Salut à tous,
Moi, c’est Nico. J’ai 25 ans et je suis étudiant en physique appliquée à Lyon. Dans mon temps libre, je fais partie d’un club de lutteurs de la fac. J’en fais depuis 4 ans et je dois avouer que je ne suis pas mauvais.
Aujourd’hui, je suis à l’entrainement et Jean, notre entraineur, nous montre des prises et juge nos techniques de combat. Il me fait passer avec Yannick et il montre aux autres la nouvelle technique du jour : le sprawl. Il s’agit de se jeter sur l’adversaire avec un pied qui doit se retrouver entre ses jambes et l’autre pied à l’extérieur, d’attraper la jambe de l’adversaire et de le soulever dans le but de le faire tomber.
Jean forme les équipes pour qu’on s’entraine... et je me retrouve avec Éric. Alors ... comment dire... je suis certes gay mais je n’ai pas de problème quand je fais des combats de lutte contre des mecs. Je sens et je touche leur corps... mais je ne ressens rien de particulier. C’est comme quand on fait du rugby ou on danse. Le contact physique fait partie du sport, point. Mais par contre, avec Éric, c’est différent. Il a un corps de malade... et un paquet impressionnant. Et comme d’habitude, quand l’entraineur appelle nos deux noms, je le vois arrivé vers moi... et c’est comme la scène se déroulait au ralentit.
Éric a des cheveux châtains, mi-longs. Il a 30 ans, il est assez grand (1,80 m) et il a une barbe de 3 jours. Il porte une combinaison rouge qui laisse apparaitre des bras musclés secs. Ses biceps sont particulièrement impressionnants. Ses pecs sont bien formés, un peu bombés. Son corps est mince, mais sa combinaison moule un ventre plat et musclé. Ses jambes sont aussi musclées. Et surtout... sa combinaison moule un beau matos ! Il semble avoir de grosses couilles et sa queue forme un arc-de-cercle par-dessus, ce qui lui fait un paquet bien volumineux qui bouge de haut en bas sous ses pas...
Il se place devant moi et il me fait un signe de tête. On se met alors en position et je vois son paquet qui pend entre ses jambes. Sa combinaison moule son putain de corps musclé. Il faut que je me concentre pour ne pas bander.
Éric et moi nous faisons face. Nous attendons le signal de l’entraineur. Je regarde Éric droit dans les yeux pour ne pas être tenté de regarder son entre-jambe. Lui soutient mon regard, pensant que c’est un combat de regard, comme dans le métro. Le sifflet retentit, mes mains attrapent les bras d’Éric qui lui me saisit les épaules. Je vacille un peu mais je garde mon équilibre. Mon pied droit se retrouve entre ses jambes et j’arrive à attraper sa jambe. Mes mains passent contre son corps. J’arrive à le déséquilibrer et il tombe sur le dos.
Éric semble furieux. Il se relève et on se remet en place. Mon regard se fixe sur son matos... Selon les mouvements, sa queue se retrouve à gauche ou à droite et le gland pointe un peu vers l’avant, ce qui rend le paquet encore plus gros. Et son gland semble bien volumineux. L’entraineur me sort de ma contemplation quand il me félicite et qu’il siffle de nouveau. On reprend. Éric tente de me faire tomber mais il ne réussit pas. Il manque de perdre l’équilibre, je mets en pratique la technique du prof et Éric se retrouve par terre.
Je le maintiens à terre. Puis, on se retrouve face à face. On se rue l’un sur l’autre, on s’empare des épaules de l’adversaire. Je passe ma jambe entre les siennes, je pousse et j’arrive une nouvelle fois à le déséquilibrer. Je veux alors l’immobiliser par terre mais il est plus rapide et il arrive à se mettre sur le côté. On se relevé et on lutte. C’est lui cette fois qui arrive à appliquer la nouvelle technique et à prendre le dessus. Il se retrouve couché sur moi et je me sens bien son corps d’acier me maintenir par terre. J’essaie de penser à autre chose qu’à son corps musclé et son gros paquet… que je sens contre ma cuisse !
J’arrive à me mettre à quatre pattes mais il se faufile derrière moi et ses bras passent sous les miens puis derrière mon cou. Il me bloque ainsi. L’entraineur siffle et Éric alors me jette par terre. Jean engueule alors Éric :
- C’est pas comme ca qu’on traite ses coéquipiers !
On recommence et Éric se montre agressif, surtout quand il voit qu’il ne maitrise pas la nouvelle technique. Il me reprend par le cou et Jean siffle en prenant Éric par le bras et en le jetant par terre :
- Non ! Calme-toi, Éric ! Sinon je te fais sortir !
Je vais alors moins vite et Éric finit par arriver à me faire tomber par terre. Il me maintient ma jambe droite dans les siennes et ma jambe gauche dans ses bras. Je me retrouve bloqué, le cul en l’air ! Il me donne alors une tape sur le cul et il me relâche en rigolant. Jean s’écrie :
- Éric !
- C’était pour s’amuser, monsieur !
- Arrête tes conneries ! Relevez-vous !
On obéit. On se retrouve face à face. Notre entraineur nous demande de combattre. Fini la nouvelle technique, on s’entraîne pour la prochaine compétition. Thierry est notre arbitre. On commence le combat. On se jauge, on bouge de droite à gauche et Éric est le premier à attaquer. Il est si rapide que je me retrouve par terre. Mais en essayant de rester debout, ma main se retrouve plaquée par inadvertance contre ses pectoraux. Je me sens immédiatement électrisé. Ses abdos sont durs comme du béton. Éric gagne le point. Je me redresse et j’attaque. J’utilise la technique du sprawl, puis je me retrouve sur son ventre. Je passe mes jambes autour de son corps et je le bloque avec mes bras. Je le regarde droit dans les yeux. Une envie furieuse de l’embrasser me prend. Mais je me retiens au dernier moment, surtout grâce à Thierry qui me déclare vainqueur de cette manche. Je veux le relâcher mais je remarque soudain que ma queue est contre la sienne. Je me dégage vite pour ne pas avoir d’idées trop cochonnes. Il me saisit alors par le cou et il roule sur moi. Il me bloque de ses mains et de son poids. Je sens sa respiration dans mon cou. Je veux me dégager vite car il me fait de l’effet ! Mais je n’y arrive pas. Thierry siffle la fin de cette manche et je me redresse. Je regarde mon entre-jambe : elle est un peu plus volumineuse... mais ça va, je ne bande pas ... pas encore.
On se remet en place et on reprend. Mon regard est alors attiré par son entre-jambe : sa bite est plaquée contre son aine : Putain, elle est coincée pratiquement sur la moitié de son aine. D’un geste rapide, il remet sa queue en place mais j’ai le temps de bien observé son matos. Putain ! Quel morceau ! Il a vraiment une grosse bite, même au repos ! Et j’ai même eu le temps de voir la forme de ses couilles car la queue tirait sur le tissu qui les moulait bien.
Je me précipite sur lui et je me retrouve avec la tête coincée sous son aisselle. Il passe ses bras dans mon dos et il me bloque. J’essaie de bouger mais il accompagne mes mouvements. Puis, il fait un mouvement de hanche et cette fois, c’est moi qui atterris sur le sol avec lui me plaquant contre son corps. J’essaie tout de même de résister. Et je me rends vite compte que je donne de violents coups de reins qui font nous frotter notre paquet l’un à l’autre. Putain ! Je sens ma queue gonfler. J’essaie de me dégager mais Éric m’en empêche. Il me maintient à terre de tout son poids. Un de mes fantasmes traverse mon esprit : je l’imagine nu, couché sur moi, prêt à me défoncer avec sa grosse matraque. J’essaie de chasser cette pensée de mon esprit... mais trop tard. Ma bite prend du volume. Ayant peur que ça se voie, je donne un coup de reins puissants ce qui le surprend et je me retrouve sur lui. Je le bloque sur son torse... et je me rends compte qu’il a mon paquet à quelques centimètres de sa bouche. Il fait alors un tel mouvement en voyant ça que je perds un peu mon équilibre... et mon paquet se retrouve contre sa bouche ! Plus il essaie de bouger, plus il se retrouve à lécher mon matos. Il tente de me faire tomber mais mes jambes l’empêchent de bouger. Finalement, je me laisse tomber sur le côté et je le regarde. Je vois alors ses yeux comme jeter des éclairs.
Je me redresse et je veux m’excuser mais il ne m’en laisse pas le temps : il se jette sur moi et il me plaque. Il fait un tour avec ses hanches et ma tête se retrouve entre ses jambes... D’un mouvement habile, il me rend la monnaie de ma pièce... et son matos, enfermé dans son habit de combat, se frotte contre mes lèvres. Il me tient fermement la jambe et je n’arrive pas à me dégager. Il frotte bien son paquet contre ma bouche... Ses mains chaudes qui maintiennent ma jambe poilue ainsi que le contact avec son entre-jambe ont raison de moi ... je me mets à bander dur. Il fait des va-et-vient et il retire son paquet : je vois sa queue enfermée dans le tissu sur son côté gauche. Elle glisse dans sa combinaison pour se remettre en place entre ses boules. Putain ! Trop bon !
Finalement, il se relève et il dit :
- Désolé !
Mais son rictus trahit sa pensée : il est bien content de s’être vengé ! Éric lève les bras comme s’il venait de gagner une compétition... et moi, j’ai une belle vue sur ses aisselles poilues ... c’est magnifique ! Elles me font trop envie. Soudain, il remarque que je bande. Son sourire disparaît. Il me regarde d’un regard carnassier. Ma queue est tendue dans ma combinaison. Elle est bien visible, bien dure. Il se détourne, il semble troublé. Je me précipite sur le banc qui se trouve sur le côté, je saisis ma serviette, je fais mine de me passer un coup sur le visage. Je m’assois, ma serviette sur mes jambes. J’essaie de me calmer. Mon entraineur vient vers moi :
- Tout va bien ?
- Oui, j’ai besoin de 2 minutes.
- Ok. Fais vite.
J’essaie de rassembler mes pensées et quand je vois que mon érection est retombée, je me dirige vers Éric. Quand je lui dis que je suis prêt, je me lève et je regarde mon entre-jambe. Ma combinaison moule bien mes boules qui sont pleines... et ma queue est un peu dessinée. Plus que d’habitude. On remarque que j’ai bandé. Je vais vers Éric... et en effet, je vois ma queue plaquée contre mon aine et mon gland se dessine assez bien.
Je me mets en place. Éric se retourne et on se prépare à combattre. Il ne dit pas un mot. Mais mon regard tombe sur son paquet... qui a l’air plus volumineux que d’ordinaire... Je me dis alors que le frottage ne l’a pas laissé indifférent ! En effet, sa bite a dû gonfler car elle forme, comme tout à l’heure, un arc de cercle au-dessus de ses boules mais le gland part plus avant, tirant un peu sur sa combi pour la distendre, ce qui est assez visible car toute sa combinaison se retrouve tirée par son matos. On en distingue la forme, la longueur, la grosseur du gland. On devine aussi ses couilles.
Sans me laisser le temps de réagir, il se précipite sur moi. Je le vois courir... et mon cerveau fait passer la scène au ralentit, comme dans un film à l’eau de rose quand une femme voit arriver le prince de ses rêves. Sauf que là, mon regard est fixé sur son entre-jambes. Je vois sa bite se balancer d’avant en arrière dans sa combinaison qui semble être devenue trop serrée pour lui. J’admire ses grosses couilles que le tissu comprime. Le tout forme une énorme boule qui se meut.
Il se présente devant moi, cette fois sans bouger, bien droit. il tire alors sur le tissu et il s’avance vers moi.
Je n’ai pas le temps de me ressaisir que je me retrouve sur le dos. Il me ceinture le bassin de ses jambes et ses bras me maintiennent par terre, la tête contre le sol. J’essaie de résister et de me retourner mais rien à faire. Il a gagné. Cependant, il reste sur moi et je sens alors son ventre musclé contre mon dos pendant que ses jambes sont coincées contre mes fesses. Je sens aussi une barre dans mes reins. Est-il en train de bander ? Je fais des mouvements de bassin et en effet, je sens sa queue tendue contre moi.
- Mais tu bandes ?
- Oui. Et toi ? Tu bandes plus ?
- Euh je bandais pas...
- Mens pas. Tu veux savoir ce que je pense ? Moi, je crois que tu as envie de moi, je me trompe ?
- Quoi ... non ...euh...
- C’est pas moi qui t’ai fait bander tout à l’heure.
- Euh non.
- Tu sens mon paquet là.
J’essaie de ne pas me concentrer dessus... mais en effet, je sens son paquet sur mes fesses qui augmente de volume...
- J’ai trop envie de toi !
- C’est vrai ?
- Oui.
Éric me relâche alors et il se redresse. Je me retourne et j’ai une belle vue sur son entre-jambe... qui en effet a bien gonflée. Malheureusement pour moi, l’entraineur souffle la fin de l’entrainement.
On se dirige vers les vestiaires et nous ne soufflons pas un mot. Mais quand il s’est rhabillé, il vient discrètement vers moi et il me dit :
- Si tu veux continuer notre petit combat, retrouve-moi chez moi samedi vers 15h. Ok ?
- Ok.
Le samedi arrivé, je sonne chez lui. Il m’ouvre en tenue de combat. Il m’explique qu’il habite chez ses parents mais qu’ils sont partis en week-end. Il a dégagé le salon et il a mis 2 tatamis sur le sol. Je me mets aussi en tenue et il s’approche de moi. Il me roule alors une grosse pelle. Nos bites se mettent vite en érection. Éric plaque son corps contre moi et il frotte sa bite bandée contre la mienne. Il la frotte de gauche à droite puis de haut en bas. Parfois, il donne des coups de reins comme s’il me baisait. Je trouve la situation de nos bites enfermées dans cette tenue en lycra qui se frottent l’une contre l’autre hyper excitante.
Après quelques minutes, on se déshabille et on se met face à face.
En effet, il est bien foutu ! Il a des tablettes de chocolat de malade, bien dessinées. Son torse ainsi que son ventre sont recouverts de poils fins et clairs. Son pubis est velu. Ses bras et ses jambes sont rasés. Ses couilles sont grosses, pendantes et marron, rasées. Il a une bite veinée et marron de 22 cm, avec un gros gland.
On commence à se combattre, nus.
Éric utilise la nouvelle prise qu’on a apprise. Il est si rapide que je n’ai pas le temps de réagir. Je me retrouve sur le ventre. Il se colle contre moi, je sens ses abdos d’acier qui me plaquent au sol. Éric me maintient fermement. Puis, il roule rapidement sur moi, il me bloque à l’aide de ses deux bras. Ses deux jambes maintiennent les miennes au sol. Et je sens son pieu coincé contre mes fesses. Il fait des mouvements de bassin et sa queue glisse le long de ma raie. Son gland se retrouve soudain contre mon anus. Il y entre doucement et il fait quelques mouvements d’avant en arrière. Puis, il ressort, à mon grand regret. Il m’aide à me relever tout en souriant de plaisir.
Il me tend la main que je serre… et il en profite pour me crocheter une jambe et je tombe sur le dos. Il se précipite sur moi et il me bloque avec ses jambes. J’essaie de me débattre. Il maintient alors ma tête avec son bras. Une odeur de sueur se dégage de ses aisselles. Ma teub se met alors à frétiller. J’adore son odeur de mâle. Je sens soudain que sa bite est plaquée contre la mienne. Il sourit et il se met à la frotter contre ma queue. Quelle sensation exquise ! Le contact avec sa peau au lieu de l’habituel tissu me rend bien chaud.
Il se relève et il m’aide en souriant. Sa queue est bien dure ! On reprend la lutte et je me retrouve de nouveau sur le dos. Lui me bloque... mais cette fois, sa bite est contre mes fesses. Il se met à rire et il frotte sa queue, cette fois sans tissu entre nous, contre ma raie... qu’elle pénètre pour se retrouver contre mon anus.
- Alors, tu veux ma bite dans ton cul ?
- Oui, dis-je sans hésiter.
Souriant, il se relève. Je suis un peu déçu. Il revient sur moi à la vitesse de l’éclair et je me retrouve sur le tatami, sur le dos. Mais avec une parade, mes jambes entourent son bassin et d’un mouvement habile, je me retrouve sur Éric. Je fais glisser mon corps le long du sien et ma queue arrive directement au niveau de sa joue. Le coquin fait un mouvement de tête et ma bite se retrouve devant ses lèvres. Sa queue durcit immédiatement. La pointe de sa langue sort de sa bouche et me titille la hampe... ce qui me fait perdre ma concentration. Il en profite alors pour se dégager et je me retrouve sans le remarquer sur le dos. Il me bloque, mais cette fois, ses deux jambes sont collées au niveau de son pubis. J’essaie de me libérer mais j’arrête tout effort quand je sens sa queue bien dure contre ma joue. Il se retourne alors et il se redresse. Il est assis sur moi et j’ai sa bite contre mes lèvres. J’essaie de résister même si j’en ai envie. Mais il cale ses genoux sur mes bras. Mais rien à faire contre ce mec musclé qui me cloue par terre... et j’ai une belle vue sur sa grosse teub dressée : Ça n’aide pas ! Il saisit ma bite et il dit :
- Tu bandes dur ! Avoue, ça t’excite !
Il ne me laisse pas le temps de répondre qu’il enfonce alors son gros gland dans ma bouche qu’il commence à baiser.
- Oui, bouffe ma queue, c’est ça !
Je sens son precum tapisser ma langue. Quelle sensation exquise ! Il ressort de ma bouche pour me faire lécher ses couilles. Ma langue passe et repasse sur ses boules poilues. Il semble satisfait et il renfonce sa teub dans ma bouche grande ouverte dont il en reprend la baise. Il se penche sur moi pour mieux me limer la bouche. J’ai une belle vue sur ses abdos saillants... quelle merveille ! Il plaque ses mains sur mes bras et il dit :
- Contracte-les !
Je me mets alors à contracter mes biceps... ce qui semble lui plaire particulièrement : je sens sa bite durcir et accélérer les coups dans ma bouche.
Après quelques minutes, il ressort ... et il me roule une pelle sauvage. Sa langue fouille la mienne. Puis, elle descend le long de mon corps... vers ma bite... et il passe un coup de langue dessus. Je gémis fort. D’un geste habile, ma queue se retrouve directement dans sa bouche. Surpris, il se met quand même à la sucer avec envie. Il se place sous mes couilles et il les gobe. Puis, il reprend sa suce. Il me fait une gorge profonde et il me regarde d’un air soumis, ma bite enfoncée complètement dans sa gueule. Je comprends alors. Je pose une main sur sa tête et je commence à le faire aller et venir sur mon morceau. C’est trop bon. Je lui impose un rythme profond et rapide. Il me suce trop bien.
Puis, d’un mouvement habile de jambes, il se retrouve debout et il m’attire vers lui. Je m’agenouille devant lui et je prends sa bite en main. Il saisit ma tête et il me regarde droit dans les yeux, d’un regard de guerrier impitoyable. Il m’ouvre la bouche en grand et il se met à faire coulisser sa bite sur ma langue. Un doigt passe entre mes lèvres et me fait ouvrir la mâchoire au maximum. Puis, il s’arrête et je prends les rênes. Je saisis sa teub et je la suce tout en la branlant à fond. Éric gémit fort. Parfois, il me donne ses couilles à lécher pendant qu’il se masturbe.
Ensuite, on se relève et on commence à s’embrasser de façon sauvage. Je sens alors son odeur de sueur qui envahit mes narines. Sans réfléchir, ma langue passe sous ses aisselles et elle se met à traverser sa forêt de poils et à s’abreuver de ce nectar qui s’en dégage. Il gémit de plaisir et il appuie bien sur ma tête pour que ma langue passe dans tous les recoins de ses aisselles.
Finalement, je me redresse et je me recule un peu. Je me mets à admirer cet athlète. Il est magnifiquement musclé. Il me regarde, amusé. Mes mains passent sur son torse bombé et sur ses abdos bien dessinés. Je remonte vers ses pecs et mes mains font des cercles, le caressant avec envie. Puis, elles se dirigent vers ses épaules gonflées et ses bras musclés. Elles passent de nouveau sur son corps puis sur ses bras. Je suis en pleine vénération de son corps. Il plie ses biceps et il les fait ressortir. Ils sont magnifiques. Je les tâte et je les embrasse... puis ma langue passe le long de son splendide corps... que je dévore.
Ensuite, je m’agenouille devant sa bite que je suce pendant que mes mains passent sur ses abdos. J’arrive à presque prendre son morceau entièrement dans ma bouche. Puis, je me relève et je titille ses tétons qui sont tout durs. Je les mordille, je les étire, je les lèche de la pointe de ma langue. Éric gémit de plaisir.
Puis, c’est à lui de se pencher, de me pousser. Je tombe sur le dos et il plonge sur moi pour me tailler une bonne pipe. J’en profite pour caresser son dos musclé. Sa peau est si douce... je sens rouler ses muscles sous mes doigts... ce qui me fait bander encore plus dur. Puis, sa langue descend vers mes couilles qu’il lèche, et il passe à mon périnée. Il me fait relever les jambes et il écarte mes fesses... où il enfouit sa langue ! Il commence à lécher ma rosette... et moi, je gémis fort. Il introduit sa langue dans mon trou qu’il se met à bouffer comme un malade. Ensuite, il se relève et il m’embrasse pendant que je sens sa queue se frotter contre ma raie. Mes mains continuent de caresser son corps et son dos. N’y tenant plus, je lui souffle à l’oreille :
- Baise-moi !
Je sens alors son gland trouver l’entrée de mon anus... et s’y enfoncer, sans capote. Je tressaille mais le moment est si délicieux que je ne veux pas interrompre tout ça. Je le laisse faire pendant qu’il s’enfonce en moi. Sa grosse queue m’écarte les chairs, sans douleur : il m’a vraiment bien préparé ! Pendant ce temps, ses lèvres déposent de doux baisers sur les miennes ainsi que dans mon cou et sur mon torse.
Il entame une baise lente et régulière, avec de petits mouvements de reins. Sa queue m’écarte les sphincters et je gémis un peu, un mélange de douleurs et de plaisir... car elle est vraiment bien épaisse ! Ses mains caressent mon corps. Puis, il se redresse, il tient mes jambes en l’air et il me défonce plus rapidement. J’admire son magnifique corps musclé qui bouge devant mes yeux. J’adore le bruit de ses cuisses qui frappent mes fesses. Mes mains parcourent ses pectoraux bien gonflés. Quel mâle !
Au bout de quelques minutes, il sort de mes entrailles et il m’attire vers lui. Il nous fait basculer et je me retrouve sur son ventre. Mes lèvres parcourent son corps et passent à sa bite. Quand il lève les jambes, je comprends ce qu’il veut. Ma langue pénètre alors son trou et je lèche son intérieur, je le baise avec ma langue pendant que mes mains caressent ses fesses musclées. De mon point de vue, je vois sa grosse bite bandée qui est posée sur ses abdos saillants. Une traînée de mouille coule lentement vers son torse. Il attrape alors ma tête entre ses jambes et comprenant ce qu’il veut faire, je me retourne et tombe sur le dos tandis qu’il se redresse. Il s’accroupit au-dessus de ma bouche et ma langue se met à brouter son anus. Je fais des va-et-vient avec ma langue qui le font crier de plaisir. Puis, il pivote et il se retrouve avec le trou sur ma queue... sur laquelle il s’enfonce directement. Je vois son visage tressaillir. Il essaie de se faire à ma queue qui est entièrement enfoncée dans ses entrailles. Puis, il commence à monter et descendre dessus. Il me chevauche pendant qu’il se penche sur moi pour m’embrasser d’une façon torride. Nos langues jouent ensemble, se croisent, se chevauchent. Quand il commence à fatiguer, je prends le relais. Je m’empare de ses miches et je me mets à lui défoncer le cul.
Après quelques minutes, il ressort, il m’attire vers lui et il me fait placer sur le dos. Il se pose sur moi, tête-bêche et on fait un 69. C’est extra. Il me fait des gorges profondes tandis que moi, je bouge ma tête de haut en bas pour que sa bite aille et vienne dans ma gorge. Je sens ensuite sa langue descendre le long de mes couilles et rentrer dans mon anus. Il me broute le cul... je m’empare alors de ses fesses et je tends mon cou pour que ma langue lui fasse un bon anulingus. Puis, il se redresse et il me prend en cuillère. Je suis sur le côté, lui derrière moi et il enfonce sa queue dans le cul. Il me fait lentement l’amour tout en m’embrassant dans le cou.
Il m’attire vers lui et il se met à me baiser tel un marteau-piqueur. Ses mains posées sur mes hanches, mon corps tremble sous ses coups de bite. Au bout d’une vingtaine de minutes, Éric se bloque en moi et je ressens 9 jets hyper puissants qui fouettent le fond de mes entrailles et qui me remplissent bien de son sperme chaud. Il sort et il m’écarte les fesses.
- Pousse, dit-il.
Je pousse alors et son jus jaillit de mon anus. Il se penche, il prend le sperme dans sa bouche et il se positionne au-dessus de la mienne que j’ouvre en grand. Il laisse alors glisser le liquide de sa bouche dans la mienne... et j’avale tout.
Éric se pose alors sur le dos et il lève ses jambes. Je m’enfonce en lui et je me mets à le pilonner à fond. Je vois sa queue molle qui bouge en cadence sur ses abdos. Je me penche sur lui et je l’embrasse sauvagement... ce qui redouble mes pilonnages. Je le fais ensuite mettre à quatre pattes et je reprends ma baise. Mes mains agrippent ses hanches et ma queue le pilonne sans retenue. Il gémit fort, ce qui m’encourage à le baiser encore plus fort. Ma bite sort presque entièrement pour aller se planter au fond de son anus, collant mes couilles à son périnée. Mes coups de reins sont toujours plus profonds et violents. Je me déchaine en lui. Je sens son jus couler de mes fesses et tomber par terre en de gros « plouf ».
Au bout de 10 minutes, ma queue se contracte et j’envoie une dizaine de jets dans les entrailles d’Éric. Une fois mon orgasme passé, je continue de l’embrasser. C’est si bon de le sentir contre moi. Ma queue débande et sort du trou de mon amant d’où s’échappent des coulées de sperme.
Éric me prend par la main et on va ensemble sous la douche. Nous dégageons ensuite les tatamis et nous nous posons sur le canapé, enlacés. Puis, il propose de commander à manger. A un moment, il me dit :
- Il faudra que je te présente plus intimement à notre entraineur !
- Jean ?
- Oui. C’est un super coup !
Si vous voulez que j’écrive une suite à cette histoire, faites-le moi savoir.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Autres histoires de l'auteur :