Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus sur mes précédentes histoires.
Vous avez sûrement remarqué que j’aime bien baiser sans capote. Je trouve ça plus intensif. Je vais vous raconter un des évènements qui a conduit à ce que je sois un adepte de cette pratique.
J’étais à l’époque jeune, j’avais 19 ou 20 ans et je découvrais petit à petit les plaisirs corporels dans des bras masculins. Grâce à un célèbre site de rencontre, j’arrivais à attirer pas mal de gars dans mon lit. Seul problème : je vivais encore chez mes parents et je faisais soit des plans extérieurs, soit des plans chez mes amants.
Un jour, j’en viens à tchater avec un mec qui me plait immédiatement : sur ses photos, on voit que le mec est un bogoss mince. Il a une belle queue de 18 cm, un gland assez mince et de grosses boules bien sombres. Il a les cheveux courts, avec une barbe de trois jours, bien taillée, une peau d’un teint assez halé. Seul son pubis est velu, le reste de son corps est sans un poil.
Il ne cesse de répéter qu’il a envie de moi, ce qui me charme. Le seul problème est qu’il me demande sans arrêt s’il ne peut pas me baiser sans capote. Je refuse à chaque fois, disant que pour ce genre de pratiques, il faut avoir confiance et que si je le faisais, ce ne serait jamais la première fois. Il essaie bien sûr de me convaincre, argumentant que c’est plus intensif, qu’il se fait tester régulièrement, que les sensations sont décuplées ... mais je reste ferme. Voyant mon obstination, il n’aborde plus le sujet mais il veut quand même me rencontrer. Finalement, j’accepte son invitation et il me demande de le retrouver chez lui le mardi suivant à 18h.
Je me rends au rendez-vous, le mec se présente : Stéphane. Il m’ouvre la porte chaleureusement, il me fait entrer, souriant, et il m’offre un verre. On s’assoit sur le canapé et très vite, il se colle à moi et me caresse la cuisse. Je le regarde, il a un regard de braise... et il se jette sur moi. Il me roule des pelles, goulument, et m’entraine dans sa chambre. Il me fait assoir sur le lit et, debout devant moi, il fait tomber son pantalon sur ses chevilles, libérant un beau paquet emballé dans un slip rouge. Je prends son paquet en main et je le soupèse. Il est bien lourd. Je fais glisser son slip et je vois sa belle queue, au repos. Elle n’est pas très grosse, foncée, avec des couilles rasées.
J’ouvre la bouche, il m’y enfonce sa teub et se laisse sucer. Sa bite gonfle dans ma bouche. Une fois bien dure et gorgée de sang, je la prends en main et la regarde : elle est belle, brune, elle fait bien 18 cm et son gland n’est certes pas gros mais rose et bien lisse. J’enfourne alors sa teub bien au fond dans ma gorge et je recommence à la sucer, à la lécher.
Quelques minutes plus tard, sa main passe derrière moi, il me tient la tête et commence des va-et-vient. Il me baise la gueule comme ça. Je le regarde et je remarque alors un regard dur, dominateur... je découvre un autre mec que celui qui m’a ouvert la porte il y a 10 minutes. Son gland me cogne le fond de la gorge, Stéphane pousse de puissants râles.
Au bout de 15 minutes, il me demande de me retourner et de me mettre à quatre pattes. Il me tend un tube, je m’enduis le cul de gel. Je fais bien gaffe qu’il mette une capote, ce qu’il fait, et il enduit aussi sa queue de gel. Il introduit son gland dans mon antre bien préparée et il s’arrête. Je comprends le message, je m’empale alors dessus et je la fais lentement glisser dans mon trou. Une fois bien au fond, je sens ses grosses couilles frotter contre mon cul. Il commence ses mouvements. Je me mets à couiner ce qui l’encourage à me baiser plus rapidement. Je lui caresse ses grosses couilles qui me battent les fesses. A un moment, il se penche sur moi, m’embrasse dans le cou, me prend les mains pour que je lui travaille les tétons.
Mais tout bascule très vite. Je comprendrai plus tard qu’il a tout manigancé depuis le début ce qui va suivre. D’un geste rapide, il s’empare de mes poignets et il les ligote avec une ceinture qui est sur le lit. Sa queue sort de mon cul. Je le regarde du coin de l’œil. Il retire alors la capote, puis il réinsère son sexe dans mes entrailles. Je suis horrifié. J’essaie de bouger mon cul pour l’en faire sortir... mais il me bloque en maintenant mes hanches avec ses mains puissantes. Il me lance de nouveaux ses regards dominateurs.
Même si je me débats et si je proteste, la situation m’électrise d’un certain côté... Le contact de ses poils contre mes fesses me fait gémir. Mais c’est surtout sa grosse queue que je sens bien en moi, n’ayant rien entre elle et mes entrailles... Je suis pris de frissons tellement je peux intensément sentir sa teub bien au fond de moi. Ma résistance, vaine, s’envole, je vois que ça l’excite, ses coups de rein deviennent encore plus violents... et ça m’excite aussi ! Cette baise est intense. Ma seule protestation, c’est de gémir de plaisir. De plus, Stéphane semble bien apprécier mon cul. Il me baise de plus en plus vite et de plus en plus fort. Sa queue entre et sort.
- Salope, je veux te baiser au jus pour notre première fois !
- Non, ne jouis pas dans mon cul s’il te plait... Retire-toi avant...
En guise de réponse, il me m’enfonce la capote dans ma bouche pour me montrer qu’il est maitre de moi. Je la recrache et elle va valdinguer quelque part sur le sol. Il s’empare de ma teub qui bande à m’en faire mal. Il me branle et je jouis très vite. Je gémis avant de lâcher tout mon sperme sur ses draps.
Dans un ultime coup de rein, il se bloque au fond de mon cul et je sens comment sa queue gonfle en moi, prête à me remplir. C’est alors que son foutre brûlant m'envahit. La sensation est incroyable. J’en ai plein le cul.
- Je t’ai bien engrossé ! Tu es enceinte de moi maintenant !
Il se retire, d’un air conquérant et satisfait. Sa queue est pleine de sperme. Mon trou dégouline de foutre, je sens du sperme bien épais s'écouler de mon cul, puis le long de mes cuisses.
Il me détache, me force à m’agenouiller et il me place sa queue en bouche.
- Lèche-moi tout ce sperme !
Il me tord le bras, je m’exécute. Une fois terminé, il me lâche, je tombe par terre... Je vois la capote sur le sol et je murmure :
- Pourquoi ? Je t’avais dit que je ne voulais pas baiser sans capote !
- Ta gueule ! Pour baiser, je n’utilise jamais de capote ! Tu as eu un vrai mâle en toi ! Et les vrais mâles jutent dans des culs ! Point ! Et je suis content de t’avoir initié au bareback ! Et regarde mes draps, regarde ton état, tu ne peux pas me dire que tu n’as pas aimé !
Il prend alors mes affaires, me saisit le bras et me fout dehors, complètement nu, dégoulinant de sperme !
- Casse-toi ! Et tu reviens la semaine prochaine, à la même heure. Je vais te présenter certains de mes potes ! Et autant te dire qu’ils baiseront aussi sans capote !
Je me rhabille et sort de l’immeuble, humilié, dégoûté... mais aussi excité... La semaine suivante, malgré le « danger », je retournerai le voir et je me ferai troncher par 5 mecs qui me juteront plusieurs fois dans le trou... Je deviendrai alors accroc au mode nokapote.
J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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