Chapitre 1
Salut à tous et merci pour les retours que j’ai eus, ça fait plaisir de voir que mes histoires vous plaisent (« Mon colloc et moi » est à la première place du classement du 17.03.21 ! Merci !), ça donne envie de continuer à vous raconter mes petites aventures.
Depuis le mois d’octobre, je suis de nouveau en télétravail forcé. Nous avons interdiction de venir au bureau. J’aurais pu m’en passer car mon propriétaire fait faire des travaux sur la façade de l’immeuble et ce n’est donc pas facile pour se concentrer. Depuis des mois, un échafaudage a été placé et les ouvriers y défilent toute la journée. Des va et vient qui n’aident pas non plus pour bosser. Il y a certains ouvriers qui sont vraiment pas mal foutus. Je les vois s’affairer du coin de l’œil. Mais depuis quelques jours, ce sont les peintres en bâtiment qui sont à l’œuvre. Un des mecs m’a particulièrement tapé dans l’œil. Il doit avoir la quarantaine, il est assez grand et assez costaud, large d’épaule. Il semble avoir le physique d’un rugbyman, il a une apparence très virile. Ses cheveux sont courts et châtains foncés, il ne porte pas de barbe. Un mec comme je les aime, viril et costaud. Il a l’air d’avoir un bon paquet entre les jambes... même de ma table, je remarque combien sa bosse de pantalon semble volumineuse. Il me ferait presque mouiller... mais je suis sûr qu’il est hétéro et c’est pour cela que j’ai décidé de ne rien tenter.
Aujourd’hui, les peintres sont devant la fenêtre de mon salon... et moi, je ne peux m’empêcher de les mater au lieu de bosser. Soudain, je vois mon bel ouvrier passer et s’affairer. Je vois son ventre vaciller devant moi. Mais mon regard se trouve tout de suite attiré par son braquemard. La bosse de son pantalon m’interpelle : un truc énorme laissant penser à une belle paire de couilles et un chibre épais... Sa queue semble pendre, ce qui trahit la grosseur de son chibre, même au repos. Visiblement il ne porte pas de slip... le salaud ! Le tissu moule sa bite au repos bien large ainsi que son gros gland. Elle a l’air aussi bien longue. J’ai aussi l’impression de deviner ses grosses couilles. Je suis comme hypnotisé. Et le voilà qui se touche et qui remet son paquet en place. Et ceci plusieurs fois de suite ! Je reste muet devant ce spectacle. Ma queue ne fait qu’un bond dans mon caleçon. Je me dirige immédiatement vers ma chambre, je me pose sur mon lit et je ferme les yeux, fantasmant sur cette grosse bosse, tout en me branlant. Je repense à lui en me disant qu'il devrait être magnifique nu. Mais les bruits des travaux me déconcentrent. Alors, j’allume mon ordinateur, je mets un porno et éjacule dans la minute qui suit. Tout d’un coup, je vois une ombre derrière moi... dans mon dos, il y a la fenêtre... et mon bel ouvrier qui est affairé. M’a-t-il vu ? A-t-il remarqué mon porno gay ?
Une fois mes ardeurs calmées, je passe dans la salle de bain puis je me remets au travail. Je jette de temps en temps un coup d’œil par la fenêtre et mon ouvrier est là, me présentant son matos. Je ne sais pas s’il m’a pris en flag... mais de temps en temps, il me fait quelques signes de main, genre salut.
En milieu de journée, j’entends toquer à la fenêtre. J’ouvre et il me salue puis me demande :
- Je suis désolé... mais j’ai une envie pressante et j’ai peur de ne pas y arriver si je dois descendre de l’échafaudage et de marcher jusqu’à notre pissotière.
- Non... pas de problème, passez par la fenêtre et venez.
Je suis assez surpris mais je le fais entrer et je lui montre les toilettes. Il s’y engouffre tout en laissant la porte à moitié ouverte, l’envie devant être apparemment très pressante. Les toilettes se trouvent sur le côté gauche de la salle de bain ... ce qui me permettrait de mater sa teub... si j’étais un peu curieux... J’entends qu’il défait sa ceinture, qu’il ouvre sa braguette et quelques secondes plus tard, un gros jet de pisse frappe la faillance du WC. Je commence à fantasmer... si seulement je pouvais être à côté de lui, j’aurais pu y jeter un œil pour voir la bête… J’imagine un monstre de 16 cm et 4 cm d’épaisseur... rien qu’au repos. N’en pouvant plus, je risque un coup d’œil. Je le regarde, il est bien de profil, concentré sur ses besoins. Je baisse les yeux... et je ne suis pas déçu du spectacle... quel morceau ! Il a une belle queue avec deux belles couilles... Sa queue est bien appétissante, bien grosse, bronzée, longue et épaisse avec un beau gland et elle semble être en mode demi-molle, sûrement à cause de la pression de sa pisse. Je sens que ma tige commence à durcir et à s'allonger... Son jet sort sans interruption. En plus, il agite de temps en temps sa teub avec sa main. Quand il a fini de pisser, il secoue sa queue. Il reste quelques instants à faire tomber les dernières gouttes puis il la rentre dans son pantalon. Je quitte l’embrasure de la porte à pas feutrés. Il en sort et me remercie tout en souriant mystérieusement. Il passe par la fenêtre et se remet au travail. Je regarde alors mon jean... il est gonflé à bloc. Est-ce que mon bel ouvrier s’en est aperçu ?
L’après-midi, le soleil tape et la chaleur monte dans l’appart. J’ouvre les fenêtres et je continue mon boulot. Mais je n’arrive pas à me sortir la bite du mec de la tête. Je décide alors d’aller prendre une douche et de me branler en paix. Là, personne ne me verra au moins. Je commence à laisser couler l’eau chaude sur mon corps, ma bite se gonfle. Je ferme les yeux, je pense à mon ouvrier.
Tout d’un coup, je sursaute... la porte s’ouvre et je vois mon ouvrier qui a dû se faufiler dans l’appart grâce aux fenêtres ouvertes. Il a la braguette ouverte et la bite mi-molle en main.
- Ne me dis pas que tu n’en as pas envie... je ne te croirai pas...
Fort de son audace, il s’approche lentement de moi. Il ouvre la porte de la douche et passe sa main sur mes couilles, ma tige, mon gland... ma queue se met à gonfler. Il peut ainsi me branler. Puis, il laisse tomber son pantalon et ... en effet il n’a aucun sous-vêtement. Je découvre alors ses couilles énormes, bien pleines, lisses, pendantes bien bas sous sa teub qui commence à s'allonger.
- N’aie pas peur, tu peux me la toucher, elle ne mord pas.
J’avance timidement ma main vers sa bite et je la prends. Elle gonfle, elle prend de plus en plus de volume. J’ai l’impression de rêver. 22 cm se déploient devant moi. Le paquet n’a pas menti. Je bande à fond. Il se déshabille et je peux l’observer : il n’a pas un poil sur le corps. Il est bien costaud, large d’épaule, corpulent, un mélange de muscles et d'un peu de graisse, et il a des pectoraux bien carrés, un tout petit bidon et des cuisses puissantes.
Je ne peux plus résister et je me précipite sur sa teub. Je le suce, je tente des gorges profondes mais pas facile... Sa bite est un vrai bonheur à sucer mais elle est grosse et large, j'ai du mal à la prendre en bouche. Il se laisse faire, imprimant de temps en temps des pressions sur ma tête me faisant comprendre de la prendre plus profondément. Il me touche sans arrêt... la tête, le dos, le torse. Puis il prend ma tête entre ses mains et m’impose son rythme. Au bout de 5 minutes, il pousse un gémissement, il prend sa bite en main et il se branle. Il décharge alors d’une façon impressionnante. Un gros jet vient directement dans ma gueule avec une telle violence qu’il éclabousse tout après l’impact. Et ça continue avec le deuxième, puis le troisième. Le mur se retrouvent crépi par les éclaboussures. Après le cinquième, ses autres jets sont moins puissants et atterrissent directement dans ma bouche… mais il y a beaucoup de jus à chaque fois. J’ai l’impression qu’il ne va jamais arrêter de juter. Au bout de 20 bonnes secondes, il secoue sa teub, faisant tomber encore quelques gouttes dans ma bouche. J’ai bien compté 15 jets qui sont venus me frapper. Je suis fasciné... mais un peu frustré, faut le dire. Je ne sais pas s’il s’en aperçoit mais il se dépêche de dire :
- Désolé, je n’ai pas pu tenir plus longtemps. J’ai pas baisé depuis 2 semaines... ma femme ne me laisse plus la toucher. Mais si tu laisses demain ta fenêtre de nouveau ouverte, je reviens et je te promets que tu vas pas le regretter.
Il se rhabille et sort comme il est venu... je ferme les yeux, repensant à la scène et avalant le jus qui me coule sur la langue et je jouis très vite.
Le lendemain, je suis très excité. Dès que je vois les peintres s’activer sur la façade de l’immeuble, je laisse une fenêtre ouverte. A midi, il ne s’est toujours rien passé. Vers 15h, pris de fatigue, je veux aller me poser sur le lit quelques minutes pour me reposer. Je me mets nu sur mon lit, la fenêtre grande ouverte, espérant les attirer ainsi. Je m’endors sur le ventre. Une sensation me réveille. Quelqu’un est en train de me caresser le cul. J’ouvre lentement les yeux et je vois mon ouvrier déjà nu en train de se branler tout en me pelotant les fesses. Je remarque alors qu’il n’est pas seul. Un autre mec se trouve à côté de lui avec une demi-molle. C’est un rebeu, d’une vingtaine d’année, pas très grand mais assez musclé (ses pectoraux et ses bras sont assez impressionnants). Il a un grand tatouage tribal sur tout le bras droit. Il a des cheveux mal coiffés sombres, ses yeux sont tout aussi sombres et il a une barbe de 3 jours pas très bien entretenue. Il n’est pas très poilu. Il a quelques toufs de poils sur le torse et autour du pubis. Une ligne poilue part du nombril vers le pubis. Sa queue semble pas mal, bien bronzée et circoncise. Mais ses couilles sont impressionnantes : grosses, rasées et elles pendent magnifiquement sous lui. Il se les malaxe, je l'observe. Elles se balancent en rythme avec sa bite demi-molle.
Le mec baraqué (appelons-le Christian) me pelote le cul et d’un coup enfonce sa langue dans ma fente et me fait immédiatement gémir. D’un geste, j’attrape la bite du rebeu (Bilal) et je l’approche de ma bouche. Elle durcit de plus en plus pour atteindre un bon 18 cm, bien large. Il m’appuie alors derrière la tête et m’oblige à prendre son membre sur toute sa longueur. Je le sens me travailler la glotte. La queue est hyper dure. Elle sent fort l'homme. Le mec me viole tout simplement la bouche. Ses lourdes couilles tapent ma mâchoire. Je les attrape et tire dessus. Il gémit de plaisir et il me dit de continuer. Puis, il lâche prise et j’en profite pour reprendre mon souffle. Je prends alors ses couilles et je les lui bouffe tout en le branlant. Je suis vraiment fasciné par ses grosses couilles pendantes que je n'arrête pas de lécher.
Christian se relève et se met devant moi. Je comprends et je prends sa grosse queue en bouche. Ses 22 cm n’arrivent pas à entrer complétement. Pendant ce temps, Bilal crache sur mon trou et y fait entrer un doigt... puis deux... puis trois. Je savoure, ayant été bien préparé par Christian. Et sans crier garde, il me pénétré. Sans capote. Sans demander son reste. Ses grosses couilles se retrouvent coller à mon périnée. Et il commence à me baiser sauvagement. Il me donne des gros coups de butoir. Il me pilonne la rondelle. A chaque fois, ses couilles viennent taper contre les miennes. D’une main, il me maintient la tête et Christian en profite pour aller au fond de mon gosier. Je n’ai plus le choix, je dois subir leurs assauts. Christian marmonne :
- Putain, t'es vraiment une bonne suceuse. Profite. J'ai une queue spéciale petite pute !
Je sens sa queue au milieu de ma gorge. Ma trachée se tort comme une serpillère. Il est en train de me défoncer le gosier. Je supporte, tout excité. De la bave coule le long de mes joues mais je supporte toujours. Quand il ressort, je manque de m’étouffer. Il m’embrasse... premier geste de tendresse de la séance. Bilal quitte mon cul, Christian me retourne alors et place son gland à l’entrée de mon trou.
- Je suis impatient de voir si tu supportes ma queue dans ton cul aussi bien que dans ta gorge.
Lui aussi, sans capote, m’enfonce lentement son chibre jusqu’à ce que ses couilles me caressent le cul. Je supporte assez bien. Il me prend par les épaules et ses assauts reprennent. Il me défonce le cul, je crie de plaisir.
Bilal se couche à côté de nous et au bout d’un moment, il me fait signe de venir. Je me dégage de l’emprise de son collègue et je le chevauche, le dos vers son visage. Il me prend dans ses bras musclés et me fait basculer en arrière. Il se met à me pilonner, sa queue défonce ma prostate et ses grosses couilles viennent battre ma propre queue.
Puis, il me fait descendre, me retourne sur le dos et Christian prend la suite. Il me prend entre ses bras et me défonce encore plus intensivement que tout à l’heure. Bilal se branle tout en matant le spectacle.
- Oui, vas-y Christian. Défonce-le bien. Baise sa chatte.
Puis Christian sort au bout de 5 minutes, laissant la place devenue vide au rebeu qui me baise encore plus violement que tout à l’heure. Je sens ses grosses couilles fouetter mon cul et rebondir dessus. Il crie au bout de 10 minutes :
- Sale pute, tu vas me faire jouir.
Disant ceci, il se cale bien en moi et ses grosses couilles expulsent son jus. Une quantité inouïe de sperme envahit mon trou. Je sens ses jets chauds me remplir, m’inonder le cul, déborder de mon anus, couler sur le lit. Il me remplit sans retenue. C’est incroyable de sentir tant de jus. Une fois son orgasme terminé, il reprend ses coups de reins. C’est une quantité fantastique de jus qui éclabousse mes fesses et le lit. Puis il se retire et un flot de sperme jaillit hors de mon cul. Je le sens couler de mon trou le long de ma raie, de mon cul et de mes cuisses. Je me précipite sur sa queue pour nettoyer tout le jus restant sur son membre encore dégoulinant.
Christian prend immédiatement la suite, me met à 4 pattes et frotte son gland contre mon trou, rempli de son sperme. Ça doit l’exciter car il me baise sans retenue, glissant en moi, vu que son énorme queue est lubrifiée par le jus présent dans mes entrailles. J’entends des bruits de sucions à chaque coup de bite.
- Bilal... Tu l'as bien rempli, je nage dans le sperme ! C’est comme si on lui avait pissé dans le trou.
Sa grosse queue me laboure le cul. Au bout de 10 minutes, lui aussi me féconde. Il me met 3 gros coups de reins puis il bloque sa queue au fond de mon cul, je la sens se gonfler et se contracter. Lui aussi me remplit le cul. Je sens son sperme chaud abondant couler en moi, s’ajouter à celui de Bilal. Il termine de jouir et s'écroule sur mon dos, toujours en gardant sa bite dans mon cul. Il ne bouge plus, je sens son souffle dans mon cou, il halète. Il se retire doucement, quelques secondes plus tard je sens encore plus de sperme couler le long de mes cuisses. Je touche ma raie, elle dégouline de jus. Je me branle tout en nettoyant la bite de Christian. Ils se rhabillent pour retourner au travail. Christian :
- C’était vraiment trop bon. Si tu veux, je reviens demain avec d’autres collègues...
Je fais oui de la tête et ils partent, me laissant allongé sur le lit, les fesses dégoulinant de jus... C’était génial !
J’espère que cette histoire vous a plu et que vous avez eu bien du plaisir en la lisant. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire). Aimeriez-vous connaitre la suite de cette histoire avec les autres peintres ?
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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