J’étais en couple à l’époque avec ma copine que j’avais connu sur les bancs du lycée. Cela faisait 2 ans qu’on était ensemble. Entre le lycée et nos obligations familiales, on arrivait quand même à passer pas mal de temps ensemble. C’était formidable. Puis, après le bac, à mes 19 ans, j’ai dû aller faire mon service militaire en Alsace.
J’habitais dans la caserne et je partageais ma chambre avec 3 autres gars. On était tous du Sud-Ouest et on s’est tout de suite très vite bien entendus. Il y avait Guillaume (20 ans originaire de Pau), Paul (18 ans, de Bordeaux) et Geoffroy (20 ans, de Limoges).
Pour nous quatre, le début du service militaire a été assez dur : on devait se lever tôt, on mangeait une bouffe assez dégueu et on devait faire beaucoup de sport... ce qui n’était pas notre fort, malgré nos corps assez sveltes. On a très vite bien déconné ensemble, ce qui m’a fait supporter la débilité du service militaire.
Le temps passait et après 6 mois, on était tous devenus inséparables. On s’était bien habitué au quotidien militaire : debout à 6h, décrassage dans les douches communes avec 30 autres mecs, petit-déjeuner, entrainement jusqu’à 18h. Ensuite, repas et douches. Dans la caserne, pas de sphère privée. Chacun savait à quoi ressemblait tous les autres une fois nus. C’est clair qu’on se regardait du coin de l’œil pour comparer nos queues. Certains avaient des bites claires, d’autres presque noires, il y avait de mini pénis, de petites saucisses et de longues lances à incendie. Quelques-uns étaient circoncis, d’autres avaient des pénis de chair, d’autres de sang. J’ai bien entendu comparé le mien à celui des autres et dans l’ensemble, j’étais satisfait ! Et bien sûr, dans les douches, beaucoup parlaient de cul. Les gros benêts étaient les plus grands étalons du monde, il avait baisé un nombre incroyable de meufs... et ils étaient impatients de tringler leur copine qui les attendait sagement à la maison. Je ne pouvais que rouler des yeux, persuadé que la moitié au moins était encore puceau. Geoffroy pensait la même chose que moi : on se regardait quand on entendait ces conneries et on essayait de ne pas pouffer de rire. Geoffroy et moi avions gagné une certaine complicité en grande partie à cause de ce genre d’inepties.
Le soir, les lumières étaient éteintes dès 22h et je ne tardais par à m’endormir, exténué par ces longues journées. Mais un soir, comme de nombreux soirs, après avoir lu dans mon lit et avant d’éteindre les feux, j’ai été pris d’une envie soudaine. Vu que je ne pouvais pas me soulager dans mon dortoir et que j’avais pourtant des besoins à assouvir, j’allais aux toilettes et je me branlais un bon coup.
Je me suis rendu aux toilettes, je me suis placé alors devant un pissoir et j’ai fermé les yeux, m’imaginant avec ma copine. Soudain, j’ai entendu la porte des toilettes s’ouvrir et Geoffroy est entré. Surpris, je l’ai regardé. Il était complètement nu :
- T’as traversé le couloir sans tes fringues ?
- Ouais ! Tout le monde dort !
J’ai alors observé Geoffroy. Il était blond mais il avait une peau assez foncée. Il était grand (1,85m), mince et musclé sec. Il semblait être imberbe au premier abord. Mais quand on regardait de plus près, on remarquait un fin duvet blond sur ses avant-bras et sur ses jambes, ainsi que sur son pubis. Sa queue était de bonne taille, avec un gland qui semblait assez gros, caché sous son prépuce. Il avait aussi des couilles assez grosses... ce qui rendait sa bite encore plus proéminente, surtout dans ses caleçons.
J’ai vite levé les yeux parce que je ne voulais pas qu’il croit que je le matais. A ce moment, j’ai surpris son regard baissé, dirigé vers mon entre-jambe... pendant qu’il était en train de triturer sa bite. Alors que normalement chacun de nous se tournait plutôt de côté, là, on était face au mur. Mes yeux sont alors revenus sur sa bite tandis que je sentais son regard sur la mienne... et je ne trouvais ça pas trop désagréable...
Soudain, j’ai remarqué que sa queue prenait du volume... Elle s’est allongée et elle a gonflé. J’ai alors senti la mienne prendre du volume aussi... J’ai senti le regard de Geoffroy se poser sur mon visage... sûrement pour voir ma réaction. Je n’ai pas bougé et j’ai fait comme si tout était normal. Des idées m’ont alors traversé l’esprit. J’étais hétéros... mais les bites des autres mecs m’ont toujours fasciné... la forme, la taille, l’épaisseur. Et souvent, je me posais des questions comme : « Est-ce qu’ils se branlent souvent ? », « Est-ce qu’ils éjaculent une grosse quantité ? », « Quand est-ce qu’ils vont se masturber de nouveau ? ». Je me suis alors imaginé Geoffroy en train de se branler. Ma bite a durci encore plus. J’ai alors secoué la tête en me disant : « Arrête, Nico ! Finis de pisser et va te coucher ! » ... ce que j’ai bien sûr fait.
Je suis allé me coucher et j’ai joué avec ma queue un bon moment, me demandant si j’aurais dû aller plus loin. Mais non, j’étais sûr que Geoffroy aurait trouvé ça trop « PD »...
Le lendemain, Geoffroy et moi étions toujours aussi complices, ce qui m’a rassuré. On n’a pas fait d’allusions à la scène dans les toilettes, même si je n’arrivais pas à m’enlever sa bite de ma tête.
Pour les jours fériés de mai, vers la Pentecôte il me semble, on avait une permission et beaucoup sont rentrés chez eux. Mais Geoffroy est resté, car ses parents étaient en vacances dans un pays lointain. J’ai alors décidé de rester avec lui.
Le premier jour de notre « solitude », on est allé vers du jogging. En passant devant un magasin, Geoffroy a proposé de s’acheter quelques petits trucs. On a pris des bières et une bouteille de vin, puis on est rentrés à la caserne. Le cuisinier nous avait laissé des restes et on a mangé un plat pas trop mauvais, accompagné de vin. Puis, on est allés dans la salle commune et on a regardé un film, nos bières à la main. On a pouffé de rire quand on a vu des mecs à poil dans le film et c’est là que Geoffroy s’est mis à me questionner sur ma copine. Et de fil en aiguille, on en est arrivés à parler de sexe. Il m’a alors demandé :
- Tu as déjà essayé de la prendre par derrière ?
- Non, elle veut pas, je crois.
- Moi, pareil...
J’ai alors distingué des mouvements dans le niveau de l’entre-jambe de Geoffroy qui a repris la parole :
- Je suis désolé de te faire rater un week-end de baise.
- Ah, t’inquiète !
- T’as pas les couilles pleines !? Moi, j’ai l’impression qu’elles vont exploser.
- Moi, ça va... mais je me branle presque tous les soirs aux toilettes.
J’ai alors sursauté. Comment ai-je pu avouer ça !? Ah... l’alcool !
- Ah d’accord ! C’est pour ça que tu t’éclipses tous les soirs avant d’aller au lit.
- Oui... J’avoue...
- Et sinon... Tu aimes les gros ou les petits nichons ?
- Ça dépend... chez certaines meufs, j’aime les gros, chez d’autres les petits. Il faut que le tout soit esthétique. C’est comme avec les bites...
- Comment ça ?
Je me suis alors mis à rougir sans savoir comment j’allais me tirer de cette affaire.
- Je veux dire que j’aime bien ma queue, elle est pas trop grosse mais elle va bien avec mon corps.
- Arrête, je suis sûr que tu as une grosse bite.
- Tu m’as déjà vu à poil !
- Oui, mais je veux dire quand tu bandes.
- Je suis sûr que la tienne serait plus grosse.
- Je sais pas. Et ta copine ? Elle a de gros nichons ?
- Moyens, ai-je répondu, un peu déçu qu’il change de conversation.
- Moi, la mienne en a des petits... J’adore les lécher et jouer avec....
J’ai alors vu son entrejambe prendre du volume...
- Et tu te branles tous les soirs ?
- Presque. Et toi ?
- Moins. C’est pas facile ici, je trouve.
Une vague de chaleur s’est emparée de moi et une envie est née... surtout en voyant son paquet qui augmentait à vue d’œil !
- Tu te branles dans les toilettes ?, lui ai-je demandé
- Oui. Ou dans mon lit.
- Dans ton lit ? Je n’ai jamais rien remarqué...
- Heureusement... T’imagines la honte si les 2 autres remarquaient quelque chose ?
- Et moi ? C’est pas grave si je te surprends ?
- Toi, c’est autre chose ! (avec une pause, Geoffroy reprend) Devant toi, je pense que je pourrais me branler !
- Ah oui ! Pourquoi ?
- Je sais pas, je me sens bien avec toi, a -t-il dit en rigolant.
Geoffroy a alors remarqué la bosse qui déformait son pantalon et il a passé sa main dessus... poussant alors un gémissement involontaire. Il est devenu tout rouge.
- Désolé, je suis vraiment en manque ! Putain, regarde comment je bande !
- Moi aussi ! (en effet, je bandais aussi)
- Tu veux qu’on se branle ?
L’atmosphère était très sexuelle.
- On va dans notre chambre ?, proposais-je.
- Ok !
On est entrés dans notre chambre et on s’est posé sur son lit. Mes yeux ne pouvaient pas quitter son entre-jambe encore bien gonflé. Le tissu de son pantalon épousait parfaitement les contours de sa queue qui semblait bien grosse !
J’ai posé lentement ma main sur son paquet et il a poussé un gémissement.
- Putain, c’est bon !
J’ai voulu la retirer mais il a posé d’abord sa main sur la bosse de mon pantalon. Un frémissement m’a parcouru.
- C’est bon, non ?
- Oui, ai-je murmuré.
- Depuis quand tu as pas joui ?
- Depuis avant-hier soir.
- Moi, depuis lundi.
- Oui, tes couilles ont en effet l’air d’être bien pleines, ai-je dit en passant à ses boules que j’ai massées.
- Putain, dis pas ça ! Je suis vraiment excité là ! Mais je vois que toi aussi... ta bite est bien dure !
Sa main s’est alors mise à caresser ma teub et mes couilles. Je me laissais faire, emporté par ce magnifique sentiment. Geoffroy a alors dit :
- Mon pantalon me serre trop.
- Enlève-le, ai-je répondu.
Il ne s’est pas fait prier. Il s’est mis complètement à poil. Sa magnifique queue était au garde-à-vous. Elle devait faire dans les 20 cm. Elle avait un gros gland et elle était un peu recourbée vers le haut.
- Et toi ?, a-t-il demandé d’un air malicieux.
Je n’attendais que son signal... et mes habits ont aussitôt volé. Je sentais son regard sur mon entre-jambe. Geoffroy a souri et il a dit :
- J’ai l’impression que ma queue est plus longue que la tienne.
- Je te l’avais dit !
- Mais la tienne est bien épaisse, je pense. Laisse-nous comparer.
Geoffroy s’est levé et il a placé sa bite à quelques millimètres de la mienne... avant de la poser contre. Quelle sensation incroyable ! Ma teub a durci immédiatement. Soudain, une goutte de son precum est sorti de son gland et est tombée sur le mien ! J’aurais presque joui rien qu’en ressentant ça !
- Tu as bien gagné, ai-je dit.
- Ouais. Elle fait combien, la tienne ?
- 17 cm. Et la tienne ?
- 20 cm.
Geoffroy est allé vers son sac, il en a sorti un magazine et il s’est rassis à côté de moi. Je l’ai alors vu saisir sa bite et commencer à passer sa main de haut en bas dessus. Je lui ai alors dit :
- Tu as une belle queue !
- Toi aussi ! Vas-y, on se branle !
J’ai pris ma bite en main et je me suis mis à me masturber tout en le matant. Quelle situation bizarre... mais excitante ! On a commencé à branler nos queues bien dures. Geoffroy a ouvert le magazine et on a lu l’histoire illustrée par des photos bien explicites. Un couple (un mec et une femme) allait dans un sauna et il y a rencontré un mec blond. Le couple a commencé à se peloter pendant que le blond matait. Le couple lui a fait signe de venir, ce qu’il a bien sûr fait.
J’ai écarté mes jambes... et elles ont frôlé sa cuisse. Je suis resté comme ça et Geoffroy ne m’a pas repoussé. Lentement, j’ai posé ma cuisse droite sur sa cuisse gauche et on a continué de se branler ainsi.
Dans le magazine, on pouvait voir et lire que les deux mecs se sont mis à s’occuper des seins de la meuf pendant que celle-ci les branlait. Puis, elle les a sucés ... avant de persuader son mec de sucer le blond... ce qu’il a fait. Je trouvais cette histoire bi très excitante !
- J’adore me branler....
- Moi aussi...
- Mais c’est encore mieux quand quelqu’un te branle.
- Ah... ?
Silence gêné... mais Geoffroy a fini par briser le silence et il m’a demandé :
- Je peux te branler ?
- Oui, vas-y !
Il a saisi ma bite qu’il a commencé à me masturber. Quelle sensation incroyable. C’était la première fois qu’un mec autre que moi touchait ma queue ! J’en ai profité pour prendre sa bite dans ma main et le sentiment d’y avoir sa queue était indescriptible ! Son membre était dur comme de l’acier alors que sa peau était douce. J’avais même l’impression que son gland avait pris du volume depuis que j’avais son morceau en main. J’ai commencé à le branler lentement, délicatement. Un peu de precum a coulé hors de sa bite. Il a alors posé son front contre le mien et j’essayais de tenir son regard. Il a murmuré dans un soupir :
- Nico, c’est vraiment trop bon !
Puis, il a accéléré le rythme de sa branle, ce qui m’a décroché des gémissements plus forts. J’ai alors fait de même. Je sentais son precum couler le long de mes doigts et je devais me retenir pour ne pas le lécher. J’ai ensuite masturbé son morceau de la racine jusqu’au gland, ce qui semblait bien lui plaire. Il s’est mis à gémir sans s’arrêter.
- Je suis vraiment excité... je crois que je vais pas tenir très longtemps, a-t-il murmuré.
- Pareil pour moi !
- Ta bite est trop belle !
- La tienne aussi !
Il a été le premier à jouir. J’ai senti sa bite durcir avant d’être prise de convulsions. J’ai murmuré :
- Oui ! Vas-y ! Donne-moi ton jus !
C’étaient alors deux jets puissants qui ont fusé hors de sa queue et qui ont explosé contre son menton. Surpris par cet orgasme, ma main a un peu dévié et son troisième jet a giclé contre ma joue. Quelques gouttes de son sperme ont coulé sur mon gland et en même temps que lui, je me suis mis à juter aussi. Mon premier jet, puissant, a atterri sur mon bras. Les suivants ont jailli en formant un arc de cercle sur mes cheveux, sur mon corps et je me suis retrouvé recouvert de mon sperme de la tête à la queue. J’ai juté au total 7 jets puissants et abondants. Quant à Geoffroy, il a continué de juter 9 autres giclées sur son torse qui s’est fait vraiment mitrailler. Quand sa bite s’est ramollie, j’ai regardé son corps... qui dégoulinait de son sperme liquide.
On s’est alors couché sur le lit, toujours ma cuisse coincée sur la sienne et nous avons savouré notre orgasme. Puis, Geoffroy, l’air malicieux, s’est levé et il a frotté sa queue pleine de jus contre la mienne et nos semences se sont mélangées. J’ai senti aussi ses boules contre les miennes. C’était trop bon !
On a ensuite fait un brin de toilette, en se regardant, complice. On a vidé la bouteille de vin avant d’aller se coucher.
Durant les mois suivants, Geoffroy et moi avons passé beaucoup de temps ensemble à nous soulager mutuellement. Après le service militaire, j’ai commencé des études de médecine et je suis resté avec ma copine. On s’est mariés et on a eu des enfants. Mais, entre-temps, j’ai accepté ma bisexualité, je me suis inscrit sur un site qui permettait de rencontrer d’autres hommes qui cherchaient du plaisir dans les bras de personnes du même sexe. A côté de ma vie de famille, je vis toujours pleinement cette bisexualité, bien sûr secrètement.
Des commentaires ? Des retours ? Vous pouvez m’envoyer un mail (pensez à préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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