Premier épisode
Chapitre-2
Un jour, alors que j’étais dans les douches du lycée après le cours de sport avec mes deux potes Yannick et Karim, Karim s’est mis à parler de cul, ce qui nous a fait bander. Amusés par les remarques de Yannick, Karim l’a maintenu et je l’ai caressé afin qu’il bande. Mais, devant le regard médusé de mes deux potes, je me suis mis à genoux devant sa queue que j’ai prise en bouche. Ça a excité les deux et Karim m’a baisé pendant que je taillais une pipe à Yannick jusqu’à ce qu’ils jouissent tous les deux.
La nuit qui suit, je dors comme un bébé. Je suis super content de ne plus être puceau... et de surcroît, grâce à mes deux potes de classe que je kiffe depuis longtemps. Apparemment, aucun d’eux n’a mauvaise conscience. Comme chaque matin, je me réveille avec une bonne gaule. Je me souviens des dernières bribes de mon rêve : j’étais en train de défoncer un bon cul musclé. Je n’arrive pas à me rappeler à quoi ressemblait le passif... mais j’ai le sentiment que c’était Karim.
Je regarde l’heure. Parfait, j’ai le temps de me masturber. Je repousse mes couvertures et je prends ma queue dure en main. Je ferme les yeux et je me remémore mon « aventure » de la veille dans les vestiaires. Je me masse les couilles tout en me branlant. Au bout de quelques minutes, ma teub lance 4 gros jets sur mon ventre et sur mon torse. Je gémis doucement. Avant de me rendre sous la douche, je passe ma main sur mon corps et je lèche le jus qui le recouvre. Je repense alors à hier : c’était la première fois que j’avalais un autre sperme que le mien.
Après la douche, je descends et je petit-déjeune avec ma mère. Je lui fais un bisou avant de partir et elle me rappelle que ce soir, comme chaque vendredi, elle sort avec mon père. Dans le bus, je me sens tout un coup tendu. Je me demande comment vont réagir Karim et Yannick. Et s’ils racontaient à la classe que je me suis fait baiser et remplir par Karim tandis que Yannick m’a lâché son sperme dans la bouche... et que ça m’a tellement excité que j’ai joui sans me toucher ?
Quand je descends du bus, je vois les deux m’attendre devant l’école. Quand je m’approche, Karim me lance un grand sourire... qui me fait immédiatement bander ! Yannick aussi me sourit. Karim prend la parole :
- T’es enfin arrivé, Nico ! J’avais peur que tu flippes à cause d’hier. Ça va ?
- Oui et toi ?
- Moué. J’ai eu toute la soirée d’hier soir envie de me branler mais y avait trop de monde à la maison. Pas une minute pour me soulager ! Dur dur de cacher mon érection !
- Au fait, dit Yannick, vous allez toujours à la salle de muscu après les cours ? Moi, je pourrais pas venir.
- Oui. C’est toujours bon pour toi, Nico ?
- Oui. Allez vite, sinon on va être en retard en cours de maths.
Je mate les paquets volumineux de mes potes avant qu’on rentre ensemble dans le bâtiment. Je suis sûr que les deux bandent aussi ! Mais les maths nous refroidissent tout de suite. Durant la pause, on reparle « de la veille », en faisant gaffe que personne ne nous capte. Je constate que ça leur a vraiment plu ! Karim ne cesse de répéter :
- Je bande de nouveau ! Les meufs ont pas une chatte aussi serré que la tienne ! Rien que d’y penser...
Il saisit alors sa teub au travers de son short et elle se retrouve bien moulée. Je bande bien sûr aussi !
- Au fait, tu pourras faire des photos de moi plus tard après le sport ? Les meufs adorent les mecs musclés !
C’est alors comme une douche froide... Karim passe d’homo à hétéro. Je suis assez décontenancé et je fais oui de la tête. Le reste de la journée, je repense à ces remarques. Je ne sais pas comment réagir.
Après les cours, Karim et moi nous rendons en bus à la salle de muscu. Dans les vestiaires, je le mate en train de se déshabiller. Au contraire de moi, Karim est bien foutu. Il a une peau mate. Il a un corps musclé sec, imberbe. Il se rase entièrement. Sa bite est, au repos, imposante, charnue. Elle est noire, avec un gros gland. Il a de grosses couilles qui pendent dessous, rasées aussi.
Je quitte sa queue de ses yeux pour ne pas me mettre à bander car mon short d’entrainement est assez moulant. Durant deux heures, on passe à différents appareils. Karim m’aide en me donnant des conseils. A un moment, pour me montrer, il me touche le corps avec ses doigts magiques... et ce qui devait se produire, se produit : je bande et je ne peux rien faire contre. Karim le remarque immédiatement et il me regarde droit dans les yeux. Puis, il dit en me lançant une serviette :
- Et si on s’arrêtait ? On s’est assez entrainé pour aujourd’hui.
- Ça serait mieux, oui, dis-je en posant la serviette sur ma bosse.
Quand mon érection s’est calmée, on se rend dans les vestiaires. Personne... Karim en profite pour se foutre à poil tout en me regardant en souriant.
- Allez, plus vite, Nico !
Putain, le mec me rend fou... Son sourire me fait fondre ! Et bien sûr, je bande de nouveau. Karim se penche à mon oreille et il murmure:
- Petit coquin! Tu bandes encore ! Je te fais vraiment de l’effet, hein ?
On va dans les douches. Karim reprend la parole :
- Douche-toi à l’eau froide. On va pas répéter ce qu’on a fait hier.
Il se retourne alors et je vois ses fesses musclées. Trop belles ! Je me tourne vers le mur alors pour calmer mon érection et je ferme les yeux. Soudain, Karim passe derrière moi et il me serre contre lui. Je sens que sa queue a pris du volume. Il allume alors l’eau froide et nos ardeurs se volatilisent. Heureusement, car on entend entrer des mecs dans les vestiaires.
On se sèche et on prend le bus. On se rend chez moi. J’offre un soda à Karim et on va dans ma chambre. Karim connait la maison et il s’assoit directement sur ma chaise de bureau pendant que je me pose sur le lit. Je regarde alors le rebeu, les jambes bien écartées, en train de boire innocemment son coca. J’adore son t-shirt qui moule bien son corps. Je finis par lui dire :
- Tu voulais pas faire des photos.
- Si, vas-y. Les meufs font devenir folle !
- Pas que les meufs, dis-je.
- Petit PD !, dit alors Karim.
Je perds mon sourire et si je ne me retenais pas, j’en pleurerais. Karim remarque alors :
- Ça va pas ? On dirait que t’as vu un fantôme ! T’es tout pâle ! Allez, sois pas si coincé !
Karim se lève, il vient vers moi et il me prend alors par le col. Je me retrouve en face de lui. Il reprend :
- Hé, t’es mon pote. M’en fous de ce que tu es. Ah, voilà, tu souris, t’es trop mignon comme ça !
Et ça y est, je rebande !
- Et quand tu rougis, t’es encore plus mignon !
Il me tourne le dos avant que j’aie pu l’embrasser. Il se rassoit et il dit :
- Allez, on les fait ces photos, ou quoi ?
- Ok.
Je fais quelques photos. Puis, Karim enlève son t-shirt. Il fait jouer les muscles de ses abdos, de ses biceps. A un moment, je vois une huile de massage sur mon bureau. Je la lui tends en disant :
- Ça sera bien pour avoir des likes.
- Quoi ?
- Tu sais, comme les bodybuilders, pour que ton corps luise.
Il prend la bouteille et il commence à en mettre sur son torse. Je lui dis :
- Ça serait bien sans le pantalon.
- Oui, ça tu aimerais bien !, marmonne Karim.
Mais à ma plus grande surprise, il se dessape. Il se retrouve en caleçon blanc devant moi. Son paquet est volumineux, même s’il ne bande pas. Karim continue de se passer de l’huile sur le corps.
- Tu veux que je t’aide ?, demandé-je.
- T’aimerais, hein ?
Il essaie de s’en passer dans le dos mais, vaincu, il me tend la bouteille :
- Vas-y, aide-moi là !
Il s’assoit sur le lit, je prends de l’huile de massage dans ma main et je lui passe délicatement dans le dos. Bien sûr, je me mets à bander. Karim dit alors :
- Putain, ça fait du bien !
- Attends !
Je vais chercher une serviette que je mets sur le lit, puis je le fais se coucher dessus. Et je commence à le masser. Je m’occupe de chacun de ses muscles. Puis, je passe à ses cuisses, sans oser m’aventurer vers son cul. Je repense évidemment à mon rêve… Je m’occupe de ses jambes, puis je le fais se retourner. Je reprends le massage des jambes, avant de remonter vers ses cuisses. Je vois son caleçon qui me supplierait presque que j’y mette la main. J’y aventure alors un doigt. Pas de protestation. Son souffle devient plus lourd lorsque je frôle une de ses couilles.
- Tu fais quoi, Nico ?
- Rien…
Mon cœur s’accélère. Je reprends de l’huile et je masse son torse avec mes deux mains. Parfois, je fais passer mes doigts sur la bosse de son caleçon. A un moment, j’y plonge doucement mes deux mains sans que Karim proteste. Je tire alors doucement son caleçon vers le bas, mon rebeu ne dit toujours rien. J’ai alors sa queue tendue devant les yeux : elle fait dans les 20 cm. Elle est veinée, bien dure, bien droite, avec un gros gland rosâtre.
Je le fais se retourner… et je commence d’abord à masser ses fesses. Il ne dit rien, il ronronne comme un chat. Sa raie est imberbe. Je m’aventure vers son trou mais Karim dit :
- Non, pas là.
- Ok !
Je le fais de nouveau se retourner et j’admire sa bite un moment.
- Allez, Nico, vas-y, dit-il en me lançant un clin d’œil.
Je commence à masser sa queue bandßée. Je suis concentré… et ça me surprend quand Karim me saisit la bite qu’il se met à masser en me disant de continuer.
- Déshabille-toi !
Je m’exécute et il reprend ma bite en main en me disant :
- Tu as oublié un endroit.
En effet : ses couilles. Je me mets alors à les masser. Puis, je descends vers son périnée. Et à la vitesse de l’éclair, Karim me saisit et il m’enlace de ses bras et de ses jambes, sans que je puisse me libérer. Il presse son corps recouvert d’huile de massage ainsi que sa bite contre moi. Il me murmure alors à l’oreille :
- Nico… endroit interdit !
Il me regarde tendrement dans les yeux. Il passe ensuite une main dans mes cheveux blonds tout en me fixant. Puis, sa main fait pression contre ma tête. Est-ce qu’il va vraiment le faire ? Faire ce dont je rêve depuis si longtemps ? Oui ! On ferme les yeux et mes lèvres atterrissent sur les siennes. Ma queue se met à bander à fond. Karim fait passer sa langue contre la mienne. Il me roule une pelle. Karim sait vraiment bien embrasser. Mais soudain, il me repousse. Vient-il de réaliser de ce qui vient de se passer ?
- Elle est où, l’huile ?, demande-t-il.
J’ai capté : il veut me baiser. Je la lui tends. Il en met alors sur … ma queue ! Toujours couché sur moi, il cambre son cul. Il pose mon gland contre son trou. Je n’arrive pas à le croire... Mon doigt est interdit mais pas ma queue ?!
- Allez !, dit-il.
J’approche un peu ma teub de son trou que mon gland pénètre. L’huile fait fonction de très bon lubrifiant. Ma queue passe alors ses sphincters les uns après les autres, lentement. On gémit tous les deux.
- Oui, c’est ça, continue !
Je n’arrive pas à le croire. Je regarde ma bite. La moitié est dans le trou vierge de Karim. Je prends mon portable avec lequel j’ai fait les photos tout à l’heure et je photographie ma queue hyper dure dans le trou de mon pote. Je fais aussi une photo de son visage qui transpire d’envie !
- Vas-y, pénètre-moi !
J’obéis et j’enfonce ma queue dans son trou d’un coup de reins. Je commence à donner des coups de reins de haut en bas pendant que Karim va et vient sur ma teub. Putain ! Je baise mon meilleur pote ! J’en ai aussi si souvent rêvé ! Et d’un coup, je sens ma queue se raidir et elle jute 7 giclées dans le trou de Karim. Mon corps tremble sous l’effet d’un puissant orgasme. Mais sentant que ma teub reste dure, je continue de baiser. Je le pilonne à fond, rapidement, puissamment, mon jus sort de son trou et se met à tapisser ma queue, puis mon pubis. Je prends mon portable et je filme ma teub qui entre et sort du cul de mon camarade de classe. Puis, je passe à son corps parfait et à son visage souriant.
- Tu me les enverras après.
- Oui !
Karim penche sa tête en avant et on se roule une pelle. Mes cuisses rebondissent toujours plus vite contre le cul de mon pote.
- Putain ! Ta queue masse bien ma prostate !
Je le défonce encore pendant 5 minutes avant qu’il dise :
- J’en peux plus.
Il saisit sa queue qu’il branle pendant que je redouble la violence de mes coups de reins. Et soudain, il éjacule telle une fontaine. Son jus gicle dans toutes les directions, au-dessus de ma tête, contre le mur derrière moi. Il ne semble pas pouvoir s’arrêter de jouir. Son sperme atterrit dans mes cheveux, sur ma joue, sur mes lèvres... qui ne peuvent s’empêcher de lécher et avaler le divin nectar. Son anus est pris de secousses et il masse à la perfection ma teub, ce qui me fait jouir au même moment. Je lui envoie une deuxième bonne dose dans le cul.
Je nous regarde. On est épuisés, dégoulinant de sueur... et de sperme. Il a aussi bien juté sur son corps et le jus dégouline sur le mien. Je prends mon portable et je fais d’autres photos. Je n’arrive pas à croire la quantité de sperme que Karim vient de lâcher ! Il ferme les yeux et il reprend son souffle. Il se couche sur mon ventre. Quand il rouvre les yeux, il me dit :
- Nico, ça reste entre nous ! Pas un mot à qui que ce soit, même pas à Yannick.
Je fais oui de la tête. Je passe mes bras autour du corps de Karim et on reste ainsi un moment avant qu’il dise :
- On va se doucher ?
Il se redresse et nos corps collés par le sperme se séparent. On rigole et on va se doucher.
A suivre...
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Meetmemz
meetmemz@yahoo.de
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