Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent (« Dépucelage de mon cousin » est à la troisième place du classement du 01.04. ! Merci !) et ça donne envie de continuer à vous raconter mes petites aventures.
Depuis mon adolescence, j’adore mater les queues ! Au lycée, plus tard à la fac, dans les toilettes publiques... j’ai toujours adoré jeter des coups d’œil sur les bites de mes voisins de pissotière. On voit de tout... des grosses, des petites, des velues, des rasées, ... La plus grosse m’a été donnée de voir dans un Ikea à côté de chez moi. Elle était vraiment impressionnante. Et bien sûr, je me suis déjà fait surprendre ... mais je n’ai récolté que des regards irrités... sauf il y a quelques jours ... il m’est arrivé un truc assez improbable.
J’arrive dans un centre commercial de ma ville et j’ai une grosse envie. Pas seulement de pisser... j’espère trouver quelque chose pour me rincer l'œil. Ensuite, je ferai comme d’habitude, j’irai m’enfermer dans une cabine des WC et je me branlerai. Je pousse la porte des toilettes, sur la droite des lavabos et sur la gauche, 3 urinoirs, dont 2 occupés. Je me faufile entre les deux mecs en train de pisser et je commence à sortir ma teub, tout en jetant des regards sur les côtés. Le premier mec est un gros, la cinquantaine avec une très petite bite qu’on distingue à peine. Dommage. Je ne me branlerai pas en pensant à lui. Pourtant la pilosité de ses parties intimes me plait. Je jette un coup d’œil sur l’autre mec : c’est un jeune qui porte une casquette et un t-shirt. Il est très charmant, avec sa barbe de 3 jours. Il a l’air mince et de son jean sort sa bite et une boule bien poilue. Sa teub est moyenne, avec un gland bien rose et il la tient entre 2 doigts. Un gros jet de pisse en sort. Le gros mec a fini, il se secoue la nouille et part. Moi, j’ai sorti ma bite et je pisse déjà. L’autre ne semble pas s’arrêter d’uriner ! Quelle pression. Sa queue a l’air bien sympa, elle me donne envie.
Une fois finie, il part tandis que je continue de pisser. Un autre mec arrive, se met à côté de moi ... il n’a pas le choix vu que j’occupe la pissotière du milieu... et bien sûr, je suis à l’affût. Il défait sa braguette et fait son sortir son membre... et quel membre ! La bite est brune, presque noire avec un gland à peine plus clair. Et elle est longue, très longue. Aussi longue que la mienne quand j’ai une érection (j’ai 17 cm entre les jambes). Il la prend entre ses grandes mains ... et le bout de sa queue en dépasse toujours. Un énorme jet de pisse clair en sort et vient s’écraser sur la faïence. Mon regard est ensuite attiré par ses couilles : elles sont énormes, tout aussi bronzées que la bite et bien rasées. Ma vessie est vidée, je prends mon temps pour continuer de mater, je fais couler les dernières gouttes. Et chose assez rare dans ces endroits-là, ma queue se met à grossir. Le mec finit de se vider la vessie et moi, je continuer de mater. Une fois fini, il étire sa grosse queue, la secoue, plusieurs fois. Puis, il la glisse dans son caleçon et referme sa braguette. Quel morceau ! Quel spectacle ! Je réfléchis à aller me branler dans une cabine quand tout dérape...
Un truc bizarre me sort de mes pensées : je remarque du coin de l’œil qu’on m’épie. Je tourne la tête. Le mec est encore là, tourné vers moi et regarde ma bite d’un air sévère. Il me sort :
- C’est moi qui te fait cet effet-là ?
- Hm quoi ?
- Tu me matais la bite, non ? C’est moi qui te fais bander ?
- Euh non...
- Mens pas...
- ...
- T’es pd ?
- Désolé, je ne veux pas d’histoire. J’étais seulement surpris par la taille de ton pénis...
- Et il te fait de l’effet alors ?
A ma grande surprise, il sort de nouveau son braquemart et me le montre :
- Tu aimes les grosses bites de rebeu ?
Je me mets alors à l’observer. En effet, c’est un rebeu, je n’avais en fait remarqué que sa teub. Il est grand (1,95m), il semble avoir 30 ans. Il est vraiment très mignon. Il a les cheveux très courts, presque rasés. Il a une petite moustache et un mini-bouc. Il a le teint basané et de son t-shirt sortent des bras musclés. Il me sourit maintenant, d’un sourire à faire tomber, à faire fondre n’importe qui.
- Tu veux la toucher ? Tu peux si tu veux.
Je ne sais que faire... mais son sourire arrive à me convaincre. Je prends alors sa bite en main. Je soupèse son gros morceau, flasque mais bien long, une tige régulière et circoncise. Elle est très lourde. Je prends ensuite ses énormes couilles dans ma main gauche. Elles sont toutes douces et toutes lisses, grosses et pendantes. Le rebeu semble apprécier, il continue de sourire. Il se laisse faire. Je prends son gros paquet (bite et couilles) dans une main et le contemple : il ne loge pas dans une seule main ! sa bite est vraiment sombre en comparaison à son corps. Je vois que mon inspection ne le laisse pas indifférent. Sa bite commence à s’allonger et à durcir. J’empoigne cette queue et je me mets à la branler avec ma main droite et de la gauche je masse ses couilles.
Sa queue gonfle de plus en plus et le morceau que je tiens entre mes mains devient de plus en plus énorme. Il atteint bien 25 cm. Je suis comme hypnotisé. Je n’ai qu’une envie, c’est de la prendre en bouche. Mais je continue de le branler. Soudain, une main se glisse dans mon jean et me tâte le cul : il a l’air d’avoir envie d’autre chose que d’être branlé. Il referme alors tant bien que mal son jean, laissant bien apparent son morceau, et m’entraine vers les cabines. Il verrouille la porte et fait glisser son pantalon sur ses chevilles, me laissant découvrir des jambes lisses et musclées. Je me mets à les caresser, il gémit, mes caresses à l’intérieur de ses cuisses le font bander davantage. Il ôte son t-shirt et je peux l’admirer dans toute sa splendeur : il a une bonne stature, il est bien fait. On voit qu’il fait de la muscu, ses bras sont gonflés et il a d’énormes pectoraux et un ventre plat. Il a un cul rebondi et un dos bien large. Ses cuisses sont impressionnantes, splendidement puissantes et galbées ! Il est tout à fait imberbe, le sexe et le pubis bien rasés et lisses... Sa queue sombre est toute tendue, bien régulière, belle, bien veinée et un peu incurvée vers le bas. Son gland, lui aussi très sombre, pointe, luisant et bien gonflé. Je tiens serré sa tige dans une main et je cède à mon envie... je la gobe.... Enfin ce que je peux... elle est tellement énorme. J’en rentre la moitié dans la bouche. Je lui branle alors la base de sa teub dont la peau est tendue à l’extrême, tellement tendue que ses couilles se font tirer vers le haut à chaque fois que j’actionne ce manche. Il penche la tête en arrière et pousse de petits gémissements à peine audibles.
Très vite, il accompagne mes mouvements de tête par des caresses et des pressions pour me la faire avaler encore plus profondément. Puis, il me retourne et crache sur mon trou et joue avec de son doigt. C’est un doigt, puis 2 puis 3 qui me ramonent. Une fois bien préparé, il place son gland devant mon trou et s’y enfonce petit à petit. J’ai l’impression qu’une poutre essaie de se faufiler en moi. Pris par la douleur, je me retire et je lui fais signe de s’assoir sur la cuvette. Je sens que je mouille et son gland entre facilement dans mon trou. Je m'accroche aux cuisses énormes du mec pour ne pas tomber. Millimètre par millimètre, je m’enfonce sur sa tige. Après plusieurs minutes, je sens ses boules contre mon scrotum et je me laisse « tomber ». Le rebeu me possède maintenant de toute la longueur de sa belle bite. Un étalon est en train de me pénétrer ! Il saisit mes hanches, me monte et me descend pendant une bonne minute. Je prends ensuite le relai : j’impose le rythme et la cadence.
Il me relève et pendant que je prends appui contre les parois de la cabine, sa bite incurvée rentre sans trop de résistance et alors, il m’embroche au plus profond. Mon cul mouille de plus en plus. Des clapotis se font entendre à chaque fois qu’il ressort. Ça me rend fou. Il me plaque au bout de quelques minutes contre le mur et il se défoule dans mon trou. Ses couilles claquent contre mes fesses. Ses gémissements s'intensifient et plus il gémit, plus il me pilonne fort.
Après bien 20 minutes, il m’agrippe les hanches et dans un ultime mouvement, me plaque la queue bien au fond pour jouir en moi. Je sens une bonne dose de sperme qui me crème abondamment le trou. Il me prend dans ses bras, m’embrasse et me dit :
- Donne-moi ton numéro. Je suis attendu là mais j’aimerais bien te revoir. Peu de mec ni de nana peuvent supporter ma bite comme tu viens de le faire.
Je lui dicte mon numéro et il se casse. Je reste en position, reprenant mon souffle tant en sentant du jus me couler le long des cuisses. Tout d’un coup, je sens une bite s’enfoncer en moi.
- Déjà de retour... ?
- Ta gueule et regarde !
Je vois sur un écran de portable le beau rebeu en train de me baiser et on voit bien mon visage... Je blêmis...
- Je te baise et seulement après j’effacerai la vidéo. Sinon, elle sera sur Xtube ce soir.
Je ne dis rien et le mec prend ça pour un consentement. Il me défonce le trou, sa queue glissant en moi tellement je suis bien lubrifié par le sperme du rebeu. Mais je crois que la queue n’est pas très dure. Il doit débander. Il sort et se place devant moi :
- Suce-moi !
Je prends sa bite, dégoulinante de sperme, en bouche et je le suce. Je peux voir qui me fait du chantage. Un rebeu aussi, la quarantaine, de taille moyenne, tout nu, avec une barbe bien fournie, mince et très poilu. Des poils partout : sur tout le corps, les couilles, les jambes, les bras. Ils débutent dans son cou et se déversent sur son torse. Il a aussi de beaux poils noirs abondants sous les aisselles. Ils descendent sur tout le ventre mais plus on descend vers sa teub, plus ils redeviennent abondants. Les poils de son pubis recouvrent tout son bas-ventre, ils sont bruns et super épais. Ses couilles sont aussi recouvertes d’un beau duvet. Elles sont presque noires, contrairement à la queue qui est basanée avec un joli gland rose. J’aurais pu tomber plus mal, me dis-je.
Sa bite se durcit grâce à mes mouvements de langue. Elle grossit de plus en plus pour prendre toute la place dans ma bouche. Il la sort et je vois bien 22 cm. Il me la renfonce d’un coup dans ma bouche qu’il la remplit entièrement, ses couilles tapent contre mon menton. Puis il me retourne et son gland force le passage... puis il enfonce sans hésitation sa queue en moi. Le mec pousse toute sa queue dans mon cul d’un coup sans s’arrêter. Si vite que je suis surpris de sentir si rapidement ses couilles claquer contre les miennes. Je n’ai plus de souffle. La pression de sa teub dans mon trou a fait sortir du jus qui coule en masse le long de mes couilles. Au bout de 3 minutes, le mec gémit et dit :
- Je vais te féconder, ma chérie.
Son sexe enfle, se durcit. Il le positionne au fond de mes entrailles, sa teub se raidit et je sens des jets de sperme puissants me remplir et se mêler à celui de l’autre rebeu. Quand il sort sa bite de mon cul, cela fait un bruit de ventouse.
- Pousse le jus hors de ton cul.
J’obéis et un flot de sperme jaillit de mon trou comme une fontaine pour s’écraser lourdement sur le sol. Il me montre alors son portable et il efface la vidéo.
- Comme promis. Je suis pas un bâtard ! Par contre, j’ai noté ton numéro et je t’écrirai. Té un trop bon coup, ma chérie.
Il sort et je me retrouve le cul à l’air dégoulinant de sperme. Je me branle et je jute en quelques secondes. Complétement sonné, je remets mon pantalon et sort des toilettes, le sperme venant lentement dans mes chaussettes et imprimant des marques humides sur mon pantalon. Mais je m’en fous. Je rentre chez moi sans finir mes emplettes, totalement démonté mais satisfait.
J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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