Premier épisode
Chapitre 2
Il fait chaud aujourd’hui. On est en avril, les beaux jours arrivent et Matowu se sent un peu fatigué après sa sieste. Il a vraiment chaud, il sue. Il fait convoquer José et Yanis, ses deux petits-fils, pour qu’ils le rafraichissent. Les deux jeunes hommes prennent un éventail. Matowu se met sur son canapé, sur la méridienne. Les deux jeunes hommes frappent à la porte et attendent que leur grand-père les autorise à entrer, ce qu’il ne tarde de faire. Connaissant la procédure, les deux jeunes hommes se déshabillent et installent des coussins de soie dans le dos de leur grand-père qui les mate : ce sont vraiment deux magnifiques jeunes hommes à la peau bronzée et au corps svelte voir musclé. Leur queue pend entre leurs jambes, au repos. Ils se mettent à éventer Matowu qui apprécie cette fraicheur. Les énormes éventails lui plaisent. Il les a fait venir directement d’Afrique, d’une ferme d’autruches. Il mate les deux queues et remarque que sa libido monte. Il observe Yanis, 18 ans, le plus jeune de sa progéniture. Il l’a bien dépucelé la semaine dernière, lors de son anniversaire. Mais il n’a pas envie de lui, bizarrement. Il réfléchit et son choix tombe sur son fils le plus jeune : Pierre. Matowu dit à Yanis d’aller le chercher tandis que José continue de l’éventer.
Pierre entre après avoir frappé et il lui dit d’aller sous la douche.
- José, lave ton oncle.
José pose l’éventail et accompagne Pierre dans la douche. Il se met à faire couler l’eau, il prend un savon à la rose, importé de Lybie. Un produit cher et rare. Matowu regarde son petit-fils laver son fils. José prend sa tâche très à cœur car il sait qu’il doit faire plaisir à son grand-père, le chef incontesté de la famille.
Matowu admire son fils : ce-dernier a 35 ans, mais il ne les fait pas. Il est aussi grand que lui (2m), il est mince, il a de cheveux courts et crépus, de grosses lèvres bien pulpeuses. Il a une peau complétement noire. Il est mince, musclé sec. Il a une queue toute noire qui pend bien, longue et fine. Il sait que quand elle se déploie, elle atteint les 22 cm. Il est doté de grosses couilles, toutes noires. Il admire son cul rond et musclé que José est en train de masser. Puis il prend un tuyau et s’occupe de son intérieur.
Une fois fini, José se retire et laisse la place à Matowu qui grimpe dans la douche. Pierre se retourne et prend la savonette utilisée par son neveu. Il se met alors à savonner le corps de son père. Il admire ses traits durs, son crâne rasé, sa barbe bien taillée. Puis il se met à passer ses mains sur le corps velte et musclé de l’homme qu’il a appris à vénérer et à aimer plus que sa femme. Ses doigts passent sur les pectoraux saillants, où il prend bien soin de ne pas toucher à la chaîne en or que Matowu porte autour du cou, cet objet sacré. Sa main passe maintenant sous les aisselles poilues. Puis ils descendent le long des bras musclés secs. Il continue par les abdos super bien dessinés. Matowu n’a pas un poil sur le corps, tout comme Pierre. Sa peau est noire comme de l’ébène. La queue de Matowu se dresse déjà, elle est épaisse, noire, longue de 26 cm avec un gland marron. Elle est légèrement recourbée vers le bas. Il a de grosses couilles lisses, rondes, bien pendantes. Il s’occupe ensuite de ses jambes musclées et enfin de son cul bombé.
Une fois terminé, il prend une serviette et il sèche son corps parfait. Ils passent ensuite dans la chambre. Aujourd’hui, Matowu se trouve d’humeur dominatrice. Il prend son fils par le poignet, il le colle contre lui et il l’embrasse sauvagement. Puis il appuie sur ses épaules et il le fait descendre vers sa bite dressée. Pierre prend la queue d’une main et la branle tandis que l’autre soupèse ses couilles lourdes et épaisses.
Matowu prend sa queue, bifle Pierre et pose son gland sur ses lèvres. Pierre ouvre la bouche et le gros membre s’y engouffre directement. Pierre ne bronche pas, il avale la grosse queue sans problème, jusqu’aux couilles, ses lèvres restent plaquées contre son ventre. Le gros membre va directement dans son œsophage mais il s’est fait à ce monstre depuis longtemps. La main de Matowu saisit la nuque de Pierre et appuie dessus. Il subit les assauts puissants de son père avec tranquillité. Ses grosses couilles lui fouettent le menton. Pierre adore sentir ce sexe énorme et épais dans sa bouche. Il pose même sa main sur la cuisse de Matowu pour l’encourager à aller encore plus loin dans sa gorge et à lui défoncer la bouche encore plus vite. Matowu prend alors les cheveux de Pierre et il se déchaine dans sa gueule. La vigueur des coups de reins sont violents et impressionnants. Pierre regarde son père dans les yeux, appréciant son regard carnassier et son sourire de bête. Parfois, il le tire par les cheveux et arrache sa bouche de sa bite qui dégouline de bave. Il lui met alors des gifles pour lui montrer qui est le maitre, en lui montrant son air satisfait et pervers.
Il s’arrête après 15 minutes, Pierre a le torse plein de bave. Matowu le remonte et lui fait sucer ses tétons, lécher son torse musclé, noir et imberbe. Puis il le fait passer sous ses aisselles qui commencent à sentir le mâle.
Ensuite, il le fait poser sur le lit et il masse ses fesses. Il lui donne quelques fessées et il crache sur son trou. Il pose son gland sur la rosette de Pierre qu’il titille un peu avant de s’enfoncer en lui d’un seul coup de rein puissant : il l’embroche sur tout le long de son sexe qui est bien lubrifié par la bave de son fils. Il s’enfonce en lui sans problème. Ça rentre tout seul. Le trou s’est ouvert sous la massue de son père. Pour montrer sa satisfaction, Matowu fesse le cul de son fils puis il passe son bras autour de son cou et il l’étrangle un peu. Il accélère toujours plus ses mouvements. Matowu desserre son étreinte et le bloque par la taille. Il se colle au corps de son fils et il le défonce comme une bête. De temps en temps, il sort et rentre complètement. Le trou de Pierre reste ouvert, béant.
Il le retourne. Pierre écarte ses jambes et Matowu se précipite au fond de son cul. Il sent la grosse bite encore mieux dans son anus, elle remplit complètement mes entrailles. Matowu se met à le baiser sans concession, avec violence. Il continue de l’étrangler. Pierre se fait limer sans vergogne, sans merci. Son ventre et ses couilles claquent contre ses fesses à chaque coup de reins, Pierre le sens au plus profond de lui, ça le fait hurler de plaisir. Il adore se faire baiser comme ça, être possédé par son père, tout en tremblant sous ses coups de queue. Il aime sentir cette massue dure et épaisse aller et venir dans ses entrailles, sentir les couilles claquer contre son cul, les mains accrochées à son cou. En un mot, il aime se faire laminer le cul par son père. Il ressent un bonheur intense, un plaisir incomparable.
Matowu baise son fils pendant bien 30 minutes, c’est vraie bête de sexe. Pierre a toujours été impressionné par l’endurance que son père a. Puis Matowu devient encore plus sauvage, ses coups de reins sont plus rapprochés. Pierre se branle et se met à éjaculer une grosse quantité de sperme sur son ventre.
Matowu plaque sa bite tout au fond du trou et hurle de plaisir. Il jute dans les entrailles de son fils. Son jus lui inonde l’anus. D’abord, un grand jet qui semble lui remplir complétement l’anus, puis une autre giclée vient s’y ajouter et ensuite une troisième. Le cul se remplit en quelques secondes et peine à retenir tout le sperme qui commence à couler le long de sa raie. Il lui lâche encore 4 jets dans les intestins. Puis Matowu se retire et le jus sort comme une fontaine du trou de son fils.
Matowu se précipite sur le lit, prend sa queue, agrippe les cheveux de Pierre et la lui enfonce dans la bouche pour qu’il nettoie son anaconda. Ensuite, il passe un doigt sur son trou qui dégouline de jus et il le lui fait lécher.
Il se relève, allume un cigare et se pose dans son fauteuil, tout nu. Pierre se relève et voit son père tout décontracté. Sa queue se ramollit mais reste impressionnante. Il veut s’en aller mais Matowu le rappelle. Il lui roule une grosse pelle.
- Je t’aime mon fils. J’espère que je ne t’ai pas fait mal.
- Non, père, c’était tout simplement génial. Comme toujours.
- Merci. Dis à ta femme de me préparer le dîner. Après, elle me massera et je la baiserai peut-être. Qu’elle soit prête.
- Oui, père. Bien sûr, père.
Pierre s’éloigne, le jus de son père dégoulinant de son cul lisse et de ses jambes.
Matowu fait appeler José pour qu’il le lave après cette baise intense. Peut-être que José devra le sucer jusqu’au bout. Il suce tellement bien, ce petit mec. Il se penche dans son fauteuil et ferme les yeux, satisfait de sa vie.
A suivre...
J’espère que vous avez eu bien du plaisir en lisant cette histoire réelle. N’hésitez à me contacter/m’envoyer des commentaires. (N’oubliez pas de préciser le titre de l’histoire).
Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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