connaissance des parents de Finn, Luisa et Patrick ainsi que de la sœur de Finn, Lena. On parle surtout en allemand, ce qui n’est pas facile pour moi. Mais je ne désespère pas, je suis là pour apprendre. Après le repas, nous passons au salon et ils me montrent un film que j’ai du mal à comprendre. Puis, nous allons au lit. Une fois dans la chambre, je mets mon pyjama. Finn entre dans la chambre après s’être lavé les dents ... et il est en caleçon. Le mec est bien foutu, je dois l’avouer !
Finn est blond, il a des cheveux courts. Il a visage lisse et fin. Son corps est mince, il est musclé sec. Il a de petits pectoraux et de magnifiques abdos bien dessinés. Ses bras sont élancés, bien musclés. Il n’a pas de poils sur le torse ni sur le ventre. Mais quand mes yeux tombent sur son caleçon, je reste sans voix : le tissu laisse entrevoir le dessin d’un gros gland. Il semble aussi avoir un long sexe qui est plaqué sur ses couilles toutes aussi grosses. L’ensemble forme un paquet qui lui fait une boule volumineuse.
Finn met sa couette en position et sous ses mouvements, son bulge danse dans son sous-vêtement. Son morceau a l’air long et bien lourd. Je me retourne vite vers le mur et je m’enveloppe dans ma couette car je commence à bander. Finn se couche et il me souhaite une bonne nuit. Mon cœur bat la chamade à côté de ce beau gosse... Mais je finis par m’endormir.
Le lendemain, le réveil sonne à 6h. On se lève et on part en excursion avec les correspondants allemands. On fait une virée dans la vallée du Rhin en bateau puis à pied. C’est vraiment formidable. Finn est super sympa, ses potes aussi. On parle bien ensemble, on déconne.
Le soir, on mange en famille. La mère a préparé un dîner typique allemand : des « Schnitzel » (escalopes panées) avec des frites, tout fait maison. Je me régale. Puis après une soirée à jouer à un jeu de société, on va au lit. Je me mets sous la couette et comme hier, Finn rentre dans la pièce, en caleçon. Putain quelle bosse ! Il me fait trop envie en fait... Il se pose sur son matelas et il se glisse sous sa couette. Je n’ai plus rien à me mettre sous la dent... mais je bande comme un taureau. On parle encore pendant quelques minutes durant lesquelles je le scrute à fond. Je sens un sentiment bestial en moi. J’ai envie de Finn, en fait. Si je ne m’écoutais pas, je me jetterais sur lui. Mais je résiste car je n’ai pas envie de créer un scandale si jamais il a quelque chose contre les homos. Je m’endors en pensant à son corps de rêve.
Je suis tiré de mon sommeil par le réveil. Je regarde l’heure : 6h. Je reste encore quelques secondes dans le lit mais Finn lui se lève immédiatement... et je vois que son caleçon est déformé par une érection matinale ! Et putain ! Le bout de tissu qui lui sert de sous-vêtement est tendu au maximum. Il forme un chapiteau assez monstrueux sous son caleçon. Mais je crois rêver ! Il a un putain d’engin ! Super long ! Le tissu de son caleçon est tendu au maximum et le gland est moulé si bien qu’on en devine chaque détail, chaque recoin. J’hallucine ... sa bite a l’air si longue ! Je peux presque tout deviner de sa queue : son gland est décalotté, comme emprisonné dans le sous-vêtement, et j’en devine tous les contours. Des tâches de mouille sont visibles.
Finn ouvre la porte de la chambre et il disparait. Je l’entends entrer dans la douche. Ma queue bande à fond. Je n’ai qu’une envie... c’est le voir nu. Je me précipite dans le couloir et je tends l’oreille. J’entends des bruits de vêtements et puis plus rien. Ma curiosité l’emporte sur ma peur. J’ouvre la porte et je le vois dans la cabine de douche... Quelle magnifique vision !
Il n’est pas tout à fait imberbe. Il a des poils frisés et châtain clair sur son pubis et sur ses boules. Il a un cul bombé et musclé, magnifique ... et sa queue est en effet énorme ! Je constate qu’il est en train de se branler ! Sa bite est longue et épaisse et ses grosses couilles pendantes bougent d’avant en arrière sous ses mouvements de branle. Au bout de quelques secondes, il remarque que je suis entré et il se cache le sexe avec sa main qui n’arrive pas à tout recouvrir puis il se tourne vers le mur. Je prends un air choqué et je murmure quelques mots d’excuse avant de refermer précipitamment la porte. Je me précipite dans mon lit, je ferme les yeux et je repense à sa bite énorme. Elle doit faire à vue d’œil 20 cm. Je repasse la scène dans ma tête tout en me branlant et je jouis très vite. Je nettoie le sperme avec un mouchoir et je prends la suite de Finn quand il a fini sa douche. Nous ne parlerons pas de cet incident et nous ferons comme si de rien n’était pendant toute la journée.
Mais pendant toute notre excursion, je ne pense qu’à sa bite et je me mets à échafauder des plans, tous plus débiles les uns que les autres... mais j’ai tout simplement envie de lui ! Une occasion se présente en milieu de journée. On va une pause pipi et je le vois se diriger vers les toilettes. Je le suis et je vois qu’il va vers un urinoir. Je me rends à celui qui est libre à côté de lui et je sors ma bite. Il pisse un gros jet. Je prends mon courage à deux mains et je jette un coup d’œil sur ma droite. Et comme je l’avais deviné, il a en effet une grosse queue, même au repos. Finn tient entre ses mains une bite assez foncée, bien large et épaisse avec un long prépuce d’où on devine un gros gland. Son gros jet d’urine éclabousse l’urinoir. Je ne peux en détacher le regard. Voilà un des fantasmes que j’ai eus pendant toute la journée qui est en train de se réaliser. Son gros morceau semble pesant, massif mais aussi flasque et mou. Il doit bien avoir 13 cm au repos. Quand il a fini d’uriner, il étire sa grosse queue et il la secoue, de haut en bas. Puis, il la glisse dans son caleçon et il referme sa braguette. Quel morceau !
Il sort des toilettes. Je résiste à l’envie de me branler et je rejoins le groupe. Je ne fais pas attention à toutes les explications de l’après-midi. Mes hormones sont comme déchainées et je ne pense qu’à la bite de mon correspondant. On rentre vers 16h chez Finn et je l’accompagne à son entrainement de hand. J’ai une envie folle de rentrer dans les vestiaires à la fin ... mais je n’ose pas. Il finit par en sortir et on rentre chez lui.
On va se coucher assez tôt. Il faut savoir que très peu de maisons allemandes sont équipées de volets. Et donc la chambre de Finn ne fait pas exception, les illuminations de la rue éclairant la chambre au travers de la fenêtre. Moi, je n’arrive pas à m’endormir et je suis encore éveillé lorsque Finn s’endort et qu’il prend une respiration régulière de dormeur. Dans son sommeil, il jette sa couverture par terre et grâce à la lumière venue de dehors, je peux admirer son magnifique corps. Ma testostérone augmente et je ne peux quitter son paquet du regard. Il semble m’hypnotiser. Je murmure : « Finn ! Tu dors ? » plusieurs fois et en guise de réponse, sa respiration régulière se fait entendre. Je me glisse alors hors de mon lit et je me faufile à côté de son matelas. Je suis à quelques centimètres de son corps parfait. Je hume sa peau... elle dégage une bonne odeur qui m’enivre. Mes yeux se dirigent lentement vers son caleçon et je regarde avec envie. Tout doucement, j’approche ma main de son paquet et je l’effleure... puis je la retire vite. Pas de réaction. Je laisse alors trainer plus longtemps ma main et puis je saisis délicatement son membre au travers de son short
Ensuite, j’ouvre le caleçon doucement et je jette un coup d’œil à l’intérieur. Sa bite massive est posée sur son aine gauche. J’ai aussi vue sur ses grosses boules poilues. Je repose délicatement l’élastique et je frotte de nouveau sa bite. Puis, je commence à monter et descendre le long de sa bite, au travers du tissu.
Sa teub se met à durcir. Elle est vraiment énorme, et très épaisse. Je ne peux plus résister et j’ouvre son caleçon. Putain ! Quel magnifique morceau ! Il fait bien 24 cm. Soudain, il pousse un grognement ! Je referme son caleçon et je n’ose plus bouger. Je suis prêt à sauter sur mon lit. Mais non. Il dort toujours. J’attends quelques minutes puis j’ouvre son caleçon de nouveau. Je le fais discrètement descendre en-dessous de ses couilles. Sa bite est tendue le long de son ventre, tel un épieu, massif, long. J’ai trop envie de la sucer... mais je me reprends. Cependant, ma main fait un mouvement de va-et-vient pas trop appuyé sur sa bite. Elle n’arrive même pas à se refermer dessus... c’est impressionnant ! Je le branle toujours plus rapidement. Je fais bien descendre son prépuce sur gland. Je le regarde. Finn dort toujours profondément. J’accélère plus le rythme et au bout de 2-3 minutes, je sens sa bite se durcir.
Il se met alors à juter ! Le premier jet tombe sur son nombril. Mais le deuxième jaillit sur son torse et touche presque son menton. Les trois suivants tombent sur son ventre. Puis le reste sort de sa bite et tombe dans les poils de pubis. Quelle belle jute ! Je remets son caleçon en place et je me rends dans mon lit. Je me branle et je jute très vite une grosse quantité de sperme dans ma main... ne sachant qu’en faire, je l’avale. Et je m’endors immédiatement.
Quand le réveil sonne le lendemain, je l’entends dire « Scheiße » (merde) et il se précipite dans la salle de bains. Je n’ai rien vu mais je suis sûr que je sais ce qu’il vient de découvrir. Je ricane de plaisir.
Ma classe et moi faisons une excursion à Heidelberg pendant que nos correspondants ont cours. Quand on rentre en fin d’après-midi, Finn m’attend à la sortie du lycée et nous rentrons ensemble. Il est joyeux et il ne semble pas avoir remarquer ce qui s’est passé cette nuit.
J’attends la nuit suivante avec impatience. Finn s’endort vite et moi j’attends bien une heure avant de me glisser hors de mon lit. Lentement, je tire sa couverture vers le sol... et je le retrouve complètement à poil. Je n’avais même pas capté qu’il s’était complétement déshabillé avant de s’endormir.
Il est sur le dos. J’admire sa belle queue qui est plaquée sur ses couilles velues et qui forme un arc de cercle. Sa bite est marron avec un gros gland rosâtre. Mes doigts la frôlent puis passent au travers des poils de son pubis qui sont châtains et frisés. Ma main remonte le long de son corps et le caresse délicatement. Quelle peau douce ! Et que de beaux muscles qui roulent sous cette peau. Puis, mes doigts redescendent vers sa queue et ils commencent à masser son gland. Sa queue se met à enfler.
Ensuite, ma main descend le long de sa cuisse qu’elle caresse. Puis elle remonte pour masser délicatement ses boules et sa queue. Je fais glisser le prépuce et j’admire ce morceau qui est énorme. Je suis comme hypnotisé par sa massue, je ne peux pas la quitter des yeux. Elle semble me supplier. J’approche alors ma langue et je titille son frein. Il fait alors un mouvement. Je reste figé ... mais Finn dort toujours. Je décide alors de le branler. Ma main monte et descend lentement le long de sa tige. Parfois, je m’arrête pour admirer cette énorme teub.
Au bout de 5 minutes, je sens sa bite se raidir entre mes doigts et elle se met à éjaculer du sperme un peu partout. Les trois premiers jets sont puissants et ils atterrissent sur son torse... et sur son menton ! La bite jute toujours et elle éclabousse tel un jet d’eau son ventre et ses abdos. Je finis de le branler puis je repose délicatement sa bite sur son ventre. Je vais me coucher et je m’endors après m’être branlé. Même réaction quand il se réveille que la veille. Il se précipite sous la douche.
Moi, je suis mort de fatigue. Mine de rien, c’est crevant de parler une langue étrangère non-stop après de longues journées dans les pattes ... et de courtes nuits... Car je n’ai pas beaucoup dormi afin de réaliser ces branles... C’est pour ça que quand je me couche le soir, je m’endors comme une pierre malgré l’envie de branler Finn.
Cependant, quelque chose me sort de mon sommeil. Je comprends vite ce qui m’a réveillé. Un truc est collé contre moi. Je pense au chien de la famille quand une voix murmure à l’oreille :
- Suce-moi.
Je sens une bosse au niveau de mes reins. Je bouge un peu mes fesses et je me rends compte que Finn bande à fond. Je comprends alors très vite que les deux fois où je l’ai branlé, il ne dormait pas...
Ma main passe dans mon dos et tâte son morceau. Son caleçon semble sur le point d’exploser. Je tourne alors la tête et ... Finn me roule une grosse pelle. Je ne me sens plus. Je me retourne et je réponds à ses baisers torrides... puis, tel un chiot, je me précipite sur ses tétons que je suce. Ensuite, ma langue descend le long de son corps, vers son nombril... puis vers sa teub que je prends à travers le caleçon et que je branle avec ma bouche. Ma teub bande à fond ! Ma langue descend le long de ses cuisses puis elle entre dans son caleçon. Je me mets à lui lécher les couilles. Je fais finalement glisser son sous-vêtement sur ses jambes et je me mets à gober ses boules poilues. Et je passe à sa bite énorme. Je plonge sur sa queue et je la suce avidement. J’ai du mal à la faire entrer entièrement dans ma bouche. Quand je la ressors, je remarque que je n’ai même pas pris la moitié. Je sors sa queue, je la lèche, je titille son gland du bout de ma langue et j*essaie d’en prendre plus. Il me plaque alors ma main sur la partie basse de sa bite et il accompagne ma suce en me caressant la tête et en appuyant un peu dessus. Je le suce ainsi pendant 10 minutes... et je sais qu’il va juter quand je sens sa bite durcir... et qu’il me plaque sa bite dans la bouche en me bloquant de ses mains. Sa queue se met à éjaculer en saccades et le sperme va directement se loger au fond de ma gorge. Je n’ai pas d’autre choix que d’avaler. Il me prend alors dans ses bras, sa bite demi-molle contre mon cul et il saisit ma teub qu’il branle jusqu’à ce que je jute dans la couette. On s’endort ainsi.
Le lendemain, le réveil sonne... et je vois qu’il m’enlace, couché sur le dos, et que j’ai sa tête sur son torse. Je m’excuse quand je me rends compte de la situation ... Je remarque alors qu’on est toujours à poil... et qu’il a une érection matinale ! Il me caresse alors la tête en souriant et en regardant sa bite. Je comprends que je dois m’en occuper... ce que je fais avec plaisir. Je prends d’abord sa bite en main et je la branle. Il me roule alors une grosse pelle et moi, je vais m’occuper de sa bite. Je la prends en bouche et je la suce tandis qu’il me caresse tendrement les cheveux. Je veux aller lui bouffer les couilles mais il me retient en disant :
- On a pas le temps !
Je m’affaire alors à le sucer rapidement et il éjacule au bout de 5 minutes. Ce sont 11 jets puissants et épais qui atterrissent dans ma gorge et que j’accueille goulument. Je n’ai pas besoin de les avaler, ils giclent directement dans mon œsophage.
Il se précipite alors dans la salle de bains pour se préparer. Moi, je me branle et je gicle dans un mouchoir. La journée se passe bien. On est en excursion sans nos correspondants. Je pense toute la journée à Finn. Après le repas et le film du soir, on va dans notre chambre. Je me pose sur le lit et Finn me rejoint immédiatement. Il me regarde droit dans les yeux et il m’embrasse tendrement. Mes mains passent sur son torse qui est déjà nu. J’adore sentir ses muscles rouler sous mes doigts.
Il me déshabille et il se met à me bouffer les tétons. Puis, il descend et il prend ma bite en bouche. Il me suce divinement. J’essaie de résister afin de ne pas jouir trop vite, mais quand ça devient trop dur, je le fais se redresser et je m’occupe de sa bite tendue. J’arrive à la prendre plus en bouche que la veille.
Au bout de quelques minutes, il me fait remonter vers lui et on s’embrasse tendrement. Il me caresse le visage... puis ses mains descendent vers mes fesses.
- J’ai envie de toi...
- Moi aussi.
- J’ai envie de ton cul...
Je me retourne alors et il me serre contre lui. Je sens sa bite entre ma raie qui monte et descend doucement.
- Tu as un si beau cul...
Et il joue avec son gland contre mon trou.
- Fais attention. Je suis puceau.
- « Puceau » ?
- C’est ma première fois.
- T’inquiète pas...
Il me retourne et il prend ma tête dans ses mains. Il m’embrasse tendrement puis il se relève et il me dit :
- Tu es si beau !
- Toi aussi !
Il me fait alors mettre en levrette et il place sa langue devant mon trou : il se met à le lécher. Je sens ses coups de langues qui pénètrent mon trou bien serré. Je gémis, il fait ça super bien. Il masse mes fesses et sa langue tournoie dans mon intimité. Je n’ai jamais ressenti ça. J’essaie de ne pas trop gémir pour ne pas alerter ses parents, mais c’est dur. Puis, il prend du gel et il introduit un doigt dans mon anus... puis 2. Il prend son temps. Il me travaille bien. Et au bout de quelques minutes, il met un troisième doigt. Puis un quatrième. Je sens mon trou bien ouvert.
Finn se relève et il présente son gland devant mon trou. Alors que je remarque qu’il veut me baiser sans capote, je sens son gland entrer en moi sans problème. Il s’y reprend à plusieurs fois, il y va lentement. Sa descente semble interminable. Sa grosse bite m’écarte les chairs. Je me sens éperonner. Mais je supporte et je n’ai pas de douleur. Finn m’a bien préparé. Il arrive finalement au fond de moi. Je vois son pubis collé contre mes fesses.
- Ça va ?
- Oui. Trop bon.
Finn se met alors à donner de petits coups de reins. Il me fait l’amour de façon lente et régulière. Il me masse les fesses puis il se penche sur moi et il m’embrasse. Dans le miroir à côté de nous, j’admire son corps musclé faire des va-et-vient derrière mes fesses. C’est incroyable d’y voir aussi son énorme massue entrer et sortir de mon petit cul.
Ensuite, il m’attire vers lui et il me fait mettre sur le côté. Il me fait lever la jambe et il introduit sa queue en moi puis il reprend ses coups de reins réguliers et doux. J’ai une super vue de nos deux corps dans le miroir. Mon cul poilu happe sa bite énorme qui élargit mon anus au maximum. Ses cuisses puissantes vacillent sous ses coups, ses grosses boules tapent contre mon cul et sa bite entre et sort de mon trou.
Il me fait mettre sur le dos. Il enfonce sa queue en moi qui glisse toute seule maintenant. Je suis bien ouvert. Il y va doucement. Il se penche sur moi et il m’embrasse tout en me roulant des pelles. Puis, il se met à accélérer le rythme et il me défonce bien. Je sens sa bite m’ouvrir en grand... et je kiffe ça. Ses couilles tapent contre mon cul et y rebondissent. Il va de plus en plus vite et il finit par me dire :
- Ich komme ! (Je vais jouir !)
- Oui ! Vas-y !
- Où ?
- En moi !
Il accélère la cadence et il coince sa bite au fond de moi. Je sens alors ses jets de sperme fuser hors de sa queue et mitrailler le fond de mes entrailles. Quelle sensation incroyable ! Je compte 15 jets qui me remplissent. Je sens ce liquide prendre place tout autour de la bite de Finn
Je me branle comme un malade, sentant son sperme couler par vagues hors de mon cul béant, et je jouis comme jamais. Quatre jets super puissants jaillissent de ma teub et vont s’écraser sur le lit, derrière ma tête.
- C’était trop bon !
- Oui ? Tu as aimé ? Tu n’es plus puceau.
Je ne dis rien, je le sens tout simplement contre moi. Puis, je vais aux toilettes et je libère les vannes : une énorme quantité de sperme coule de mon cul et tombe dans les WC. Je suis impressionné... je retourne dans mon lit où Finn m’attend. On s’endort dans les bras l’un de l’autre.
Le lendemain, je suis réveillé par les rayons du soleil qui entrent par la fenêtre. C’est le week-end que chaque lycéen français doit passer dans sa famille d’accueil. Ses parents nous emmènent faire une excursion à Cologne où nous voyons de très belles choses. Finn et moi sommes très complices, on se frôle la main ou le cul quand personne ne nous regarde. Parfois même, il me donne un baiser sur la bouche quand on peut se cacher quelque part. On passe la nuit dans la même chambre d’hôtel que ses parents donc nous ne tentons rien. On rentre le dimanche après-midi et on s’enferme directement dans sa chambre pour « jouer aux jeux vidéo » ... mais en fait, on se fait de gros câlins et on s’embrasse tendrement. La nuit venue, on se couche dans mon lit et on se met tout nu. Finn me prend dans ses bras et il m’enlace. Je sens peu à peu sa bite augmenter de volume et monter le long de ma raie.
Quand il me mordille l’oreille, je sens la passion naitre en lui. Il se met alors sur le dos et il me tire vers lui. Je me retrouve assis sur ses genoux et il m’embrasse passionnément en me pelotant les fesses. Moi, je pose mes mains autour de sa tête et je la caresse. On se roule des pelles ainsi pendant de longues minutes. Puis, je descends vers sa queue que je suce avec plaisir. Je suis content car je fais des progrès. Je prends ses 24 cm toujours plus loin dans mon gosier. D’un coup, il me fait me retourner et on fait un 69. Il fait de bonnes gorges profondes à ma queue... ce qui me fait gémir. Puis, sa langue descend le long de mon périnée et il me bouffe le trou. Il me faut bien me concentrer pour ne pas crier de plaisir. Moi, je me délecte de sa grosse bite que je me mets à vénérer. Elle est si belle...
Ensuite, il passe derrière moi et il m’embrasse tout en guidant sa queue dans mon trou bien lubrifié. Il y va doucement et il s’enfonce en moi. Puis, il se met à donner de petits coups de bassin tandis qu’il m’embrasse. Il ressort de moi et il me demande :
- Tu veux me baiser aussi ?
- Oui !
Je passe alors derrière lui, il se met à quatre pattes sur le lit et je m’approche de son trou. Il est poilu et il a l’air serré. Ma langue entre dans sa forêt de poils et elle se met à laper sa rosette. Puis, elle entre dans son intimité. Je fais rentrer et sortir ma langue, je bouffe son cul. Je lui donne bien du plaisir. Ensuite, je me relève et j’enfonce ma queue dans son trou. Elle entre toute seule. J’admire mes 17 cm disparaitre dans son anus poilu. Je commence à le baiser doucement et je le serre contre moi pendant ce temps. Au bout de 5 minutes, il me dit :
- Fick mich hart ! (Baise-moi à fond)
Je commence alors à accélérer le mouvement et il halète de plaisir. Je le fais ensuite mettre sur le côté, j’enfonce ma bite en lui. Ses jambes sont serrées les unes contre les autres et il est bien serré comme ça. Je pose une jambe sur la sienne et je le serre contre moi pendant que je le baise. Au bout de 10 minutes, je sens le jus monter en moi... et je jute sans un cri dans son anus. Il gémit de bonheur quand il sent mon jus gicler en lui et bien lui tapisser ses entrailles. Je ressors de son cul et le sperme s’écoule lentement.
Il me fait alors basculer sur le dos, et il plonge sa queue dans mon anus. Il se met à me baiser à fond. Ma queue reste dure malgré la jouissance. J’apprécie ses coups de reins très profonds et très puissants qui me font prendre mon pied. Il lui faut entre 5 et 10 minutes pour lâcher son sperme dans mes entrailles. Il accélère encore plus le mouvement et une dizaine de jets me frappe le fond de mon cul. Il ressort et je sens sa semence couler le long de ma raie. Il se pose à côté de moi en m’embrassant.
On s’endort dans les bras l’un de l’autre. Le réveil sonne. Il fait encore nuit. Je me demande pourquoi il est si tôt. Je me retourne et je vois Finn, aussi réveillé. Il a les larmes aux yeux.
- Du wirst mir fehlen.
- Tu vas me manquer aussi, mon petit Finn.
- Moi ? Petit ?
On se met à rire... puis il m’embrasse tendrement et il me serre contre lui.
- Ich habe starke Gefühle für dich...
- Moi aussi, j’ai de forts sentiments pour toi.
Et on se met tous les deux à pleurer. Pendant une demi-heure, on s’embrasse, on se console. L’heure de se lever et de partir à la gare est arrivée. Ses parents et Finn m’amènent sur le quai où nous rejoignons mon groupe. Il essaie de lutter contre ses larmes et il me serre dans ses bras en me murmurant à l’oreille :
- Je t’aime, Nico.
- Moi aussi...
On se sépare et on rigole. Puis, je monte dans le train. Je me retourne et je lui dis :
- On se voit bientôt !
- Oui ! On vient dans quelques semaines vous voir.
Les portes du train se ferment et je regarde Finn s’éloigner du quai.
Quel magnifique échange scolaire !
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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