Salut, je m’appelle José et je vais vous raconter une histoire (réelle !) qui m’est arrivée quand j’étais plus jeune. Je devais avoir 20 ans. A l’époque, personne ne savait que j’étais gay.
Un samedi soir, je rejoins des amis dans une boîte pas loin de Metz. Pendant la soirée, je danse, je m’amuse bien avec mes copains. Je bois peu car je suis en voiture. Je dois avouer que je vois pas mal de mecs mignons pendant la soirée. Je les guette du regard. Je me rappelle par exemple d’un beau mec de 20 ans typé italien, plutôt petit, avec une chemise très serrée qui moule son corps musclé... C’est un aimant à fille, bien sûr. Mais j’en profite bien sûr pour me rincer l’œil. Un autre mec, qui doit bien avoir 50 ans, me fait de l’effet aussi. C’est le genre ourson, grand, large d’épaules, robuste, avec des bras hyper poilus. Qu’est-ce que j’aimerais le dévorer. Mais il danse avec une meuf (sa femme ? sa maîtresse ?). Je m’imagine durant toute la soirée être à la place de cette femme. Plus tard dans la soirée, un autre mec attire mon attention. Il est blond, il doit avoir la trentaine, il est de corpulence normale. Il porte des habits qui révèlent assez bien son corps... et surtout son gros paquet. Son jean est déformé par une grosse bosse qui me laisse rêveur. J’observe intensément son entre-jambe et je crois qu’il s’en aperçoit. A partir de ce moment-là, il n’a de cesse de me regarder. Je me sens toute chose... mais je n’ose pas l’aborder. Je suis un mec timide et j’ai toujours peur de me prendre un vent ou pire de créer un scandale qui me ferait sortir du placard devant mes amis. Donc, je fais semblant de rester hétéro... malheureusement pour mon cul.
A un moment, je vais aux toilettes. Je suis seul aux pissotières. Au bout de quelques secondes, je remarque des murmures qui viennent des cabines. Puis des habits qui se frottent. Je m’approche discrètement et je constate que 2 mecs sont dans une cabine ... et qu’ils sont en train de baiser. J’entends distinctement les bruits de grosses couilles qui rebondissent sur un petit cul. Je bande immédiatement. Je me touche à travers le pantalon. Les deux mecs ne mettent pas longtemps avant de jouir. Je le remarque à la cadence de la respiration. L’actif pousse même un petit cri. Puis il sort du cul du passif et j’entends alors un « splasch ! » : c’est du sperme qui éclabousse le sol. Les coquins ! Ils ont baisé sans capote et le passif s’est fait remplir. Je suis tellement chaud que je sortirais presque ma bite pour me branler. Mais la porte des toilettes grince et je file vite au lavabo pour me laver les mains et partir, voulant éviter de me faire prendre.
Vers 4 heures du matin, mes copains et moi nous quittons. Je me dirige vers ma voiture qui est à l’autre bout du parking. A un moment, je vois un mec que je reluque immédiatement. Il a un beau visage avec des cheveux très courts et une carrure impressionnante. A ma plus grande surprise, il m’adresse la parole :
- Excuse-moi, tu es en voiture ?
- Oui... pourquoi ?
- Je n’ai pas de moyen de repartir d’ici. Tu pourrais m’emmener ?
- Pourquoi pas... enfin ça dépend... Tu vas où ?
- Je vais à Marly.
- C’est sur mon chemin... d’accord.
Nous marchons en silence vers ma voiture. Je le mate dans la pénombre. Il doit avoir 25 ans, il a l’air bien foutu. Et il est vraiment mignon. On monte en voiture et je démarre. On commence à parler. Il me dit qu’il s’appelle Guillaume, qu’il est militaire et qu’il a passé le week-end sur Metz. Il rentre le lendemain sur Strasbourg. Il s’est fait planter par une meuf qu’il avait rencontrée et avec qui il était venu... mais qui est repartie sans lui quand elle a remarqué que le mec draguait une autre meuf.
A un moment, il remarque qu’il a des trucs à ses pieds. Il me demande ce que c’est. Je rougis car je me rends compte que j’ai laissé trainer mes magazines pornos. Ils sont heureusement posés de telle façon qu’on n’en voit que le derrière de la couverture, donc ce qui laisse penser à un contenu plutôt neutre. Je réponds :
- C’est rien. Laisse-les là.
D’un geste du pied, Guillaume en retourne un et sur la couverture du magazine, il distingue très bien un mec bien foutu, nu, en train de se faire sucer par un autre. Je rougis, je ne dis plus rien. Lui non plus.
Au bout de quelques minutes, le mec commence à se toucher la braguette. Je vois son paquet gonfler. J’essaie de me contenir... de ne rien laisser paraitre... mais Guillaume me fait de l’effet ! Et involontairement, je me mets à bander. Mais je fais genre comme si de rien n’était. Il faut savoir qu’à l’époque, j’étais un peu coincé. Je ne voulais pas passer pour une grosse salope. Je dis alors à Guillaume :
- Il faut que je pisse.
Il ne dit rien mais il se caresse toujours son beau paquet. Je m’arrête au bord de la route et je vais pisser. J’essaie surtout de rassembler mes esprits. J’attends que ma queue ne bande plus, je pisse un bon coup, puis je reviens à la voiture. Je découvre alors avec stupeur quand je remonte en voiture que Guillaume a sorti sa bite qui est bien droite. Elle doit bien faire 18 cm, elle est épaisse, de couleur marron, avec un gros gland rose. Je ne peux plus résister. Je me dis « tant pis, je suis une grosse salope qui adore la bite, autant en profiter ! »
Je me précipite sur sa queue et je la suce directement. Sa queue est délicieuse. Elle est hyper dure, veinées, avec un gland en béton. Je lui fais des gorges profondes tout en caressant ses couilles. Il halète puis il pose ses mains sur ma tête. Il la tient et il me fait faire doucement des va-et-vient dans ma bouche. Il me fait aussi faire des gorges profondes, ce que j’aime particulièrement car mon nez reste enfoui dans son pubis velu... Puis une main se faufile le long de mon dos et ses doigts descendent vers mon cul. Ils entrent dans mon pantalon et ils caressent ma raie poilue. Puis son index palpe ma rosette. Il le ressort, il le mouille et le remet sur ma rosette. Il tente de le faire pénétrer dans mon trou. Ça rentre tout seul. J’ai la rondelle humide car je suis très excité. Il se met à me doigter. Puis il dit doucement :
- Je veux te baiser !
La voiture étant trop étroite, je sors, je me déshabille et je me couche sur le capot, les jambes écartées. Il sort à son tour de la voiture, il enlève son pantalon et il pose son gland directement sur ma chatte. Il pose ses mains sur chaque côté de mes fesses et il les écarte. Il s’enfonce doucement, à sec. Mais je mouille déjà bien. Je sens son sexe brûlant glisser dans mes entrailles, en écarter les parois jusqu’à ce qu’elle arrive au fond de moi. Il se met à donner de lents coups de reins qui laissent échapper des gémissements de mes lèvres. Mes mains passent sur son ventre en béton que je commence à caresser.
Mais au bout de quelques secondes, il se met à donner des coups de reins brutaux. Je ne me retiens pas de gémir à fond, dans cette forêt où nous sommes seuls, nous adonnant à un plaisir bestial. Mon corps frémit sous chaque coup de bite planté au fond de mes entrailles. Les coups de reins de Guillaume deviennent de plus en plus sauvages, profonds, puissants. Puis il s’enfonce une dernière fois au fond de mon cul en beuglant qu’il jouit. Il se vide en moi. Puis il se souche sur moi, me couvrant complètement. Je sens la puissance de son torse.
Puis, il se relève, il prend ma bite en main et il me branle. Sa bite toujours plongée en moi, je jouis très vite sur le capot. Sa queue quitte mes entrailles et une fontaine de jus coule le long de mes cuisses. Il ne devait pas avoir juté depuis un moment !
On remonte en voiture et on repart. Je le dépose et je ne le reverrai plus. Dommage. Mais j’en garde un très bon souvenir !
Merci à José pour le partage de ses souvenirs.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle.
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Meetmemz
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