Comme je vous l’avais raconté dans « Tournante de rebeus », à cause des indiscrétions qu’un joueur de mon équipe de rugby avait faites lors d’un entrainement, je me suis retrouvé chez Redouane qui m’a donné en pâture à environ 40 rebeus. Pendant cette sauterie, je me suis fait, entre autre, baiser par un autre pote du rugby, Rachid, qui a décidé de faire sa propriété.
La baise avec Rachid m’a vraiment plu ! Et je crois que lui aussi a adoré. Il ne peut plus se passer de ma bouche et de mon cul. Je pense que je suis un des rares mecs qui puissent prendre sa queue sans broncher. Rachid est un rebeu de 25 ans. Il a des cheveux peignés en brosse sur le dessus avec les côtés rasés. Il n’est pas très grand, mais musclé. Il est à peine poilu. Son pubis laisse voir un léger duvet ainsi que ses jambes, le contour de son nombril et le milieu de son torse, mais rien de plus. Il a 25 cm entre les jambes. Mais il est un amant hors pair, donc je supporte sans broncher.
Il vit en colloc avec son frère. Je viens chez lui quand il est seul, souvent après une séance de rugby. Il adore que je le suce et après il me prend en mode nokapote pour finir par « marquer son territoire », comme il dit. Puis je me casse. Mais j’ai toujours senti que ce n’était pas assez. Un jour, je lui ai envoyé un SMS, lui disant qu’il pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Je n’ai pas eu besoin de le dire deux fois. J’avais compris qu’il voulait vivre à fond sa domination.
Et un jour, il me dit de venir sans discuter chez lui. Quand j’arrive, je trouve la porte de son appartement entre-ouverte et un mot est par terre, me disant d’enfiler ce qu’il avait laissé à mon attention sur le sol. J’attrape un sac et j’y découvre une laisse, un string et un masque. Je mets tout ça bien docilement. Le masque a des trous pour les yeux et la bouche. Une fois prêt, je me dirige vers sa chambre. Je le découvre alors nu, sur le lit, en train de mater un porno, sa queue déjà bien bandée. Ses 25cm sont impressionnants. Je m’approche de lui pour l’embrasser mais il me repousse d’un geste, il saisit ma laisse et me tire sa queue. Je la prends de mes deux mains et je me mets à la lécher, à m’occuper du gland comme d’une sucette. Je joue avec ma langue autour de son frein, j’admire sa queue brune et veinée, bien dure et bien grosse. Il tire la laisse et je comprends le signal : je dois le regarder dans les yeux. Je m’occupe de son gland, les yeux plongés dans les siens. Puis bien docile, j’actionne son engin et je me mets à l’enfoncer dans ma bouche. Il sort alors son portable et commence à filmer. Je ne bronche pas. Je gobe son gland qui me remplit déjà la bouche. J’enfonce petit à petit sa teub dans ma bouche puis dans ma gorge. Centimètre par centimètre sa queue plonge en moi. Je commence à avoir l’habitude de sa bonne teub, je sens à peine le reflexe vomitif. Mon nez se retrouve à chatouiller son duvet du pubis, ses grosses couilles pendent devant moi. Je les prends aussi en main et je les masse. Puis je commence à monter et descendre sur son monstre.
- Putain t'es vraiment une bonne suceuse. T'as vraiment faim, toi, hein ? Profite. J'ai une queue spéciale petite pute !
Je suce sa bonne teub, la moitié dans ma gorge, l’autre moitié branlée par ma main. Il pose sa main sur ma tête, me caressant et me pressant de temps en temps dessus pour me faire faire des gorges profondes. Parfois, je laisse échapper sa queue de ma bouche pour bien la lécher sur tout son long. Il apprécie, il me regarde avec envie :
- Tu aimes ma grosse queue de rebeu, hein ? Elle te fait envie, hein ? Oui, vas-y, régale-toi !
Ma langue continue de jouer avec son gland. Puis je reprends en bouche son morceau, bien profondément. Il m’attire alors à lui, m’embrasse de ses grosses lèvres pulpeuses, m’enfonçant sa langue au fond de ma gorge. Puis je descends vers son cou pour le lécher. Il lève alors un bras et j’enfonce ma langue sous son aisselle et le lèche. Il sent le mâle. Je bande à m’en faire péter le rouleau. Puis je descends le long de son corps et m’occupe de ses couilles : je les lèche, je les suce, je les gobe... Puis je remonte le long de son engin. J’ai un gros plan sur ses grosses veines bien gonflées. J’enfonce la moitié de sa queue dans ma bouche et je reprends ma suce. Ses deux mains s’abattent alors sur ma tête et il m’impose une pression qui me fait gober son morceau sur toute sa longueur. Une fois qu’il libère la pression, je remonte et on s’embrasse fougueusement.
Puis il me fait me lever en tirant sur la laisse, je me mets à genou devant lui, il prend ma tête dans ses grosses mains, plaque son gland sur ma langue et il se met à me baiser. Il me martèle la bouche et la gorge. Je sens ma bave couler le long de mon menton et de mon torse. Il accélère puis ralentit le rythme. Il ressort la queue de ma bouche et me dit :
- Tire bien ta langue.
J’ouvre la bouche, tirant la langue.
- Tire-la plus encore ! Montre-moi bien cette langue de salope ! Fais-moi voir ton garage à bite !
Il me crache alors sur la langue. Il me met quelques gifles puis replace son gland sur ma langue qu’il fait coulisser à l’aide de ses crachats. Il se renfonce dans ma gorge.
- Oui, vas-y, régale-toi !
Puis il tire sur la laisse, il me fait placer sur le lit, sur le dos, la tête dans le vide. Il monte au-dessus de moi, il pose ses grosses couilles sur mon visage et il enfonce son membre dans ma bouche, après avoir lâché quelques crachats. Je le regarde dans les yeux, avec un air d'obéissance et de soumission. Il me baise la bouche, sa queue bien au fond de la gorge tandis qu’il filme la scène. Sur la vidéo, c’est impressionnant de voir son monstre disparaitre dans ma bouche, lentement comme un serpent sans fin, qui s’engouffre dans mon gosier. Ma bouche est écartelée, mes lèvres compressées par la largeur de sa queue. Il me laisse de temps en temps reprendre mon souffle, je dégouline de bave. Et il reprend de plus belle :
- Oui, prends-la bien à fond ! Ta gorge est parfaite pour ma queue de rebeu !
Il me baise la bouche sur toute la longueur de sa queue, restant au fond de ma gorge quelques secondes pour mieux reprendre ses assauts. Il me baise maintenant comme un trou. Il me défonce littéralement la gorge. Il met sa main dessus et s’écrie :
- Je sens ma queue coulisser à travers ! T’as une bonne bouche de salope !
Il appuie de plus en plus fort, me faisant ressentir la pression de sa teub exercée sur mon gosier. J’ai l’impression de ne plus pouvoir respirer. Puis il ressort de ma bouche, je respire enfin.
- C'est une bonne bouche de suceuse, ça !
Rien qu’avec son regard, il me fait comprendre que je dois venir le sucer. Je me mets à quatre pattes sur le lit et lui, debout, se met à me bifler. Puis il se laisse sucer tandis que sa main glisse le long de mon dos et arrive au string qu’il tripote. Puis il l’écarte, je l’entends cracher et d’un doigt, il tartine mon anus. Puis il exerce une pression et son doigt entre dans mon intimité.
Il tire alors sur la laisse, je me retrouve par terre à ses pieds et je remarque qu’il a gardé ses chaussures. Je comprends que je dois les lécher. Docilement, je me penche et ma langue se met au travail. Je commence par la gauche, je remonte de la semelle vers la languette puis je passe à la droite. Lui, il se branle tout en me regardant.
- Enlève mes chaussures et sniffe mes chaussettes.
Je m’exécute. Je lui ôte ses pompes puis ses chaussettes que je sniffe. Il approche son pied, me le met sous la bouche et je lui lèche les orteils. Puis je passe ma langue sous son pied.
- Oui c'est bon ça ! Tu es une bonne petite pute.
Je remonte, je passe ma langue sur ses chevilles puis je remonte vers ses cuisses et vers sa queue que je reprends en bouche. Mais il en ressort, me remet mon string, prend sa queue en main et me dit :
- Vas-y, bouge ton cul, déhanche-toi !
Je m’éloigne un peu de lui pour qu’il profite du spectacle, je me penche et je commence à secouer mon cul de droite à gauche pendant qu’il se branle. Sa main monte et descend lentement le long de sa teub.
- Quel putain de cul ! Il me donne trop envie ! Vas-y, cambre-toi bien, comme une bonne pute.
Je monte mon cul encore plus en l’air et je continue de le faire onduler. Puis de mes deux mains j’écarte mes fesses. Il a une belle vue sur mon trou.
- Ouais, lève-bien ton cul et secoue-le ... comme une bonne chienne ! Montre que tu as envie de ma queue de rebeu !
Je continue de le secouer. Il se lève alors, s’approche de moi et me claque le cul. Puis il me met deux doigts dans le trou, me lime avec puis en ressort.
- Hm, tu mouilles bien, grosse salope. Tiens, goute ta mouille.
Il m’enfonce ses doigts dans la bouche et je referme mes lèvres dessus. Il se met au-dessus de moi, qui ai toujours le cul cambré, et il se penche. Il enfonce sa grosse langue dans mon trou et commence à le lécher et à l’enfoncer à fond. Il frotte se grosse teub le long de ma raie et lèche les poils qui la parcourt. Puis il va chercher quelque chose dans sa table de chevet. Il revient, triomphant, avec 4 capotes remplies de sperme blanc et très liquide.
- J’ai ramassé les capotes que mon frère a laissé trainer après avoir baisé ses putes à lui. Je les ai gardées spécialement pour toi.
Il les pose sur mon cul toujours cambré. Il utilise alors un speculum, il m’entrouvre le trou. Une après l’autre, il prend les capotes, en défait les nœuds, en plonge l’ouverture dans mon trou béant et à l’aide de ses doigts, il laisse couler le jus dans mes entrailles.
- Tiens, prends tout le jus de mon frère, sale chienne ! J’ai trop envie de baiser dans sa semence !
Une fois les 4 capotes vidées, il retire le spéculum et commence à me doigter. Je me sens bien mouillé, bien rempli. Il tasse le jus bien au fond de mon trou.
- C’est trop bon ! J’ai trop envie de toi et de ta chatte ! Ma bite a faim !
Il frotte son gland dans ma raie puis il le place devant l’entrée de mon trou et il se met à pousser. Sur la vidéo, on voit comment il enfonce lentement le gland, sans protection bien entendu. La rosette s’ouvre sous la pression du gland qui entre... Elle épouse le gland qui s’enfonce pour disparaitre dans mon cul. Puis centimètre par centimètre, mon cul s'ouvre sous la poussée de l’énorme queue. La bite monstrueuse disparait lentement dans mon trou qui s’écarte et se dilate. C’est incroyable de voir ça. Comme si une main s’enfonçait en moi. Ou plutôt une bite de cheval. J’ai l’impression que mes intestins s’ouvrent et s’écartent pour accueillir cette queue qui prend possession de mon cul. Il arrive enfin au fond, après une traversée qui semble interminable. Ses couilles et ses poils de pubis frottent mes fesses. Il me prend alors la teub en mains et il s’écrie :
- Ma queue de rebeu te plait. Elle t’excite, hein ? Une bonne teub de rebeu bien épaisse ! Rien que pour toi !
- Oh oui, j’adore ta queue !
Une fois qu’il a rentré la totalité de son dard, il reste en moi pendant plusieurs dizaines de secondes, savourant mon trou bien serré. Puis il pose son portable, place ses mains sur mes hanches et il commence à me baiser. Ses mouvements sont lents au début.
Puis il accélère le rythme. Ses coups de reins deviennent amples et puissants. Il se met à donner des coups de bourrin. On entend les bruits de succion de mon cul, c’est le sperme de son frère qui commence à bien lubrifier sa queue qui devient toute blanche.
- Ecarte bien tes fesses, ma chérie !
De mes deux mains, j’écarte mon cul au maximum et lui, il filme tandis qu’il me baise. Sa queue toute lubrifiée de sperme glisse le long de mon trou. J’admirerai plus tard comme mon trou béant dont on voit l’intérieur tout rose reçoit son monstre qui entre et ressort de mon antre. La bite, normalement marron foncée, est toute gluante et toute blanche grâce au sperme de son frérot. Puis il entre et sort uniquement le gland. Il me fait grave de l’effet.
Il pose son portable sur un meuble et on aura sur la vidéo la vision de son cul musclé qui mène la danse, tandis que sa queue entre et ressort de moi. Mon cul blanc contraste avec sa bite bien marron. Ses couilles toutes aussi sombres me fouettent le périnée sous ses coups de reins. Il me pilonne maintenant avec vigueur. Je sens à ce moment-là le jus de son frère couler le long de mon périnée. Ça doit l’exciter car ses coups de queue sont de plus en plus violents, ils me défoncent le trou, je hurle de plaisir. Il me met la main sur la bouche pour m’empêcher de crier. Son membre s'enfonce toujours plus profondément. Mon trou agrandi n’oppose plus aucune résistance. Le jus du frérot est passé sur mes couilles et commence à goutter sur le sol, s’y écrasant bruyamment.
- Putain, ta chatte est trop excellente ! Parfaite pour ma trompe de rebeu !
- Oui, ta queue est trop bonne !
- T’inquiète, tu vas l’avoir souvent ! Ta chatte est à moi ! Elle est un bon garage à bites !
Il me retourne, il me met sur le ventre et il ne prend pas de gant et s’enfonce illico en moi. Je suis plaqué sur le lit, son corps reposant sur moi, seuls ses coups de rein font vibrer le lit. Grâce aux ressorts du lit, il rebondit sur mon cul ce qui enfonce sa queue encore plus profondément dans mes entrailles. Puis il se relève, il me prend par les hanches et me baise comme un dieu. Il me donne des petits et des grands coups de bite, maltraitant ainsi ma prostate tandis qu’il me crache à la gueule ou qu’il me donne des baffes et m’insulte. Puis il me pilonne. C’est comme s’il me donnait des coups de marteau-piqueur. Il semble chercher à enfoncer le plus loin possible en moi sa teub bien dure.
- T’aimes ça, ma petite pute ! Tu kiffes sentir ma grosse queue de rebeu dans ton cul, hein ? Ma queue est tellement grosse que y a que les chiennes comme toi qui peuvent la prendre (Il enlève sa main de ma bouche) Vas-y, couine ! Montre que tu aimes la queue de rebeu !
Et il se remet à me défoncer. Je hurle de plaisir, sa queue maltraitant ma prostate. Il me baise sauvagement.
- Oh oui ! Vas-y ! Encule-moi comme il faut ! Comme je le mérite !
Il accélère la cadence. Ses couilles claquent contre mon cul, elles baignent dans le jus de son frère qui s’écoule de mon trou.
- C’est trop bon de te baiser dans le jus de mon frère. Ça me fait bander grave !
Puis il sort de ma chatte, il met son portable sur le sol et se couche par terre. Il me fait signe de le chevaucher. Je m’assois sur sa teub qui me traverse de part en part, le visage tourné vers la caméra. Il me lève le cul, sa bite à moitié dans mon trou. Je me tiens ainsi au-dessus de lui, il me pose les mains sur les cuisses et il commence à me donner des gros coups de bite. Elle s’enfonce bien profondément en moi, allant plus au fond que jamais. Puis il entoure mon ventre de ses bras, me fait basculer en arrière et maintient pour bien m’enculer. Sur la vidéo on voit ses grosses couilles se balancer d’avant en arrière, me fouetter le périnée et sa grosse queue m’ouvrir bien à fond. Puis il me fait basculer sur mon côté gauche et il continue la baise. Il s’en donne à cœur joie, me défonçant sauvagement.
Il se relève et présente sa teub devant ma bouche. Je l’y enfonce sans réfléchir et je le suce. Je ramasse le jus de son frère amassé sur sa queue, je m’en délecte et je l’avale. Puis je passe à ses couilles que je lèche du bout de la langue et d’où je récupère aussi le jus de son frère. Je passe de l’une à l’autre tout en lui lançant des regards pervers. Ça lui plait, il dit des trucs comme : « t'es vraiment une bonne salope », « ils te plaisent, mes 25 cm, hein ? », « T’as une bonne bouche de salope ! »
Puis après quelques minutes, il me prend dans ses bras, me soulève et me jette sur le lit. Il se précipite sur moi qui suis sur le dos. Il me renfonce sa queue lentement. Il me remet sa main devant la bouche, il me bouche le nez et il se met à serrer. Il m’empêche de respirer. Ça a l’air de lui plaire, sa queue devient encore plus dure ! Il accélère alors la cadence. Il agrippe mes cheveux d'une main, ses cuisses cognent contre mes fesses. Je ne panique pas malgré le manque d’air. Ça a un côté excitant, je suis son objet, il fait ce qu’il veut de moi et ça me plaît. Je me sens devenir rouge, je sens le sang battre dans mes oreilles. Il prend ma queue en main et il la branle. Il lui faut quelques secondes pour que je jouisse. Mon sperme vole partout dans la pièce, il vient tapisser mon corps et le sien. Mon orgasme dure plusieurs secondes. Je n’ai jamais joui comme ça ! Il finit par me desserrer son étreinte, je tousse à plusieurs reprises et je mets une bonne minute à reprendre mon souffle tandis que Rachid continue de me baiser.
La caméra, placée judicieusement sous mes fesses, filme la bite hyper bandée. C’est beau de voir les 25 cm bien sombres disparaitre entre mes fesses. Il accélère, puis ralentit. Il va de droite à gauche et de haut en bas. Ses grosses couilles s’écrasent sur mon périnée. Il me domine de tout son poids, tout en me regardant droit dans les yeux froidement. Il me lance de temps en temps des mollards sur la langue que j’avale goulument. Et parfois, il se jette sur moi et il m’embrasse.
- Ton cul est trop bon ! Je vais pas tarder à jouir. Je vais t’engrosser avec mon bon jus de rebeu.
Dans un dernier coup de hanche, il empale sa teub tout au fond de moi. Je sens sa queue se raidir et il se met à cracher de nombreux jets puissants qui inondent mes entrailles. Son corps se retrouve secoué par des spasmes.
- Voilà, prends mon jus, sale chienne !
Il me tapisse les intestins de son jus liquide et chaud qui vient se mélanger à celui de son frère. Une fois la jouissance passée, il s'enfonce bien profondément dans mon ventre et son gland tasse son jus au fond de mon cul. Quand il en sort, sa queue est toute humide de son sperme. Un flot de semence se met à couler de mon anus béant. Il m’écarte alors les fesses, prend des photos du ruisseau qui s’écoule de moi ainsi que des photos de sa queue reposant sur ma raie qui est remplie de jus.
- Ta chatte est éclatée ! Trop bien de voir mon jus couler le long de tes jambes ! C’est dément de te baiser sans capote !
Il me fait lécher son gland, devenu tout blanc, qui est recouvert de son jus. Puis ma langue passe le long de sa tige et je la nettoie bien. Puis il met sa main sous mon trou et me dit de pousser. Il me met le résultat sous les yeux : sa main est remplie de son liquide blanc de mâle. Je me précipite dessus et j’avale tout jusqu’à la dernière goutte.
Il me tape sur les fesses en s’écriant :
- Tu es une trop bonne salope !
Il se couche alors sur le lit, m’attire vers lui et m’embrasse tendrement.
- Tu es à moi... Rien qu’à moi.
Dégoulinants de sperme, nous nous endormons dans les bras l'un de l'autre.
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires ou des suggestions pour une possible suite. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
Chapitre 1
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